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J'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ? - Page 14

Question anonyme le 13/02/2011 à 15h42
Dernière réponse le 22/12/2024 à 14h54
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J'ai un qi de 160 et j'aimerais savoir qui suis je ,que puis je en conclure concrètement ?
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1245 réponses pour « 
j'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ?
 »
Réponse de R.E.D
Le 11/11/2016 é 16h17
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Théorème d'incomplétude de Gödel/ « une théorie cohérente ne démontre pas sa propre cohérence ». Ne pouvant démontrer formellement, pour des raisons de temps... D'autres chats à fouetter que l'empirisme de la démonstration, j'énoncerais ici une évidence: La séparation foncière entre la "preuve" et sa démonstration. Une des deux propositions, tenant de la démonstration, se trouve en butée de l'évidence. Ainsi va concernant la gravitation. Si nous pouvons remarquer ses effets, les causes n'en sont pas rétroactives... Et cette manie que nous avons d'être en "justifiant" parce que l'empirisme de la logique fait que nous admettons tous la récurrence de la causalité. C'est une affaire de temps! Et ne suis pas certain sur cette confusion que nous faisons entre l'espace, le déplacement et le temps, que le propos de la causalité soit autre chose qu'une antithèse. C'est la remise en question de la logique usuelle qui fait que nous fondons nos raisonnements sur le concept de linéarité (preuve possible par le fait que la prédiction prend en compte les facteurs simples et en conclue qu'ils sont pérennes). L'ayant évoqué plus haut, l'accroissement du "volume" semble plus indiqué ici pour prendre en compte le fait que c'est la "surface" qui s'accroit et avec elle les probabilités de cognitions. (Sur ce point, ne cesse de m'interroger de "la raison du sens et de la direction"!) Effort de simplification pour ceux qui n'auraient pas accès à la complexité des mots: Lorsque j'accrois la surface de mon habitat, mon déplacement devient il plus long? Non. Il devient plus complexe en admettant plus de chemins possibles. Sur cette évidence simpliste, l'idée que nous puissions ajuster les paramètres d'un déplacement restreint à ceux d'un déplacement possible engendre la notion du choix et de la nécessité de celui ci! Ainsi tombe le mythe de la simplification. Lorsque nous constatons l'évidence c'est qu'elle nous contente de ses vertus évidentes. Le piège des mots à vouloir que leur emploi soit la référence ultime, pose la question de la justification d'antériorité... Ais je pu être utile? Maladroitement mathématique (encore une fois, l'exercice logistique facile) Bien à vous et tout à fait d'accord que les questions oiseuses fâchent par leur ennuis. Et pour finir la constatation que nous sommes ici et par la communication, en interdépendance depuis un bon moment... L'interpénétration des styles et du vocabulaire en fait écho. Merci! UAQSPDQ...
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Réponse de The_monkey
Le 12/11/2016 é 00h45
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C'est l'histoire d'un object qui fut blanc et rouge à la fois, tout bleu disons, jusqu'à ce qu'on le regarde il alors choisit sa couleur, de sang ou de paix. Notre regard en fit réaction ? Non de chimie ici. L'univers est ce qu'on se represente de la réalité et que l'on s'en distingue, la physique et les mathématiques, même si savoir commun on ne voit que ce que nous permet les outils que nous avons rencontré nous le permettent . Outils n'étant que regard d'autre sur cette cassure entre soi et tout le reste. On voit que ce que l'on s'attend à voir, ou alors ce que la réalité s'y refuse, le doute. La logique son Meli mais oh? Une fois j'en ai parlé dans un forum de mathématique , je fus kické (coup de pied en anglais) banni et mon message supprimé, ceci n'étant pas consideré comme.mathematiques. Point deux hargne, de points zero, cinquième étape du deuil de l'échange impertinent atteinte. Mais de leur jonglage de la logique au travers d'équations qu'on ne sait saisir leur solutions à savoir même si elle existe. elles ont sens ces solutions ? nous en allons trop compliqué déjà, alors en demander sens à l'équation , c'est un singe, en l'occurrence, dans un parallélèpipede (les mots compliqué je les orthographie bien parce que leur exeption le mérite justement ?) qui se remplis de mercure, tombeau de nos idées des lors qu'on est pas asssez fort de ne pas s'y laisser prendre non dans les syllogismes ou les sophismes, ça se recycle ca, mais plutôt de tomber dans la conviction, erreur en puissance. Je vous l'affirme toute connaissance est fausse, je vous l'affirme nous avons besoin d'elles et nous créons tout un monde que l'on perçoit. Que quelques volontés s'y accordent comme un pc qui ne bug pas à nos demande ne veut sûrement pas dire que nous en avons saisi l'essence de son fonctionnement. On ne le comprend pas, on a appris à l'utiliser , c'est ce que j'appelle empirisme. Un raccourci efficace, on ne pense pas tout, juste ce qui nous répond , on ne comprend pas tout , juste ce qui nous permet d'en faire outil, pour ne pas vous reprendre msieu. La théorisation c'est représentation, interprétation de ce qu'être disocisé du tout, nous interagissons du reste de ce qu'on est pas en soi. À chercher une harmonie dans l'absurbe, même si celle ci est efficace, elle n'est pas verité, même si beaucoup s'y accorderait d'un ping pong avec les phénomènes environnant et ce que cela donne de grandeur à la volonté, d'influencer l'aléatoire aux intérêts animaux. (Ce n'est pas vulgaire je connus des animaux très forts) On croit en la vérité mais on n'arrive jamais à démontrer son existence. On l'utilise donc elle devrait exister du moins ? Avançons dans l'espoir de pouvoir définir mieux demain ce que l'on s'efforce de concquerir aujourd'hui. L'intelligence, c'est ce pas répétitif en avant, de sa complexité grandissante.
