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Statut particulier des para-medicaux en Algerie. - Page 32

Question anonyme le 22/05/2009 à 18h53
Dernière réponse le 19/09/2014 à 23h37
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2981 réponses pour « 
statut particulier des para-medicaux en Algerie.
 »
Réponse de IDE
Le 07/02/2011 é 14h14
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Demains c'est notre jour pour fermer la gueule a ce menteur et demain il va voir ces 15% comme il dit paralyse le secteur de la santé sur tout le territoire national mobilisation de tout les PM soit notre statut ou la paralysie du secteur de la santé, monsieur ould abbés si tu veut mettre ta blouse blanche est prendre notre place ces jours pour casser la gréve marhba bik mais a l'avance on sais bien que tu ne peut pas travailler parce que le métier de PM n'est pas donner a tout le monde il faut être humain est vous êtes loin d'être humain, il faut être patient et vous n'avez pas cette qualité,et il faut travailler plus d'une tache a la fois avec des moyens très limités mais vous êtes incapable de gérer la seul tache que l'état ta confier avec tout les moyens sous ta mains, le PM donne aux citoyens ce qu'il a de plus cher sa sueur son temps et son sang, et vous sacrifie tout les citoyens pour votre égoïsme et votre korssi. alors prépare toi demains a une gréve sans merci .
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Réponse de solit1
Le 07/02/2011 é 15h14
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Bravo,les Para-Médicaux!Oui,soyez tous présents demain pour dire "OUI A LA GRÉVE" , à ce ce minable médiocre de Ould Abbas que le Budget que tu gères n'appartient pas à ta mère pour que tu t'ériges en roi et le distribuer à ta guise et à qui bon te semble!Si,le vent de révolte anti-dictateur qui souffle en ce moment change de direction et qu'il se mette à souffler d'Est en Ouest,alors là tu verras qu'il y a bien de vrais Para-Médicaux assez cultivés et déterminés et je dirai, mieux cultivés que toi,qui se feront le plaisir de te faire la peau,minable mesquin, de mes deux!Ce que les Para-Médicaux revendiquent aujourd'hui est leur droit le plus absolu!Vive les Para-Médicaux,et suis convaincu qu'ils auront leur Statut incessamment car ils sont dans le vrai et ce qu'il revendiquent est sensé et non pas une mer à boire!
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Réponse de algeriano
Le 07/02/2011 é 18h36
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Bonsoir tt le monde,soyont unis demain le 08/02/2011 pour une GREVE de dignité,d'honneur,et de droit ,les PM c'est un moment historique pour démontrer à ould abbas,ugta,gouvernement...que nos revendications sont légitimes et socio-professionnel,et que la publicité que vous faite ne sért à rien, car tous les PM sont aux courant de magoulle et de monsonge que vous déclarer à des masses média ....vive les PM,vive l'algerie.
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Réponse anonyme
Le 07/02/2011 é 19h39
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Oui mais ns n ve le nouveau statut.....
Référence(s) :
samira
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Réponse de réa11
Le 07/02/2011 é 20h45
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Salut a tous mes freres paramédicales .je pense que etre éduquer est la clet de voute de toute etre humain .cest la prémiere fois ou jai consulté cet éspace.mais cest honteux vraiment de trouver des méssages de cette nature .rabi yahdina inchallah .
