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Statut particulier des para-medicaux en Algerie. - Page 45

Question anonyme le 22/05/2009 à 18h53
Dernière réponse le 19/09/2014 à 23h37
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Tout les articles concernant notre statut particulier
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2981 réponses pour « 
statut particulier des para-medicaux en Algerie.
 »
Réponse anonyme
Le 09/03/2011 é 22h12
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A Mr le révolté je ne sais en koi sache tadresser a tes aieuls petit fremli té la pour dire oui a tes Dr et leur dire Dr je doit faire koi ne pense pas kta BAC+3 ta atteint la lune té kun petit dans un monde de santé tres grand et a executer comme un negre les taches des medicaux sans dire non. Les toubibs toucheront 65000 DA comme salaire de Début et toi tu fera le sondage pour les vieux malgré ke cé un acte noble. Sache une chose tant que vous continuerez à executer les taches medicales nous serons tjrs les mal aimés de la santé a toi le revolté qui ne se revolte pas à chacun son metier et les vaches seront bien gardé. UN VRAI REVOLTE QUI A DES SCRUPULES POUR TOI
Référence(s) :
n
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Réponse anonyme
Le 09/03/2011 é 22h22
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AU REVOLTE NE DIT JAMAIS A TES SEMBLABLES KIL BAISSE LEUR PANTALONS . TA PAS HONTE T2 UN VRAI COCUS TOI LE FREMLI HACHA LI MA YESTAHELECH TA VRAIMENT PAS HONTE TA UN VISAGE QUI NE ROUGIT PAS. TU ME DECOIT TE PAS DE NOTRE CORPORATION CHANGE DE CORPORATION SVP ET VAS VOIR OU ILS TAXEPTERONT CHEZ NOUS TU ES BANNI. SIGN2 UN VRAI REVOLTE PAS COMME TOI
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Réponse anonyme
Le 09/03/2011 é 22h29
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AU REVOLTE JE MEXCUSE DU TERME CAR JE DOIT UN RESPECT POUR TOUT LE MONDE NTA TE MINABLE TE DE LA PROMOTION CANAPE TOI LE SOIT DISANT REVOLTE .TA PAS HONTE A TON AGE TU DIT CELA A TES COLLEGUE MAIS TU NE METOONE PAS TA AUCUN SAVOIR VIVRE NI SAVOIR FAIRE TU AIME LES SONDAGES VESICAUX POUR LES MALADES DE 40 ANS.REPECTE LES AUTRES TU SERAS RESPECTE SINON ......
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Réponse anonyme
Le 10/03/2011 é 00h38
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Alors,les infirmiers de niveau scolaire qui n'a d'égale que leur façon de répondre,vous vous déchaînez contre quelqu'un que vous ne connaissez pas. allez y .on me traitant de fermli,bande d'idiots je me suis adresser à une seule personne,pas une profession,je suis pas paramédical heureusement,je le jure.comment peut on trainer une bande d'idiots dans un sujet qui les dépasse? il suffit de rejoindre ce forum de cons.si vous courez derrière le LMD nous on le refuse ,j'espère que cet indice vous servira pour vos prochaines réponses,
Référence(s) :
le révolté
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Réponse anonyme
Le 10/03/2011 é 09h14
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Tu es alors 1 dingue(s)
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Réponse de sousouradhia
Le 10/03/2011 é 10h46
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Sincerement c est quoi cette provocation aux PM curieusement on fait des jaloux ou des revolté votre consoeure
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Réponse anonyme
Le 10/03/2011 é 14h56
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LE SILENCE EST UNE BELLE REPONSE AU IMBECILES soyez solidaire et ne reponder pas au sujets qui fait affaiblir notre solidarite VIVE LE S.A.P
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Réponse anonyme
Le 10/03/2011 é 15h07
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TU REFUSES LE LMD .TU ES DEPASSE PAR LES EVENEMENTS.LIRE LE JO N°13 DU28.02.2011 ET TU REçOIS LA REPONSE .IMBECIL.VIVE LES PARA MEDICAUX ET LE SAP.
