J'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ? - Page 10

Ma ma mère comme la compote... à la criée comme le poisson... "Il n'y a point d'absurdités qui n'ait été soutenue par quelque philosophe." Cicéron. "La plus perdue de toutes les journées est celle ou l'on na pas ri. Chamfort. "Pour ménager diverses susceptibilités, nous avions cru nécessaire de ne point révéler le mystère des amours et de la reproduction de l'omnibus. Disons seulement que ce phénomène suit le même processus que la reproduction de certaines plantes, dont le pollen est transporté de l'une à l'autre par les insectes qui ont pénétré dans l'intérieur. Oui, dussions-nous forcer les "voyageurs" , ainsi nommés par euphémisme, à rougir du rôle peu honorable auxquels ils se prêtent : les omnibus se reproduisent par correspondance." Alfred Jarry. "Or donc, si je comprends bien, vous faites, et vous savez pourquoi vous faites, mais vous ne savez pas pourquoi vous savez que vous savez ce que vous faites ?" Umberto eco. "L'ironie est un jeu d'esprit, L'humour serait plutôt un jeu de cœur, un jeu de sensibilité." Jules Renards. Ah! la bibliothèque du monde... écrire avec les mots des autres, n’empêche pas de réfléchir par soi même. Plus ça va, plus nous dérivons vers la métaphysique. Comme si être plus ou moins intelligent de quoi que ce soit nous oblige à être sage? Mais à ce que je sache, chacun de nous a l'électricité, un compte en banque et qui plus est une liaison internet. "Je puis être parfaitement heureux tout seul. Avec la liberté, des fleurs, des livres et la lune, qui ne serait pas parfaitement heureux ?" Oscar Wilde.

Une trivialité dite sur le cryptage de César aussi simplé qu'il fut, permet de la rendre digestible on a presque l'impression que c'est profond, comme à écouter une.blague dans un autre langage , pourquoi cela vous fait il rire ? Plus de mal a y avoir acess, vous sentez l'absurdité plus difficilement, le rire témoigne de votre nouveau territoire conquis. Mais arrêtez de vous plaindre en bon francais, le tueur en serie ne se prend pas au serieux, il en rit presque trop. Vous êtes un artiste homo genius à en perdre le fil de votre littérature presque trop classique même avec des singes qui meurt entre deux refregirateurs, toujours à condamner sérieusement le sérieux. N'êtes vous pas un rescapé du débat qui finalement se cache derrière une forêt de fantasies, poete, un booquin pour une idée, à en apprécier le decor plus que l'argument. Non mon glaive d'ideé ne saurait vous atteindre, si ce n'est un bout de votre tignasse entre deux conniferes, dieu vous a t il appris à grimper pour s'éviter au prédateur que vous êtes à vous même. N'êtes vous pas conscient de vos lecteur, que vous leur inculquer soumission bienveillante, aux quelques penseurs infortuné ici, vous leur confesser cette répugnante larve heureuse, qui mieux qu'à l'insoumission du maladroit se veut prestigieuse de son incubation normative. Homo genius vous vous sentez heureux ? Le bonheur m'sieur est le contraire de l'intelligence. L'intelligence se veut tomber pour marcher mieux, le bonheur se satisfait de ramper, oh dieu merci je ressens la terre a ne pas s'opposer à sa gravité et me rouler de mon corps au gré des montagnes , il m'arrive même à me mouiller dans une rivière au bas de celles ci, alors plutôt que de me noyer je nage, je suis un heureux courageux finalement ? Prêt à mourir en paix, j'ai vaincu la mort en l'ignorant, l'enfer c'est les autre il a dit l'autre, mais c'est parce que la mort c'est les autres, moi je suis éternel vivant heureux, satisfait du peu j'en fais beaucoup trop, jusqu'à ma bienveillance que je vous vomi. Je vous demande, pourquoi n'etes vous pas capable d'être satisfait du rien vers le tout plus que du peu à travestir en trop. C'est homotethie plus que transformation inconforme. Regardons aux alentours, oui sa se tape dessus, soyons violent, et heureux de ne pas en être , non ! Ne pensons pas l'humain, ces insectes n'ont rien en commun avec ma civilisée bonté. Marx il a dit les avantagés deviennent plus fort et pis si ils le font pas ils se font bouffer par moin scrupuleux . Jusqu'a ce que les esclaves se révoltes et tour s'effondre . Reveilles toi mon gars le capitalism c'est l'exploitation de l'homme par l'homme, le communisme c'est le contraire. Mais mieu, attendez, le fortuit vous a fait siège confortable au point que vous reprimendez toute idée conquérante de vos dogmes. Ou est le mérite indépendant et absolue, ou est la sélection qui le parle ? Intelligence maladroite ? Savez vous encore ce qu'est d'être en bas et même disons le mauvais à se sentir bon de sa survie ? Pense y t on a être bon d'ailleurs lorsque l'on s'efforce de ne pas mourir trop vite. À sauvez sa peau de la guillotine, on en a pas eu le temps de comprendre l'essence de la pensée humain. Les plus grand escroc n'ont pas été pris, les plus grand penseurs n'ont pas eut l'occasion de s'exprimer pour qu'on les cité. Chapitre 4 : révolution , évolution ? Juste une question de rrrrrrrrrrage L'évolution est la différence qui face àl'environnement changeant devient efficace au point d'en satisfaire mieux sa possibilité de reproduction. La révolution, c'est juste entre nous, on va pas se traiter de chien , c'est que de notre espèce. L'idée est simple imaginez que nous voulons tous la même chose , mais c'est pas les trentes glorieuses, ya pas trop de filles pour un garcon. Du coup, étant bien programmé, on se tape dessus humainement pour grater le dernier bout de gateau, les autres meurt de fin. La sélection à fait du monsieur de 2m et 130 kilo faisant des autres des quilles avoir eut sa part, il surviva. Et ses enfants furent tous come celui ci, au point que plus qu'être imposant il valait mieux sauter au dessus de tout le monde et prendre sa part, nous somme devenus intelligents. l'ultime intelligence se veut concquerir l'univers et se satisfait d'elle même, mais comprenez le l'erreur est humaine. De fait voyant la troupe s'acharnant du bout de gateaux , l'homogenius mieux que rejoindre la baston, il place un tabouret et cria : ce sont toujours les grands de 2m nous ecrasant qui obtienne finalement le gâteau , ils sont peu nombreux , neutraliser les tous, et partageons le gâteau à ce qu'ils nous extirpent par leur différences. Ce fut la révolution , on élimina tous les grand singes, mais au lieu que le gâteau fut partager équitablement, ces messieurs sur leur tabourets eut oublié de partager , faisant de la grandeur physique une grandeur de manipulation de masse. Des lors les sournois furent les plus fort, les plus intelligents maladroit reignant en maître comme si autrui fut animal. Qui suis-je pour le refuser , m'efforcant de survivre à la misère, je me suis investit à la pensée plus que de conquérir domination d'autrui j'ai investit l'univers. Le nez de clown est fait de ce qui fait la bougie et nous réchauffe dans la jungle societale I want to live the perfect life," he was said to have told reporters at his graduation. "The only way to live the perfect life is to live it in seclusion. I have always hated crowds." Sidis