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Réponse de The_monkey
Le 12/11/2016 é 00h49
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C'est beau trois ennéagones, quitte à faire le poirier, on s'y crée quelques superstitions. Comme peur d'un coup dans le poumon on en respire mieux après qu'avant.
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Réponse de The_monkey
Le 12/11/2016 é 03h49
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D'un décagone à ce que l'ami se pose questions, d'une décadence à se refuser de vouloir être the one réponse, un point deux sens, ou plus ? On en est pas si loin d'un disque à enchanter brièvement une pensée. [AC] de géométrie, de polygones trop régulier pour en suivre la droite de ce fil. D'une decenie se terminant, les polygones have gone non du passé, un patio marqué.
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Réponse de R.E.D
Le 14/11/2016 é 12h27
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Toute connaissance est fausse?! Et oui en elle même, partant toujours d 'un empirisme quelconque, n'importe quelle "vérité" servira de prétexte à échafauder n'importe quel théorie... Bien différencier ici le discourt de son sujet... Ais je raison d'avoir raison? ais je tord d'avoir raison? Ais je raison d'avoir tord? Ais je tord d'avoir d'avoir tord? Passons à autre chose voulez vous? Nous avons ici certainement d'autres débats à mener sur la constatation de la contre façon structurelle! Après 10 nous voilà à 11... Retour à la case départ. Tout est dit et il suffira de relire dans l'ensemble ce qui fut écrit sur ce forum: Nous avons répondu à la question. Peut être quelques éclaircissements comme une allumette auprès d'un bucher histoire de remettre certains à leurs places d'avoir la moindre prétention en tentant d'en avoir une! Ceci écrit, je parts en vacances de vous vous remerciant tous pour votre contribution et ce temps accordé de récréation... mutuel?! Ps/ nous n'avons toujours pas pris de thé ensemble et c'est dommage! UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 15/11/2016 é 22h27
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Comme une lecon qui se termine ? Potasser le cours un nano potentiellement tera de réponse y serait ? Toujours du relavitisme du lecteur et son interprétation . La vérité ne serait elle finalement pas de faire loi absolue liant celles ci, de faire relativisme de ceux qui s'y refuse dans de boucle infini non frenesique de complexité / simplification efficace en puissance de plus rapide avancé dans ce processus ? Le thé ? On se retrouve pas après Noël ? le semestre est fini ? Pour moi ce sera un café demain. On ne saurait remettre en question que l'on en sait de plus en plus quand t grandit car la course en terrain défriché y est plus rapide de mimétismew d'apprentissage que de chercher à faire marcher la quasi aléatoire ramification de la créativité. D'une etincelle exeptionelement innovante, faire le feu est primitif, d'un regard distrait ces questions sont de plus d'ampleur, mais surtout sont problèmes ouverts mieux qu'avant t, lisez dans deux cas : besoin d'inspiration ou confirmation de votre brillante avancée ou simple folie. Que ce débat ait pu en inspiré quelques singes. La moitié fut ecrite, reste plus qu'à la chiffoner, le papier reste à ce que vous usiez les deux côtés de votre effaceur.
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Réponse de The_monkey
Le 06/12/2016 é 05h14
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Un ciel plein d'étoile fait du soleil un détail ? Un gant de boxe suffit à faire paix sans qu'on le porte ? Homo genius vous partez en vacances, parlant de refuser place à certains, un écho qui chez moi me dérange, après méditation, dans le sens où extirper usager de la proximité du fauteuil qu'il conçoit de s'y assoir n'est non moins réfléchis qu'interchanger les places avec son guardien à moitié corrompu de l'existence du trône. Ici serait récréation , alors que l'on discute de l'essentiel, donc votre job existentiel, une disette après l'afamie d'avoir dominé un.temp, un groupe serait le travail ? N'est ce pas partage qui est fertilité de piste de lancement de la créativité ? Non ce partage ici est moins récréation que ce que l'on exige de vous pour payer dette d'appartenir à cette societé. Vous survivez tant mieux , ce n'est pas mieux qu'ici. C'est de naissance mais non génétique votre différence aussi. Quitte à laisser les truands 2-1, nous disaparaissons ? D'un avantage en faire sépulture des qu'il s'y présente, c'est meurtrir l'échange par l'escapade, lâche estocade de couper court et donner tord des que possible. Je m'y refuse promptement. J'aimerais ne pas être conclusion du fil que le débat ne cesse jamais. Ainsi j'invite tout ceux qui s'égare ici à nous exprimer la moindre idiotie qui suivant l'interprétation de certain brille. Et à ceux que l'on inhiba à se révolter. Dynamique est de note espèce grandissante, avoir raison est ephemère intérêt de circonstance plus que développement de notre pensée Un singe qui vous veut partager pour devenir plus fort.