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Réponse anonyme
Le 07/02/2011 é 21h08
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Salut à tous .Demain sera le début d'une autre mobilisation alors beaucoup de courage les amis, n'écoutez personne car une guerre psychologique a déjà commencé( intimidation, chantage, pression sur les membres des sections syndicales etc...).Nous avons un but c'est de faire avorter à ces prédateurs leur saleté de projet en s'affirmant sur le terrain et prouvant à ces grands magouilleurs et complexés qui méprisent d' honnêtes citoyens qui se donnent à fond au service de pauvres algériens malgré tout les manques que nous rencontrons sur nos terrains de travail. Disant leur seulement que nous ne sommes pas dupes,le monde est entrain de changer alors prenez exemple avant qu'il ne soit trop tarrrrrrrrrrrd
Référence(s) :
infirmière fière et résistante
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Réponse de momohabaz
Le 07/02/2011 é 21h15
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Bravo cher frères et soeur soyons nombreux au RDV ,espérons que notre ministre ne soit pas touchait par la contagion et par le syndrome mobarak bon courage et a très bien tot pour fete la victoire de tous les PM et de la re naissance du métier de l'infirmier telle qu'il est conçu dans les payer développés ou la sante de la population prime sur le béton
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Réponse de réa11
Le 07/02/2011 é 21h50
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Salut mes freres et soeurs paramédicales .demain est la journeé des paramédicaux.pour une cause juste.pour un droit déja bafoués.pour une préfession digne.pour un systeme de santé crédible par rapport aux dépenses énormes de létat.demain cest une journeé de greve.pour notre gains .soyez vigilants soyez nombreux .soyez aussi respensables pour le malades .soyez aussi nationalistes .il faut pas avoir peur .cest de notre le plus absoludavoir un statut et une reconnaissance juste .dans notre systeme de santé .
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Réponse anonyme
Le 07/02/2011 é 21h53
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Le SAP cherche une virginité après avoir été b............ plusieurs années de suite.pardon,faire confiance aux représentants du SAP ce n'est pas une excuse.j'ajoute que je suis vacciné contre les insultes.
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Réponse anonyme
Le 08/02/2011 é 06h13
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C'est le jour (J ) a ceux ou celle qui pensent que la greve sera faite sans eux que qq soit le poste ou le lieu ou il travaille il n'influera pas sur la greve il se trompe on est tous solidaire sinon adieu notre dignité je ne parle pas de statut maintenant c'est devenu une autre affaire alors je vous dis main dans la main et le combat sera gagné pour notre dignité infirmier
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Réponse anonyme
Le 08/02/2011 é 12h28
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Mon seul desir et de voir tous les paramedicaux de tendance ugta -sap ou autre d etre present a cette greve et que tous les paramedicaux de tous le pays s unnissent
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Réponse de l infirmiere
Le 08/02/2011 é 21h57
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Tout a fait d accord tt ce que ns fesons ds les services le statut est la moindre des choses et surtt le systeme LMD moi je suis etudiante en paramedical alors vivement que des choses bougent enfin on en a marre maintenant la gréve quoi qui se passe unis ns aurons gain de cause nchallah
Référence(s) :
etudiante
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Réponse de IDE
Le 08/02/2011 é 22h47