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Réponse de santetous
Le 10/03/2011 é 18h25
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BIEN ENTTENDU LES GENTS QUI N ON AUCUN RESPECT POUR LE METIER JE LEUR CONSEIL DE QUITTER CAR ILS SE TROUVE QUE ELA PEU NUIRE A LA NOBLESSE DU METIER BREF JE DIRAI A MES COLLEGUES DU COURAGE SOIYONS COTE A COTE ET AVE NOTRE S A P EN PEU METTRE LA SANTE SUR LA BONNE DESTINATION EN SE QUI CONSENTER NOTRE TUTELLE BOF SA VIENT ET SA PART VOUS INQUIETTER PAS OK
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Réponse anonyme
Le 10/03/2011 é 18h45
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J'ai besoin du statut des para-médicaux et les anciens bacheliers ou se trouvent leur places puisqu'ils sont en pré- retraite
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Réponse anonyme
Le 10/03/2011 é 19h16
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Svp mes messieurs et mes dames de la sante surtout les para-medicaux de l'algerie faites de ce site un moyen pour expliquer aux infirmiers ce qui se passent reellemnt a alger et au ministere puisque on 'y vraiement loin des informations ou bien les lignes des journaux seulement qui nous donnent rien pour mieux comprendre ou on y donc fini ces querelles entre vous c'est honteux de les voir entrain d'ecrire n'importe quoi sur cette page
Référence(s) :
pensee
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Réponse anonyme
Le 11/03/2011 é 17h23
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Bsr sousouradhia koi de beau pour nous les PM ces derniers jours concernant notre statut et indemnites on y le 11/3/2011 deja ras le bol notre patience va depasser nos nerfs merci.........................
Référence(s) :
pensee
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Réponse anonyme
Le 11/03/2011 é 21h38
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Bsr cher collègues,il ya pas quelqu’un qui peut nous dire quelque chose de bien; comme par exemple : notre statut est prêt ou tout ce qui concerne le régime indemnitaire .
Référence(s) :
IDE
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Réponse de sousouradhia
Le 11/03/2011 é 22h36
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Loin de moi moi de vous brisé ou vous decouragé mais serieusement on a aucune suite a nos silance total on a 10jours a patienté jusqu au 22 du mois OK patientons entre temps essayons de nous raconté ou nous blagué entre-nous pour faire passé le temps de si vous voulez l accouchement a terme ensuite pronancons notre statut vous connaissez la blague de l infermiere et le prelevement bilon du vieu aller decompencé mes collegue grande BISEa vous
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Réponse anonyme
Le 12/03/2011 é 02h10
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@ pensée n'attend rien de ces couillons du SAP,la pression vient du corps des résidents qui n'appartiennent à aucun syndicat malhonnête,la meilleur blague qu'elle peut nous raconter notre chère Radia c'est sa réponse, pour une une proposition d'un syndicaliste c'est honteux,cela montre le niveau et la légereté avec laquelle ils traitent vos revendications réveiller vous n'écouter plus ces bandits.il n'ont rien fait pendant qu'on détruisait l'école paramédicale,c'était une destruction programmé,aucune revendication sociale,prime de A.B.C. etc.........il ne font qu'exécuté le programme du ministère dont le LMD,maintenant croire à l'honnêteté de vos représentants est inexcusable. A tout les défenseurs de ce sinistre syndicat question plus que légitimes qu'elles sont vos revendications concernant les indemnités.j'attends vos réponses.