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Réponse de R.E.D
Le 06/12/2016 é 07h13
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Mais non ,mais non et c'est avec grand plaisir que... Mais un tout petit peu plus tard SVP... Pour l'instant mes obligations dont vous parlez sont: Survivre à la bêtise auto-satisfaite des prétentions de certains de mon entourage! Car ce mythe de l'intelligence fait que l'homme se croit humain lorsqu'il aligne deux mots de vocabulaires et met en forme la moindre suite logique de plus de trois éléments. Et cette déplorable manie de nous avoir fait croire qu'on est parce qu'on pense donne à certain... Bon à tout à l'heure!!! Et survivre n'est pas un méchant mot lorsqu'on a l'obligation de donner à manger à ses enfants et entretenir un peu d'espoir afin que les yeux brillent! Ne jamais se soumettre malgré les fatigues et les lassitudes à la pensée pour elle même. Je suis donc je pense et non l'inverse et là il fallut que je sois sans même savoir si je pensais! Veuillez m'en excuser et à plus tard d'un peu! UAQVVDB.
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Réponse de R.E.D
Le 06/12/2016 é 09h08
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Quand au thé? Et bien disons que celui ci m'est plus digeste que le petit café du matin. que la philosophie de comptoir m'ennuie tout autant que les certitudes au même prix. L'outil n'est rien sans l'usage qu'on en fait et la première des choses à faire (lorsqu'on a la chance d'en avoir) c'est de l'entretenir et d'éviter si possible d'en faire une arme par défaut! L'art de la défense n'est pas celle de l'attaque mais de l'esquive et la première des choses à prendre en compte: C'est la faiblesse de l'adversaire qui se fatigue à chaque coup qu'il donne. Mon cher ami, je suppute chez vous que la forme engendre le fond. Et que cette certitude qu'on d'autres qui est de confondre le moine avec le froc vous fait promener dans une rue commerçante en regardant les enseignes et les étiquettes, en classant méthodiquement les livres par ordre d'importance dans une bibliothèque idéale... Sans jamais se poser la question du pourquoi les écrit on? Lire entre les lignes et supposer que le cerveau d'en face puisse le faire aussi est une des plus grosses erreurs que nous puissions tous faire: "L'implicite n'est que la moyenne des habitudes majoritaires" et il faut bien le redire de temps en temps! La curiosité, l'apport de l'extérieur, le partage et l'enrichissement qu'il apporte sous entend de n'être jamais juge et flic en même temps et pas même bourreau pour une inquisition quelconque. "Il n'y a pas de mauvaise information. Il n'y a que les liens que nous faisons entre elle". Veuillez encore une fois excusez mon manque d'assiduité du moment. La situation actuelle m'oblige à être "fractal"... Bien à vous dans un manque de centrisme évident, UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 06/12/2016 é 09h31
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Msieu je suis troublé, de l'attention , j'en ai même du mal à utiliser les principe des tiroirs, ou puisque vous parlez citadin, le pigeon hole principle. Pas de coup de pieds, je comprend la théorie après tout, j'applique des fois le théorème de dirichlet, non besoin de football dans un cadre moins de diversion que pratique disons . L'autre jour je me promenai, je n'ai vu aucune étiquette, j'en ai déduit, soit que j'étais idiot soit que je pensais, il me faudra quelques années encore pour conclure . Je vous en tiens au courant . Saviez vous que le communisme est le résultat de Marx au comptoir d'un bar aimant tergiverser de société ? Non communiste, fasciné du capitalisme il en perçu quelques points de rebroussement. Certain s'épuisent sans attaque vous le savez, c'est de la curiosité . Ceux qui s'épuisent sans ceux là n'en sont pas moins. Quant aux auteur qui laissent leur message entre les lignes, apellez donc ça art ou cryptographie! Merci du pong, le singe médite le ping
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Réponse de The_monkey
Le 06/12/2016 é 11h07
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Un apport d'idée ? Qui se fiche du juge ou du flic tant que l'on y comprend de plus en plus , internet est devenu inomable muse de beaucoup , gare à ce que les sirènes n'en viennent perturber l'avancée d'Alice , Bob n'est jamais loin pour y jeter un oeil . Derriere les buissons , avec un gros apareil photo , attendant la chute. D'une belle liberté, on y danse la salsa pleine de deflagration, , gare à ne pas tomber , les pas ne s'intègrent pas naturellement Information et ce que nous faisons d'elles ? Certaines position en deviennent casse gueule , c'est tout un sport de combat à apprendre, un nouveau siècle à dompter
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Réponse de R.E.D
Le 06/12/2016 é 12h10