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Fort taux de suivi,Les paramédicaux paralysent les hôpitaux Partager Tweet Mardi 8 février à 22:35 La grande adhésion qu’a connue cette action de protestation démontre le ras-le-bol du personnel médical, résolu à poursuivre la grève jusqu’à satisfaction totale de ses revendications. Le taux de suivi de la grève illimitée des paramédicaux a dépassé durant la journée d’hier les 88% à l’échelle nationale, selon Lounes Ghachi, porte-parole du Syndicat algérien des paramédicaux (Sap). La grande adhésion qu’a connue cette action de protestation démontre le ras-le-bol du personnel médical, résolu à poursuivre la grève jusqu’à satisfaction totale de ses revendications. «Les directeurs d’hôpitaux ont été instruits d’empêcher la grève, en procédant à des menaces et intimidations, mais sans parvenir à dissuader la détermination des paramédicaux», a souligné M. Ghachi. Ajoutant qu’il aurait «préféré que la tutelle réagisse à travers le dialogue et non pas la pression». Aussi, «la décision de justice déclarant cette grève illégale n’a pas été notifiée au syndicat», a-t-il précisé, soulignant le «caractère légal des doléances exprimées». «La mobilisation du personnel est la meilleure réponse aux déclarations du ministre soutenant que la grève est injustifiée», a indiqué M. Ghachi. La colère qui ronge le corps paramédical s’est d’ailleurs traduite sur le terrain par les blouses blanches. A l’hôpital Mustapha-Pacha, le mot d’ordre de grève a été largement suivi. Plus de cent infirmiers s’étaient rassemblés à la place limitrophe du Centre Pierre et Marie Curie. «Nous sommes décidés et ce n’est pas les intimidations qui nous arrêteront», a indiqué un employé. A la Clinique des brûlés de l’avenue Pasteur à Alger, le taux de suivi a atteint 95%. Des écrits ont été affichés à l’entrée de l’établissement, sur lesquels on peut lire, entre autres, «Arrêtez l’hémorragie de promesses». Le coordinateur des paramédicaux dans cet établissement a indiqué que «les travailleurs veulent du concret» et que «les promesses du ministre de tutelle ne sont que des déclarations sans suite». Le service minimum a été assuré, précise notre interlocuteur. «Les infirmiers sont mobilisés et prêts à prendre en charge tous les cas urgents. Nous travaillons avec les enfants souffrant de brûlures, nous sommes à la fois en grève tout en veillant sur les malades», a-t-il rassuré. Avant-hier, le ministre de la Santé a appelé les paramédicaux à «accomplir leur mission», assurant que «leurs préoccupations ont été officiellement prises en charge». Un appel qui ne semble pas beaucoup convaincre les personnels médicaux, nombreux à faire grève pour manifester leur indignation et scepticisme quant à la volonté de la tutelle de prendre leurs doléances en charge. «Nous attendons du concret depuis 2008», nous dira un infirmier en grève. En fait, les paramédicaux revendiquent, entre autres, la promulgation de leur statut particulier, leur classification à la catégorie 11 et l’intégration en système LMD ainsi qu’une augmentation des salaires. Des revendications que le ministre affirme avoir honorées, alors que les syndicats soutiennent le contraire. «Lors de la réunion de dimanche dernier, tenue avec les responsables de la tutelle, aucun document officiel prouvant la véracité des déclarations du ministre ne nous a été remis», précise un cadre du Sap. Par Aomar Fekrache
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Réponse de IDE
Le 08/02/2011 é 23h00
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Actualité (Mercredi 09 Février 2011) LA GRÈVE A ÉTÉ LARGEMENT SUIVIE À TRAVERS LE PAYS Les paramédicaux maintiennent la pression Par : Rédaction de Liberte Lu : (55 fois) Le Syndicat algérien des paramédicaux a maintenu son mouvement de grève illimitée au niveau national malgré les pressions et les menaces de la tutelle et de l’administration. Hier, d’Alger à Oran, de Sétif à Tlemcen, en passant par Blida et Tizi Ouzou, le débrayage a été largement suivi. Le mouvement de débrayage des paramédicaux a été largement suivi au niveau des structures sanitaires à travers le territoire national. Ainsi donc, les paramédicaux de la wilaya de Sétif ont suivi l’appel à la grève lancé par leur syndicat (SAP) à plus de 95% avec une plus forte participation au niveau de la ville chef-lieu de wilaya. Les représentants du syndicat affirment que les salariés des trois établissements hospitaliers relevant du CHU ont respecté le mot d’ordre de débrayage. Toujours, selon le syndicat, près de 65% des