Il surviva... Jusqu'à la faim. Cher machin, très cher truc, le déguisisme est par foie utile. Si, si je vous l'à sûr. Vous supputez le Piré là ou l’Athènes tumeur. Je vous ais compris Monsieur Bounty. J'ai bien esgourdis, vostre scrypturation polyvalente et vos propositions révolutionnistes. L'allusion à Carlos Marxa est touti quanti. N'oublions pas que la gestion du jour est: "j'ai 160 et que dois je panser?" Continuez de vous savoir en vie, c'est déjà bien. Quand à moi? Je survécrais en corps un peu, parce temps de choses à faire qu'on se demande "comment affute t'on un couteau!" Et comme celui qui n'a jamais eut à se frotter à la pèche aux gros ne peut choisir la pierre Sysiphale, je vous souhaite une vie heureuse, pleine de combat de toute sorte et de retour auprès du repos héroïque, contre l'injustice et la misère qui traîne par terre. Du ménage, et toujours du ménage... Tel est ma devise. Une éponge à la main et dans l'autre, un fichu chiffon pour astiquer les cuivres. Et si nous sommes nos outils (ça c'est bien une proposition réversible par temps de pluie acide!)... Profitons en pour nous astiquer l'humeur! Le pensement est autogratifiant. ça n’empêche pas l'ampoule d'avoir quelques flash! C'est déjà ça. Si je vous ennuie un peu avec mes ingénues flexions, en vous reprenant souvent sur le sérieux du pot pro, C'est que voyez vous? J'ai peur pour vous... Si, si c'est vrai. Peur que vous tombiez dans le trou des extrémismes de la catéchèse et que vous manipuliez des dogmes sans culasse. L’escopette à tromblon ratisse large avec sa grenaille. Mais le tir manque de précision! C'est une manie chez moi. Un us et non un costume trois pièce pour aller au bureau... Du temps ou encore petit, je m'engageais dans la légion sénégalaise des va-nus-pieds. On me le reprocha si souvent que main courante oblige, je tire désormais à vue sur l'utilitaire des patatoïdes "physico- légaux". Et vous me vexer de croire que je crois que vous croyez que je crois... Ah! Monsieur bidule, lire entre les lignes c'est comme étudier les commentaires: les apparences dans la plupart des cas, sont à peine plus qu'un dixième de la masse globale... Et oui le pseudo scientifisme aussi y repasse! (comme les bouchée à la vapeur!) De grâce allez vous promener! Faites quelques chose! De la broderie, du tricot, du coloriage... C'est très à la mode. Sortez écouter les petits zosios. Regardez les fleurs parce qu'à se prendre au sérieux, on trouve toujours une raison pour les mettre dans le jardin. "Qui s'aime le vent fait de la trompette!" Le garde champêtre... Et vous savez que je sais que vous savez que je sais que vous savez... Rien d'autre à dire? Ah oui! j'aimerais bien, dans le meilleur des cas, ne pas être une simple opposition du genre punchingball. L'anarchisme n'est pas la manière de vider une poubelle en la renversant par terre. Quand à la révolution, elle suppose de savoir d'où on part pour savoir y revenir! C'est pas de moi! Dommage... Ah non c'est très bien ainsi... "Jouons à déterrer les morts!" Vous conseille la lecture des mémoires d'Alexandre Marius Jacob: Vous me direz encore que ce n'est pas le manque de courant d'air qui m'étouffe! Mais ceci pourra vous donner l'envie, vu vos propos d'aller rechercher le reste: "C'est alors que j'ai compris toute la puissance morale de ce préjugé: Se croire vertueux et intègre parce qu'on est esclave." sur ce, je vous laisse j'ai plein de chose à faire! Et j'ose le dire aussi à mes pires ennemis parce que ça les "escagasse"! Bien amicalement, UAQVVDB. Ais je été clerc?...

Vous m'avez eu, gotché, je tends vers l'extrémisme, intégriste de la variable de x, homo genius eteignez votre télé quand vous dormez ou changer de chaînes, laissez vous a quelques sensualité revantes, pourquoi pas ? Vos métaphores n'en serait que plus pénétrante. La psychiatrie, ma foie, voudrait elle plutôt m'asperger sans que j'eu un jeu de mot à dire avant d'en être condamné de son traitement, les super qi ne sont pas à panser m'sieur si ce n'est les blessure qu'ils peuvent se faire à eux même à.vous écouter , à vouloir le bonheur que vous leur souhaiter, c'est quoi le crédo au fait ? À nous vouloir du bonheur sans vous considérer comme absolue, même un idiot n'y croirait pas de votre religion, 1,2,3, doigt. Ç'est une cantine qui rhymne.si l'idiot y eut cru quel dommage, pas demain qu'on va marcher sur Mars. Anarchisme est prose ideal sans investissement penser de demi habile, le changement à en substituer la douleur , la confusion du meilleurs ? Allez un pansement de votre menton à votre front, msieu, laissez vous être heureux, cessez vos inepties d'un bonheur que vous méritez, soyez 1, positif jusqu'à la convergence vers la tragique nullité de votre nihilisme. Respirez un bon coup non pour crier mais juste une dernière boufée, ferme les yeux Dr bounty avec son scalpel va prendre ton poul, oui désolé.. vous êtes atteind d'un cancer de la poésie , il vous reste 6 mois avant que cela n'envahisse votre âme tout entière, mets ta stase au bonheur et au bien. Je vous prescris cependant un anti vomitif de vérité, mais ya des effets secondaires certain s'en viennent à démultiplier leur jugement moraux, le Jésus syndrome , à se croire bon quitte à le dire, quite à crier, il parle d'amour et de bienveillance. Au cas où cela vous arriverez, j'ai quelque pillules : un zeste de rébellion , une cuilleré d'ethanol et une fourchette d'un peu d'huile de mal pour vous détacher de la moral et votre excess de bien . Enfin de la vitamine Z, pour que le zoro que vous etes n'en fissent pas à intelligemment à vouloir convertir les subjugués de votre autorité, pire évolution de votre maladie msieu. Chapitre 5: le bien , l'autorité, la maladresse Qu'il eu cru, ayez l'air bon et on vous donne le bâton. À supporter votre bienveillance n'êtes vous pas à réunir vos troupes , ça s'accumule autour de vos dire , vous ne comprenez pas ? C'est ce bien pensant , ils se jettes leur espoir de changement à vos pied, maintenant vous devez combatre pour eux, c'est de votre legimiter, votre fidélité de votre peuple qui fut (de levure ?) de vous ce roi. Après deux trois pas sur le tapis de sang, vous allez vous y faire , tournez le gouvernail tant qu'il y a de la.cascade, le battaillon aimera l'adrénaline commune qu'il en ressentent de votre gouvernance. Oh glorieux singe, vous êtes si bon , si vous n'aviez organiser guerre, nous nous entre tuerions pour de quelques désire à être maladroit, avec vous , bon homme , puis je vous confondre de Dieu, votre torpeur nous calme, nous n'avons jamais eut autant d'amitié depuis que vous nous offriére guerre, une cible à taper plutôt que s'autodestruire de notre culture. Monsieur le sage qui doit on sacrifier maintenant ? La paix ne saurait durer sans que vous soyez bon à nous divertir de nous entretuer chef.