Référence(s) :
anonyme
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Réponse de IDE
Le 12/03/2011 é 22h05
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Algérie : La mafia du pétrole RÉQUISITOIRE. Comment les généraux algériens ont fait main basse sur la manne pétrolière. Des contrats douteux, des sociétés fictives et un chef d’État complice. M. Sehimi Le pétrole, Dieu merci, le Maroc n’en a pas”, avait déclaré un jour Hassan II dans une fulgurance qui lui était propre. Il semble bien que posséder des ressources en hydrocarbures ne soit pas un gage de développement. A preuve tous les échecs des uns et des autres devenus pratiquement otages d’une monoproduction. Le tableau que vient de dresser Hocine Malti, l’un des anciens dirigeants de la compagnie algérienne des hydrocarbures, Sonatrach, est accablant. Qu’ont-ils donc fait de cette manne? Un demi-siècle après l’indépendance, ce qui était présenté naguère, dans les ferveurs des années soixante et soixante dix comme un modèle pour le Tiers-Monde n’est plus que l’illustration de son ratage idéologique et de son sinistre social et économique. Une véritable mafia, aux contours variables suivant les conjonctures et les rapports de force, s’est appropriée la rente pétrolière et gazière. Les clés des spasmes qui secouent le régime algérien durant les décennies écoulées avec leurs cortèges mortifères de règlements de comptes et de liquidations sont dominantes pour expliquer ce qui se passe dans ce pays. Situation d’incompétence Hocine Malti, ancien vice-président de la Sonatrach, présente dans son livre Histoire secrète du pétrole algérien (éditions La Découverte, Paris, septembre 2010) l’anatomie et la physiologie d’un système qui perdure. Le florilège des dossiers de corruption est interminable, étalé sur des décennies. On peut commencer par citer celui lié au gazoduc sous-marin Algérie–Italie. Il met en cause une filiale de l’ENI, société italienne des hydrocarbures (la SNAM Progetti) pour sa construction qui a débuté en 1978 jusqu’en 1983 puis, pour une seconde phase, entre 1991 et 1994. Fixé à 2 milliards de dollars à l’origine, ce projet va dépasser les 5,5 milliards de dollars à son achèvement. Lors d’un procès tenu en 1991, le président de l’ENI a reconnu avoir versé une commission de 32 millions de dollars à un Libyen intermédiaire de Larbi Belkheir, bras droit du président Chadli Bendjedid. Activités mafieuses Il faut y ajouter le contrat de vente de gaz Sonatrach–Gaz de France de 1982 indexé sur celui du pétrole –une mauvaise affaire pour Alger et un cadeau fait à Paris par le lobby de la Françafrique mené par le même Belkheir. Limitée à quelques cercles, la corruption se généralise. Elle se propage pour des raisons connues. La première est sans aucun doute l’inaptitude du président Chadli Bendjedid à diriger et à gérer les affaires de l’Etat, les leviers de commande lui échappant. Cette situation d’incompétence ne pouvait que profiter au sérail et à la nomenklatura militaire dont les membres percevaient des commissions sur les marchés publics. Larbi Belkheir était le parrain de cette forme de gouvernance qui permettait à une vingtaine de généraux d’infiltrer de nombreuses sociétés nationales et des organes publics ou semi-publics. C’est que la levée des monopoles d’Etat et la libéralisation du commerce extérieur et de l’économie ne pouvaient que pousser les généraux à se lancer dans l’importation par des prête-noms interposés dans des sociétés d’import-export. C’est de cette époque-là que les généraux se voient affubler, dans le secteur économique qu’ils ont respectivement accaparé, du qualificatif de “Monsieur céréales”, de “Monsieur sucre”, de “Messieurs médicaments” sans oublier celui de “Messieurs pétrole”. La famille du président et son épouse Halima ne sont évidemment pas en reste. Chacun, pour pouvoir exercer ces activités mafieuses, avait veillé à s’appuyer sur une chaîne d’hommes politiques, de fonctionnaires, de banquiers et de dirigeants d’entreprises nationales –un système intégré d’optimisation des profits et des détournements. Réseaux de corruption Ce premier cercle de complices recourait à son tour à un autre cercle d’hommes de paille de moindre acabit lesquels se retournaient vers