paramédicaux de la wilaya de Bordj Bou-Arréridj ont répondu à l’appel du SAP, alors que la Direction de wilaya a avancé un chiffre de moins de 20% des personnels qui ont débrayé. à Constantine, les paramédicaux du CHU Ibn-Badis ont massivement suivi le mouvement. Mme Khlifi Meriane, secrétaire nationale au syndicat SAP, s’est dite inquiète devant la légèreté affichée par la tutelle dans le traitement du dossier et du sort qui a été réservé au projet de statut particulier, s’agissant notamment du lancement effectif du système LMD au profit des paramédicaux. Mme Khlifi Meriane a annoncé un taux de participation à la grève de l’ordre de 100%, ajoutant qu’un service minimum est assuré au niveau des services du CHU. Là encore la Direction de wilaya de la santé fait état d’un taux de suivi ne dépassant pas les 15%. La grève des paramédicaux dans les établissements publics de santé à travers la wilaya d’Oum El-Bouaghi aura, par contre, été très peu suivie. Le débrayage n’a, en effet, touché que deux EPH, celui d’Aïn Beïda avec 95 grévistes sur un effectif de 447 et celui d’Aïn M’lila avec 95 grévistes représentant cet établissement, soit un taux de 28,98%. Pour ce qui est des EPSP, seuls 5 paramédicaux ont débrayé au niveau d’Oum El-Bouaghi. Selon la DSP d’Oum El-Bouaghi, le taux global d’adhésion à la grève est de 8,49%. Au niveau de la wilaya d’Annaba, la situation était quasi normale à travers tous les établissements du secteur de la santé. Les personnels paramédicaux ne semblaient pas concernés par le mouvement auquel a appelé le syndicat SAP, alors que leurs représentants ont répondu qu’ils attendaient “des instructions plus précises de leur fédération” pour entamer la grève, éventuellement. La même attitude attentiste est adoptée par les syndicats des paramédicaux des wilayas de Guelma, Skikda, El-Tarf, Souk-Ahras, ou encore de Tébessa, où les structures de santé ont fonctionné normalement. Tensions et menaces sur les grévistes à l’ouest à l’ouest du pays, le débrayage du SAP a enregistré des taux importants de participation du personnel paramédical. à Oran, le SAP a fait durer son mouvement de grève illimité malgré les pressions et les menaces. C’est ce qui nous a été déclaré par la SG du SAP d’Oran : “Nous avons été menacés ouvertement, le ministre n’ayant pas hésité à envoyer des écrits dans ce sens. Les directeurs des établissements où nous sommes en grève eux aussi nous menacent de réquisition et font dans l’intimidation. Des collègues se sont vu signifier qu’ils ne pourront pas bénéficier de formation supérieure s’ils se mettent en grève.” En effet, la justice ayant déclaré la grève illégale, le conflit va prendre une propension des plus délicates compte tenu de la situation générale du pays. à Oran, le SAP n’est représenté qu’au niveau de quatre établissements publics de santé où le taux de participation à la grève est de 89%, selon notre interlocutrice. Ainsi, à Tlemcen, les agents paramédicaux présents sur les lieux de travail au niveau de plusieurs structures de santé restent inactifs malgré les assurances données par le ministre de la Santé publique, de la Population et de la Réforme hospitalière quant à la prise en charge de leurs revendications. Les hospitaliers comptent demeurer en grève “tout le temps nécessaire jusqu’à la résolution définitive de leurs problèmes sociaux et professionnels”. Il faut noter que le service minimum est assuré notamment au service des urgences. à Sidi Bel-Abbès, la grève a été largement suivie par les paramédicaux de la wilaya, a-t-on appris, auprès de B. Djorf, SG de wilaya du SAP. Notre interlocuteur nous a fait savoir que “le débrayage a été entamé avec un sit-in à l’intérieur du CHU, au sein duquel la grève a atteint les 90%, et 80% au sein des EPSP et EPH”. Quant au service minimum, il dira qu’il sera assuré durant tout le temps de la grève. De son côté, M. Dahar, DG du CHU, a déclaré que “le taux de suivi de la grève avoisine les 10% et les paramédicaux qui se déclarent en grève ont rejoint leur poste de travail”. Par contre à Tiaret, le mouvement de débrayage auquel a appelé, une nouvelle fois, le SAP n’a trouvé aucun écho au sein des structures hospitalières