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Marx au comptoir? Et oui! Mais ça ne m'étonne pas... La plupart des révolutions furent faites autour d'un petit verre. L'idée nait comme ça et puis la suite la justifie puisque n'importe quoi n'a pas d'importance si ce n'est la possibilité logique de la justifier. c'est une affaire de croyance qui veut que la démarche d'analyse vaut plus que le fait. Et nous passons notre temps a avoir raison pour ne pas se compromettre dans l'inverse. Il est fascinant ce monde humain dés lors qu'on s’intéresse aux discours... Distorsion... Discursiviser... Je vous invite à vous amuser en percevant la raison au delà d'elle même. C'est de la diffusion que nait l'évidence dés lors qu'on n'a pas de recul et qu'est ce que le recul sinon la suspension du temps? Les anecdotes de l'histoire sont innombrables. Un morceau de sucre en plus et voilà que l'inégalité apparait parce que plus rien ne semble être à notre mesure... Il faudrait donc considérer l'humanité tel qu'elle se défini comme incapable d'être à la mesure du monde ou le monde non ergonomique à notre humanité? Les improbables sont fascinants! Toutes ces associations susceptibles de remettre en cause la moindre théorie en remaniant constamment le propos de la vérité admise. Parce qu'en somme, il n'y a qu'une seule vérité qui vaut bien qu'on s'y attarde: le respect du phénomène vivant qu'elle qu'en soit sa forme... L'irrespect vient de la catégorie et même si celle ci nous pourrait être utile, l'expérience nous démontre qu'il n'y a pas de cas général ni même de loi autrement universelle que celle que nous désirons appliquer dans un souci d'ordonnance confortable. L'homme derrière l'humain puisque l'humain n'est qu'une définition de l'homme qui n'est qu'une définition de plus: Preuve en est qu'on donne des noms d'oiseaux en psycho-morphologue des vertus. Et ce va et vient synaptique fait qu'un ours est un ours parce qu'il ressemble à ce qu'il est. Pourquoi voudrait on se comprendre et se situer dans une mythologie verdoyante d'un paradis quelconque? La conquête de quoi? ... Devant le fait que seul la vie vaut d'être vécu. Elle réserve bien des surprises parce que, qu'on le veuille ou non, l'improbable est plus riche que nos moindre spéculations. L'esprit est fait de cette sorte qu'il copie l'univers pour en être le fruit. Il n'a d'autre taille que la définition qu'on s'en donne. Plus la définition prévaut plus la peau de chagrin se ressert. Finir et commencer à la Dorian Gray; Insensible aux vicissitudes du temps en encaissant les coups sans avoir la moindre révolte sincère sans combattre sans vouloir être juste bien, est justement inhumain! (ou justement trop humain de cette certitude que nous avons qu'il faut corriger ce qui ne nous semble pas à sa place!) Il me fallut un certain temps pour maîtriser ma colère et faire la différence entre celle ci et son assimilation destructive qu'est ce qu'on appelle la haine ordinaire... Et cette mémoire infaillible parfaitement neutre et objective du photographe pratiquant le netteté sur les profondeurs de champs pourrait bien finir par obscurcir la troisième dimension. Sans contour et sans heurt, tout est affaire d'atmosphère. Rien n'existe en lui même et par lui même et concevoir le système n'est pas isoler ses moindres composantes... Réduire ce monde à une fantasmagorie mécanique, si parfaite soit elle, vaut à en faire une horloge! J'évoquais plus haut la notion du temps qui se réduit à son passage remarquable parce que remarquer! C'est le scotome qui masque la perspective et celle ci n'est encore qu'une illusion d'optique. Si, si... Tout ceci pourrait paraitre "abécédaire" mais une fois encore devant l'absurdité de la complexité de ce qu'est devenue le syndrome de "supériorité" remettre ces évidences sur le terrain est devenue "taper le poing sur la table!" L'ensemble de notre "systémique" se base sur l'ordonnance et ne peut donc s'appliquer qu'au travers d'une idéalisation arbitraire de conquête. La lutte pour la survie en découle et ce qui en suit donne immanquablement l'interrogation du pourquoi... Du solipsisme... Qu'en est il de ce pourquoi lorsque vivre est une évidence? Et "le monde entier se passe parfaitement de chacun de nous mais aucun de nous ne se passe du monde entier." J'en arrête là! Et vous incite encore plus à vous révolter devant toutes les certitudes qui ficellent trop facilement les relations sociales... L'improbable histoire d'amour entre l'homme animal et ce qui l'entoure vaut bien qu'on mette en berne l'intelligence spéculative pour vivre un peu mieux avec celle plus appliquée de la gestion des autres! Et pour cela le rire et la faculté que nous avons d'abstraire le quotidien de sa désagréable habitude d'être parfois déplaisant parce que blessant... (Mais sans la douleur, aucun ne pourrait se maintenir en vie! Aussi pas d'aspirine.) ... "Dors jolie truc je veilles sur toi et tiens je te fais rire en plus" Quitte à paraitre puéril, à la veille de Noël vouloir croire au père du même nom, à la gratuité parfaite et à la bonne intention pour elle même. Bannir les conflits d'intérêts qui pourrissent et rationalisent en banquier le taux d'intérêt, la productivité, la rentabilité. Devenir fou lorsque la raison est froide et s'avère être incapable de faire vivre qui que ce soit sans envisager de mourir un jour. Plus d'étiquettes plus de classements et le doute de n'être plus assez intelligent pour "discerner"? Non ,non... C'est alors que débute seulement le règne absolue du méta-discernement. La critique de la critique et la célébration non relative de notre vanité à nous donner raison! Tiens comme ça passez sur le registre de la nécessité de vivre... Lorsque j'ai le moindre doute je me relève la nuit et je regarde mes proches dormir. Ceci vaut bien d'être habile pour pouvoir se dépasser! Non? Il n'y a pas d'effort qui vaille lorsqu'on les fait pour soi même. UAQVVDB.
