Tout d'abord, permettez moi de vous dire madame Jerome, que vous ne devriez pas vous arrêtez à ce qui a été dit ici. Il serait bon pour vous de consulter d'autre site ou forum afin d'avoir des réponses plus probantes à vos questions. Les individus ici rassemblés ne représentent toutes les facettes de ce que l'intelligence peut apporter à un individu. Surtout que les individus ici présent ne sont pas à proprement parler le meilleur modèle sur lequel s'appuyer.
Ce n'est pas être égocentrique que de savoir qui l'on est et de reconnaître ce que l'on a. Se préserver de la fatuité, voilà ce qui importe. Comment l’ego n’existerait-il pas? A partir du moment où j'ai conscience de ma personne, j'ai conscience de mon ego. Cela ne fait pas de moi ( au sens impersonnel) quelqu'un d'outrecuidant lorsque je reconnais ouvertement un fait communément accepté. Ou bien serions nous intègre dans le silence et pédant dans le bruit? Pratiquerions nous un délit de connivence ? Coupable de nous taire pour mieux nous entendre.
Les choses sont telles à présent que toute personne désireuse de s'exprimer doit se préparer à essuyer acrimonie,vitupération, et à se faire tancer allègrement. C'est navrant. Est-ce si difficile d'accepter l'intelligence d'autrui? Serait-ce l'envi ou la jalousie qui vous pousserait à l'invective? Que ne diriez- vous pas à un rassemblement d'organisme tel mensa en ce cas. Il est probable que toute les personnes qui se disent à haut qi, surdoué ou que sais-je encore, ne le soient pas toutes mais quand bien même? Même si vous étiez des gardiens de l'intellect ayant prêté obédience à l'intelligence supérieure, un excès de bigoterie (pléonasme voulu) n'est en aucun cas utile.Vitupérer est vain. Parmi ceux qui clamaient leur acuité mentale ( amoureux pour la plupart des expressions alambiquées), peu ont laissé plus d'un message, preuve qu'il n'était pas utile de s'en prendre à eux. Pour ceux qui ont pris part au rares instants où une véritable conversation a eu lieu, leurs intelligences ont trouvé témoins.
La mansuétude est une qualité dont beaucoup oublis de s'équiper. La querelle est une des facettes de l'égocentrisme pour les moins vigilent.Vétille que tout cela. Il ne faudrait que quelques secondes pour colliger les dires qui importent des enfantillages méphitiques. Considérer que l'intelligence dit tout pour tous est de l'irresponsabilité. Comment négliger la personnalité? Il n'existe pas qu'un seul modèle de personnes supérieurement intelligentes. Se distinguer de par son intelligence et en tout point équivalent à se distinguer par un autre talent. Etre une exception est pour certain agréable ( après tout, ceux qui courent derrière les tests courent tout d'abord derrière la reconnaissance de leur différence) mais qu'en est-il lorsqu'une exception se retrouve au milieu d'autres exceptions?
Voilà pourquoi bien que mon semblable soit ma norme, je ne perds pas de vue qu'une exception populaire est une règle et donc une norme en soit.
Certains apprendrons, certains comprendront et d'autres s'offusquerons mais tous entendront. Galvauder un don par la médisance n'a jamais fonctionné pour qui que ce soit.
Si mes propos paraissent obscurs pour certains n'hésitez pas à m'en informer, amener une glose m'est toujours possible.
Mes propos sont ceux d'un observateur, étranger à tout conflit n'ayant pas en lui de quoi les nourrir.
Bien plus que moi, la vérité. Bien plus que mon raisonnement, la vérité. Bien plus que d'avoir raison, la vérité. Tout pour celle qui sait..
Bien à vous,
A.M.A ( The. A)
Content de vous ravoir, A.M.A!
Et quel est ce ce penseur si profond se cachant sous cet acronyme?
Qui plus est (the.A) en fonction d'universalisme...
Totalement d'accord avec vous sur le fond mais une pointe de dérision pimenterais l'affirmation sur la "vérité" que je ne peux m'empêcher de suspendre
aux conditions de sa recherche. étant très attaché à une vision du monde moins ethnocentriste (dirais je modestement teinté de "pré-socratiques" idéalisations?)...Et ce n'est pas...
Veuillez excuser mais nous sommes pris par le temps!
De sérieuses discussions peut être à suivre?
Un amis qui vous veut du bien...
L'autoproclamé bienveillant trouve du réconfort le singe don't l'ego est noyé de sa corrompue modestie, oui échangez messieurs par delà l'anonymat vos miséricorde de se soumettre à la norme ou sa prédation , faite dont ! nouvelle société vous allez créer de l'apparent raisonable, ou alors cela existe peut être déjà en elitisme de l'intellectuel ? tuez votre différence par votre jean troué en guise de cadavre, exhibez votre caleçon insuportant la grandeur de votre âme. Le singe balbutie s'en allant faire des test de QI par nos remarques ici puis jugeant utile de rappeler que cette différence est sans profondeur comme le triste bourgeois buvant son thé à 10 euros proclamant que l'argent ne fait pas le confort mais y contribu un peu. Intelligente trivialité. Débarquant , résumant les interventions ici comme denué de vérité beuglottant ce mot insaciablement comme pour se convaincre de ce qui lui échappe, oui vous frapper votre clavier pour nous en faire sentir la lourdeur de votre impuissance à vouloir vous surpasser, vous nous torturer de votre bonne grâce, vos yeux ne s'accordant pas à votre sourir. Non madame nous a lu, nous a trouvé intéressant et vous en bon haut qi affirmé partager votre temp ici pour lui dire d'aller voir ailleurs. Est-ce encore évidence pour vous qu'elle n'y eut pas pensé, oh heros sauveur comme jamais de la bien pensance vos remarques sont de cette ignoble gravité de la commune confusion de la rigueur pour en occulter le fond de la profonde confession d'exception ici bien moins pitoyable à côté de cette trop populaire berceuse chantée tristement du tragique de la différence grandiose pleurant son excess de puissance qu'elle en vient à se détruire sois-même, celle que vous nous chantez comme dans un bus scolaire alors que l'on apprécieriait mieux cet incessant flot de véhicule au travers de notre vitre, plutot que la dissidence de votre chute, vide de philosophie si ce n'est de pas considérer tout intervention. De niez l'échange de l'assassiner des lors qu'il n'a pas l'odeur de la gloire ou l'expertise. Homo genius , à nous vouloir trop de bien vous pavez notre chemin vers la soumission d'un certain bonheur à apprécier que vous n'en soyez pas, plus que moralement constructive à notre pensée critique, la bienveillance ne serait -elle pas d'aider autrui à développer son doute plutôt que de lui imposer votre bonté. Monsieur qui nous veut du bien se refuse au côté obscur soyez donc notre père pour nous protéger de transcander la moral nous séquestrant dans le bien, soyez notre père à tous , dominer l'univers plutôt que de nous en instruire le fonctionnement qui vous echappe. Jésus est de retour .
Intelligence... Intelligible.
Madame de la creuse, la praxis est toujours de bons conseil.
C'est cette intelligence pratique qui fait qu'on arrive à faire taire celle dont on pourrait dire qu'elle est spéculative. Dans un monde de plus en plus désincarné, dirigé par le fantasme sous toutes ses formes, retrouver le sens du réel en balayant la cour, est une bonne chose.
vous, du dessus, vous avez un problème avec la morale...
Et aussi avec la logique d'ailleurs!
ça sent le burn-out... classez et épurez et comme dirait un autre de cette colonne sans fin de la spéculation: "Vous n'avez pas fini votre thérapie."
Il me semble que c'était le Docteur G go.
Non? Et d'ailleurs il est passé ou celui là?
Ah oui il nous laissent (par dépit?)
à nos petites vaticinations médiocres...
Les conventions n'offrent rien d'autre que les apparences d'une vie sociale?
D'accord. Mais la solution du moins pire, si elle n'est pas la meilleure, offre au moins la certitude de se sauver soi même. Soyons pragmatique.
C'est le moins qu'on puisse attendre de cette fameuse intelligence.
Et puis j'aime bien la manière que vous avez d'écrire.
Pas assez confuse pour qu'on s'en plaigne
et qu'on n'en tente une analyse... Comme ça.
Donc reprendre à Monsieur A.M.A...
S'il est possible d'ajouter quelque chose à votre très bon paragraphe,
Faire remarquer que les discourt complexes sont parfois difficile à saisir.
Et sans avoir la moindre prétention pédagogique, la métaphore, la parabole, le choix d'un vocabulaire simple et vulgarisé sont des moyens "classiques" de faire passer la communication. Au delà des apparences des "argotiques"...
Mais stop. Vous avez tout à fait raison... On ne sait jamais... Fait aussi partie du scepticisme.
"Qui se cache derrière qui?"
Pas même d'âge derrière ces mots, et quid de l'expérience?
"Au pays des aveugles les borgnes sont rois"
pourrait être la devise de ce site.
Puisque la clé du décryptage de tout ceci est
"soyons plus intelligent que le voisin."
Admettons que dans l'ensemble, le regard critique ne surpasse pas la personne. Et lorsqu'on juge il faut s'attendre à être jugé.
Et le jugement de cet ordre n'est ni bon ni mauvais
car il dépend de critères extérieurs... Que la théorie des "foules, masses"
ou autres dénominations. Peut être qu'en dehors du "je" d'écriture, la "modestie" consiste à se juger soi même selon les critères des autres en admettant qu'il y ait en fin de compte peu de différences!
Notre écrivain du dessus, s'il est trop souvent confus, se trouve certainement en mauvaise position pour réagir de cette manière; Non?
Mais ici, je vous dirais franchement qu'en dehors du fait
que c'est l’hôpital qui se fiche de la charité, un bon tour de passe passe et le spectacle de l'auguste et du clown blanc, se termine par une tarte à la crème.
Quand à Monsieur la division: Bien sûr que vous avez raison
et que la tête à TOTO... Et alors? Ou est le problème?
J'ai un QI de 160 est déjà une piste pour "l'évaluation" des probables.
Certaines personnes y sont venue pour essayer de comprendre ce qu'est cette fameuse intelligence dont on parle tant et ne sont pas déçus par ses apparences... Les nôtres!
Quand à ceux qui souhaitent prendre tout ceci au sérieux, les voilà tombé dans le pièges de l'évaluation... Comme toutes ses séries des années soixante ou quelques clubs existaient autour de la performance façon Baker street. Allez! Revenons à la phrénologie et qu'on n'en parle plus...
Il existe des "probables" et ceci seul justifie qu'on s'en amuse un peu.
Et puisque la mode est à l'abréviation:
UAQVVDB.
Ok soyons rigoureux puisque petit Jésus l'exige, l'autaproclamation d'une bienveillance a besoin de définir la malveillance d'autrui QED ok je detail, suis-je enemi commum vous rapprochant bien mieux que votre amitié n'existerait sans une commune malveillance que vous proclamez victime que l'on se fait héro d'assassiner dans l'ignominie de vos interets a vous rapprocher. J'aime cela, suis-je bienveillant sans le vouloir ? Le paradis écarte ses portes alors que je ne l'eu esperer. Dommage qu'il n'est que fantaisie noyant l'existentialisme febril de sa matière.