Ah c'est mieux! Bientôt je vous comprendrais parfaitement... Justement je viens d'ouvrir la fenêtre! Qui l'eut cru? (L'amer Michel bouffa son tchat?) J'ai pas la télé... Oh zut encore loupé. Alors, le révolté enquête sur l'ile déserte. Il trouve un crâne et conclue comme au Cluedo qu'il y a eu meurtre ou suicide. Ah non! Maladie de Foix: Cirrhose verbale. Z'avez pas marre de vous tromper sur les gens vous? Chapitre 6: Ou le type qui dit qu'y est lâche la souris et les feuilletons du genre les experts à Miami! L'histoire d'un omo-génie machine avalée qui perda son temps à écrire à plus kron que lui pour la raison qu'il voulait le convaincre que le nihilisme était une voie qui n'en était pas une en disant le contraire. Bounty c'est pas la barre à la noix de coco... Imbécile que je suis, j'aurais dû mettre les références! ça fait plus sérieux quand on cite ses références, Monsieur Fletcher... Je présumais de vous, c'était un compliment. Mettrais je "c'est tout", pour terminer l'arime à deux balles? Panpan! Un zeste de rébellion? Ah vous en êtes un beau! Et vous en avez dans le citron. L'huile de mal? ça renvoie à l'huile d'avocat non? Parait que c'est bon pour les vieilles peaux comme le concombre. Et puis après, c'est quoi l'accusation? Ah non! Avant l'éthanol. ça s'appelle de l'alcool à brûler si je ne me plante pas? La formule chimique? Si ,c'est pour ça que la cire ose. ça décape le vers nie. un tout petit peu en plus et vous me faites une assiette à dorer. Il manquera le fiel de bauf! Mais sérieusement, savez vous prendre des risques en dehors de pianoter des "heurts" durant sur votre clavier? Ah non reconnaissance vocale? C'est ça les fautes et le reste avec! Rassurez vous j'ai eu le même problème... Un jour! Et puis que voulez vous on apprend... Du moins quand on veut. J'avais mis; C'est quoi la question du jour déjà? "J'ai 160 et que dois je panser?" Si moi j'y vois clair dans vos paragraphes (et oui et oui!) ça vous étonne? Je vous reproche seulement le fait que d'autres pourrait se faire avoir en pensant que vous êtes compliqué? Et là je m'abaisse encore à essayer de vous dire de ne pas jouer avec les allumettes! Vous allez foutre le feu à votre barbe postiche! Mais je sens, oh oui! je sens chez vous une certaines amertume n'est ce pas? Ne bougez pas je suis avec vous, dans votre corps. Non que dis je? Dans votre cerveau astral! Oui c'est ça. Vous n'avez pas eu de chance jusqu'ici. Ah je le lis dans ma boule enfumée. Y a pas de fumée sans feu n'est ce pas? Comme on dit par chez nous. Vous souffrez d'incompréhension. Je sens, je sens, dans votre passé pas très loin, peut être juste derrière vous une ombre... Oui une ombre. De la violence aussi! Vous avez souffert... peut être souffrez vous encore? Ah mais soudain mon songe s’obscurcit. Concentrez vous s'il vous plait! Ah ça revient... Je vois, je vois non je ressens, un rejet! Ah non pitié pas lui? Aleyster si tu es avec nous frappe deux coup! Il n'a pas frappé. C'est Napoléon du retour d'exile. Oh Sainte Hélène priez pour nous... Je vois un chiffre enfin, trois... Non Thésé vous Ariane vous m'embrouillez avec vos histoires de labyrinthe. Ah désolé je suis fatigué oui pour tout vous dire un peu lasse. Le contact avec les supérieurs de mon ordre me fatigue toujours un peu. La séance est finie... Mais je donne des courts, jamais très long... La séance reprendra demain si vous le voulez bien, Car mon couroucou, aie, aie, aie! Pépito! UAQVVDB.

Le labrytinth aussi longtemps que vous l'avez parcouru, vous n'avez jamais volé à en avoir une vision de loin le faisant petit, le faisant simple. Non vous tapez les murs, msieu, c'est bien , d'ailleurs vous m'avez survécu vous êtres surement très intelligent, à trop répondre vous n'osez pas le silence, brillant chef, les poches pleines de répondant . Quand est il des idées ? L'homogenius je vous ai donné une nouvelle façon d'appréhender la moral, l'intelligence, une théorie pour faire petite la question de cette pyramide , pas de copyright c'est pour les radin. Si tu le fais pas jformalise ça dans deux ans. Merci du débat , là j'dois aller à l'hosto Epilogue :

Ah zut: Espère pas grave autrement qu'un trouble de l'intelligence! On y survie tant qu'on n'y meure pas trop jeune. Et puis quoi? Mourir c'est une perte de temps... Il y a tellement de choses à faire. Reposez vous bien! Mettez tout ça au clair, ça en vaut la peine... On croise tellement de "normativisme" qui imposent les deux SS d'essentialité comme d'autres font de la fumée avec de l'encens, se proposant à la prêtrise sans avoir la mystique... Quand à mes corrections? Qui aime bien châtie bien! Quand au labyrinthe... Lequel voulez vous? Tiens, celui des mots! Celui ci croisera l'univers du dessus. Le langage est une illusion bien confortable pour l'esprit. Il croit ce qu'il peut croire et entendre ce qu'il veut entendre. Aussi dans la plupart des cas (entre 60 et 80%), il ne sert qu'a nous conforter de nous même. Le langage en fait, est une croyance qui s'exprime dans son dogme d'origine: La capacité des hommes à définir le monde! Mais lorsque nous ne sommes pas en capacité de comprendre l'académie pour lui parler, nous sommes soit pédant comme parfois (et jouer avec) ou bien ridicule aux yeux des autres qui croient ne pas l'être. "Le mot est un galet usé, qui s' applique à trente-six nuances d' affectivité." "Je me suis forcé à me contredire pour éviter de me conformer à mon propre goût." Les deux d'un des meilleurs joueur d'échec du vingtième siècle: Marcel Duchamp. Si le mot est un mur, alors il doit encadrer la fenêtre et au mieux la porte. Sinon c'est de la maçonnerie et du carrelage dans une salle de bain sans eau courante! Voilà pourquoi je me suis permis de vous tirer les oreilles! Travaillez et ne vous laissez pas submerger par vos émotions. Soyez "plusieurs" en permanence et au moins deux à l'intérieur, à admettre qu'il y en ait 7 milliards et des brouettes. Si, si. Et le seul moyen d'avoir raison c'est de ne plus en avoir ni de l'un ni de l'autre. Bon repos... Oh, charmant prophète! UAQVVDB.

Mais oh mais ! Viens me traiter de prophète toi, je sus que ça allait tomber, moi je fais des theories, j'ai jamais demandé que les autres y croient, ok comme ça vous le savez. C'est l'hôpital qui se fou des hopital un truc de fou. Jm'en fou d'ailleurs, jvoulais un prologue qui tape à la nocturne de silence, un petit peu à la diagonale, tu comprends c'est pas du foutre bien caré à vous le carer, ya des idée bien quadraturées. Jme suis efforcé à me contredire pour pour m'éviter de me conforter à votre dégout ? Attends, attendez à tenter de vous attendrir, attention , c'est attentat de la tension à vous sustenter du tattant temps que j'en eu fini. j' vais fou faire une quatrième de couverture msieu. Ce livre n'est pas une correction , une erreur incorrigible quitte à perdre le temps avant d'espérer mourir trop vite d'etre intelligemment troublé. Oh norme en cloche de ta seconde tu dérive nullement, mais t'es cloche cloche ou quoi à apeler platitute l'exception de ce que tu mesures comme mieux ? Les statitisque sont fait de considér l'essentiel la tendance , toi tu leur en décoché des écart type d'une maladie à comprendre come un don de pathos logic ? Vous aimez les maux, d'un emeu par quelques mot, votre roue mot-riche vos riche vocabulations, pourquoi n'en pas danser d'attaque et de danger aussi, vous avez compris le mes sage j'inceste, Mon divin Jésus qui se veut pere à vous suggérer de combler quelques vide de votre épilogue qui fait combe de mon nez rouge. N'est il pas censer grossir le trait à en avoir la coluche. S'coté accident de l'intelligence à se vouloir conquérante à rire des béquilles de la plus communément respectées , leure de leur apparence, c'est pas l'heure du débat après l'horeur du bonheur que je vous fais peur. Ça s'en voudrait presque fêteur, d'un peu de froideur. Vous avez bien compris la méta fort, j'vais un peu à l'hosto parce que je suis pas si phore. Mais t'inquiète ta grand mère a fini par se taire sous terre , moi j'investirai le terrain plus terriblement d'un permanent rythme ternaine, si si si, pour vous rappeler qu'a mal s'en fait d'être bon, autant qu'il est bon d'être mauvais , relisez vraiment l'homogenius , transcender moral , la peur dans le cendrier, l'essence du mouvement à ne pas trop le crier et vous y serez. Au fait quelle ironie, le charme est ce qui justifie que le tyrannie ait pu s'accomplir à vos acomptes. Le charme , pour la même raison que vous pouvez en regarder, ca se joue de quelques de vos instincs. Non, ça, prend l'extincteur, en bon secteateur.