d’autres. Comme le note Hocine Malti, «au final, des réseaux comparables à des métastases cancéreuses se sont installés dans tout le pays». Ces oligarques dominaient ainsi les sphères politique et économique: ils étaient devenus le pouvoir. Et les présidents successifs ne pouvaient que les gérer au mieux parce que ces intérêts mafieux étaient l’ossature du régime. La décennie 90 va être marquée par la guerre civile. L’assassinat de Mohamed Boudiaf, le 29 juin 1992 à Annaba, six mois à peine après son retour d’exil du Maroc, témoigne bien de la violence au sommet de l’Etat. Selon la version officielle, cet acte a été perpétré par un illuminé, membre de la garde rapprochée du président, le sous-lieutenant Lembarek Boumâarafi. Il est toujours en prison, à la suite d’un procès bâclé au terme duquel il a été condamné à mort. Il est établi aujourd’hui que l’arrêt de mort de Boudiaf a été signé lorsqu’il a lancé, en dehors de tout circuit officiel, des enquêtes sur les réseaux de corruption des généraux et sur leurs fortunes. Selon les témoignages d’officiers déserteurs, cet assassinat a bel et bien été commandité par les généraux dits “janviéristes” –allusion à l’interruption du processus électoral et à la démission forcée de Chadli Bendjedid en janvier 1992– que sont Larbi Belkheir et Khaled Nezzar, l’opération ayant été préparée par le général Smaïl Lamari, numéro deux du Département de Renseignement et de Sécurité (DRS), sous l’autorité de son supérieur hiérarchique le général Mohamed Tewfik Médiène, toujours en fonctions aujourd’hui. Il s’agissait d’éliminer ce président qui voulait les empêcher de se partager la rente pétrolière. La bataille pour le contrôle des hydrocarbures rebondit de plus belle en 1989 avec la nomination à la tête de la Sonatrach d’un homme de confiance de Larbi Belkheir, Abdelhak Bouhafs, qui restera en poste jusqu’en 1995. Durant cette période, le duo Belkheir/Médiène imposait toutes les grandes décisions à cette société. Même un Abdesselam Bélaïd, autrefois tout-puissant ministre de l’Énergie et Premier ministre de juillet 1992 à août 1993 n’arriva pas à faire prévaloir son autorité. Âpre lutte Evincé en mars 1995 par Liamine Zeroual, élu chef d’Etat en janvier 1994 après l’intermède de Ali Kafi, Abdelhak Bouhafs revient à la tête de la Sonatrach en décembre 1999, à la faveur de la présidence de Abdelaziz Bouteflika et restera en fonctions jusqu’en février 2001. C’était là un nouvel épisode de l’âpre lutte qui marquait le contrôle du secteur pétrolier. Le nouveau président fait nommer l’un de ses amis, Chakib Khelil, au ministère de l’Energie et des Mines en janvier 2000. Cet homme a fait sa carrière aux Etats-Unis comme ingénieur pétrolier puis durant vingt ans à la Banque mondiale, où il était chef du département énergétique pour l’Amérique latine. Il n’a séjourné en Algérie qu’entre 1973 et 1980, d’abord à la Sonatrach puis comme conseiller à la présidence. De nationalité américaine –même s’il s’en défend– il est considéré par l’opinion publique algérienne mais aussi par de nombreux responsables «comme un agent d’une cinquième colonne américaine, nichée au cœur du pouvoir». Il sera en tout cas le maître d’œuvre de l’ouverture à l’investissement étranger dans le secteur pétrolier –en Algérie et ailleurs– qui correspondait pleinement à la stratégie de l’administration Bush et des multinationales pétrolières d’aboutir à terme à la privatisation des industries pétrolières et au retour pratiquement des concessions des années cinquante… En Algérie, ce sera l’incroyable feuilleton de la nouvelle loi sur les hydrocarbures qui va s’étaler de 2001 à 2005. Conditions scabreuses Tous ces liens très denses tissés durant la période 2001 à 2005 entre Alger et Washington –tant dans le renseignement et la lutte antiterroriste que dans les hydrocarbures– se sont cristallisés à travers la société mixte algéro-américaine Brown & Root–Condor (BRC). Elle ne sera dissoute qu’en janvier 2007 par Bouteflika dans des conditions d’ailleurs scabreuses. Cette société avait trois actionnaires: une filiale d’ingénierie du géant américain Halliburton –cette firme pétrolière dont Dick Cheney avait été le PDG avant son accession à la vice-présidence des Etats-Unis– à