"Faire taire la spéculation" ? Oui la philosophie et la science auraient mieux fait de se taire à jamais, sans même commencer à spéculer tiens, plus de guerre au bâton de bois moins d'un equilibribre de Nash nucléaire , percevez l'ironie., j'insiste. Avançons de certitudes, soyons respectueux et surtout respectable pour ne rien essayer de conjecturer. Moins simple que simplé c'est se figer, ne croyez vous pas ? Et Yellowstone sans conscience nous punirait de ne pas vouloir conquérir l'espace en nous éradiquant d'une petite colère ritualisée ?
"Pas assez confuse pour qu'on s'en plaigne" assez peu claires pour que vous les lisez, oui je laisse un degré de liberté de compréhension à ce que je peux dire, je suis conscient que même m'efforcant d'être clair, l'imprécision peux réveiller aux lecteurs des idées y dormant par delà le contrôle que j'ai sur mes mots , en bon singe je suis sociable au point de ne pas m'essayer à être irreprochable plus qu'attirer votre regard sur ces idées que j'aime à vous offrir.
Vous avez dans un premier temps perçu ma personne, j'ai en effet beaucoup de problèmes avec la moral, avec la logique aussi (qu'est ce que la logique ? Question raisonnante), et même je m'en donne à temp pleins je me nourris de problèmes car une solution sans questionnement est assimilation de connaissance, du faillible au changement, ce par coeur sans coeur, pour se sentir zelé de ses confrères ou bon eleve sans plus d'être considéré le meilleur penseurisé, être intelligible sans être intelligent à dire ce que l'on a déjà entendu ensemble et que l'on s'accorde à y être d'accord ensemble , à quoi bon être intelligent si c'est pour s'accorder plus qu'opposer nos idées impitoyablement, renforçons nous et brillons plutôt que nous consoler et nourir l'empathie de celui qui s'en desintéresserait ne s'attachant que de notre visage aux sourcils d'un angle trop obtus presque une colérique droiture.
Un burn out ? Réponse du jugement au jugement, selon votre théorème improuvé, je dirais réponse de jugement à l'impression d'être jugé puisque qu'en effet je questionne l'essence de la morale donc le jugement moral. Donc je ne peux vous juger moralement, voilà un problème avec la logique que vous rencontrez aussi. Comme ci mon esprit devait s'en fatiguer par une réponse du corps à cette permanente insoumission à acquiecier solution plutôt que se poser problème, vous vous efforcer d'ennoncer que mon comportement suggère une autodestruction, cela fatalement, relisez 7 fois les autres avant de poster, c'est même ce qui m'excite et m'aguise, le questionnement comme méthode de se sentir exister (dixit un philosophe cool) j'en paierai le burn out si mon corps se refuse à suivre mon esprit, pas de problèmes et je vous ferais savoir que votre niese prédiction vous rendra fier. Mais qu'est ce que la souffrance quand on ose s'affronter à la mort ? Juste marcher dans l'eau un peu moins vite. Vous avez peur de mon absence de peur ? faite dont comme moi plutôt que me blâmer d'un eventuel courage , à être un brain rebel on en est moin destructeur que ce que s'incliner à la bien pensance nous permetrait de faire en toute autorité, détrompez Vous, Vous l'avez joué angelique à nous vouloir du bien je l'ai joué presque sataniste pour vous faire comprendre votre naiveté. Je m'en retrouve à me commenter comme un comique expliquant ses blagues perdant de sa comédie, Zarathoustra vous n'avez ressentit que le booquin paparazzi du même auteur. Ensuite vous blâmer d'être sérieux alors que vous exiger l'explication de la metaphore quitte à m'ensanglanter, quel sérieux pesant.. vous vous prenez au sérieux monsieur, ma critique est impersonnel, je vise de ma fléchette une mouvance ici plus que le reflet d'un individu.
Écrivain du dessus, du surhomme peut être ? Je parle de domination sans vouloir l'exercer sur autrui, tuez ce zombie, cf plus haut, vouloir dominer l'univers, si vous ne l'aviez pas deja compris c'est laisser l'intelligence se satisfaire d'elle même à sa conquête d'un univers qui est ce qu'elle attend de pouvoir espérer contrôler . Vouloir dominer l'univers c'est laisser aller sa pensée conquérante, laisser l'être ce qu'elle est de son origine un moyen de domination et de conquête animal, nous avons dominer tout autre espèce vivante grâce à elle, son moteur je lui la laisse , dominons l'univers. Dominer le monde où son entourage n'est que le bébé maladroit de l'intelligence, son aninimalité pure, devenez surhomme cher homo genius surmontez vous , vous le faisiez presque brillamment, la différence entre la limite idéal de la formule du diviseur et son résultat concret n'est-il qu'égale à la rareté de la différence dont nous somme en train de discuter ? L'exception est normalement l'échec face à l'efficace norme, mais la clé de l'évolution aussi exceptionnellement qu'elle existe est exceptionnellement la future norme efficace .
Et bien voilà nous y sommes!
Maintenant nous pourrons conjecturer sans pitreries...
Et on se calme un peu...
Y a pas que la rhétorique dans la vie!
Quand à la logique, de laquelle parlons nous,
ou du moins qu'y ou que sert elle?
Je vous suis, je vous suis...
Désolé du contre temps,
mais peut être échangerons nous quelques points de vue plus tard...
La provocation me lasse en ce moment.
Quand à la morale? La laisser en deçà du propos.
On justifie ce qu'on veut. Et peu importe d'ailleurs le paradigme.
Ah j'ai cru relevé de même quelque allusions à une gnose aussi...
U.aQvVDB (mais lequel?)
Je vous laisse. J'aime trop le pays des rêves pour ne pas y retrouver Alice.
Amis qui me veut du bien, comment ne pas répondre favorablement à l'appel.
La promesse d'échanges stimulant est la raison de ma présence parmi vous. Vous me voyez ravi de votre disposition et pour répondre à votre question bien que très légèrement, je ne suis qu'un jeune homme qui ne vit pour pour réfléchir.
UAQVVDB, vous avez tout à fait raison concernant la communication. Voyez vous, il est plus que probable que je pèche par paresse. Sachant que je puis m'exprimer sans beaucoup me brider du fait de votre aptitude à tous à pouvoir me comprendre ce dont je n'ai pas l'habitude à dire vrai, je me permet cette mollesse. Sachant que je n'aurais pas pu échanger sur ce post si j'avais eu la tache dispendieuse de réfléchir à une manière de transmettre ce que j'ai à dire en utilisant le schéma usuel que vous avez décrit, l'un des intérêts majeurs que j'y trouve étant comme dit précédemment cette "liberté" d'employer les mots qui me viennent à l'esprit comme je pense et de leur permettre de s'exprimer. Voyez comme mes messages sont longs alors même que je m'emploie à utiliser le mot le plus adéquat pour retranscrire ma pensée le plus fidèlement possible. J'excuse mon indolence en prétextant qu'au moins certains mots inusités ne finiront pas dans la désuétude de par mon emploi. Bien à vous
A Monsieur l'anonyme qui annonce le retour de Jésus ( éclairer moi je vous prie, serais-je le Jésus en question?) et aux autres également, comment ne pas trouvé les personnes ici présentent intéressantes? Moi même ne suis pas loin d’être subjugué.Une femme est venu exposer son cas et a soumis une conclusion. or, il se trouve que je ne trouve pas la dite conclusion complète car étant basée sur des faits non exhaustifs. De ce fait, je lui suggérais d'étendre son champ de recherche davantage (étant entendu qu'elle l'avait déjà fait) car qui me dira où se trouve la limite de se que l'on peut découvrir. Ayant moi même entrepris un questionnement analogue, allant dans des sites divers et variés et n'ayant pas aboutit à la même conclusion qu'elle, je lui propose autre chose, un élément qu'elle aurait pu manquer. Cela ne ferait-il pas également parti de l'échange dont vous déplorez l’inexistence ou du moins l’obstruction par un con-sensualisme couvert du masque de la bienveillance?
Le don est soumis ou plus exactement devrai être soumis à la personnalité de celui qui le possède. De ce fait, définir ce qui ne se révèle être au final qu'une forte inclinaison à certains comportements comme étant une fatalité pose problème à mon humble avis. Je souscris à Héraclite qui déjà nous avait dit: le caractère d'un homme est son destin.
Une partie de ce que vous nous reprochez est discuté page 7 de ce post donc je vous y renvoi simplement. Il n'y a pas de dichotomie naturelle entre la modestie et la culture de l'ego. Le trait le plus vil dont la modestie puisse se parer n'est autre que l'hypocrisie, c'est-à-dire lorsque la personne qui se la veut pour attribut se contente de paraître au lieu d’être. De même qu'il ne faille se méfier que des plus bas instincts de l'ego à savoir l'égotisme. Ainsi ce serait les fruits et non les arbres qui se tiendraient querelles. Pourquoi ne pratiquerions-nous pas une autarcie singularisé (individualisé)?
La morale ne devient une entrave que pour ceux qu'elle réprimande. Se connaissant elle-même, elle n'est que la succédané de la conscience collective plus tard appelé société, admonestant les plus dévoyés de ses dépositaires. Nos esprits s'étiolent sans elle mais notre liberté étouffe pour elle.
Peut-être serait-il ingénieux de clarifier la situation. Les idées m'importent plus que ceux qui les produisent. Autrement dit, libre à vous d’être ce que vous souhaitez ( amoral, égoïste, narcissique,gentil, bon,etc...) du moment que vous sachiez vous départir de vos sentiments lorsque vous dépeignez vos idées, afin que quelque soit les arguments avancés, tous puissent interagir en bonne intelligence sans que des âmes sensibles s'offusquent de la moindre gausserie. Le but étant que les idées aient la prééminences sur les êtres concupiscents.
" Ce monde est une comédie pour ceux qui pensent, une tragédie pour ceux qui ressentent, c'est pourquoi Démocrite riait et Héraclite pleurait". Horace Walpole
Pour ma part, je préfère largement être dans le vrai que d'avoir raison. Voilà pourquoi, j'apporte des raisonnements portant l'étendard de mes convictions, soutenus par des mots dans lesquelles je crois en dépit de la réaction qu'ils peuvent susciter. Ceci étant dit, je trouverais une égale satisfaction à ce que les dits arguments soient contredit ou approuvé. M'étant mon orgueil non pas dans des propos intelligemment agencés mais dans la quête indéfectible de la vérité pure ( pléonasme forcé). Au lieu de soliloquer quitte à me fourvoyer dans mon coin, il m'est préférable de soumettre mes idées car il vaut mieux être sot dans la vérité que d’être brillant dans l'erreur. Car, à la longue, la vérité peut seulement exister dans sa pureté. Mêlée à des erreurs, elle participe à leur fragilité. Or, il paraîtrait que les gens intelligents se tromperaient intelligemment.
Vous comprendrez donc qu'à mon sens, il ne s'agit ni d'une guerre ni d'un combat ni d'une altercation mais d'une simple discussion. De ce fait, être impitoyable que ce soit dans le ton ou le sens, est mal-à-propos. Je n'ai point d'ennemi car je dois être une espèce étrange, une sorte de misanthrope stoïcien.