De la charité... Roue de ce court... Dans son coffre arrière... J'ai su... l'horreur de l'aurore... Miradors... Secte à tord. Silence dans le vide. Pas le peine de hurler! C'est l'avantage de l'écrit de tictaquer sur les tsunamis internes. Faites pas d'andouilleries puisqu'il faut qu'on parle polie, par déception... ça n'en vaut pas la peine. essence, cendrier extincteur... Le glas des enterrements sauvages ne sonne que pour les oubliés. N'oubliez pas! La guerre est une s...perie et la violence aussi. Cesser de confondre l'instinct de prédation avec une raison de ne pas vivre. Et pas même une raison de vivre. Bon courage et bon repos, il y a encore l'incertitude entre la théorie, la spéculation et la pratique à traiter. Le cortex c'est deux mètres carré quand l'étale en carpette: C'est tout! Attention danger! Calmez vous... UAQVVD bien Je serais le premier à le lire votre

Parce qu'on est pas si nombreux à s'en rapprocher de ce que notre investissement et notre avantage nous le permet. Farce que de quelques bon courant qui s'accorde cela peut briller. Un bijou de valeur son audace d'aller plus loin que ce que récompense ou considération d'autrui en est futile. Parce que ce n'est plus que question d'oser à un pas du précipice de l'autodestruction. Votre expiration. Vous le sentez non ? Home genius vous êtes mutation du pas en avant, allez y, mettez moral à bas peu importe , votre danse est belle si vous y allez, vous êtes les plus proche de la réussir pour ce que l'humanité en devienne plus forte. Rien a taper d'être considérer bob Marley de la paix. Non besoin de fumer pour y sauter. Danser, danser , faites des étoiles une lampe torche se voulant vous ressembler soleil, non de domination des autres juste de quelques pas dans l'avancée de ce que les autres en sont aveugles, allez y homegenius n'ayez pas peur de quelque savate à vos différences , n'ayez pas peur d'être Jésus ou Satan tant que vous avancez, mettez à contribution votre côté Tesla, la solitude que vous craignez n'ai que force du mouvement de votre plume dont les écho vont raisonner au travers de notre espèce comme conquête éhontée de l'univers , un brillant pas de petit singe au travers du brouillard de ce que certain appelle divinité , n'osant s'y essayer, s'efforçant d'y contempler. Non la pathologie freine, la folie dirige, surmonter autrui en les dépassant de vos grande jambes, accepter autrui de leur grand bras que vous n'avez pas, mais surmontez vous de ce que vous pourriez craindre de devenir. Non c'est beauté de difference , que de faire quelques pas dans le noir quitte à souffrir de quelques murs, vous apprenez à marcher . Maintenant courez, sautez, dansez avant que votre respiration n'expire. Ecrivez, conjecturer, faite nous ressentir ce que vous nous cacher de notre peur, nous allons en faire au moins religion de vos inédit résultat. Et puis quoi ? De toute façon les autres se tapent dessus pour moins bien construit, à quoi bon s'y faire ? Avancez , grâce à vous conquérant nous y survivront mieux , l'univers qui se fiche de bonté nous impose sa logique, guerre d'y survivre.

La critique, le doute, la pensée, la rigueur quand c'est necessaire, c'est ça le plus ultime du bien. Faîtes des mathématiques et des ouvrages de philosophie homo genius car c'est là que vous brillerez. Je m'en vais, je m'en vais, à bientôt

Cher UAQVVDB, notre ami qui nous veut du bien et vous m'avez inspiré. Je ne vous cache as que je serais fort intéressé d'approfondir le sujet de l'anatman avec vous. En ce qui concerne la société des animaux. J'estime qu'il y a une légitimité à l'envisager. Dans une réflexion eudémonique, il y a du sens à la considérer. L'argument de la possibilité d'existence étant suffisant pour la tenir comme alternative valable au modèle actuel dont nous disposons. Cependant, mon esprit peut-être trop étroit me dit qu'une telle société ne serait que la succédanée de celle des hommes. Possible mais insuffisante car non idéal. Bien que je ne puis en aucun cas qualifié de vésanie une telle volonté de se soustraire à la compagnie humaine pour celle d'animaux, je ne puis non plus le recommander. N'étant pas moi-même atteint de vésanie pour m'abuser moi-même et croire que la société des hommes est idéal, je ne puis cependant oublié qu'elle a le potentiel requis pour le devenir un jour ( arrivé là, l'on peut indubitablement me diagnostiquer d' utopisme aggravé). Peut-être serait-il plus juste de dire qu'elle a depuis sa création les critères pour l’être. Suffisant mais pas souhaitable, voilà comment je qualifierais la vie commune avec des animaux. Il ne m'est guère difficile de trouver des arguments favorables à une telle existence qui serait l'expression d'une volition des plus importantes. Après tout, dans une telle société, il n'y aurait que les ânes qui diraient des âneries et nous en serions tous satisfaits. Ceci étant, mon indolence naturel me rappel quel labeur une telle existence requiert car alors il faudrait usé de pantomimes et se résoudre à se soumettre à des règles de vie très. fastidieuse. Loin de moi de vouloir faire preuve d'outrecuidance, une sorte d’appréhension me vient car étant un mutant parmi mes semblables, je me demande quel genre d’être je serai parmi des semblables qui le sont un peu moins. De part sa nature, la société exige que certains comportements, certaines caractéristiques soient galvaudés quitte à tombés en désuétude en faveur d'autres jugés plus à propos dans l'environnement et surtout le modèle organisationnel dans lequel on évolue. Une question pertinente serait de celle de se demander qui s'est arroger le droit d'établir ce que devrait être une société? Quoi qu'il en soit, je crois personnellement que le fer aiguise le fer et que l'homme aiguise l'homme. Non pas qu'il soit le seul à pouvoir le faire, mais disons simplement qu'il est le plus qualifié. En effet, avec qui pourrais-je raisonner, articuler ma pensée, utiliser le mots que j'aime tant? Peut-être devrions espérer les promesses que la bible nous fait dans le livre d'Esaie en ce qui concerne l'entente et la cohabitation parfaite des hommes et des animaux. En somme, cela revient simplement à décider de quelles caractéristiques nous souhaitons user quotidiennement afin de vivre conformément à la société choisie. La pensée a une caractéristique commune avec l'esprit, son ubiquité. Sans plus chicaner en vain, je vous laisse avec le plaisir de vous lire messieurs dames Bien à vous, A M A

