L'histoire : résume
Deux familles nombreuses de pauvres paysans normands; Les Vallin et Les Tuvache vivent misérablement dans deux chaumières mitoyennes au pied d’une colline.
Mr et Mme D’Hubières, Un couple aristocrate ne peuvent pas avoir d'enfants. Ils expriment le désir d'adopter le fils des Touvache moyennant une bonne somme d’argent . La mère refuse. Mais, Les Vallin marchandent, acceptent et signent le contrat. L’affaire est conclue, provoquant la rupture entre les familles. Le fils vendu se fait une situation et revient voir ses parents biologiques après vingt ans.
Jalousie et sentiment d’injustice poussent Charlot à reprocher à ses parents de ne pas l’avoir vendu et à les quitter pour toujours
« Deux familles pauvres, les Tuvache et les Vallin, habitaient dans deux pauvres chaumières mitoyennes. Ils vivaient misérablement jusqu’au jour où un couple, Mr et Mme d’Hubières, passa près de chez eux. Ces derniers ne pouvaient pas avoir d’enfant et en étaient très malheureux. La dame prit l’habitude de venir rendre visite aux enfants et voulut adopter, moyennant finances, le petit Pierre, le plus jeune des Tuvache. La mère refusa violemment une proposition aussi alléchante qu’inhumaine à ses yeux. Le couple proposa alors le contrat aux Vallin qui, après avoir marchandé, acceptèrent la rente et signèrent chez le notaire. A partir de ce jour, les deux familles cessèrent toutes bonnes relations. Vingt années plus tard, le fils Vallin, devenu un magnifique jeune homme, refit son apparition. Il entra dans la maison qui l’avait vu naître et embrassa ses parents. Pierre, en proie à la jalousie et au sentiment d’injustice, en voulut alors tant à ses parents de ne l’avoir pas vendu qu’il les traita de « manants » avant de partir pour toujours. »
Bonjour,
Es-ce-que quelqu'un pourrais me donné un résumé d'environ 10-15 lignes, pas trop long quoi, dans le livre : Enfant et autres histoire de famille de Maupassant, le résumé de Boitelle, et Le père, parce-que je n'arrive pas à le formuler correctement, svp.
Merci
« Deux familles pauvres, les Tuvache et les Vallin, habitaient dans deux pauvres chaumières mitoyennes. Ils vivaient misérablement jusqu’au jour où un couple, Mr et Mme d’Hubières, passa près de chez eux. Ces derniers ne pouvaient pas avoir d’enfant et en étaient très malheureux. La dame prit l’habitude de venir rendre visite aux enfants et voulut adopter, moyennant finances, le petit Pierre, le plus jeune des Tuvache. La mère refusa violemment une proposition aussi alléchante qu’inhumaine à ses yeux. Le couple proposa alors le contrat aux Vallin qui, après avoir marchandé, acceptèrent la rente et signèrent chez le notaire. A partir de ce jour, les deux familles cessèrent toutes bonnes relations. Vingt années plus tard, le fils Vallin, devenu un magnifique jeune homme, refit son apparition. Il entra dans la maison qui l’avait vu naître et embrassa ses parents. Pierre, en proie à la jalousie et au sentiment d’injustice, en voulut alors tant à ses parents de ne l’avoir pas vendu qu’il les traita de « manants » avant de partir pour toujours. »
Deux familles pauvres, les Tuvache et les Vallin, habitaient dans deux pauvres
chaumières mitoyennes. Ils vivaient misérablement jusqu’au jour où un couple, Mr et
Mme d’Hubières, passa près de chez eux. Ces derniers ne pouvaient pas avoir d’enfant et
en étaient très malheureux.
La dame prit l’habitude de venir rendre visite aux enfants et voulut adopter,
moyennant finances, le petit Pierre, le plus jeune des Tuvache. La mère refusa
violemment une proposition aussi alléchante qu’inhumaine à ses yeux. Le couple
proposa alors le contrat aux Vallin qui, après avoir marchandé, acceptèrent la rente et
signèrent chez le notaire. A partir de ce jour, les deux familles cessèrent toutes bonnes
relations.
Vingt années plus tard, le fils Vallin, devenu un magnifique jeune homme, refit
son apparition. Il entra dans la maison qui l’avait vu naître et embrassa ses parents.
Pierre, en proie à la jalousie et au sentiment d’injustice, en voulut alors tant à ses parents
de ne l’avoir pas vendu qu’il les traita de «manants» avant de partir pour toujours.