Je pourrais vous prêcher la bonne parole mais cela serait discourtois en cet instant. J'espère que Jésus faisait référence à moi si telle était le cas, je vous inviterais à aller plus loin encore à vous référer à moi comme dieu, bien qu'en substance ce soit égale. Après tout, almighty est une des caractéristiques intrinsèque à sa personne. Non pas que j'ai l'impudence de me croire tout puissant, il s'avère simplement que chaque lettre correspond à un mot qui décrit au mieux ce que je suis ou qui je suis. Merci à mon entourage de m'avoir affublé ainsi. Je dis cela avec aménité et un peu d'humour bien entendu.
Il n'y a pas de logique sans contexte.
Il me fallu du temps pour comprendre que ce qui nous rassemblés était la cause de notre division. Et qu'il nous fallait parfois faire ce que nous répugnions à faire afin que ce à quoi nous aspirons puisse se faire.
Bien à vous
A.M.A ( THE ALMIGHTY)
Importante expérience de la vie!
Et voilà qu'à parler franc, je peux vous dire pour ma part que j'aborde la cinquantaine avec passion. Les vicissitudes de la vie ont fait que je me suis souvent frotter aux préjugés et, ceux ci incarnent au plus près ce qu'on peut appeler "la bêtise" comportemental humaine.
Les jugements normatifs, le manque d'attention généralisé au cas particulier et cette fameuse tendance que nous avons tous de nous satisfaire d'une logique non absolue (qui se pourrait peut être neutre?)
Bref, mutant parmi les mutants (et ne pas prendre au pieds de la lettre cette référence contemporaine au surhumain), je reste totalement fasciné par notre époque. Pourquoi? Et bien parce que moi qui peut dire désormais que je viens d'un autre monde, j'assiste maintenant à la révélation publique de ce que je savais (comme une sorte d'instinct cognitif) il y a de cela plus de trente ans: Ce combat contre l'ensemble des idéologies spécieuses voulant placé la réussite de l'individu au cœur même de sa raison d'être! L'immanence plutôt que la recherche d'une transcendance quelconque au travers de la notion de quête, m'aura permis toutes ses années de traverser le temps sans véritablement craquer. Et comme on dit, diagnostiqué très tôt au dessus de la moyenne, à la limite de l'autisme (tel qu'il se définissait dans les années soixante dix) j'estime avoir encore eu beaucoup de chance de ne pas avoir été "enfermé" autrement que dans cette sorte de camisole de force qui fait qu'on ne pense pas "comme les autres". Aussi, ce don, cette singularité, je n'ai jamais cesser de la mettre en œuvre au travers de mes diverses activités.
En effet, lorsqu'on me demande ce que je fais, je répond maintenant sans fausse pudeur: Je crée des univers. J'ai la chance d'avoir eu ce que d'autres appellent une appétence à saisir la nature... Les natures plutôt! Puisque pour certains de mon entourage, les mains en or, toutes techniques artisanales mélangées, la tête bien campé sur la réalité de ce que je façonne, les interactions résonnent. Praxis et Sophia forment une étoffe confortable de réalités multiples... Et voilà que le seul défaut, toujours le même, apparait au travers de la suffisance des "autres". Là ou je souhaite embrasser le monde, d'autre n'y voient que l’exacerbant ego surdimensionné. Peut être est ce pour ça que par déformation pédagogique j'aurais appris à parler la "langue" des autres en disant "je" lorsque la réalité de ce que je vie est trop dense!
Et d'abord le problème que nous avons tous, au travers de ces textes est celui de l'intégration dans ce monde utilitariste: Sommes nous même aptes à rentrer dans une petite case? comment peut on se satisfaire de la boite des autres? Et j'aime assez opposer la raisonnable attitude générale au principe d'indétermination. pour en revenir à mon "expérience", qui est comme vous le signaliez pour la logique, je reviendrais un peu sur l'ensemble de ce que les autres appellent des compétences: Littéraire très jeune, puis musicien, compositeur, sculpteur, peintre céramiste, polémiste et encore photographe...
Acteur directeur d'acteur, metteur en scène, décorateur, styliste, scénographe, cuisinier, homme de ménage, bonne à tout faire avec plaisir, pédagogue en vulgarisation diverses, questionneur sans fin de toutes vérités admises, et bref, empêcheur de tourner en rond dans la moindre certitude...
Si je peux maintenant que nous avons fait un peu plus connaissance, me permettre quelques modestes conseils, faites en le plus possible pour continuer de faire bouger les mondes. Inventez toujours plus loin afin de dépasser ce réel qui nous encombre d'habitudes. Mettez en pratique, testez vos gamberges, ne vous contentez pas de vivre par mimétisme et adaptez vous à cette sublime réalité qu'est l'imaginaire: C'est d'elle que vient la notion même d'avenir! La moindre pensée, si elle s'accompagne d'actes aussi insignifiant que le fait de la formuler oralement à le pouvoir absolue de changer la face du monde. Et là ou je vous rejoins encore une fois, c'est que cette toute puissance que nous pouvons parfois ressentir devant l'affirmation que nous percevons souvent ce que les "autres" ne voient pas (je ne développerais pas ici "la vacuité des perceptions"... ) nous entraîne sur le chemin de la responsabilité. Les probabilités de causalités, les inférences sont proportionnelles à la capacité de les entrevoir. Voilà que pour ma part sonne encore l'heure du bilan. Qu'ais je fais de mon existence? Et je peux dire que je n'ai jamais été là ou on pensais que je fus. Ce que je faisais il y a vingt cinq ans, qui était donc mon présent, devient maintenant le vôtre et vous avez même la possibilité de le considérer comme acquit culturellement.
Comme tant d'autres évoluant dans les "domaines créatifs" c'est nous qui avons former ce qui désormais est votre fond commun. Toujours en décalage d'une bonne dizaine d'année, les problématiques qui font mon petit quotidien seront encore, si je les mets en œuvre, ce qui remplira le passé. Et c'est très bien comme ça. Luttez donc pour votre différence... Luttez pratiquement!
Car "l'intelligence" toujours pas définie, à cela pour elle: C'est qu'elle peut être tolérante. Lorsque la stupeur générale n'envisage que le goût, d'autre parlent d'esthétiques. Lorsque certains parlent de leur point de vue comme d'une culture, d'autres vont jusqu'à remettre en cause l'idée même de point de vue.
L'intelligence est forcément consensuelle puisqu'il faudrait être fou pour tenter de la brider. Apprenez donc et encore la synthèse, l'idée saugrenue. Osez toujours plus et toujours plus loin puisque "l'intelligence" est à peu prés le seul patrimoine pratique de l'humanité.
Brassez largement ce levain le plus longtemps possible et dans les périodes difficiles, appliquez vous la pommade des prophètes: ça ne change rien, mais ça soulage un peu de toutes ses incompréhensions. Et surtout lâchez la spéculation si elle n'est pas mêlée d'expérimentation.
Des questions?
Ah oui une dernière chose...
Revenir à la question de base, toujours:
160 De QI?
Si ceci est "vrai", c'est un peu comme marcher sans avoir conscience de ses pieds. Peu importe la route, on ne fait que la parcourir.
"Au commencement était le verbe." ceci pour "Jésus"...
écrire simple puisque l'argotique est une revendication identitaire.
Appliquer le rasoir d’Ockham pour une bonne raison: il cultive l'art du mystère.
C'est un peu comme le violon en fait! Quatre cordes sur une caisse en bois pour jouer toutes les musiques du monde s'opposent au piano ou la note est inscrite au bas de page.
Bien à vous tous et bon courage!
un ami qui nous veut du bien.
On a des super qi qui font comme les gens normaux, toi t'es un vrai mon pote. Elle fait comme toi, mais elle a besoin de toi pour lui dire de le faire ou y penser, c'est une meuf , son cerveau est trop léger pour ne pas avoir besoin de lui suggérer l'évidence de ce que tu as évidemment fais dans son cas. Si si , si on t'avait dit à ce moment ce que tu lui a dis, pas dis que t'aurai fais ce que tu dis avoir fait, laisse béton, on va s'en fumer une festivement pour ne pas dire un, maintenant que tu l'as redirigée dans le droit chemin ? Alakazam ! tu as raison peut-être sans être vrai mais à le vouloir. Au moins quitte à ce qu'elle aille voire ailleurs on voit la qualité de son postérieur . C'est alors que j'eu compris ce que vous faisiez et je m'efforca d'en rire.
Cher Jésus misogyne (Jésus n'était pas pour vous mais finalement vous y siéger même mieux dans ce que vous exprimez ici) je vais t'écrire une histoire pour qu'elle te parle, et par delà l'apparence qu'elle fasse d'elle notre identité (nous n'existons en partie qu'en ce que les autres nous font ressentir de notre image (reflétant sentiment ou idées d'exeperimentation), construisant notre raison l'affrontant, ou adhérant à quelques idées quelque peu extérieures, quel sens doner à une discussion sans ego, sans les autres comme élément de ce vous dites par ce langage à priori étranger à votre pure animalité, comme ci notre personne y fut indépendante ? Vous êtes définitivement jesus, à ne pas être trop humain . Vous vous fourvoyez a parler d'une existence et indépendante aux autres pour vos pensées, elles ne le seront jamais) par cette discussion par un certain desaccort improbable d'exceptions qui se veulent en revendication qui sait ? Le moteur du fil ici, si ce n'est curiosité, je laisse les lecteurs (et les meuf, gros, qui savent lire aussi désormais qu'on leur a ouvert les portes de l'école comme miniature de notre société plus que place de savoir, en juger du développement de notre pensée normative). Est ce guerrier de vouloir la guerre ? C'est guerrier de s'y faire mieux que les autres. Ou c'est s'esquiver de la précédente pour ne pas vouloir que la suivante lui ressemble trop ? mais est ce la paix ou là, la guerre inévitable autant qu'elle soit metaphore de nos idées divergentes, que l'on pose en toute proclamé douance à la galoisienne à vouloir se faire politicien au pistolet dans la forêt, de notre débat frontal plutôt qu'autorité necessaire à la survie de notre peuple à l'impitoyable environment qui se veut changeant, nos mots valent mieux que les autres , plus sophistiqué sur l'échiquier des idees d'un tout se voulant darwinien ? Je vais vous ecrire une histoire, amis qui vous voulez du bien l'un l'autre , je veux renforcer ce lien en bon enemi commun que j'aime à vous étre.
Chapitre 1: la vérité, mais c'est quoi finalement ?