Cher AMA, Peu de temps à vous consacrer aujourd'hui... Concernant la notion d'anatman, elle découle d'une pure logique phénoménale: Lorsque nous constatons que tout est "connecté" comme on dit maintenant, rien n'a d'existence propre. Ainsi le petit exemple de l'ego du genre cogito ergo sum, tombe aussi vite qu'il s'est mis en place dans notre culture. Combien sommes nous? à la mesure de nos sciences nous pourrions simplement considéré que nous sommes, chacun, des organismes multicellulaires. Ce qui nous renvoie à la notion de vie sociale. Que l'ensemble de ce que nous pensons ou croyons penser est issue d'une pensée complexe et impersonnelle, ressemblant étrangement à une concrétion par goutte à goutte... Quand à la question du libre arbitre, elle suppose d'admettre une possibilité réelle de faire un choix. Hors lucidement nous nous apercevons par l'expérience que la liberté de choix est totalement conditionné par l'ensemble des phénomènes. Le plus simple exemple qu'on puisse en donner fut cette étude de chercheurs ayant réussi à quantifier la perte d'énergie en concentration des "travailleurs" par la simple envie de pisser! Qu'est ce que la société? J'en dirais vite fait que la société s'applique à rebours. Il faut être sociable pour vivre en société... Ce concept grossier coller à la truelle sur le chantier de nos murs normatifs vaut la peine qu'on se penche un peu plus sur son origine... "La société est un ensemble de personnes vivant en commun." tout dépendra donc de la notion d'individualité, d'attribution de caractéristiques de personnalisation et donc d'une notion de reconnaissance existentiel (structuraliste et corpusculaire), d'une différence entre sujet et objet et donc d'attribution de ses "qualités" à ce qui semble être extérieur à nous même. Et d'ailleurs plancher un peu sur les notions d'intérieur et d'extérieur pour s'apercevoir que cet emporte pièce ne tient pas la route... Un peu comme l'histoire de vouloir définir le vide en le remplissant. Quand au rapport moral le plus simple qui soit, c'est de considérer qu'une fois qu'on se penche sur ses petites interrogations, étant unis à tout, non tel que nous le voulons mais tel que nous le constatons par nos soi disant sens de perceptions (tout aussi relatif! Se pencher sur le phénomène du scotome visuel et l'élargir à tous types de perceptions), il ne sera pas difficile d'admettre que le peu de choix que nous pouvons faire, semble être conditionné par une volonté de ne pas se faire volontairement du mal. "Vous renverrais encore sur la notion d'altruisme et la fable du bon étranger qui, étant invité chez une famille pauvre se propose de donner son corps comme repas. L’ambiguïté du bien/mal se trouve là." Et donc revenir au classement des espèces en soulevant encore le fait que celui ne s'applique pas universellement de la même manière. Ainsi, chez nombres de populations animistes ou issue de ses cultures, le rapport de classification change fondamentalement. pour d'autres encore, la condition humaine est de servir au mieux ce qui se trouve être déterminé comme la nature ou la réalité. Et là encore le rapport d'organisation sociale change du tout au tout... Le solipsisme se fracasse encore par terre dés lors qu'on constate que toute tentative d'extraction de la réalité est une illusion: Actuellement ce qu'on pourrait définir par une psychose? Je vous écris de mon fauteuil, dirais je donc avec mon fauteuil qui me porte parce que l'air que je respire me permet de penser qu'il fait un peu froid chez moi, et que chez moi est une extension facile de ce que je suis pour la raison que je serais différent ailleurs et donc dans un autre corps et ainsi de suite... Et, en perpétuel mutation chacun de nous est une espèce en voix d'extinction s'il ne fait pas ce qu'il faut pour l'accepter. S'il fini par l'accepter il ne devient rien d'autre qu'une partie d'un tout constamment provisoire. Et c'est très bien comme ça! Peut être penserais je autre chose demain pour la raison que je n'ai pas plus de choix que je ne peux le penser. Constater toujours et encore que ce qui est ne l'est que par la mémoire que nous en avons... Et s'en est fini du rêve du présent. Changer de paradigmes lorsqu'on constate que les extrapolations conjoncturelles nous conduisent à l'impasse. Sur ce plan pourquoi continuer à essayer de valider nos acquis sans se poser la question de nos innées? hein je vous le demande? Nos réalités, du moins celle sur lesquelles sont fondés notre pensée actuelle sont globalement fausses. Autant de certitudes invalides comme le fait de déterminer l'existence d'une ligne droite dans un espace courbe par l'artifice d'une contre courbe compensant justement la caractéristique induite de l'existence d'une possible droite. Ah! Je peux en inventer des choses et tout autant d'univers par le rêve! Mais pour autant, dés lors que j'oublie que ce sont des rêves, je me commets à croire que j'ai raison. Et cette tentative nous emmène sur le chemin du memento mori. Espère vous avoir été utile en partageant mes réflexions sur ce sujet... Sur ce, je passe à quelque chose de plus concret et vais faire mon rangement... UAQVVDB...

Il faut être en société pour finir à en devenir sociable ? Jésus nous parle de bible ? 99% s'y acorderaient avec un epsilon d'erreur, que l'homme n'est pas animal, mais attendez, l'epislon c'est vous aussi, est ce une erreur ? Etes vous une Erreur Jésus ? les baleines ont langages plus complexe en théorie de l'information que les hommes, pas loin du double (des hiéroglyphes sous marin, qui devraient vous faire écho), une espèce de singe inhumaine est capable de mémoriser 16 nombres et leur emplacement en moins d'une seconde sur un écran de PC (ce que même la plupart des homo genius en sont incapable ) . Adaptation , ces signes, besoin de reconnaître rapidement dans une jungle donnée qui est enemi qui nous veut son bien et qui est celui qui se comportera en accord à nos intérêts, bienveillant comportement social pour un bien de considération du groupe. Mesure du bien ? Les maths font bien ca avec les tribu. Integrez le homo genius ! Que dire des lions pour qui la famille est si sacrée que l'infanticide y est normal , pas leur gene bâtard on va pas faire famille recomposée dans la savane. Ma question, que reste-t-il à l'homme qui n'est pas animal ? Le modèle dont nous disposons actuelement se veut votre touche d'art non que vos rotules s'en brisent. Comment justifiez vous votre snobisme, la religion est la naive réponse au nihilisme, même moi je me tais. Ou pas tiens, je vous propose exeptionelement de transcander la.moral. C'est plus Spinoza, (trivial l'anatman) pour qui la religion en aurait été trop flou de son esprit tapant le mile d'avance de la philosophie. La psychose ? Une pathologie qui induit des comportement statistiquement destructif pour celui qui la "subi". Ca marche avec les neurotipique, comme disent une caste d'autistes, mais attendez, une exeptionelement fureur d'esprit créatif sans psychose, n'est pas pathologique castration intelectuelle ? 1905 gros, la relativité, les exeptions qui bouffent des pillules bien normale en finissent de quelques nauséabondes autodestruction. Vas pas me.dire que nos génies ont évité la psychoses pour réguler leur carences de vitalité. Qu'est qu'un diagnostic de la maladie belle ? Une approche autoritaire et normative du moralement correct.

Il est par ailleurs intéressant de remarquer , que je suis bon enemi commun, je m'en retourne à l'hosto, merci de votre impertinence, car son contraire me pousse au partage ici. Me faut la quinzaine de detox là