de la wilaya. Les raisons, selon un responsable du bureau local de l’organisation, sont que “les paramédicaux de Tiaret n’ont, à aucun moment, été associés à cette action. Partout comme la fois passée, pour la grève des 1er et 2 février, les responsables du SAP préfèrent, peut-être, se concentrer au niveau des grandes villes du pays”. Les paramédicaux ont marché à BéjaÏa Les paramédicaux de la capitale des Hammadites ont mené, hier, deux actions de protestation, une grève illimitée et une marche au chef-lieu de wilaya. Ces deux actions sont initiées par deux syndicats autonomes, le SAP et le Snapap. Bien qu’ils aient une seule revendication, la promulgation du statut particulier des paramédicaux, l’enjeu est la représentation. Donc, c’est sur fond de grève illimitée, lancée par le SAP, que la marche des paramédicaux, initiée par le Snapap, est intervenue à travers les artères du chef-lieu de wilaya. Selon plusieurs sources, la grève illimitée est partiellement suivie dans la wilaya de Béjaïa. Mais l’action de rue se voulait avant tout symbolique, une manière de rappeler au ministre de la Santé ses engagements, jamais tenus. “Nous ignorons le contenu de notre nouveau statut particulier. Il faut savoir qu’il y a 24 spécialités dans le corps des paramédicaux. Nous craignons que le ministre joue sur la division”, nous a déclaré le secrétaire de la section Snapap de l’EPH d’Amizour, Nadir Touati. à Boumerdès, la grève des praticiens spécialistes, à laquelle a appelé le Syndicat national des praticiens de santé publique (SNPSP) a été largement suivie au niveau des différentes structures sanitaires de la wilaya de Boumerdès. Selon M. Mohamed Gabour, secrétaire général de la coordination de Boumerdès de ce syndicat, le taux a atteint, hier vers 10h, 88% au niveau de toute la wilaya. Ainsi, le taux de suivi enregistré à Dellys est de 80%, 73% à Bordj Menaïel, 80% à Thénia et plus de 90% à Boumerdès. à Tizi Ouzou, le taux de suivi de la grève est estimé à 80% par les syndicalistes. Lors d’un point de presse du bureau du SAP à Tizi Ouzou, son SG, M. Tiab, et le chargé de la communication, M. Krirèche, ont précisé que la grève sera maintenue malgré le communiqué du ministère de la Santé, qualifié de “tract” car ne portant aucune signature officielle.
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Réponse anonyme
Le 09/02/2011 é 12h26
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Policier est classé dans la 8 doivent recevoir un salaire estimé à 36000 DA ALLAH YBERK BIDOUN HASSAD infirmier est classé dans la 10, doivent recevoir un salaire estimé à 22000 DA ALLAH LA YBAREK FI YAMEK YA FILS DE ABBAS
Référence(s) :
AIN ABID
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Réponse de fraidi
Le 09/02/2011 é 12h58
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L'epsp de skikda n'a pas fait greve car y a pas de SAP mais j'ai trouve sur facebook http://www.facebook.com/profile.php?id=100002034657911 une belle page
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Réponse de IDE
Le 09/02/2011 é 13h02
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Béjaïa : 82% de suivi Les paramédicaux ont bel et bien mis leur menace de grève illimitée en application. Hier, la ville et les abords des 16 établissements que compte Béjaïa étaient non pas noirs de monde, mais blancs, c’est la première fois qu’on pouvait estimer le poids de ce corps de la santé. Tôt le matin au CHU de la ville, précisément à l’hôpital Khellil-Amrane, Rachid-Messaoud, coordinateur régional des wilayas du centre-est, prépare son piquet. A 10h, la grève est enclenchée. Seul un service minimum fonctionne notamment au niveau des urgences, du Samu et de quelques services «interdits» de grève. Sinon, celle-ci est suivie, dans l’ordre, avec un taux de 82,1%, quand ce n’est pas les 100% comme c’est le cas de Kherrata où Abdeslam, coordinateur local du SAP, assure. ` «Même les autres syndicats ont suivi notre mouvement, un mouvement qui repose sur les statuts, notre dignité et les salaires.» A Iheddadène, l’établissement est fermé, c’est le débrayage d’un corps sous-estimé. Un infirmier nous révélera qu’il est «interdit» même de repas, pourtant servi à tous, sauf aux paramédicaux. Le SAP réclame un statut particulier et il veut juger sur pièces. «Qu’on lui donne la date de sa promulgation !» 09-02-2011