hauteur de 49%, la Sonatrach (40%) et le Centre algérien de recherches nucléaires de Draria pour les 11% restants. En peu de temps, cette société a vu son chiffre d’affaires multiplié par vingt… De fait, cette société n’était pas autre chose qu’une courroie de transmission vers la société mère Kellog-Brown & Root, de réputation plutôt sulfureuse– en janvier 2010, la justice américaine l’a ainsi condamnée à payer 579 millions de dollars d’amende pour des actes de corruption au Nigéria pour des passations de marchés et des contrats de construction et d’ingénierie. Les deux sociétés, KBR et Halliburton, se sont également distinguées en Irak dans de nombreuse affaires traitées avec un chiffre d’affaires de plus de 10 milliards de dollars. En Algérie, KBR a été le bras armé de Halliburton. Précieux filon La société mixte algéro-américaine BRC s’est vu confier par la Sonatrach, ses filiales et même par le ministère de la Défense, de très nombreuses affaires d’un montant supérieur à 13,5 milliards de dollars. Elle a aussi constitué un précieux filon de collecte de renseignements pour le compte de la CIA du fait de sa présence aux premières loges des secteurs des hydrocarbures et de la défense. Elle fait enfin l’affaire de ce que l’on appelle la “mafia politico-financière” où l’on retrouve pêle-mêle des généraux, des politiques, des hommes d’affaires véreux et des personnages de l’entourage immédiat de Bouteflika dont des membres de sa propre famille. Durant la période 2001-2006, pas moins de quarante et un contrats d’un montant global de 6 milliards de dollars lui ont été attribués de gré à gré, en violation de la réglementation en vigueur. A noter que, parmi ces contrats, certains ne relevaient même pas des domaines d’activité normaux de cette entreprise, tels ceux de la construction de cinq hôpitaux pour le compte de l’armée ou d’un centre de recherches criminelles pour la gendarmerie. On peut également citer les dossiers mettant plus directement en cause les amis de Bouteflika. Tel celui de l’affaire Orascom, du nom de cette société de téléphonie mobile égyptienne de la famille Sawiris qui s’est implantée en Algérie en 1999 avec l’élection de Bouteflika à la présidence. Le directeur de sa filiale algérienne ne fut autre que Mohamed Shorafa, Palestinien d’origine, qui avait été chef du cabinet de Cheikh Zayed Ibn Sultan Al-Nahyane, émir d’Abou Dhabi –mort en 2004- et président de la Fédération des Emirats arabes unis, alors que Bouteflika en était le conseiller. Bouteflika était donc fortement redevable à cet homme pour ses largesses passées alors qu’il était en “exil”… La filiale Orascom Telecom Algérie (OTA) a réussi deux grandes opérations: 2 milliards de bénéfices dans la revente de deux cimenteries publiques à Lafarge et la sous-traitance d’un complexe d’ammoniac et d’urée à Arzew. Une autre affaire intéresse la société SAIPEM, filiale de l’ENI italienne, qui, pratiquement absente d’Algérie jusqu’en 2005, a remporté près de 20 milliards de contrats entre 2006 et 2009 (unités d’extraction de condensat, trains de liquéfaction, pose d’oléoducs et de gazoducs, pose du gazoduc sous-marin entre l’Algérie et la Sardaigne…). Règlements de comptes Une accumulation de contrats qui ne pouvait que faire réagir le clan adverse au début de 2010 avec le “scandale de la Sonatrach”. L’enquête a été menée par les services du DRS de Tewfik Médiène sur des malversations et des pots-de-vin. Elle a abouti à l’incarcération de vice-présidents et de directeurs de l’entreprise, des enfants du PDG et à la mise sous contrôle judiciaire du PDG lui-même. Veut-on rechercher la vérité? Pas le moins du monde: il ne s’agit que de règlements de comptes au sein du régime visant à conforter un rapport de force et à déstabiliser Bouteflika, dont l’entourage est compromis. Le ministre Chakib Khelil a été démis le 29 mai 2010 et remplacé par Youcef Yousfi, marquant bien par là la reprise en main par les chefs du DRS du contrôle direct du secteur des hydrocarbures. L’Algérie souffre durement de la “maladie hollandaise”, une malédiction qui tombe sur un pays par suite de la dépendance par rapport aux recettes d’hydrocarbures qui tue la viabilité du secteur productif et des autres secteurs. Hocine Malti appelle de ses vœux l’option démocratique et le droit à la parole au peuple. Avec courage et sagacité, il démonte les mécanismes d’un système qui, de toute façon, est en fin de cycle historique et qui a été le contre-modèle du développement et de la démocratie. Source : Algérie : La mafia du pétrole