Cher anonyme du dessus, (phénomène indéterminé parce qu'il n'est pas nominatif.) c'est tout amicalement comme un petit bidule qu'on colle en bas de page pour donner un sens aux mots qu'on écrit... Ceux ci étant passablement dénué d'affect? ... Que je vous répond là.) Revoyez l'histoire de la pseudo science qu'on appelle "psy ce que vous voulez" qui aura extrapolé sur des "paradigmes" relevant plus du postulat, (comme l'intelligence d'ailleurs) avant de vous monter sur les grands chevaux de bataille de l'érection d'une normalité! Le dramatique de l'affaire, voyez vous c'est qu'un certain conservatisme en place maintient son ensemble de priorité en refusant sa remise en cause... Pour la raison qu'il est en place depuis longtemps! quoiqu'on commence enfin à s'en sortir un tout petit peu... La petite pilule magique durera le temps qu'il faut, comme l'aspirine pour cacher la migraine qu'on se colle à réfléchir, à justifier qu'on puisse avoir raison sur quoi que ce soit! Lorsqu'on est devant l'incohérence, que celle ci vous amène dans une impasse, soit on invente la pioche à démolir les châteaux forts, soit on trouve une faille pour s'y glisser, soit on en fait le tour et on passe à autre chose. Je poserais ici l'interrogation de base: savoir ce qu'est la maladie pour savoir ce qu'est la bonne santé! Dirais je, comme le reste; Lorsqu'une étude se retrouve à se justifier pour prouver ses résultats, c'est qu'elle n'a rien à voir avec la déontologie pure de sa neutralité. Ne m'attarderais pas ici sur de petits exemples sachant parfaitement que vous les trouverez tout seul... "Le problème de l’aberrant." Jusqu'à peu, nous étions en mesure de concevoir ce monde selon nos principes parce qu'elles sont des causes. En somme faire rentrer dans le dictionnaire, par analogie, n'importe quel phénomène ayant à voir avec une définition quelconque. La loi des similitudes et des répétitions. Et puis voilà que tout d'un coup, nous le découvrons non pas tel qu'il se doit d'être mais tel qu'il se présente et apercevons d'un coup, toute l'ampleur des divergences et des multiplicités au cas par cas! Il ne s'agit donc plus de point de vue mais bien de la remise en cause de l'unicité "simpliste" supposée. Distordre les évidences du réel pour les faire rentrer, par compression, dans le rangement qu'on a prévu ne peut être considéré comme raisonnable... Faire sauter le rangement en acceptant de vivre dans le bordel ne l'est pas non plus! De cette ambiguïté découle l'idée d'établir l'ordre et d'organisation. Chaque chose à sa place et le monde serait bien rangé? Vous renvois encore à Russel et à l'ensemble des logiciens ayant travaillé sur les paradoxes pour sortir de la raison qui se veut raisonnable sans se concevoir comme une hypothèse. Vous conseil d'avoir le courage, par nécessité, de remettre en cause l'ensemble des classements acquis sans en oublier un seul afin d'échapper aux prédestinations "idiocratiques"! "Heureux les simples en esprit car le royaume des cieux est à eux." Au commencement il y avait un truc qui s'insinuait partout et qu'on appela le grand malin, parce qu'il y a toujours un petit malin pour le remettre en cause. Au commencement il y eut le verbe et le verbe se fit chair et pour cela il inventa la sexualité et comme il ne savait pas quoi en faire il inventa l'amour et du même coup l'érotisme en premier degrés... Une pomme, permanentant le premier arbre important de l'humanité qui ne faisait pas du jus d'orange plein de vitamines, et qui fit que deux autres machins qui ne savaient pas ce qu'ils étaient s'aperçurent qu'ils étaient à poil et en pleine nature! sur ce ils ne le supportèrent pas et inventèrent un jardin avec une terre ingrate ou il fallait souffrir pour prouver qu'on était un bon jardinier... Et ne ferait pas le tour de toutes les mythologies sans oublier le petit chaperon rouge, blanche neige et Goldorak! Savoir d'où viennent nos mythes fondateurs en premier lieu et considérer leurs incidences n'est plus un luxe de nos jours! L'invention permanente de synthèses aura eu la délicieuse habitude de réduire en soupe lyophilisé le pot au feu dans lequel nous mijotons. Découvrir les saveurs du monde, ça n'est pas revenir aux légumes rares en les payant plus cher, mais peut être réapprendre à faire du feu avec ce qu'on a sous la main, Non? Et donc au commencement il y avait le temps qu'on prend pour rêvasser stupidement à trouver des réponses à des questions qui n'en sont pas! Tiens l'exemple très fréquent dans la nature pure du type indéterminable, type de n'importe quel espèce de type, qui creuse un trou comme ça parce qu'il a le temps, et qui prend le temps de se poser la question du pourquoi et du comment? Il le transmet à qui il veut, et même des fois même pas, et voilà qu'on obtient la certitude qu'il y a des types qui creusent des trous... Mais le trou est il un progrès? Et qu'est ce que le progrès? Et puis d'ailleurs c'est quoi le temps et pourquoi existe t'il et qu'est ce qu'on en fait et ainsi de suite... Et là Paf! Il y eut un commencement!... Parce que sinon on n'aurait pas pris le temps d'inventer l'histoire... Détricotez le pull de la certitude en premier lieu en se posant la question de "c'est quoi avoir froid?" et puis revenez au mouton en courant autour du troupeau, asseyez vous quand vous êtes fatigué et regardez le temps qui passe et qui vous emporte ou vous voulez sans même avoir pris conscience qu'il était là! Et hop... Et donc au commencement il y eut la chair et la chair se fit "esprit" parce qu'elle inventa le mot qui lui même inventa une certaine conception de l'abstraction linguistique afin de parler d'elle même. Le silence n'est pas un luxe! Remettez l'esprit à sa place en le refourguant dans son petit rangement bien au chaud pour lui même et laissez le s'inventer toutes les histoires de commencement qu'il veut! çà lui fait du bien il aime bien ça, c'est dans sa nature! Et recommencez à vivre tranquillement selon la chair qui n'est ni bonne ni mauvaise dés lors qu'elle ignore le bien et le mal et toute cette mythologie d'un jardin extraordinaire.? Marre de Platon!!! Plus le mensonge est gros et plus il passe? Et oui! ...Dés lors qu'on lui prête attention. J'entends de plus en plus L'empirisme nominal s'insérer dans vos paragraphes... Si, si! Comme si penser par soi même n'était pas possible sans avoir été initié par les maîtres. C'est un fait! la "nature" de l'homme est fantaisiste (dirais je la nature en général?)... J'entends "je suis du parti de et pas du parti de"... Vous renvois donc à l'oralité et à sa constante recréation avec les moyens du bord... Au paradoxe encore du savoir par l'écriture et de ses renaissances posthumes... Dieu que les auteurs anciens se sentiraient trahis par les versions qu'on en offre... C'est "l'esprit", l'essentiel, la goutte de parfum, la quintessence qu'on dilue et non pas l'application formelle... Il n'y eut jamais de commencement parce qu'il n'a jamais cesser d'être. Lao tseu à dit (en rigolant) Mais ne l'a pas écrit! Et celui là, ce machin qu'on trimbale tous comme une sorte de fond commun n'a rien à voir avec un livre de recette pour micro onde! On prend ce qu'on a et on réinvente le couteau à plier le beurre pour en faire une tartine de plus parce qu'on a le ventre vide. Fin de la culture immortelle, fin de l'étude? Non! Fin de l'absolue conservatisme qui fait qu'au supermarché de l'abondance, je ne mange pas si je n'ai pas trouvé le bon camembert... Ecrivez bien parce que c'est agréable et amusez vous bien à créer des probables avec ce que vous avez sous la main. nous en ferons plus pour tous sans que cela soit autre chose que l'art de tailler des silex à dépecer les morts. Bien à vous; UAQVVDB.

C'est ça, moins d'anonyme avec l'acronyme, on va s'en faire l'hymne de l'Internet tiens. Qu'il faille bien une autre érection normative. À redéfinir l'identité come idempotant de phenomologie. Homo genius, ne criez pas, les idées volent ici sans voler persone. C'est un échange impersonnel, une persone telle qu'elle en soit juste de balancer le débat sans tel. Bah oui, pas de o6 66, pas de 007 qui nous en sortent de tergiverser non plus, ça n'en a pas fini de comune niquée, point de frontière en pointillé, et encore la ça reste franc tu sais. L'angle est à l'international plus sous vent de partage. La petite pistule de définir la bonne santé comme négation de la maladie . La vie c'est mourir tout le temps ou la mort c'est de plus vivre ? L'anomalie à besoin de la règle pour l'être . Donc la double negatation n'est pas plus pertinente même si plus difficilement accessible . Comme ce qui est douloureux ne mérite pas nécessairement meilleurs résultats à ce qui est visé. Certe c'est intéressant, pour contourner le mur et arriver autrement. Vous n'avez pas tort homo genius. Mais quand doit on se décider que l'autre chemin est plus favorable ? À se détourner de l'obstacle on finit pas tourner autour sans s'en rendre compte. C'est là qu'il faut courage, audace et folie de s'y cogner une fois pour questionner notre méthode. Blanche neige y été à un pas de plus avant que vous vous en alliez trouver raccourci, que raisonnable vous êtes ! Elle se congela, de votre absence. Les autres n'y ont vu que du feu. Vous avez raison. La folie c'est de continuer de s'ateler à une idée doutant que son acess en soit proche de ce que frappe notre pioche . À être tous raisonnable on finit à se rouler dans les sentiers battuts, belle prairie, la forêt devient le danger de ne pas etre déjà abatue . Erreur, d'errer ailleurs ? Empirisme nominal devenant pathologique ? Tendance idiocratique à vouloir voir une tendance à ce qui en echappe ? Le manque de prairie ? Vous la voulez à la Russel, c'est l'histoire d'un mec qui ment tous le temps et un jour il dit "je mens" . Soudainement il devient absurbe et médiocre.