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Réponse de IDE
Le 09/02/2011 é 13h06
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Le président du bureau de Tizi Ouzou du SAP : «La grève nous a été imposée» «Le mouvement de grève nationale illimitée lancé hier nous a été imposé», a affirmé, hier, le président du bureau de wilaya du Syndicat algérien des paramédicaux, lors d’un point de presse tenu en marge du rassemblement observé devant l’administration du CHU de Tizi Ouzou. Précisant que le conseil national de cette structure syndicale, organe délibérant, est disposé à geler cette grève pour peu que, a indiqué M. Tiab, «la tutelle apporte la preuve qu’effectivement, les préoccupations de la corporation sont prises en charge, notamment que le nouveau statut tel que ficelé par la commission mixte MSPRH/ SAP, soit déposé à la Fonction publique comme rapporté avant-hier dans un communiqué du département de Djamel Ould Abbès». Un communiqué que d’aucuns chez les paramédicaux de Tizi Ouzou, ou d’ailleurs, considèrent comme étant une «fuite en avant», une de plus de la part de la tutelle, destinée à tromper l’opinion publique. Plus explicite, l’orateur n’omettra pas de relever les contradictions contenues dans ce communiqué ministériel dont la source, a-t-il précisé, n’est pas identifiée, se contentant du sceau «ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière», citant tantôt le dépôt à la Fonction publique du nouveau projet de statut de la corporation avec le LMD et la catégorie 11 tantôt la prise en charge des doléances de tous les paramédicaux. Le seul acquis que la corporation considérera comme tel reste la promulgation de ce nouveau statut au Journal officiel, rappelle encore le syndicaliste. «Le SAP sait ce qu’il veut et sait où il va. Le SAP ne cédera pas à la pression d’où qu’elle vienne», a-t-il précisé encore. Et de prévenir qu’à la deuxième semaine de grève, soit à compter de dimanche prochain, le syndicat a décidé de radicaliser encore davantage son mouvement de grève en initiant d’autres actions de protestation. «Il y va de l’avenir de la corporation», a-t-il dit. Invité à évaluer le débrayage au premier jour, le conférencier a indiqué que le taux de suivi est très appréciable. Si bien qu’en plus du service minimum assuré, des paramédicaux ont été chargé d’accomplir leurs missions respectives pour la continuité de service au niveau notamment des services dits sensibles tels que l’oncologie, l’hématologie mais aussi pour la prise en charge des cas d’urgence. Rabah M. 09-02-2011
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Réponse de IDE
Le 09/02/2011 é 13h13
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Sidi Bel-Abbès Grève des paramédicaux 90% au niveau du CHU et 80% dans les établissements de santé Décidés de mener loin leurs revendications, les paramédicaux de Sidi Bel Abbès, à l'instar des autres wilayas, ont répondu à l'appel de leur syndicat national, d'entrer en grève illimitée et ont paralysé le CHU de Sidi Bel Abbès. Selon le représentant du bureau local du syndicat des paramédicaux, le débrayage a été suivi dans sa première journée à 90% au niveau de l'hôpital Abdelkader Hassani et 80 % au niveau des polycliniques et des établissements de santé de la wilaya. Les paramédicaux contestent le mutisme de la tutelle qui refuse d'approuver le statut particulier qui prévoit une revalorisation des salaires, et revendiquent une meilleure considération de la profession du paramédical, exigeant à ce propos la formation du personnel paramédical dans le système LMD, pour bénéficier d'une formation (Bac + 4), leur intégration dans le tableau "A" catégorie 11, le droit au stage à l'étranger pour améliorer leurs connaissances et acquérir le savoir-faire. Les paramédicaux de Sidi Bel Abbès refusent également le comportement méprisant de leurs responsables et exigent une amélioration de leurs conditions de travail. Ils se disent confrontés aux mauvais traitements de la part des patients eux-mêmes. Fatima A.