À se sentir dans le vrai on s'en sent dominant en y cherchant les preuves que l'on s'en rapproche, oui une méthode est à prouver que les autre sont dans le faux, donc pour se justifier d'être vrai on souligne le contradictoire relatif à leur valeurs disons ,que l'on renifle chez autrui, simplement justifiant notre inconnu comme verité meilleurs à la leur clairement, oh ! attendez, maladresse ,homo genius ! Vous vous retournez de l'univers pour le monde. Ce que vous appelez vérité n'est pas échec de vouloir de domination de l'univers ? Ou alors ce n'en est qu'un synonyme qui rend ma question un commentaire superflu à notre échange . Qu'en est il a se vouloir vrai alors ? oui monsieur créer le votre d'univers, brillante idée . Je m'efforce d'en faire autant. Entre rare asperger et super qi, quelle ressemblances ? Voila une idée de sujet pour ce forum bien susceptible à l'échange des homo genius. A vouloir être trop bon on est con de croire que cela annihilera votre conquête qui indifférente à vous même, je veux dire votre surmoi, fait de votre moral, cette anomalie se veut intelligente ,naturellement , non ça se fera pas sans moins de morts pour en sauver le plus grand nombre de ceux qui auraient pu l'être sans votre personne existante, qui part une respiration, l'effet papillon fait de vous là pluie motivant autrui ou vous même à s'exécuter de l'incorruptible destructeur ou a se mériter prix Nobel de la paix. Que savons nous de l'onde de nos mouvements, si ce n'est ce que nous en percevont du coin de l'oeil pour se considérer bon ? Le narcissisme étant de se focaliser un temp sur une couleur avant d'en faire une pathologie au passage. Pour l'égoïsme je vous référé à shopen. Que controlons nous quand la norme est sa propre faiblesse d'etre efficace au plus grand nombre, auriez vous préférez qu'un prof soutienne Rocko plutôt qu'être le Rocky du plus grand nombre s'efforçant de vous incluer dans la commune efficace connue critique ? je pense donc je suis, c'était ya une dizaine de lustre de l'évolution de cette idée l'amis, de l'AQVVDB à l' AQNVDB, vous allez vers L'AQNVSB , celui qui vous est propre si ce n'est le faux amis qui nous veut du mal. Vous supporter mieux qu'on aille en accord à votre vague finalement plutot que la provocation à se qu'elle s'effondre sur elle meme plutôt ultimement que se surmonter, cela vous fatigue l'insoumission ? Moi aussi, mais sans se fatiguer on en finirait adapté, satisfait de soi-même , mort. La rebellion contient presque le mot belle , un peu de philologie, pour le penseur qui n'a pas froid au yeux de sa pensée de son parcours c'est le contraire à ce que j'exprime ici. Calmons nous, Jésus est de retour pour nous dire ce qui est bien plus que notre critique n'ose s'y opposer sans que l'on finisse au mieux comme lui physiquement, au mieux pour s'en venter en enfer , sans foi, comme un tollard acclamé de ses malfaits le faisaient roi par oui-dire comme une élection democratique de son nouvel environment ?
Moral, qui es tu moral pour nous intriguer a te comprendre ? Ou s'efforcer de te trahir et te modeler à la guise de nos desires.
Stoïcisme, je t'ai tué,après que Dieu mouru, surhomme c'est se surmonter sois même, c'est du relatif à vous même plus que de l'absolue supérieur à s'essayer la compareraison, je le sais, je me joue des mots et de leur confusion pour espérer que quelques idées puissent en naîtrent.
Le deuxième chapitre ne survivra pas au premier maintenant, mais je vous promet un livre chers home genius dont votre différence sera corollaire plus que problème fondamental
Que de bonnes intentions dans ce charmant texte!
Le petit coté bulle belle et rebelle ayant lu le dictionnaire un peu trop longtemps, suppose le temps qu'il faut.
On y passe à la moulinette tellement de choses que s'en est
devenu la béqué d'un carnaval sans suite!
ça s'étale... Entre colérique logorrhée et supputation oiseuses.
Bref. La "théorie" des genres, de l'espèce et toutes autres classifications y passent aussi (ainsi que la plupart des clichés cosmogoniques.)
Sortez de votre "messe" s'il vous plait!
Si , si le monde est grand...
Pas la peine de s'appesantir sur cette tour d'ivoire...
Cesser de vous placer en victime incomprise en supposant bêtement que l'autre doit être mis au pas, à la cadence de l'exception.
Que savez vous des autres pour, une fois encore, préjugé qu'ils vous agressent d'une manière ou d'une autre?
à ce niveau là c'est de l'urticaire ou de l'eczéma!
Peut être de la PNL ou bien encore cette sorte
d’auto-hypnose paranoïde qu'on...
Je me demande même pourquoi répondre ou faire quelques commentaires sur cet adolescence boutonneuse d'un testeur de QI?
Le piège facile de la dispersion qui fait qu'à l'écoute de la réponse, dans ce vrac inassociable, on croie repérer le goût de chacun dans ce qui lui attire l’œil... Le symptôme de la farfouille qui fait que dans les marchandises à bas prix on trouve toujours un petit quelque chose à chiner.
Et quel subtilité dans la lecture de ce petit code à vous donner de l'importance!
AQNVSB... Mais vous faites des progrès!
Rien que sur trois textes, une synthèse plus opportune et déjà une ponctuation. Vous propose une petite variation "philologique" ou glissement sémantique sur l'une de vos dernières phrases:
"Je me joue des mots et de leur confusion pour espérer que quelques idées pussent en naitre (correction orthonormée).
"je me la joue démo et de leur fusion conne, de leur compulsion, et que fut Sion comme"... Un peu d'effort... pour penser que d'autres que vous pensent aussi même s'il le font sur d'autres modalités conceptuelles... "Puise en l'être...Puissant maître... " Et tant d'autres... Vous laisse la conclusion...
Rien que ça, nous emmènerait sur des sujets d'études qui vaudrait bien un petit apéro! Relevons aussi la révélation d'une proto-synthèse dans l'anté-logisme "compare raison". Quand à la rébellion? il y a fort à parier que la racine la plus communément admise est Bel. Ce qui n’empêche pas d'ailleurs de la faire glisser sur notre présent dans l'idée qu'il y ait une évolution quelconque; Qui d'ailleurs, sous entendrait d'en finir ou non sur la l'incertitude hypothétique (ah tiens une fôte usuelle, oui mais laquelle?)
d'un temps linéaire, de l'idée d'une cohérence directionnelle et short:
D'un début et d'une fin. Ce qui nous renvoie oh hippy-end.
Mais il me semble que le mot "vérité" revient constamment dans vos harangues vitupératrices...
(Ah! si je veux, moi aussi, je puis, grand style, étaler une tartine. 1,3,3,2,2,6
On se tape une analyse histoire de passer le temps?)
Truisme! Lapalissade, tautologie!
Allez je vous tire un peu les oreilles bougre d'âne!
Manque de culture encyclopédique!
Le verdict est tombé: Potache et qui plus est: Onanique!
Bien affectueusement...
UAMDR!
Ps/ ça manque d'humour ou je change de lunette.
Chiotte...
à relire ce texte, je constate quelques erreurs de frappes.
Dommage pour moi , mais il semble que la transcription par le net soit filtrer au niveau QCM. Ceci m'arrive de plus en plus souvent lorsque je relie même d'anciens textes pourtant vérifiés. Les paginations semblent être autonome et, parfois certains paragraphes apparaissent comme par enchantement en créant des interlignes imaginaires! Aussi, veuillez excuser par avance les hypothèses de l'effet "Mandela"... peut être le phénomène le plus intéressant qui soit, non pour la raison que c'est le dernier buzz mais plutôt qu'il montre du doigt notre propension à n'être que peu fiable concernant la mémorisation...
à Lénifier selon la théorie du plus petit dénominateur commun, c'est un peu: Se réduire à la correction automatique d'il y a quelques années: "Accepter le mot fin au masculin." J'en ais discuté souvent avec des amis informaticiens qui ne cessent de dire que la subtilité des langages dépasse largement les capacités de notre système informatique. L'usage des mots clés tout autant que l'usage des aphorismes publicitaires nous incite à la mièvrerie d'argumentaires fallacieux. habituellement je m'astreins à écrire au moins deux pages par jour, tel une discipline de l'esprit à vouloir structurer la pensée. Peu importe le sujet... Et j'en arrive à ralentir le flot; du moins à l'endiguer... Mais pour en revenir aux excuses civiles... Le sentiment d'urgence nous fait souvent écrire trop rapidement ce qui devrait être le propre de l'écriture: l'intemporalité. Du moins la suspension du temps selon celui du lecteur.
Et clarifions une fois pour toutes mes interventions sur ce site!
je reste très étonné sinon dubitatif de l'existence même de cet archaïsme de la notion de QI. Comment peut elle encore procurer la moindre mesure?
Revenir même à la notion historique pour mettre en avant le coté néo-fasciste de cette pratique discriminatoire qu'est la mesure de l'intelligence?
Les critères évolutionnistes sont globalement remis en cause depuis que nous nous intéressons à autre chose que l'identité arienne. La fabuleuse histoire des mythes New-ages post syncrétiques du début du 20ième survie par on ne sait quel miracle en intitulant la pensée comme une source de référence absolue, l'idée même de progression se trouve remise en cause par l'ensemble des "événements", l'universalisme fout le camp et les minorités reprennent du terrain... Qui est le plus fort dans cette histoire d'expert? Dans l'ensemble j'en dirais que le bât blesse là ou il tire la bête!
Soyons sérieux un tout petit peu et foutons le camps de ce site merdique déjà dépassé par la "connaissance". C'est un peu comme je l'écrivais plus haut: revenir à la phrénologie.
Après, la question pourrait être: ou peut on trouver à lors actuel, dans ce qu'est devenu la relation sociale, événementielle et "buzzique", textotable en dix lignes, (con-sensualiste au plus haut point sur l'échelle de la platitude) quelques personnes pour dialoguer sur d'autres sujets que la météorologie ou l'art de se donner raison en se confortant mutuellement sur facebook?
Cette foutue manie de notre époque a vouloir se spécialiser dans un domaine particulier nous entraine toujours à penser en avance le propos de nos interventions... Et lorsqu'on parle de consensuel, la mode du politiquement correcte fait qu'aucun n'ose adresser la parole à l'autre sans se poser la question du "vais je déranger?". La liberté de ton, celle du propos même de vouloir échanger, reste soit sujette à la tentation de l'abrutissement générale, soit au compromis de la civilité les yeux en bas. Même ce qui semble être une contestation n'est plus qu'une pitrerie médiatique de plus.
Surprenez moi, surprenons nous à penser autrement que dans le courant, faire des vagues et pas quelques gouttes d'un "savoir" détourné façon je te me pianote sur wiki pour choper l'info qui tue! ces nouveau clubs de petits savants geek attitude, le macro monde au bout du cerveau et le micro onde en bout de piste, la déconnologie désabusé en service blabla crash, no futur sinon la pierre taillée... D'autres chats à fouetter, ne m'en veuillez pas, mais ces débats abscons de savoir s'il y a même une définition d'un monde possible, les post-post, entre revival et décoration mère Denis, entre Walt et les boulangeries Paul ou seule la boulangère est plus belle que sa tarte.
Ce monde là, dans lequel nous sommes coincés, n'est plus qu'un jeu vidéo de plus pour apprenti psychotique... Quoi? Mais même ce débat est clos!
reprenant à mon compte un petit "édicule" d'un autre: "Je bois je fume et je vous emmerde!". Nous avons été libre... Un jour peut être!
Mais depuis tellement de temps que désormais nous partageons nos différences comme des chiens dans un chenil. La taille du collier et sa couleur importe plus que la longueur de la chaîne. Et comme dirait un autre: "Ma tête est pleine de question et il n'y en aucune qui me satisfasse ne serait ce qu'un peu!" Ah! des réponses? mais pourquoi voudrait on des réponses? Il est chaque fois trop facile de se les fabriquer...