ça c'est le paradoxe attribué à Epiménide! Sauf que lui n'émettant pas de jugement de valeur sur la notion de vérité la remettait en cause! Et puis revenir à Russel avec le barbier! Qui a dit mon bon amis que l'intelligence était un instrument de mesure? Quel est donc cette attribut si caractéristique d'une espèce supérieur? et qu'est ce encore que la mesure sans étalonnage? Et oui nous mentons! C'est une évidence même de ce que nous sommes... Par ethnocentrisme. Et le plus drôle dans tout ça c'est de comprendre que la dimension éthique de la vérité est toute prête à prendre des vessies pour des lanternes! Voilà entre autre une des raisons pourquoi la logique est trompeuse (dés lors qu'on ne considère pas ses propositions comme des postulats). Sophismes et/ou tautologie. Prenons donc l'exemple de "chacun sa vérité": Que certains critiquent pour la raison que "c'est une affirmation fausse dés lors qu'on considère qu'il y a une vérité absolue!" absurde non ? On peut arriver à justifier n'importe quoi par n'importe quoi. Ceci s'appelle l'artifice de la rhétorique! Un pur jeu de l'esprit dont le but justement est de mentir avec habileté! Alors tant qu'a mentir consciemment et en l'assumant, autant le faire sur des choses qui ne portent pas à conséquence... Non? Personnellement j'aurais tendance à "penser" que la prétention a croire détenir la moindre vérité parce que celle ci est prouvé est tout aussi absurde que de "vouloir prouver l'existence d'une moindre vérité." La vérité Monsieur Madame déterminisme, existe dés lors qu'on la recherche. "Contre les mathématiciens" Sextus Empiricus Ou l'échec du pythagorisme? C'est en somme un amour platonique! du genre" je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant..." Quand à la question du nom: Auriez vous un problème avec les évidences? Du nominalisme et de son opposition au conceptualisme; Querelle à la Sorbonne au 12ième siècle! ça ne date pas d'hier... Génial donc de s'apercevoir que l'esprit dérape en permanence et qu'en somme il n'y a que le micro onde qui remplaça la cuisson solaire dans la culture du hareng baltique les jours de pluie! Et encore le paradoxe de la carte à l'échelle 1; De l'esprit des lois et plus avant de la nécessité des lois... Et puis revenir à Russel parce que moi je l'aime bien ce bon Monsieur qui posa aussi la question de savoir en quoi pouvons nous définir que le singulier vaut plus ou moins que le pluriel? L'ensemble de tous les ensembles... De la théorie systémique en opposition au structuralisme. Faites vous partie d'un système ou en êtes vous un élément? Quel est votre importance constitutive lorsqu'il n'y a pas de définition? Savoir encore que vivre ou mourir dépend de la définition des deux cas que l'une et l'autre sont autant défini que la notion de bon ou de mauvais café... Et ainsi de suite... Lorsque je vous écrivais (pour vous encourager) d'oser remettre en cause le moindre paradigme... Soyez fantaisiste ou ne soyez pas et laissez vous tranquille! Dans l'assurance que le monde mental ment monumentalement, lisez Ronsard (Pierre) "discourt des misères de ce temps" 1562... Et ne vous arrêtez pas, de grâce! sur les questions du temps. On croit ce qu'on veut comme n'importe quel langage, cela ne nous soustrait pas de la réalité... En quoi vous demandais je? les choses ont besoin d'être définie pour exister? Et qu'on ne me dise pas que je radote pour la raison que j'utilise justement un langage afin d'en parler... Non demain je fais des crêpes, après demain je vais au toilette et je me lave parce que je pue plus qu'une rose (Ronsard)! Étudiez mon bon ami! Cela ne sert à rien d'autre qu'à nous apercevoir que d'autre avant nous avaient fait de même! Et c'est déjà ça... La modestie d'appartenir à rien de moins qu'un petit rien interrogatif et sans prétention!... La certitude encore que seul l'oublie de ce qui fut avant nous oblige à redécouvrir ce que nous ne savons pas... Ah ça c'est chouette! Si, si d'apercevoir dans l'aile de papillon la partie de domino et la tuile juste comme ça... La cohérence et l'incohérence de réinventer l'écriture lorsque nous en avons besoin et la certitude encore que chacun se posera la question de cuire sa viande d'une manière ou d'une autre s'il ne la mange pas crue! Allez lâchez vos recettes, sortez des gonds, allumez votre porte et partez vous promener loin de chez vous! Tiens lisez encore La Boétie et sortez de l’événementiel de notre époque. En gros sortez du temps, vous sortirez du progrès! Bon courage vous est refourgué quelques pistes... UAQVVDB. Ps: ceci n'est pas un hologramme!

Cher Hologramme, ce que vous clamait est bien holomorphe, à priori lisse, mais des pics dans la forme. Mais par ailleurs dans le fond votre holographie se choque périodiquement à ce que vous êtes devenu . La logique sans la saisir vous l'utilisez , vous n'en seriez pathos logic sinon. Bien, bien, vous cassez le château , habile/2, sans valeurs autre que celle de tout niez est-ce positif ? Je vous en ai parlé, je rat dote (oh si), la rigueur, pénible mais partie de votre adaptation. Vous laissez la pioche s'agitant à préférer la pioche Descartes vous faisant innocent ? Discours et rétheorique de la méthode de l'escapade à s'en finir de contempler que penser c'est se dédouaner de toute conjecture de vérité ? Non propre que d'arguer, c'est draguer l'échec de se faire cocu. Comment avez vous construit votre etres alors ? Hêtre à faire feuilles de mots qui nous parle, votre doute est grand, vos ramifications sont concquérante de l'espace rationel . Bien, bien. Soyons explicite : vous vous êtes beaucoup formalisé avant de tout jeter à vouloir ne pas s'asugetir d'être possiblement faux. Un enfant nietszchéen qui se débarrasse de son sac devenu trop.lourd pour survoler votre personne. Dans votre sac il y eu gourde de laid pour vos crêpes, votre chemin n'est pas que de pacrettes. Vous vous êtes adaptés et vous débarrassez la table de 6 belle. Son super flux qu'il fut inutile à ce que vous êtes devenu. Avant de vous débarrassez de votre bark, fichu bout de bois à votre nouvel il, ne vous a t-elle pas permis de survire à l'océan darwinien ? Le doute, la prise de distance oui. Mais de conjecturer de créer valeurs, de définir vérité, c'est de ce qui nous fais acteur. Ça nous fais se sentir exister de nos interactions d'être un peu clown. Reste plus qu'à ne pas y est intelligement maladroit, sans faire de dogme de mette les bon homme dans des dômes. Mieux vouloir dominer l'univers je pense. La c'est denser, l'art d'etre faux , on crée alors moins bonté que beauté. Avancez, avancez home genius