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Réponse de IDE
Le 09/02/2011 é 13h24
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ممارسو شبه الطبي يتمسكون بمواصلة الإضراب PDF طباعة إرسال إلى صديق الثلاثاء, 08 فبراير 2011 21:01 أكد غاشي لوناس رئيس النقابة الوطنية لممارسي شبه الطبي، أن نسبة الاستجابة للإضراب المفتوح الذي شرعوا فيه، أمس، وصلت 35,88 بالمائة، في 40 ولاية من مختلف مناطق الوطن، مؤكدا أن النقابة متمسكة بمواصلة الإضراب إلى غاية تحقيق المطالب التي رفعت، رغم كل التهديدات والضغوطات الممارسة على ممارسي شبه الطبي· توقف، أمس، عمال شبه الطبي عن العمل، استجابة لدعوة نقابة القطاع وشلوا مختلف المراكز والمؤسسات الاستشفائية الجامعة، عبر الوطن· وأظهرت الجولة الاستطلاعية التي قامت بها ''الجزائر نيوز'' في مختلف المستشفيات المتواجدة في الجزائر العاصمة أن الإضراب قد شل القطاع، باستثناء ضمان الحد الأدنى من الخدمة ومصالح الاستعجالات· وبالمستشفى الجامعي مصطفى باشا، اعتصم العشرات من ممارسي شبه الطبي خارج مصلحة مكافحة السرطان ''بيار وماري كوري''، حاملين لافتات تحمل شعارات ومطالب هذه الشريحة من سلك الصحة، كما عوض المضربون شارات هويتهم بشارات ''نحن في إضراب''· وأكد لنا معظم المضربين الذين التقيناهم أمام مصلحة بيار وماري كوري ''أنهم لن يتوقفوا عن الإضراب، رغم التهديدات التي أقرتها وزارة الصحة وقرار المحكمة بعدم شرعية الإضراب، مؤكدين أن مطالبهم شرعية، وأنه من الضروري تحقيق مطالبهم، وعلى رأسها الإفراج عن القانون الأساسي الذي بقي حبيسا بالأدراج منذ سنة .''2008 كما أضاف أحد ممثلي ممارسي شبه الطبي بنفس المصلحة ''إننا أبقينا على أدنى الخدمات للمرضى المتواجدين في المستشفى والحالات المستعجلة، ولكن بالنسبة إلى مواعيد المرضى الجدد، فالعمل متوقف إلى أن تتحقق كل مطالبنا بصفة رسمية''· كما تهافت العديد من المضربين علينا لنقل انشغالاتهم ومعاناتهم اليومية في المستشفيات والحديث عن الأوضاع المزرية التي كانت سببا رئيسيا في هذه الحركة الاحتجاجية· كما أثار الإضراب استياء المواطنين الذين وجدوا معظم المخابر ومختلف مصالح المستشفى متوقفة· وألغيت كل المواعيد المبرمجة· وقد كشف لنا أحد المرضى ''أن المريض سيعاني بسبب هذا الإضراب كثيرا وسيتعرض الكثير منهم للخطر، عندما يتم توقيف إجراء التحاليل في المستشفى، من أجل إجراء عملية جراحية لهم''· كما أن الكثير من المرضى سيضطرون للجوء إلى العيادات والمخابر الخاصة، بما سيكلفهم الكثير من الأموال· وأضافت مواطنة بقيت واقفة لساعات طويلة ''إن على السلطات أن تستجيب للمطالب التي رفعها ممارسو الصحة لكي لا تطول مدة الإضراب وإلا هذا سيكلف المريض حياته''· ياسمين بوعلي
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