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Réponse de R.E.D
Le 06/12/2016 é 13h08
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Le temps que je vous écrives une réponse est tombée. Internet donc! D'abord vous avez parfaitement raison! Les théories conspirationnistes en tous genres, les néo gourous et les informations impossibles à vérifier (si tant est qu'il vaille la peine de les vérifier) nous pousse de plus en plus à être sceptique sur tout et n'importe quoi! L'évolution de la toile cessera d'elle même lorsque chacun considérera la grande bouffe culturelle comme une émanation du commerce mondialiste. Chacun y fait sa petite publicité pour sa petite compréhension d'un problème quelconque en espérant y trouver profit. Les dé-bunkers de "quoi on se demande" cherchent à en rajouter une couche dans des analyses "rationalistes" histoire de compliquer le jeu en opposant une force pseudo scientifique à ce fatras d'obscurantisme. Mais permettez moi de constater que cette état de fait n'est que le miroir de la société dans laquelle nous vivons: Une grande fiction dénuée de réalité! Cela fait des centaines d'années que nous sommes censé évoluer par la "connaissance". Que seul ceux qui y ont accès ont une place convenable parce qu'ils pensent avoir "raison" et que cette fameuse raison nous donne toujours tord devant la raison de l'autre. Personnellement ayant un peu de bouteille, un peu d'expérience aussi, je pourrais affirmer que nous vivons actuellement dans un feuilleton télévisé fantastique qui ne vaut guère mieux que ceux des années 60! Une fois qu'on à ingérer le moindre synopsis, les "bibles" (en langage cinématographiques d'auteur) de ce qui fut la "fiction" prospective du vingtième siècle, on passe à autre chose assez rapidement! Entre plus belle la vie et les réminiscences d’Hélène et les garçons, entre au pays de Candy et les épisodes de la quatrième dimension (X files compris en resucée) ce monde d'intelligence n'est qu'une fiction qui maintenant demande à être bu jusqu'à la lie! Mais pour s'en apercevoir, il faut venir d'une autre époque, d'une autre planète et voir d'une autre galaxie. Aussi la surprise vient lorsque, d'un coup, l'impression d'originalité du scénario contrecarre la proportion d'effets spéciaux... L'histoire est écrite et lorsqu'on y a accès, on pourrait se contenter d'y voir une boucle perpétuel de la folie humaine! Et puis de temps en temps, un fameux improbable défiant toutes les analyses combinatoires vient redonner un sursaut de distraction dans ce monde événementiel... Tiens, quelque chose de nouveau! quelque chose d'improbable justement... Un autre regard et une autre analyse de la même réalité... La distraction donc de se dire que les clichés sont éculés, histoire juste de ne pas avoir un blues d'enfer devant la médiocrité des développements. Et comme Internet est le reflet du monde, que le reflet du monde est une fiction parfaitement digéré des autres fictions du monde, que l'ensemble de ces fictions viennent corroborés un point de vue unique de la vision du monde, il est logique que nous arrivions à un point de saturation! La grande bouffe donc jusqu'au vomitoire dans ce culte de l'abondance! Fascinante étude que de faire le tour en croisé des références usuelles de cette immense dépotoir de la condition humaine: Personnellement je décrypte assez bien l'information quel qu'est soit pour m'apercevoir de la stupidité de de cette prétention du point de vue et regarde en spectateur comment Robby le robot aura transformer le mixer de la ménagère... Comment d'autres fictions continuent de nous métamorphoser d'une probable proposition, comment encore "1984", le meilleur des mondes, Robinson Crusoé (1719) aurait il servi à Rousseau (installation à Paris en 1742) pour le bon sauvage? aura servi de référence pour mettre en place le monde qui se créa. Ceci pose un problème! Savoir si la "fiction", la prospection d'un avenir réaliste n'est pas la racine même de la notion d'évolution humaine et technologique! Question de savoir lorsqu'on constate l'importance des mythes, la responsabilité de leurs auteurs et le seuil de conscience... Question subsidiaire concernant le pouvoir de la volonté humaine! Et oui mon bon amis! internet est la pire et la meilleur des choses qui a pu nous arriver depuis notre début d'humanité! Et comme l'exce
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Réponse de R.E.D
Le 06/12/2016 é 13h19
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L'exception mérite qu'on s'y attarde, la question subsidiaire est de savoir le taux de responsabilité de la fiction dés lors qu'elle offre un certain crédit. Reprendre l'histoire d'internet en considérant ce genre extraordinaire qu'est la fiction réaliste: Ce mélange subtil entre faits réels et imagination du genre "Dan Brown". Louis Powells et Jacque Bergier: "Le matin des magiciens"... Personnellement les points de vues et images du monde me révoltent tout autant qu'ils m'amusent et j'attends impatiemment la fin du film! Internet est une agence de publicité comme une autre qui vend ce que le consommateur a besoin! C'est tout ce qu'il y a à comprendre. Ce que le consommateur à besoin! Et ceci devrait faire réfléchir: l'effet miroir en publicité! qui consiste à considérer que l'information forme la réponse du consommateur et réciproquement!