Ah zut je suis percé! Et bien oui je me repose pour avoir trop agi... Je contemple stupidement mon petit jardin nominal tout étonné qu'il pousse au delà de mon pas... La réussite (qui n'est pas la conquête du pouvoir même) quoi? J'ai construit un banc au fond du potager avec les quelques planches que l'ancien propriétaire m'avait laissé. Après avoir retourné le terrain, organisé, trier les lentilles et supprimer les gourmands; Après avoir émietter le pain, dresser les poules, tondus les moutons, enfoncer des clous et éreinter les dos, là je m'assois sans peine! Et ceux qui sont encore à rêver de puissance d'on ne sait quoi, je leur colle une pioche en leur souhaitant des ampoules à éclairer leurs nuits d'incertitudes. J'ai vécu dirons certains et c'est tant mieux! Qu'aurais je pu faire d'autre? J'ai trop agi! ça c'est certain... Parce que les autres ne le faisaient pas. "Le temps des hommes est révolu... Celui des trolls est arrivé!" Mais non? Qu'est ce que ça vient faire là? Ah oui! La référence absolue d'une époque qui explore ses poncifs. Non sans rire! Les questions ne valent que lorsqu'elles répondent à leur caractère d'urgence d'y trouver une solution... Sinon flop! La commande voyez vous mon bon ami, celle qui vous offre la possibilité d'avoir un marteau pour justement ce banc. C'est elle qui vous oblige à voir ailleurs. Personnellement n'ayant jamais eu besoin de rien et parfaitement adepte du peu qu'il soit, le super-flux étant ce qu'il est, comme le bonhomme que je suis, je l'ais offert aux autres en espérant qu'il ne le prenne pas! Mais la bêtise humaine étant toujours nietzschéenne en post romantisme... (et ça vous tient à cœur!) voudra toujours se satisfaire d'elle même en croyant qu'elle tient ce qu'elle détient. Avancez, avancez? Ah mais non! Plus maintenant... Si tant est que l'instant soit fugace et creux coincé entre l'état et le devenir, je suis immortelle au présent et si je veux continuer de l'être il faut que j'apprenne à dormir. Et oui c'est le cycle naturel qui s’entremêle avec la course d'autre chose. Et croyez moi je peux dormir tranquille, la relève est assurée! Notre époque ne se lasse pas de me faire croiser de nouveau découvreur d'une terre qui usa mes semelles... Je leur apprend juste à lacer leurs chaussures, puis à apercevoir que nous avons des pieds même sans avoir de semelles!... Même pas à utiliser une boussole de peur qu'ils me fasse un jour le reproche de leur avoir montrer la voie... De temps en temps un petit coup de pied au cul: "Avance bonhomme!" et je me rassois... "non, non! Tu fais fausse route... Tu vas tomber dans le "et puis"... C'est par là! La cabane à clouter! Et puis encore: "La farine à moudre deux fois est en haut parce que le grain fut en bas. (Ce qui est d'ailleurs très intéressant à développer mais nous n'en aurons pas le temps ici! Ou le rôle de la métaphore dans la construction de l'imaginaire interprétatif!) "Prend une chaise tu ne grandiras pas plus sans prendre la chaise... L'échelle est occupé par celui qui voulait décrocher la lune." "Prends les lunettes à tordre le lointain, frotte dans tes mains ça te réchaufferas! Qui sait peut être inventeras tu le feu? Ah c'est fait? Alors craque une allumette et fumes toi un nuage. Pas trop de nuage tu t'y crèverais les yeux... à voir le soleil en face on fini dans la nuit!" Voyez vous nous vivons chez les singes. Et je peux l'affirmer! De ceux qui, mimant les humains font de petites huttes en bois pour coucher dans les arbres parce que c'est comme ça! De ceux qui apprennent à respirer à l'âge adulte et qui sont tout étonner d'avoir rencontrer l'un d'entre les "autres" qui leur a dit; "Un pied devant l'autre et nous allons loin..." De ceux encore qui, trouvant la plume d'un oiseau ne font plus le lien avec l'écriture et le dessin sans se poser la question du loisir créatif! De ceux qui vivent en somme dans un paradis sans risque (sinon celui de la carte de crédit) et qui, souriant maladroitement à l'autre, parce qu'on leur a dit qu'ils étaient frères, s'étonnent tout d'un coup qu'il y en ait encore qui sachent soigner les ampoules autrement que par la lecture d'un article du genre "comment bien vivre sans passer par la case je suis nul" et "il faut que je me courbe devant le maître!" Quand au pouvoir? Mais Oh Maître du monde (en devenir de réussite) Qu'en ferez vous au juste? de l'esthétique rien de plus! Hors, c'est mon travail l'esthétique et je peux vous dire tout de go qu'elle n'apporte rien d'autre que changer les apparences: Après tout, même le David de Michel ange, s'il ne représentait l'image qu'on en attendait, ne serait qu'un gros caillou dans une carrière d'idées! Et sur ce point j'irais plus loin que vous par l'expérience! Nous vivons dans un décor parce que nous avons un rôle dans le scénario et que c'est une raison de vivre que d'avoir un rôle au point que chacun souhaite l'avoir à sa mesure... à en devenir écrivain! Et quoi encore? L'idée même qu'il y ait une comédie humaine est à se tordre! Quel en est l'auteur qui s'arroge de surcroit le droit de déterminer la distribution des rôles? Si encore le film était bon! Soyons sérieux deux minutes (voulons nous?) et abordons les deux modalités pédagogiques... en dehors de l'idée de manipulation... L'immanence et/ou la transcendance: Ce qui vaudra à considérer la droite et la gauche d'un même espace! (Mais peut être êtes vous de ses gens qui sont contrariés sans qu'on vous l'ait dit?) Ah non! Je me l'interdis je vais trop loin et vous renvois dans le didactisme des oppositions! Votre terrain "nihiliste". L'ambidextrie: D'une main je me tapote le ventre et de celle sur la tête je fais des cercles... Et lorsqu'on veut, on inverse! Parait qu'on ne peut plus lorsqu'on est bourré... Mais bourré de quoi je vous le demande? Répondre donc à votre questionnement: Darwin n'a jamais dit qu'il y avait une évolution quelconque! Il s'est contenté d'émettre l'hypothèse qu'il y ait une adaptation "au milieu" en supposant qu'il puisse y avoir des interactions! Ce qui s'opposait (à l'époque) à la rigidité d'un créationnisme puritain... Ce faisant en écrivant sa thèse (qui n'est qu'une thèse!) il ouvrit la boite de Pandore en déstructurant l'idée même de singularité humaine, nous faisant convergé vers une "animalité"! Pourquoi dés lors se priver du droit de sélectionner les humains comme on le fait avec du bétail? La qualité devint par la suite sujette à autant de critères idéologiques... Il y avait pourtant une autre piste qui ne fut pas prise (quoi que celle ci exista ailleurs depuis des millénaires): Celle de l'interdépendance globale des phénomènes. La raison vraisemblable de ce déterminisme,comme à d'autre époques, fut que le critère d'humanité est défini pas la croyance en lui même! Une âme, une possibilité de faire des outils, la pensée abstraite, la capacité à vivre en société, celle d'avoir un esprit critique, d'établir des relations de pouvoirs (surtout pour les frustrés)... Et autre fantaisies dogmatiques qui fondent des civilisations... Et surtout les nôtres! Rassurez vous pour moi! Mes gènes se transmettent sans aucune difficulté et sont toujours à mes cotés: Qui plus est, métissés au monde entier! Et comme j'ai résolu par moi même l'antagonisme nature/culture, inné/acquit (à l'époque sans avoir lu Patrick Tort) je leur offre l'assurance d'un épanouissement adaptatif apte à leur survie sans contrainte dogmatique autre que celle de survivre à notre propre "espèce!"... Soignez vous bien, votre vie vaut bien celle des autres! Et je constate un progrès "néo classique" dans l'esthétisme de votre écriture quoi qu'encore quelques hésitations sur les mots valises et pas encore assez de contrepèterie! Ah oui, développer l'art du "déroutement" en utilisant un peu de recul à l'anglaise du genre autodérision! ça vous donnera croyez mon expérience, un peu plus de sérieux (dans le genre sans en abuser sinon galvaudage démagogique)... Bien à vous et surtout mettez en pratique quitte à taper du poing sans suspension. UAQVVDB.