Alors, qu'allais je bien faire dans cette galère?
Y trouver d'autres questions enrichissantes.
Un ton moins amorphe et quelques suggestions, comme un jeu de piste...
C'est la question qui fait l'homo ce qu'on veut! Et la réponse qu'il trouve est de se satisfaire de lui même? Tiens des réponses? Mais bricolons en quelques unes; juste comme ça: Le ciel est bleu, la terre est ronde, la tomate peut être verte et ainsi de suite, ça se cumule et d'autre en remplissent des universalités. Et s'il y avait une définition de l'intelligence elle serait apagogique: Ce qu'elle n'est pas... La réponse!
Merci à vous Monsieur par défaut ou dirais je Madame ou n'importe quoi; peut être que j'écris à un poulpe qui aurait apprit chez les missionnaires, l'art de se comporter en animal de compagnie, à une plante forcément grimpante pour voir le monde d'aussi haut? Un nuage? Une ondulation carbonique légèrement azoté? Peut être encore un Alien le temps d'un trou de verre?
Ah non. Dommage! Quoi qu'il en soit merci de tout cœur d'avoir au moins la prétention d'être là... Si, si j'en avais besoin. Et pour les petits geek en herbe ce n'est pas la terre qui est plate, je te m'en collerais des définitions en post it;
Non, la question pourrait être: Peut on justifier le syncrétisme pour la raison que nous avons deux yeux un nez et une bouche? y a t'il une trace cohérente qui vaille autre chose que son appartenance à elle même? Sommes nous dominé sinon possédé par nos esprits? Et je m'aperçois encore une fois qu'une règle sur ce blog est la prose en 16. Serions nous turque que nous composerions en impaire? Tiens ça c'est une bonne question!
Oh Merdre dit Ubu! J'ai dû encore écrire trop vite et, n'ayant pas surveiller mes arrières, je vais me faire allumer par un "professeur c'est tout"!
Moi ce que j'en dit, avec un petit rhum (tout petit) c'est que je remercie notre désincarné A.M.A pour ses souffles de vérités.
Ce monde est merveilleux quand on n'y a pas trouvé de réponse.
Mais qu'est ce que les gens sont chiants!
Voilà et à très bientôt j'en suis sûr.
Posons nous des questions, ça ira certainement mieux...
Un petit peu plus loin.
UAQ à encore du temps pour s'amuser à écrire à d'autres.
Ça vient pas, mes doigts se refuse à bouger, attendez je relis tout cela, oui ! maintenant c'est presque mieux, vous avez raison 0 c'est -1+1, tautologie inintéressante ? Ou naissance du tout par la metamorphose du rien en l'univers. C'est presque divin finalement 0=-1+1, maintenant les concepts, et les actes peuvent être positifs ou negatif, on vient d'inventer le bien et le mal,entre autre je ponctué, à aimer la tautologie vas tu finir mathématicien ou philosophe ? Ou le 1+1, c'est les deux ça ? Ou aucun, l'ensemble vide, qui exprime l'inexistance, on peut même compter avec l'inexistence , puisqu'elle est négation de l'existence donc existante mais moins visible evidement. Quoi ? Un ensemble ne peut il pas exister à contenir l'ensemble vide ? Ou alors non ! 0 c'est 0, allez viens on se tire, l'autre dit c'est absolument nul, allons nous en de tout questionnement, c'est que mediocre question d'apparence et paradoxalement on veut du lourd d'apparence pour en conclure que cette discussion eut jamais un intérêt .Quitte à cracher un peu soyons gentils de dire à tout le monde de ne jamais revenir voire votre art. Avec la.conviction de ne pas voir la tâche qu'il a donné, stupeur, vous seriez surpris que beaucoup finalement s'intéresse ici à la demi parabole de sa trajectoire, la déduisant de sa tache, plus qu'à ce qui motive votre acte qui finalement ne contient pas la plus grande information, l'intelligence transformant le complexe en facilité finit à transformer l'évident en problème , s'efforçant de vous dépouiller les idées de votre personne, vous allez presque penser sans peur, presque à ce qu'ils vous sortent votre salive de votre bouche, même Ted bunty trouverez ça inhumain, non vous n'avez blesser personne et ils reviendront ici, d'autres viendront aussi c'est comme ça la curiosité tant qu'elle n'a pas atteint son object à contrôler ne peut considérer que d'autre chemin serait meilleurs, c'était juste intéressant à s'y jeter. Einstein s'esseyerait-il à à vouloir voulu être plombier, comment aurait il pu après tout, avant tout ?
Au fait, avant de boire plus de café, l'ami n'eut besoin que d'un enemi pour s'exprimer à son plus brillant, l'intelligence se révélerait t'elle plus belle dans ce qu'elle a de conquête et enemi celui qui la stimule, à vouloir le détruire on en devient doué de ne pas le laisser faire. A braver l'interdit on grimpe des murs quitte à les detruire alors qu'à y être autorisé à en être libre de le faire on ne s'en fatiguerait même pas. Je ne veux pas d'amis , je veux plein d'enemis parce que mon coeur est trop bon à vouloir être meilleur
Chapitre 2 : moi c'est ce qui n'est pas les autres mais sans les autres qui suis-je ?
Jouons au loup. Meme si votre passage fut possiblement bref en ecole primaire, mais sûrement pas assez long, bah oui savoir lire la normalité ne fait pas ça trop vite , elle se construit socialement plutôt, ils sont tous idiots ? Gauss à appris tout seul et eux ils s'en fichent juste, la lecture, l'acess au partage des idees intoporellement, ce langage codé trop usité pour ne pas etre utile a décrypter au plus vite. Ok mais vous avez remarqué vos sembables quand vient l'heure de s'improviser ensemble sans plus de règles que ne pas trop se taper dessus et rendre le responsable de l'endroit coupable de blessures, de bavure infantile. Que faisaient-ils ? Ils se courent l'un après l'autre se touche symboliquement. Oui le principe est simple, il y a un loup, qui n'a aucune différence si ce n'est qu'ont le considère tous tel quel, ce loup peut en touchant autrui le contaminer et en même temps se guérir , donc la logique veut qu'il veuille se guérir de ce mal imaginaire , même si certains aiment plus à contaminer mais c'est d'autre exeptions. Qu'est ce que le loup ? si ce n'est le regard commun à ce que vous êtes pour les autres , même pas une différence biologique, meme pas le résultat d'un acqui qui vous distingue, même pas un choix de votre part, vous êtes le loup car c'est ce que les autres se sont mis en accord à penser de vous , et ils attendent de vous de vous comporter en loup, oui ils vont vous fuir car votre comportement nécessite que pour vous détacher de votre condition, vous devez le toucher, les autres ont fait de vous le mal à vous contrainde à le faire pour se guérir de celui qu'ils vont attribué ensemble. C'est un jeu de la société miniature. Homo genius, soit vous êtes le loup du savoir, de l'innovation , soit vous êtres imposteurs à cacher que vous étiez vu comme ce loup, ce jugement au moins vous avez semble t il une différence qui a augmenter vos chances de vous y trouver, c'est presque juste à ce que la société, les autres peuvent construire sur ce que vous devez représenté sans même un prétexte que le fortuit. Glisser du verglas dans un combat de lutte, même si l'autre vous faisant face est sur le gason vous êtes tombé aux yeux des autres dans ce qu'ils s'attendaient à voir comme fin au combat, vous avez perdu fortuitement, meme si vos chances semblaient meilleurs face à l'intrépide faiblesse du farfadet se condamnant sans le vouloir à ce théâtre .
Je finirai ce chapitre sur une illustration du miniature à la société bien connue de la prédation de l'anomalie :
C'est l'histoire d'un gars à priori normal qui rencontre un homo genius :
- bonhomme file moi tes baskets .
- votre menace n'est pas assez effrayante pour que je l'exécute fuyant son danger à m'y exécuter
-ta difference, ton diagnostic a fait de toi celui que les autres s'accorderont à ce que je te choisisse en victime pour rappeler aux autre ma dominance sur eux comme la fuyant à vouloir ressembler à ta finitude aujourd'hui , ici , je suis incapable à dominer l'univers comme toi, je vais faire de toi un exemple de mon intelligence par ta destruction .
-mais tyranique individu tu es maladroit, ma douance n'est qu'un potentiel, ma douance est plus que ce qu'elle y paraît, moins que mes troublant succès pourrait l'être si je m'en décider à les montrer de ce que mon diagnostic me suggère capable de faire et ce bien plus facilement que toi , je ne mérite pas d'être martyrisé d'un.potientiel qu'au mieux si ce n'est le fuire je voudrais le considérer pour m'en faire valoir d'une différence comme un don.
- mon gars, suis je potentiellement plus idiot que toi alors, arrogante perfidie, regarde, j'ai de grosse bottes aujourd'hui , le.potentiel de t'ecraser les extrémités de ton corps qui te serve à être bipède, je ne vais avoir besoin de les utiliser pour que tu en ai peur, de leur potentiel à faire de moi un casse-pied, le potentiel qui t'es suggéré utilise les pour t'echapper de ma guerre pour mes conquêtes peut-être fais de moi le bras de tes idées, ça ne me derangera pas, tu ferais de mes coups, à ce que les autres te considérés différent, me concentrer sur ce qui semble plus faible que toi , laisse toi tomber maintenant si tu eux compris que les demi-habilte sont les idiots se refusant de la.relation du peuple soumis volontairemenr à son roi contraint de détruire pour montrer son pouvoir. Peut être un jour viendra où tu prendra ma place , tes réponse me rendent fébrile de ce que j'ai de plus profond.
-tiens voila, mon goûter, ton intelligence est la maladresse de la mienne tu veux dominer ton monde, je veux dominer l'univers, à vouloir détruire, réussie ce que tu entreprends de cette manière , satisfait de ton image qui inspire les autres à vouloir ce pouvoir sur moi, tu te detruiras toi même à te questionner de son essence, l'univers faisant de toi historique poussière à ce que me faire chuter ferait s'envoler.
Une victime ? Laquelle alors, deux victimes ? Ce serait trop tragique.
La suite ? Dans le chapitre 3 si il existe. Écris le tien. On y goûterait volontier .
On me demande souvent de corriger des textes...
Mais là je déclare forfait!
Même le goût du pastiche est frelaté...
Peut être ais je louper quelques référence du genre:
Rap and from age?
Ah oui c'est peut être ça;
Cette tendance à croire qu'en alignant les mots hurlants...
Ah j'avais pas tilter: Strike!
"Je viens d'envisager toute la métaphorique psychose de la décadence destructible de ce monde beatable. Logi-ciel qui éclaire les nués obscures de mes nuits sans sommeil ou la synthèse de l'édulcorant, éducation, me pousse à t'écrire destruction! je sors ma kalach, ma grenade à deux mains et sur un ton badin te renvoie au cachot glauque de tes incohérences motrices..."
"Scratching."
"Opus quatre: 666 est la bête et je la détruirais comme le triangle qui fait l'insurrection, qui met les frères de la cause à la margination des mondes."
"Tes réponses me rendent fébrile de ce que j'ai de plus profond."