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Réponse de R.E.D
Le 07/12/2016 é 10h16
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Je réitère donc sur le traitement de l'information en précisant que toute information est une propagande! La question qui reste en suspend est de savoir identifier clairement l'idéologie qui se cache derrière... L'idéologie dit bien ce qu'elle dit: C'est une idée du monde et non pas le monde lui même. C'est une fiction qui vaut comme toutes les fictions sa place de fiction: "L'illusion que nous dominons ce que nous voulons par la seule force de nos pensées!" Ce commentaire est neutre dans la mesure ou nous pouvons confondre l'idéologie et l'utopie. La frontière est mince entre la perception d'un point de vue différent et la confirmation de l'intuition d'une vérité admise. Dans la plupart des cas, l'idéologie qui s'applique fait reculer d'autant l'utopie dans la mesure ou nous pouvons considérer que l'utopie est de même nature que l'horizon. Ce qui nous amène à l'idée (raccourcie) qu'il n'y a pas d'évolution possible autrement que dans la récapitulation critique des savoirs. Remettre donc sa vision du monde relative à soi même et ne pas la confondre avec la réalité n'interdit pas pour autant de fantasmer sur les impossibles afin de les mettre en œuvre. Mais pour cela, le genre est important! Et le genre "relatif" qui consiste à observer avant d'agir, à refuser la possibilité d'avoir un point de vue unique pour la raison que celui ci prévaudra sur tout autre point de vue par ethnocentrisme, bref l'abandon de cette notion de conquête d'une "vérité absolue" qui semble être devenue le propre de la qualité "humaine"... Mais je digresse encore ici (et pour des raisons de temps) la synthèse grossière du téléscopage! Ne pas confondre l'univers avec la pensée que nous en avons. S'observer penser et faire la distinction entre la réalité qui se passe de nous et celle que nous créons. Et même lorsque nous constatons que les deux ne deviennent plus qu'un tas de nœud (au point que chaque décision semble faire briller le soleil ou éclater des têtes) s'assoir à ce moment et commencer à dénouer patiemment les couleurs du monde lorsqu'il vire au marron caca! Être toujours attentif puisque quoi qu'on fasse nous en faisons partie, de ce monde, nous oblige constamment à être responsable le plus que nous pouvons de nos actes et donc de nos pensées qui les génères! La maîtrise de soi est certainement plus importante que la justification plus ou moins intelligente des phénomènes... C'est une ère d'idéologie! Rien de plus qu'une fantaisie conceptuelle qui cherche à s'appliquer. Trouvez la racine et remettez la dans son pot bien à l'abri, dans une serre chauffé à la bonne température et vous verrez certainement se pointer une belle ordonnance du genre pas de nuisible et tout est bon! Et j'en vois de plus en plus qui, piégé dans le reflet de ce miroir aux alouettes, en oublie de vivre: Simplement vivre! La question sera encore une fois, en tiroir, d'établir la légitimité des critères.
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Réponse de The_monkey
Le 10/12/2016 é 00h44
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Et rien n'areta le penseur pour qui le plus dangereux parmis les plus dangereux ne fut que lui.meme . On pourrait s'adapter à avoir accord des pairs, à mesurer de jour en jour à quel point les autres danses de notre chant qui ne nous considérait même pas avant que le on fasse mieu qu'eux la bas. On pourrait se dire que l'on en cherche une vérité , qui surpasse ce premier. Titubant le narcissisme. On pourrait se dire que tout est finalement relatif , qu'on aura jamais raison que nous ne sommes que mouvement ayant l'air intelligent pour ce qui fonctionne comme nous un peu moins bien ? On pourrait essayer d'y échapper en permanence dans la.foi d'une intelligence que l'ont va atteindre. D'un escalier que l'on grimperait d'oser de croire, d'une croyance dominant l'ego. On pourrait essayer de douter de tout cela de devenir fou , car rien ne semble assez sure pour être base de notre conscience . D'être créatif . D'étape en étape, on ne fait que s'en échapper, des lors que l'on y est assez intelligent pour la comprendre, ne pas s'y laisser dompter. Des lors que l'on eu compris on voit plus loin que ce que les autres n'ont pas saisi d'anomalie à la nôtre. J'ai personnellement avancer sous le.joug de barbe paradoxale , un acerbe barbare paralysé de penser. Il eut dessiné une carte, que certain appelle chemin du trésor. J'ai suivi les flèches jusqu'à ce que je réalise que ces flèches ne furent que la folie d'un, l'intuition d'un . Et que les pièces que j'y trouverai ne serait dans le cas de ma réussite réponse à mon questionnement. Soyez en colère homegenius , mais vous ne faite que criez différence qu'ils n'ont jamais choisis . À trop refuser nos différences si l'on en finit pas sacrifié on ne demande qu'à l'être ? De qualité d'expression aux qualité d'un Churchill rencontrant Picasso clochard impressionné de peintre, nous n'exprimons que rarement l'efficace à faire foule notre ombre , toujours là diversité à faire foule notre enemi. Je me tais desormais. Dans l'espoir que je ne le considère jamais comme réponse adaptée.
