Monsieur le Procureur de la République
Je ne voulais pas déranger la justice, en tentant se passe par les mesures administratives, mais le rapport définitif de la CRCI, que j'ai viens recevoir, ne me laissent pas tranquille.
14 mai 2011 mon pere Koudelin Fedor a décède dans l'hôpital de Neuville sur Saone âpres 3 semaines de son séjour, quels il a passe pour la convalescence suite l'opération sur la prostate.
J'ai la carte médicale de son séjour dans la convalescence, j'ai le rapport de chirurgien, qui a fait cette opération, j'ai deux rapport de la CRCI, quels, tangiblement ne répond pas sur la question de la cause du décès. L'expert gériatrique paradoxalement sans accepter et expliquer aucune ma contestation raisonnable, tout de mémé se concentré sur les 95 ans de mon père. Au cours de la polémique dans la commission cet expert comme la cause du décès a prononcé le probleme pulmonaire en disant que il y a une radio, qui prouve ça. Quand, plus tard j'ai demandé a l'hôpital me fournir ce radio il s'avère, que il n'y a pas de radio et dans la réunion suivante il était prononce déjà une fausse route quelle était soigne, d'apres le rapport médical une semaine avant la décès.
Que t'est-il me parait suspect et ne colle pas avec la logique:
A ce issue dramatique il n'y a pas la cause tangible du décès et le seul raisonnement qui traverse toutes rapports est ces 95 ans et les maladies avec lesquels il ait vécu des dizaines années. Il n'y a aucun mot, parmi tous bien emballé dans le rapport, avec les mentions des articles sérieuses, qui tiennent la route, si on analyse mémé le dossier médical de son séjour dans cet hôpital, auquel je n'a pas de grande confiance parce que je ne vois pas quoi le prouve. Il n'y a pas ni enregistrement vidéo des patients en temps réel, ni enregistrements électroniques des paramètres, ni l'autopsie faite âpres son décès avec la précipitation se débarrasser du corps dans la morgue, ou pour moi faire la demande d'autopsie était plus problématique.
Bien au contraire, même ce dossier médical contient les contradiction inexplicables comme les analyses du sang avec les indices en norme faits un jours avant son décès, non mesures du tension artérielle pendant quatre jours affile avant son décès, quand ont pointe comme une des causes du décès, son coeur. D'âpres tout se qui était écrits dans les rapports, le décès est survenue, en toute évidence, a cause d'une rupture des voies respiratoires, mais âpres que ils lui administrait l'oxygène, rien n'était en toute urgence fait pour traiter la cause, qui était dans l'origine de cette rupture, pas d'appel des médecins spécialisé. Le dernier petit moment suspect est la disparition de ça propre serviette, qui était a cote de lui jusqu au jour de la veille du décès, l'hôpital nous rendue les autres serviettes. Ce qui me parait en plus suspect dans cette histoire est le fait que le médecin traitant depuis le premier jour répétait, que il va mal, quand l'operation se passé, d'âpres le rapport de chirurgien, bien, il a supporte l'intervention chirurgicale avec l'anesthésie, d'âpres le rapport de la Clinique Charcot, satisfaisant, au début il était dans l'état d'être capable marcher lui même, parler, il avait chez Charcot un bon appétit et mémé il a tenté se échapper de cet hôpital par le balcon. Ils points sur son état précaire et ils ne veut pas prendre au conte, que il est arrive pour la convalescence âpres l'operation sur la prostate, mais la plupart des médicament lui administré était les tranquillisants, qui ont les effets secondaires justement la précarisation d'état du patient, sans avoir ajouter que ils n'ont pas ressui lui donner pendant trois semaines a manger la nourriture au quel il se habitué et comment il se habitué, malgré que j'ai écris tout ça dans la lettre d'accompagnement, quelle, d'ailleurs, n'a pas était transfère a l'hôpital, et tout ça dans son age. On peut imaginer a quoi il est arrivé rassembler au bout de la troisième semaine. L'hôpital de convalescence se plainent que mon pere parle français mal, mais comment, dans ce cas on réussis garder les patients dans la comas des années et lui, il n'était pas dans la comas. Ma mère trois fois se rendu dans l'hôpital et ce fait n'était pas utilise pour connaitre les causes des difficultés et il a décédè sans manger pendant ces trois semaines.
Respectueusement Alexandre Koudelin
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