Break!
ça y est je commence à cerner la logique!
C'est l'emballage qui fait défaut...
"Je sais pas comment te dire ce que je peux pas écrire..."
C'est le bruit!
Le bruit de la pensée qui tape à la porte.
Loup y es tu?
Comme quoi la connaissance fait des ravages...
Main tenant, (elle est drôle celle là non?)
les soliloques du pauvres...Extrait...
"Oh! ça n’ s’ra pas comm’ les vidés
Qui, bien nourris, parl’nt de nos loques,
Ah! faut qu’ j’écriv’ mes «Soliloques»;
Moi aussi, j’en ai des Idées!
Je veux pus êt’ des Écrasés,
D’ la Mufflerie contemporaine;
J’ vas dir’ les maux, les pleurs, les haines
D’ ceuss’ qui s’appell’nt «Civilisés»!
Et au milieu d’ leur balthasar
J’ vas surgir, moi (comm’ par hasard),
Et fair’ luire aux yeux effarés
Mon p’tit «Mané, Thécel, Pharès!»
...
"Assez! ou j’ vas m’ sortir les tripes
Et buter dans l’ blair des passants,
Des premiers v’nus, des «innocents»,
Dans c’ troupeau d’ carn’s qu’ est les bons types."
et puis un autre encore pour ne pas être seul à déblatérer!
Queneau: exercice de style.
"Métaphoriquement.
Au centre du jour, jeté dans le tas des sardines voyageuses d'un coléoptère à grosse carapace blanche,un poulet au grand cou déplumé harangua soudain l'une, paisible, d'entre elles et son langage se déploya dans les airs, humide d'une protestation. Puis attiré par un vide, l'oisillon s'y précipita.
Dans un morne désert urbain, je le revis le jour même se faisant moucher l'arrogance pour un quelconque bouton."
Synchyses.
Ridicule jeune homme, que je me trouvai un jour sur un autobus de la ligne S bondé par traction peut-être cou allongé, au chapeau la cordelière, je remarquai un. Arrogant et larmoyant d'un ton, qui se trouve à côté de lui, contre ce monsieur, proteste-t-il. Car il le pousserait, fois chaque que des gens il descend. Libre il s'assoit et se précipite vers une place, ceci dit. Rome (Cour de) je le rencontre plus tard deux
heures à son pardessus un bouton d'ajouter un ami lui conseille.
Composition de mots.
Je plate-d'autobus-formais co-foultitudinairement dans un espace-temps lutécio-méridiennal et voisinais avec un longicol tresseautourduchapeauté morveux. Lequel dit à un quelconquanonyme :
« Vous me bousculapparaissez. » Cela éjaculé, se placelibra voracement. Dans une spatiotemporalité postérieure, je le revis qui placesaintlazarait avec un X qui lui disait : tu devrais boutonsupplémenter ton pardessus. Et il pourquexpliquait la chose."
De beaux exemples non!
Et découvrez Tzara:
"Pour faire un poème dadaïste
Prenez un journal.
Prenez des ciseaux.
Choisissez dans ce journal un article ayant la longueur que vous comptez donner à votre poème.
Découpez l’article.
Découpez ensuite avec soin chacun des mots qui forment cet article et mettez-les dans un sac.
Agitez doucement.
Sortez ensuite chaque coupure l’une après l’autre.
Copiez les consciencieusement dans l’ordre où elles ont quitté le sac.
Le poème vous ressemblera.
Et vous voilà un écrivain infiniment original et d’une sensibilité charmante, encore qu’incomprise du vulgaire."
Et là j'ai l'impression d'être le littéraire de service...
veuillez s'il vous plait excuser parfois mon manque de pertinence pour la déscripturisation des egophones et de l'ensemble du réseau cérébro-cosmétique de vos dialecticules,
UAQVVDB.
Jeune homme A.M.A, je vous aime!
vous êtes gentil...
Et de ma part ça n'est pas qu'un compliment,
plutôt un trait de caractère qu'il ne faut cesser de cultiver.
Sans cela, la vie devrait cesser trop rapidement d'exister.
"Vouer à la destruction et en faire le moins possible",
(plutôt que l'ensemble de tous ses slogans surfaits)
devrait être inscrit partout.
L'intelligence est une astuce comme une autre pour faire face à ses responsabilités de vivre tout simplement.
Et vous avez raison lorsque vous dites, maintenant si simplement que c'est le défaut d'interlocuteur qui "nuit".
Il y a ce qu'il y a, il y a notre manière de ressentir les phénomènes
et notre manière de les traduire!
Votre sensibilité vous honore.
Il semble être de taille à supportez l'altruisme.
Quand à la désuétude de vocabulaire? Ne changez rien!
Sans être convaincu par Lacan, "je" reste très accroché au plaisir de lire pour lire et convaincu de deux grands défauts de notre communication actuelle:
L'absence de volonté de préciser une pensée, et la volonté de l'obscurcir par une argotique quelconque. Le mot est parfois une vanité qui ressemble à celle que nous avons tous: Nous sentir important lorsque nous parlons de vérités.
Quand au mystère que j'évoquais plus haut, je l'aime bien;
Parce qu'il laisse à l'autre, s'il est bien mené,
la possibilité de réfléchir par lui même.
L'écriture, lorsqu'elle n'est plus qu'un moyen de rationaliser la pensée, ce répand dans le commentaire sans fin des évidences.
Voilà pourquoi, il me semble, l'art du questionnement par "l’énigme"
est une source de plaisir!
Sous entendre... Et non s'abrutir de bruits. Ressentir le murmure de la source, plutôt que le bain bouillonnant. Laisser de l'espace... Et derrière toutes ces choses dites, on pourrait entrevoir une fascination pour des cultures moins bavardes que la nôtre. Peut être qu'il est facile de percevoir le présent à la lumière de nos connaissances, mais peut être est ce plus délicat d'entre/voir les liaisons improbables. L'explication "culturel" nous renvoie à notre propre image et ce faisant, nous ne cessons de la projeter sur nos extérieurs.
Toujours ce rapport sournois entre le titre et l’œuvre.
Bien amicalement,
UAQVVDB.
Ce fut par Alexandre Grothendieck que je compris le sens du mot mutant et ma foi, je ne puis ne pas y souscrire.
Je suis l'esclave de ce que je ne maitrise pas, je suis l'esclave de ce en quoi je crois, je suis l'esclave d'un monde qui ne peut ne pas avoir, je suis esclave de tout ce que je place au dessus de moi.
J'ai tendance à penser que nos avons de quoi construire le monde dans nos têtes. Ayant été fait avec intelligence, il ne communique qu'à l'intelligence capable de l'appréhender même maladroitement n'ayant pour volonté que celle de se faire connaitre et comprendre. Je ne perçois que deux accès: la découverte et la création. L'homme doit tout d'abord découvrir. Découvrir la vie, la réalité qui s'impose à lui autrement dit une réalité partielle. Il existe indépendamment de nous pourtant il a besoin de nous pour exister. La limite de la logique, du raisonnement, est l'exact miroir de celle de notre capacité à connaitre, à savoir, à découvrir et comprendre. C'est en cela que l'injustice de la distribution des dons est salvatrice. L'inégalité comme clé de l'équilibre. N'étant pas tous cantonnés au même limitations, ma limite est le début de votre percée et votre percée est l'espérance de la mienne. Toute découverte repousse le moment où mes aptitudes ne seront plus pertinentes de par les entraves que la vie leur a imposées. L'homme possède l'orgueil de la raison, un orgueil qui le pousse à croire que son intelligence, sa réflexion lui permet de tout savoir et que tout ce qui peut y échapper est soit exubérant soit erroné. C'est ainsi qu'il se cantonne à un univers grisailleux où il ne perçoit que l'une des multiples nuances que le monde a à sa disposition.Or, il ne serait pas fallacieux de croire en un dispositif téléologique. Alors tout ce qui aurait été mis entre nos mains serait pourvu d'un manuel destiné à l'homme pour lui-même. Tout est déjà présent, et nous nous contentons de découvrir avec une extrême lenteur (peut-être est par paresse ou par incapacité de faire autrement) et par des chemins divers. Mais ne dit-on pas que tous les chemins mènent à Rome? Nous voyons clair dans l'obscurité mais pour une obscur raison, nos sommes éblouis par la splendeur de ce qui nous saute aux yeux. Le rasoir d’Ockham nous indique la lumière se trouve du coté du simple.
Alors qu'en est-il de la création plus dû à la créativité et l'imagination. Dans un premier temps découvrir, dans un second s'inspirer pour créer. Toute ces choses qui ont été créent avant nous, ne sont en réalité que des probabilités d'existences. Car entre comprendre comment utiliser les sons qui nous entourent et la composition d'une partition, il y a tout un monde. Créons-nous sur ce qui est déjà créé ou bien serait-ce que nous maximisons ce que nous avons découvert de par l'imagination? Au lieu de galvauder ce qui nous a été proposé, nous le sublimons afin d'en tirer toutes les ressources. Autrement dit, les fondements mêmes, les éléments bruts, prévoiraient que nous puissions les utiliser de la sorte car bien que sachant les limites de leurs application d'un point de vue autonome, ils ne soient pour rien dans la conception de leurs agencements. Dans ce sens, créer serait découvrir et découvrir serait la clé.
Peut-être Descartes disait vrai lorsqu'il nous affirmait que ce ne sont pas nos sens qui nous trompent mais le jugement que nous formulons avec leur témoignages.
Le monde est perçu d'abord par/comme étant soi, puis les autres et enfin dans sa globalité. Alors, subrepticement, le destin me murmure que la fatalité fort de ses arguments spécieux, aurait stipendié notre folie salvatrice appelé superstition par moments dans sa lutte contre la raison. Car la fatalité nous rends esclaves de ses faits alors que le destin nous tient pour responsable reconnaissant que bien que possédant toute les cartes dans ses mains, la probabilité de sa non réalisation est plus qu'il n'en faut pour nous tenir pour responsable de nos actes.
Nous ne sommes libres que de comprendre les règles d'un jeu qui s'est fait à notre insu mais qui portant nous tient comme principales protagonistes. Devant la vanité de l'existence, l'indolence me guette, prête à en découdre avec ma volonté de valoriser mon existence par un geste qui toucherait les mémoires et plus encore les êtres. Ce n'est qu'alors que je prends conscience de la guerre qui se joue entre l'illusion et la réalité. Ma quête de la liberté m'aura rendu esclave de ses exigences et plus encore de ma déférence à mon individualité. Niant au groupe/ peuple sa capacité à m'estimer de la juste manière, je lui tiens rigueur de sa duplicité et de l’évanescence de ses jugements. C'est alors que je me perds dans la complexité de la chose. Je ne puis me reposer sur la vision du peuple sur ma personne de crainte que cela m'entrave et me rende esclave de l'avis publique mais je ne puis pour autant m'en départir totalement sachant qu'en l'individu il y a un tout dans lequel il s'inscrit et d'où il puise le juste fondements de ce qu'il est.
Alors, je n'aimerais voir dans le regard des autres que ce que j'aimerais être quitte à sublimer ce que je suis.