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Réponse de The_monkey
Le 10/12/2016 é 00h50
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Brillant desacort de masse , si ce n'est dominer foule, ça en finit tragique d'y avoir penser. À être maladroit . La maladresse ne fut jamais que ce nous nous refusons de douter un temps, qu'à avoir quelques conviction on osa les imposer .
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Réponse de The_monkey
Le 10/12/2016 é 01h30
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Géométriquement on se complexifie, dans une direction que je ne saurais déterminer mathematiquement, car la science n'en est que la trace sur le sol marqué de nos exeptionels pas. La métaphysique une direction pour laquelle personne ne s'accorde finalement , jusqu'à ce que on tombe le.mur du pire qu'on imagine , que l'éloquence ou l'élégance d'un d'entre nous nous en eut convinct que ce fut si ce n'est le chemin parfait , un passage plus qu'intéressant . Avancez homegenius , nous avons besoin de vous .
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Réponse de R.E.D
Le 12/12/2016 é 11h02
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Méta-physique? Au dessus de ce qui est mesurable selon certains, tellement abstraite qu'on n'en mesure rien, qui échappe au ratio, qui ne sert pas à grand chose pour la raison qu'elle se confond dés le 17ième siècle avec la théologie le mystère et le "sacré"... Méta-physique donc comme obscurantisme, occultisme et croyance. Et reprenons dans l'ordre cette sorte de singularité issue d'un totalitarisme de l'égalité: J'explique l'élévation, la sortie du sprint, le nez dans le guidon lorsque toutes les routes mènent quelque part, il est temps d'en établir la cartographie... De se poser dans le bureau des certitudes et d'établir le raplapla de la montagne en courbe de niveau depuis le niveau de la mer... En oubliant le pourquoi du niveau de la mer? Méta-physique en au delà du haut et du bas, de la comparaison sans opposition de l'état des lieux et des phénomènes et qui serait sans jamais être ni au dessus ni en dessous de la physique. D'une méta-analyse intéressante du tout sans jamais postuler de celui ci. Sans méta- physique, il n'y a pas de physique, il n'y a pas de lecture possible parce qu'il n'y a pas de langage possible parce qu'il n'y a pas d'abstraction et pas même d'idée puisqu'il n'y a pas d'idéogramme, pas de représentation possible: Pas de concept et pas de logique. Rien n'existe en dehors de cette notion scintillante de la méta-physique. Tout commence par la rêverie de mesurer! Sans elle, sans cette méta- physique, l'obscurantisme place les bornes de la destiné dans l'incompréhensible soumission à ce qui semble être. L'ensemble de ce que nous appelons les sciences "physiques" dés lors qu'on se réfère au sens premier, ne peut exister sans la préexistence de la méta-physique! La méta- physique est la question absolue, La physique est la réponse probable. Et lorsqu'on suit ce raisonnement, s'il n'y a pas de question, il ne peut y avoir de réponse. Et raisonnablement, par l'observation, c'est la réponse qui est ici sous caution dés lors qu'on s'aperçoit qu'elle dépend de la question. Pour autant, la tentation d'inverser l'ordre des choses, et de glisser d'une réponse vers une autre question (comme encore une causalité) ne peut engendrer qu'une question dépendante de la réponse et non pas une question indépendante de toute réponse. Cette fameuse question qui serait à elle seule toutes les réponses, est au cœur de la problématique humaine! Ce fameux point de saturation et cette limite évoquée plus haut, d'une question englobant toutes les réponses ou "théorie unifiée" ne peut elle même se comprendre sans avoir en tête la première question qui soit: Qu'est ce qui existe et pourquoi se poser la question? Et l'ensemble de toutes les réponses possibles ne peut encore s'ordonner sans qu'on prenne en compte la question. La culture actuelle "globalisante" admet sa complexité comme particularisme de sa diversité. Elle constate en permanence la différenciation et ne peut admettre l'unification de sa théorisation globale sans prendre en compte son morcellement structurelle. Elle constate sans pouvoir l'admettre la complexité des interdépendances et se raccroche à l'idée d'une "biodiversité" explicative au delà de la notion d'ordonnance: Et paradoxe difficile à admettre; Elle le constate pour avoir chercher dans ses réponses la question qu'elle ne se posait plus: La question a disparu! S'en suit l'entassement des réponses, et le questionnement qu'il engendre de par le fait que chacune des questions n'est plus autre chose que la conséquence de la réponse précédente... Et donc Méta-physique est le point de rupture obligatoire avec le glissement culturel imposée. Pour faire simple, lire tous les livres du monde sans se poser la question de l'écriture, c'est ne pas en comprendre un seul pour ce qu'il est! Additionner tous les chiffres sans se poser la question du 1 (ou du zéro? Invention génial de l'opposition entre ce qui est et ce qui n'est pas. le zéro est infinie là ou le 1 se comprend habituellement comme fini!) c'est perdre le sens de la mesure! Et toutes les analyses du mondes, toutes les réponses qu'on en donne n'ont plus aucun sens dés lors qu'on en oublie l'essentiel: La question vient d'elle même et sans elle même, il n'y aurait pas de question! Alors, se poser le problème de la question me semble beaucoup plus "physique" que méta-physique: Parce qu'en réalité, ce qui se mesure c'est "l'importance" de la question et non pas l'importance de sa réponse. La réponse est une "lessive" qui nettoie la tache des questions sales afin de ne garder que la question de la propreté. La réponse n'est nécessaire que lorsqu'on constate une saleté! Et qu'advient 'il lorsque c'est la réponse qui salie? Ne dit on pas à question stupide réponse idiote? Ais je bien répondu? UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 13/12/2016 é 00h20