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Réponse de sousouradhia
Le 13/03/2011 é 10h31
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En quoi sa nous conserne en ce moment le petrole et ta mafia dis ami on est pas entraine de faire la poletique sur ce site mé plutot c est un site des PM et de leur probleme administratif alore stp ne fous pas la zizani ne nous meles pas a ta besone de merde et delire de ta mafia et conneries de poletique
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Réponse de sousouradhia
Le 13/03/2011 é 10h50
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A Mr anonyme jusqua la preuve du contraire on se dois respects entre nous cela veux dire dardja dardja j ai bien precisé sur mon avant sms je ne veux pas vous BRISé ni vous DECOURAGé temps que rizn n est montionné sur le journal officiel ni sur ma fiche de paye je ne croirais mm pas ma mére . vous savez je sais une chose ce grand silance de la part de notre SAP ne m espere aucune confiance jusqua la preuve du contraire.on est fort entre-nous que par du balite le KHORTIdu trotoire aller mon ami soyez fort et patiente il ne reste que quelque jours a ce fameux statut de reve bise
Référence(s) :
IDE du CHU BEO
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Réponse de IDE
Le 13/03/2011 é 13h24
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تناقشها خلال اجتماعها الثلاثاء المقبل الحكومة تفصل في قرارات هامة في قطاعات متنوعة 13-03-2011 الجزائر: سامر رياض يناقش مجلس الحكومة، خلال اجتماعه الثلاثاء المقبل، حسب ما أبلغ به مسؤولو الدوائر الوزارية المعنية، جدول أعمال لقرارات وصفتها مصادرنا بـ''الهامة''، تتعلق بمجالات الصحة والتعليم العالي والاتصال والسكن. ولم تستبعد مصادر ''الخبر'' أن يتواصل الاجتماع إلى غاية يوم الأربعاء في حالة عدم إتمام المواضيع المقترحة. وفيما يتعلق بالانفتاح السياسي والتعددية، فقد شددت المصادر التي أوردت ''الخبر'' على أن ''الأمر خيار دولة ولا رجعة فيه''، وأن ''أي تصريحات في الاتجاه المعاكس لا تعبر إلا عن وجهة نظر أصحابها''، في إشارة إلى بعض التصريحات السابقة للوزراء بخصوص رفع حالة الطوارئ. أفادت نفس المصادر أن اجتماع الحكومة سيتخذ قرارات تنظيمية تتعلق بقطاع الصحة وبالتحديد دراسة المطالب المرفوعة من طرف موظفي القطاع وممثليهم، فيما يتعلق بالحقوق الاجتماعية والمهنية، التي كانت وراء دخول السلك الطبي وشبه الطبي في حركة إضرابات واحتجاجات شهدتها مؤسسات القطاع. كما سيتم التطرق بدرجة أهم لآليات تحسين الخدمات الصحية في المستشفيات والمصحات العمومية، مع اتخاذ إجراءات تحدد المسؤوليات في حالة الإهمال والعبث بصحة المواطن. بالنسبة لقطاع السكن فإن أهم ما سيناقشه الجهاز التنفيذي، إجراءات تنظيمية تخص قرارات لتوزيع السكنات الجاهزة وأخرى لاستكمال أشغال تلك التي لا تزال قيد الإنجاز، عملا بتعليمات الرئيس خلال آخر اجتماع لمجلس الوزراء، حيث حث فيه على ضرورة الإسراع في توزيع السكنات قبل موعد جوان المقبل، وعدم التقيد الميكانيكي بالإجراءات الاعتيادية في منح السكنات، كما سيتم دراسة آليات لتخفيف شروط الاستفادة من السكن الترقوي خاصة بالنسبة لحديثي الزواج. وفيما يتعلق بقطاع التعليم العالي المهدد بسنة جامعية بيضاء، فسيطرح على طاولة النقاش ما يشد انتباه الطلبة وممثليهم وممثلي الأساتذة لتوفير الجو المناسب لمنح كل فئة في القطاع حقها ومعادلة الامتيازات التي يتمتع بها كل نظام بيداغوجي، مع الأخذ بعين الاعتبار خصوصية كل نظام بيداغوجي، كلاسيكيا كان أم نظاما حديث الاعتماد، بما يتماشى مع تقارير اللجان التي أمر الرئيس بإنشائها لدراسة آلياتها التطبيقية. وبخصوص قطاع الاتصال فإن الموضوع الذي لا يزال قيد الدراسة، في انتظار الانتهاء من سن النصوص التنظيمية ودفتر الأعباء، فيتعلق بإعادة هيكلة المؤسسة الوطنية للتلفزيون التي ستتحول إلى مجمّع، مثلما أشارت إليه ''الخبر'' في عدد سابق حول جدول أعمال مجلس الوزراء الأخير.
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Réponse de IDE
Le 13/03/2011 é 13h31
[ ! ]
Salut a sousouradhia avec tout le respect que je vous doit autant que consoeur la lecture ne fait de mal a personne et si vous n'avais pas une idée sur le système qui vous gouverne comment vous pouvez soustraire vos revendications ne soyer pas dupe
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