Je suis l'esclave de mes principes et cela est mon choix. Je ne puis me renier et encore moins m'imaginer autrement. Mes choix m’encensent et me jugent également reconnaissant de par la même que je suis avec vous, que je suis pour vous et contre vous et qu'au final je suis différent de vous.
Quel coté choisir? A vous de voir.
"Montrer à un homme qu'il se trompe est une chose, lui fournir la vérityé en est une autre"
Bien à vous
A M A
Bien reçu et avec plaisir!
L'impudence de détenir une vérité...
Car à peine nous la tenons et voilà qu'elle s'échappe pour en être une autre!
Ceci est une réponse comme une autre à la multiplicité de perceptions.
Quand au regard des autres? Et bien sachez que je l'ai lourdement payé durant toutes ses années d'activités. j'avais un ami qui consacra sa vie à la maîtrise de la plupart des métiers de bouche, non seulement il savait tout faire dans ces domaines, mais en parlait tout aussi bien. On aurait pensé que vivant dans ce luxe de raffinement des goûts et des saveurs, s'en était une seconde nature.
Non! son plaisir à lui était simple; Lorsqu'il venait manger à la maison, il nous demandait de lu faire des nouilles et du jambon ainsi qu'une tarte aux pommes légèrement brûlée. Les fleuristes font de même.
Et il ne serait pas question de leur offrir autre chose que des pâquerettes ou des fleurs du jardin. La plupart des musiciens de métiers adorent le silence... Puisqu'il faut un contre point!
Voilà pourquoi j'en ai acquis la certitude que l'adoration de l'intelligence, comme une croyance en un surhomme "quelconque" nuit à l'homme tout simplement. Ce mythe de l'amélioration de l'espèce qu'on aura instillé depuis notre 18ième siècle, aura fait émergé l'individualisme conquérant dans lequel nous sommes: La concurrence féroce entre les êtres pour la dominance.
C'est ce qui entache le regard des autres: Cette concurrence!
Car s'il n'y a que des compétences particulières dans une réalité interdépendante, alors chacun se trouve respecté dans sa singularité. Maintenant tout ceci pourrait paraître crétin, pour la raison que nous avons tellement pris l'habitude de nous croire perfectible, cautionnant l'idéal de l'idéal au travers de la réussite personnelle... Mais!
Si une remise en cause de ce système basé essentiellement sur la notion de pouvoir et le rafistolage avec les idéaux héroïques, est encore possible, c'est par la résistance qui fut faite durant toutes ses années.
Le monde progresse ou du moins il change parce qu'il se construit chaque fois de brique et de broc. et que chaque fois la pensée suprématiste de l'être humain recule d'autant! Et l'on ne pourrait nier que la volonté n'y est pour rien! La plupart du temps nous obéissons à notre nature dés lors qu'on la considère et savons parfaitement que ce qui contrarie cette nature par une idéalisation, une "instrumentalisation" de celle ci est mauvaise.
Et voilà qu'on nous parle depuis peu de modifications génétiques, de transhumanisme, de chimie et ou de biodégradabilité. Mais qu'avons nous fait jusque là sinon nous sélectionner les uns les autres selon notre aptitude à la survie? De la chimie même sans le savoir, dés lors qu'on passe au feu n'importe quoi nous en modifions la structure! Et revenons au regard de l'autre. du moins de cet autre qui pense penser et que cette faculté lui accorde son humanité ou pas. C'est celui là qui pose problème.
Car c'est lui qui, au lieu d'apprécier la cadeau qu'on lui donne s'en va lui accorder une valeur supplémentaire:
Plus ou moins bien et dans la plupart des cas:
Plus ou moins bien par rapport à sa propre valorisation.
Il y a peu de temps je me suis mis en colère contre une personne (en son absence comme presque toujours et en privé par habitude.) Elle venait d'apprendre que son enfant de deux ans était "diagnostiqué" surdoué! elle craignait en tant qu'éducatrice spécialisée, que son enfant ne puisse pas s'intégrer! Voilà un bon exemple de cette ségrégation concurrentielle dont nous parlons. Quoi? un petit bout d'humanité qui n'a pas la même couleur que les autres et si ça se trouve, le voilà avec un nez trop court, des dents pas droites et portant des lunettes! De cette blague de Ray Charles à un journaliste qui lui demandait ce que ça faisait d'être aveugle, il aurait répondu ça aurait pu être pire: J'aurais pu être juif et noir!
Voilà ou nous en sommes en fait:
à répondre par ce que nous ne sommes pas.
Alors les gestes dans tout ça!
L'action... et bien si elle est réfléchi l'action, c'est un peu comme un calligraphe: Il lit, il ressent puis il attend le bon moment... Pour faire le portrait d'un oiseau... Et là d'un coup il se lève, sans même savoir pourquoi et en moins d'une minute il trace toute l'accumulation du temps.
De ce conte chinois aussi d'un peintre mandaté par un empereur pour tracer dans son tombeau le plus beau dragon qui soit. Un mois, un ans, dix, puis cinquante... Le peintre refuse de laisser voir son travail, l'empereur se fâche ressentant la fin de sa vie et entre de force dans la caverne. Là un seul trait. Quoi! dit il, tout ce temps pour ça? Et tandis qu'il regardait le trait unique du peintre, voilà que l'image s'anime et que le dragon s'envole.
Il est facile d'écrire un poème lorsqu'on possède quelques mots de vocabulaire.Mais dés lors qu'on en possède cent mille,
trouver celui qu'il faut devient plus fastidieux.
Alors pourquoi faire les choses?
C'est aussi une question que je me pose en ce moment...
Et la réponse à une matinée d'étude fut dans la petite marche sur le chemin derrière chez moi. Je croisais un étudiant en psychologie cognitive... Par hasard... On papote de tout et de rien. Puis il en vient à me parler du doute qu'il avait sur le bien fondée de l'existence comme concept de départ.
Pourquoi à ce moment là, il fallait que nous parlions de ça?
Reprenant ses pôles d’intérêts, nous avons glisser doucement sur "l'anatman" et la construction du soi. il y a une dimension du temps que nous prenons trop à la légère; C'est celle instinctive d'être disponible à la rencontre.
Pourquoi, Parfois juste pour un sourire. Pour défaire un ressentiment ou bien encore pour faire reculer le savoir dogmatique!
C'est drôle tout ça... Puisque hier encore, j'expliquais à un étudiant en taille de pierre le coup de ciseau en deux temps. Le premier est souple et vif et décoche une vibration tandis que le second la neutralise pour éviter qu'elle ne se propage n'importe comment dans la pierre. Et lorsqu'il me demandait comment j'avais appris ça, je lui répondais simplement: En observant les enfants qui découvrent leurs mains. Je vous ferais la même réponse si tant est qu'elle soit pertinente à votre question de savoir ou nous sommes.
Quand aux choix?
je n'en dirais qu'une chose! (sur mon expérience)
Je fais un métier de longue haleine. Ce que j'ai fais il y a trente ans commence à voir le jour. Ce que je fais aujourd'hui est la suite de ce que je n'ai pas pu faire avant. Et ainsi de suite. Pugnace et intransigeant avec moi même, sans concession, ma liberté d'être ce que je suis et tel que je suis, m'aura valu beaucoup d'ennemis... Pendant des temps très court. Un peu comme des averses.
L'estime des autres et de soi même vient avec le temps;
Parce qu'il faut marcher longtemps sur le même chemin pour que celui là soit visible. D'un sens à l'autre, aller de l'avant puis revenir en arrière.
"Cent fois sur le métier remet ton ouvrage,
et si c'est toi même que tu forges, fais gaffe à tes doigts!"
Quand à la société...
Mes réflexions vont toujours dans le même sens!
Ayant toujours été plus à l'aise en milieu sauvage que dans cette fameuse société dont on me parle tant, j'en ai conclue pour moi même que "les objets ont une âmes". Humour bien sûr!
La société? Pourquoi est elle strictement humaine?
Pourquoi ne peut on pas dire qu'on vie en société avec une mouche?
Pourquoi l'idée même de socialisation dépendrait d'une appartenance à une espèce plutôt qu'à une autre? Dés lors qu'on laisse tomber ses aprioris, le monde entier est une société comme une autre.
J'ai connu un homme qui vivait avec des loups.
Il est mort comme il se doit: Manger par sa meute! Il le savait il l'avait choisi... J'en ai connu un autre qui vivait avec ses chèvres. Il se battait chaque printemps avec les boucs et il sentait comme eux... Sa seule question était de savoir si, pour les humains il ne puait pas trop! Il était de formation docteur en philosophie.
j'en ais connu un autre qui était tellement nombreux à l'intérieur de lui même qu'il n'avait besoin de personne en plus. Il sont tous mort ensemble!
J'ai un ami du bout du monde qui vie avec tous ses ancêtres, un autre qui ne peut rien faire sans respirer un grand coup et demander la permission à la terre et au soleil... J'ai plein d'amis étranges qui viennent "des quatre bouts du mondes parce que la terre est ronde."... Tout ça pour dire que la normalité, soyons sérieux et disons le vulgairement on se la carre ou on veut!
Je reste ici sur mon point de vue, lorsqu'on ne bouge pas,
c'est le monde qui tourne et comme nous tournons avec,
les voyageurs finissent toujours par passer.
Dans l'espoir que ma petite expérience puisse vous être utile...
Je m'en vais me faire un thé.
Bien amicalement,
UAQVVDB.
Pour le rap from age, point de caractériel tringlage de matriarche, mais un peu d'argot, c'est toujours mieux qu'un peu d'ragot pour ne pas vous la faire à la verlan. Une tape dans le dos ou sur les fesses ? On fait fonction de l'angle de l'interaction de ce que la culture nous veut intelligent, pas vrai m'sieur ?
Cher Amalgame vous dites vrai, vous êtes irreprochable, on se croirait dans un hôpital tant l'odeur détruit les bacteries, attention l'estomac en a besoin, on y respire un grand coup et tellement les narines deviennent propres on dépasse nos capacités pulmonaires et hop joyeux anniversaire. Un petit rire à l'hélium pour immortaliser le pet ? Mais monsieur ne seriez vous pas un brin ennuyant ? à ne jamais vous essayer au danger et à l'erreur. Si, mon frère qui êtes par delà les cieux, c'est important, vos échanges sont conditionnés de votre penser (c'est pas un problème de grammaire cette fois, j'vous met un peu de la rivière en mouvement de Montaigne en arrière plan) qui elle même est conditionée à votre être, votre penser ne s'en détachera pas même avec une noyade au formol. Au mieux on aura un cadavre qui ne pu pas. Yes you could. J'insiste, le début de la connaissance c'est l'erreur , le début de la volonté le danger ? Non jm'emballage ? mais je connais un gars qui connait un gars qui vend des nez rouge, c'est même peut être un de vos amis, essayez y vous.