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Il m'arrive de répondre sans lire, de quelques suppositions de réactions survolant 3 mots par paragraphes , au point d'en oublier ce qui dépasse les lignes de mon anticipation . Je lis quand beaucoup relisent, je fais semblant de relire aussi à ce moment, mais je découvre alors car je lis, bien d'apparences cette méthode est limité de toute idée imprevues mais permet une économie d'énergie quand les echangent en sont redondant alors que je sens d'avoir raté le coche, mon attention ricoche. J'ai donc "relu". Vous apellez idéologie ce que j'appelle théorisation. Toujours de réponse à la question du fil, je le précise car certain y verraient abusive digression de débat philosphiques impertinents (quant au sujet), c'est là une généralisation nécessaire, j'en suis convaincu pour répondre non trivialement à la question posée qui consiste en " l'excess" d'être surdoué psychiatriquement , l'enfant surdoué se focalise plus sur la métaphysique que la norme . Nous sommes toujours focalisés de la question. Alors homogenius vous liez métaphysique et physique , et distinguer les deux ensuite . Je pense que la.physique n'est qu'une métaphysique plus convainquante. L'expérience y est moins réticente le pragmatique s'exclamerait d'evidences. Mais loin s'en faut que la métaphysique , qui est de donner sens à différent phénomène à priori non liés, de les regrouper en théorie est d'en déduire leur enfantement de logique comme valeur ajoutée de vérité . (Qu'est ce qu'un phénomène ?) Vous venez de le sentir, je met un prix sur la vérité, révolté ? Si oui vous êtes bon penseur mieux que bien pensant. Je m'explique. Tout investisment , même d'argent n'est que dépôt de confiance d'y avoir intérêt, la métaphysique c'est un peu la même chose . Sauf que le gain y est de compréhension d'un certain univers qui semble ne pas être dépendant de nous même, que nous semblons nous y adapter. Que l'on préfère, il faut le dire certaines de ses interpration de nos compères y pensant. Mais alors oui de question plus que de réponse, pourquoi on en préfère certaines ? Demandez vous, qu'est ce qui convainquant pour vous même ? on oublie de vivre ? C'est quoi vivre sans penser sans douter si ce n'est contempler les jardins de quelque défunt de philosophie ? Si vivre c'est satisfaction , la drogue y est pertinente comme contournement d'etre satisfait de nos valeurs. J'y revient, l'éloquence à s'y laisser faire personnelles valeurs, ou l'élégance d'une suite de syllogismes non suicidaire qui aboutissent a un semblant de profondeur dans une mère de vérités . On se posent des questions, on peut même partager des idées , même avec un phénomène de bruit d'interprétation faute d'expérience différente. La pédagogie c'est de comprendre comment l'autre peut comprendre. Mais comment on en arrive à etre compréhensible les uns des autres ? Par le langage mais c'est plus difficile que par la simple uniformisation d'un groupe. Ce qui suit va être fortement crypté , c'est de réponse à quelques uns d'entre vous : Entre le lion qui mange tout autre espèce, pour survivre, et le lycaon qui s'organise de manière sociable , pour chasser, l'homme n'en est qu'à l'intersection des deux. À ce que la morale , n'est bien que de chasse efficace. À ce que l'empathie, non toute rose, est naturellement intéressée et sûrement non innocente du pire comme du meilleurs du jugement morale de notre histoire. Un miroir projete les regards, un miroir n'est pas pour autant juge de conscience . J'en reviens décrypté : D'apparence à interprétation , d'interprétation à verité, de relativisme à doute , aussi sophistiqué que ce soit ce qui nous pousse à le faire , si tenter que l'univers existe indépendamment de nous même, c'est que l'intelligence lorqu'elle s'accorde à quelques volontés est loin d'être toujours humaine . Autant que vous vous y refusez vous manipulez sans le savoir. À chercher à ce que l'autre s'accorde, vous vous forgez, et si vous n'y pensez pas, vous le devenez. Entre orientez autrui , vers votre propre intérêt vous êtes gouroux dégueulasse, à les orientez vers leur survie commune vous etes leaders, même si au passage cela vous en convient. J'appele tout ce processus maladresse comme ci demain , ces dernières phrases soneraient de folie . Ce n'est maleheuresment pas le cas, et tant que l'automutilation d'une auto punition morale d'un espoir d'harmonie ne sera pas norme, ça va se taper dessus. Parce que naturellement on tend a prendre l'avantage à être intelligent de dominer. Comme arrière plan à chacune de nos existences, ça bouge, oui mais toujours trop lentement , oui mais toujours , on va s'y adapter au rythme du plus grand, la culture ?
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