Revenons au sage qui sépare ses interlocuteurs de différent mes sages(bien celle là aussi non ?), moi je vais juste sauter une ligne ça m'évitera de pisser une signature de trop en bas du paragraphe. C'est mesquin je ne signe jamais, j'dois être juste malveillant. Et après tout on vous reconnaîtrait non ? Ou c'est que votre penser est trop redondante qui sait, toute la différence de vos personne est dans les petits caractères qu'on lit en chantant de votre pseudo-face, à quelques points c'est tout. Soyez ma meute, mangez moi monsieur, j'espère que mes os croustille pour que votre acte n'ait pas l'air trop d'horreur à tâcher votre bien pensance. Je veux dire le contraire bien sûr. C'est que si on m'incinère pas, mon corps ne finirait pas comme ce qu'on exige comme conséquence de votre enflammante autorité se dissimulant fumée derriere un piédestal de l'amour à offrir faisant de la grandeur du penseur trop gentil la victime à ne pouvoir le refuser sans en être impoli de son apparente incontestable fondement.
Sculter n'est t il pas acte de destruction ? Transformant l'informe en la beauté de ce qui vous inspirant, d'autre pourrait ressentir les frissons. Un peu de froideur à s'en réchauffer la conscience, le coeur est trop chaud pour en vivre du bâtement de l'eternel remise en question , ce doute conquérant, intelligence . Laissez à la disette le peuple pour en faire un château de Versailles de leur sacrifice, imposé en toute bienveillance d'un simple rayonnement solaire au travers de ce qu'il fut loup garou, construction ou deconstruction ? Non la destruction n'est pas necessairement mal et le résultat peut être plutôt pas mal tant qu'on y hait. La société vous a sculté et vous en retirez son marteau, imprevisiblement piquant que rythmé piqueur, qui s'acharnant maladroitement autour de votre différence vous créa une corne apprécié de votre identité tant qu'elle n'eut de symetrique jumelle un peu plus loin sur votre tête. Vous vous refuser à la pitretrie , non besoin de vous citer, vous êtes juste à la recherche de cet enfant monsieur que vous avez cloisonné à votre moral non surmontée. N'êtes vous finalement pas fort de ce que vous appelez bêtises ou puérilité d'autrui à vous même. À nous la faire à la fontaine, avec des meutes qui meurtrie celui qui au lieu de s'étouffer de cacahuète dans l'ombre de ses convictions morales vous en jette une dans votre tignasse de Séville. Qui s'occupe du barbier se voulant paradoxale à nous raser notre ego ?
Tenez je vous offre une grenade dégoupillée, ne la mangez pas, ne tremblez pas trop, ne vous corrigez pas même si les autres vous l'ordonne gentiment, à vous grater le bec il en deviendrait blanc et survivez homo genius à mon prochain chapitre si vous tenez à rencontrer demain aussi loin que votre jardin non cultivé de vous même quelques vers se faisant boule pour augmenter leur chance de résister à vos gros talons d'Achille.
Chapitre 3 : plus haut que le bien, plus bas que le mal, du manichéisme à la couleur, un chemin parmis d'autres
Est ce bien un acte se voulant positif de votre volonté et dont l'écho vous est pércu positif :
Exemple : je te donne un dollar et tu es content .
Est ce mal un acte se voulant négatif de votre volonté et don't l'écho percu est négatif :
Exemple : je te donne une pichnette, et ton nez veut se moucher de rouge.
Ok positif , négatif , je vous épargne pas la mathématiques cette fois.
Quand est il de l'enfer pavé de bonne intention ou de l'enenmi commun vous faisant amis ?
Être manichéen, c'est trop disney personne trouve ça cool, on aime à dire qu'on ne l'est pas pour parler un peu de ce qu'on fait de bien d'ailleurs. Après ça s'enchaîne avec une sorte de "des fois pour être bon bah on fait un peu de mal, mais on veut son bien plus grand à votre plus grand bien .
Ok plus de diversité l'ami, 0=-1+1-1+1... Passe à la fractacle, d'un mal pour bien pour un mal etc.. ou d'un plus mal que bien, non la limite, la bijection du réel par cette ensemble de suite alternante. Vous n'êtes ni 1 ni -1, vous en êtes une suite infinie suivant une certaine logique se nommant moral ? Ou individu d'un premier au dernier jugement de sa valeur par autrui, comme lorsque votre doigt tremble le 6 d'un triplet bien français. Mais à vouloir que ce n'est que 1, à partir d'un certain rang même, même de votre vécu, vous en devenez si rationel, fini disons le, comprehensible, vous perdez de votre infinie complexité. De votre vitalité à ne pas vous saisir.
Transcandez la moral, mettez y donc de la couleur à votre danse
Décidément ce monde est trop sérieux...
Et les questions qu'on s'y "pause" ont au moins une vertu:
C'est d'en préciser l'écriture!
"Pas mal et même pas mal... Comme dans la cour d'école.
Action/réaction.
Je réitère potache!
Prenez un cachet rose et repartez à la case je lance les dés.
Le jeu continu.
Duel: Doc à dos sous le regard des témoins, les armes sont vérifiés:
à vous le sabre, compagnon du tranchant, à moi le bâton et sa polyvalence.
La musique est lancé. Un peu martial, un peu mineur pour y ajouter un petit coté romantique à deux balles. Cette sorte de silence du genre spaghetti,
Talalam!
Un deux trois... Jusqu'à dix.
Le plus vile des deux et qui perdra forcément (dans la légende "gothique")
sera celui qui se retourne en premier.
- My name is King arthur..."
- you don't pass!
- C'est quoi votre couleur préférée?
- Je suis Mordred le grave élevé par ma ma mère entre deux confitures.
Tremble infidèle, j'ai sous ma bannière les gueux qui m'ont élu roi de la forêt!
- Ah te voilà enfin à découvert cuistre pervers!
Voilà longtemps que je te cherche!
Et sur ces mots, pif, pan j'esquive il attaque...
Dzim boum, à la fin de l'envoi... Pub!
C'est la coupure.
"La pâte à dent Cémoi vous offre du chocolat."
Ah ça reprend.
- "Action!"
le réalisateur à crié "action"!
Et là, la maquilleuse fait une remarque à la script d'à coté:
- Eh tu vois pas une tache sur le collant vert de Gaston des pirouettes?
Ah t'as raison! Elle lève son doigt boudiné par l'alcoolisme mondain de la réussite et le verdict tombe!
- coupez!
- Bon quel heure il est?
Oh c'est la pause hein?
Moi je me prendrais bien un petit quelque chose...
Tu fais quoi ce soir?
Oh je sais pas... ça te dis une pizza?
La troupe sors du studio après avoir éteint la générale
comme un block buster!
Keaton tu viens avec nous? En finesse...
Et là, le planton, dans sa petite guérite à air conditionné:
- Stop! what is your name!
- My name is robin of Sherwood.
- And you? What is your queste?
- My name is Camelot of the graal.
and my queste is "where is the real life!".
- Oh oK you pass!
...
- Allo Pizza presto?
- Oui?
- vous faites la choucroute?
- non!
- Ah bon j'ai du me tromper de numéro.
Mais tant que j'y pense, vous ne connaitriez pas un petit chinois...
Pas très loin d'un Mac Do?
- Euh si. Juste en face de chez vous si l'adresse est bonne.
On y trouve d’excellents croquemitaines!
Ah c'est très bien. ça nous évitera les frais de porc.
Et bien merci du renseignement et à bientôt quand vous aurez des anchois!
Le lendemain le film reprend;
- On en était ou déjà?
- Ah oui au duel pour la tartine entre ma mère l'oie et qui déjà?
tout le monde fait les dernière retouches sur le fond vert.
"You want anymore?"
...
- Ah les amis j'ai une mauvaise nouvelle!
Le producteur vient de clamecer!
Parait que c'est un coup de sa femme
dans un duel à mort, elle avait un couteau de cuisine et lui un presse papier.
- Quoi encore? Mais c'est le film qu'on a tourné la semaine dernière ça avec le roi de l'épice là, attend... Comment il s'appelle déjà ce type en imper?
- ça serait pas Vincent curry?
- Non, non! ça c'est remake.
- Non... C'est pas ça ça rime avec paella, ou donuts.
Bon ça me donne un petit creux tout ça. On fait quoi maintenant?
- Bin l'avocat de la firme veut qu'on stoppe les dépenses, donc on arrête.
Ah! On va se prendre un café?
Et là à la sortie du studio, un bobby's qui passait par là:
- Stop! You don't pass!
- What is your name.
- Euh ah encore?
- What is your favorit colour?
- ça sent la répétition foireuse
- Ah OK!
sous titré:
" vous pouvez passer Monsieur Euaenkor! Egyptien non?
- Non!
-non, c'était le nom comme ça. Parce que ma femme voyez vous, ça fait des années qu'elle me tanne avec les pyramides. C'est à cause de mon beau frère qui lui y a été quand il avait la vingtaine et alors là, il a ramené des photos à vous couper le souffle: la pyramide était tellement grande qu'il a pas pu la prendre entière! Si, si! Aussi, ça me fait plaisir de pouvoir rencontrer un égyptien parce que le dernier que j'ai rencontré c'est quand on est aller à Londres au grand musée là et j'y ais vu toutes les momies! Ah je pouvais pas louper ça. Moi vous savez j'ai toujours adoré le bacon le matin. Alors vous savez la question de la conservation de la viande, depuis que ma belle mère est morte entre deux réfrigérateurs pendant son déménagement ça nous pose un problème! alors y en qui nous ont conseillé de nous en débarrasser mais ma femme voyez vous elle y tient à sa mère. Et c'est normale après tout, c'est quand même sa mère...
Générique de fin.
... Dans une galaxie lointaine, la rébellion lutte pour un univers démodrastique contre les forces du mal. L'empereur Shazam 22. Com souhaite condamner les duels au néon, les directives des galaxies unifiées hors sapeur des temps, ont précisé que la naine rouge pointe le bout de son nez... dans la transcendance des com/com, Joseph Agrégat décide se maintenir à flot en prenant contact avec les djedaïstes de la tendance post post...
- Je reviendrais.
Dit il soudain entre deux tapotes clairsemant le frais matin d'automne.
Tactati, tactata, taticatata tita tita. Ah c'est sur canal 1654 bwb 27 712.
Je vous laisse. ça commence, c'est mon film préféré:
"Un petit Bollywood en rose"
Parce que moi la viande haché le matin, ça passe pas trop bien...
Parce que vous savez depuis que mon beau frère...
- Stop! you don"t pass!
Et décidément ce monde manque d'humour!
Morale: "Tiens c'est bizarre j'aurais juré qu'on était Jeudi!"
Bien à vous,
UAQVVDB.
Ma ma mère comme la compote...
Le réalisateur à criée comme les poissons...
c'est deux hippopotame sur le bord d'une mare... Dans la conclusion.
"Il n'y a point d'absurdités qui n'ait été soutenu par quelques philosophes."
Cicéron.
"La plus perdue de toute les journées est celle ou l'on a pas ri."
Chamfort.
"Pour ménager diverses susceptibilités, nous avions cru nécessaire de ne point révéler le mystère des amours et de la reproduction de l'omnibus.
Disons seulement que ce phénomène suit le même processus que la reproduction de certaines plantes, dont le pollen est transporté de l'une à l'autre par les insectes qui ont pénétré dans l'intérieur.
Oui, dussions-nous forcer les "voyageurs" , ainsi nommés par euphémisme, à rougir du rôle peu honorable auxquels ils se prêtent :
les omnibus se reproduisent par correspondance."
Alfred Jarry.
UAQVVDB.