Sans en mentionner le niveau
car cela importe peu, j'ai aussi
suite à plusieurs tests en ce sens,
un niveau d'intelligence supérieure
à la moyenne mais comme un employeur
qui prenait note de mes capacités d'apprentissage
élevés et multiples lors d'une entrevue pour un travail
Il m'as répondu qu'il est bien d'avoir cette intelligence
supérieure mais il faut aussi savoir l'utiliser ou être en
mesure physique et morale de l'utiliser de façon positive.
Par exemple, suite à un accident très jeune 2 ans et demi.
qui m'as causé des épilepsies à répétition et une hospitalisation
pour un an et demi alors ce fut le début
d'un enfer à très long terme.
Il y a eu plusieurs conséquences à cet accident
Explication: Rupture du lien maternel très jeune
avec en prime, le sentiment d'abandon qui m'as suivit
très longtemps et parfois encore présent dans certains situation
interprétés comme un rejet des autres
même si j'approche 60 ans.
Autre problème, mon père s'est mis à consommé
plus d'alcool en désespoir de tout ces problèmes
pour son premier fils et il n'as jamais cessé par la suite.
Donc pour moi un sentiment
de culpabilité via son problème.
J'ai subi à mon retour à la maison, sa violence verbale
et physique mangé ma volé toutes les semaines.
Me suis fait traiter d'innocent si je le contrariais
et aussi me faire dire par mon propre père
que j'aurais du demeurer épileptique même si
j'étais diagnostiqué pour mourir du coeur quand
j'étais hospitalisé vu le nombre journalière de crises.
En prime, une grande perte de confiance et d'estime en moi
et un début d'auto destruction enclenché pour longtemps.
En parlant de l'hôpital, j'ai aussi été maltraité par une
infirmière qui lorsqu'elle avait de la difficulté à obtenir
un test urinaire de ma part, elle me plaçait au corridor
de l'hôpital devant tous avec le petit pot de prélèvement
jusqu'à ce que je lui donne mon test urinaire journalier.
Ma mère s'en est rendu compte après plusieurs mois
de son petit manège. Gagné en prime, un grand complexe
d'uriner devant qui que ce soit même à l'age adulte.
Problèmes de toutes sortes cela prendrait un livre pour les
énumérer et les décortiquer mais en voici quelques uns
Manque de confiance en soi, jalousie
Dépendance affective, peur du rejet
Recherche récurrente d'approbation
Autodestruction, mutilations, drogue, alcool
Troubles de santé mentale et physique
Céphalés de Horton, tentatives de suicide, etc...
Étant artiste depuis jeune âge. ce n'est qu'avec la somme
de mes créations, de mes réussites à plusieurs niveaux
au fils de ma vie que j'ai pu très tardivement reprendre confiance
en moi et réussir à me débrouiller dans plusieurs domaines.
Que ce soit la mécanique, la menuiserie, la construction, rénovations, l'informatique, etc
j'ai une facilité à apprendre autant au niveau intellectuel que manuel.
Il m'as cependant fallu une somme énorme d'investissement et de temps
au niveau de mon introspection de vie pour savoir d'ou je venais et
le pourquoi de mon dysfonctionnement physique et mental dans ce
chemin de calvaire que je ne souhaite à personne même si je sais
que mon histoire n'est qu'un cas parmi tant d'autres...
Je me suis longtemps questionné sur le sens d'unité. Il me semble que tout en ce monde est uni. Pourtant, il est une chose étrange, cette chose consiste au fait que le caractère le plus générale de l'existence est aussi le plus complexe. Une complexité extensive, intrinsèque à la notion d’être. La bible nous dit que nous ne sommes qu'un seul être, que nous serions les membres d'un seul et même corps, tout en nous laissant comprendre que nous serions des parties différente de ce corps. J'adhère assez à cette idée. Il me semble qu'une attitude de minimisation de la caractéristique d'un individu du sens le plus large à l’idiosyncrasie la plus caractérisée, ne serait que déni. Nous sommes unis sous le ciel. Les hommes ont la même essence mais pas la même consistance, voilà pourquoi nous nous rapprochons autant que nous nous éloignons. Cela explique également pourquoi nous nous associons, sous un crédo - l'union fait la force-et sous une idée, mieux vivre ensemble. Naturellement, la société, cette idée abstraite conséquence de l'expérience directe et cumulée par nos mémoires passées, n'eut point d'autre option que de se matérialiser.
Le monde nous a fait une plaisanterie dont nous n'apprécions pas assez la subtilité. La seule liberté que nous ayons est celle de choisir notre maitre, les idéologies que nous défendons vont pour la plupart à l'encontre de la volonté de celui qui nous a précédé dans la course de la vie. L'équilibre veut que nous cultivions la singularité et l'égalité se veut inégale par nature et par fonction. A l'instar de ce monde, nous sommes le fruit d'une idée. Le commun amène la préservation et le peaufinement de ce qui est déjà tandis que le particulier innove pour progresser et faire progresser. Le commun serait donc le corps d'une flèche dont la pointe serait le particulier.
Lorsque l'homme naquit, le monde lui dit qu'il dépendait de lui tandis que lui dépendait de l'univers et lança à cette être ignorant un objectif qui devait porter les traits d'une quête voir d'une énigme, celle de découvrir l'idée, la volonté derrière leur existence. Avant de se murer dans un mutisme dont nul ne sut lorsqu'il devait en sortir, il lança à son compagnon un avertissement: Notre salut dépend de notre union. Tous pour un et un pour tous, tout pour tous car tout est tous. Voici ce qui fut le point de départ d'une digression sans fin, la complexité de la sentence fut la cause de sa désuétude et de l'errance humaine quasi dévoyé.
Comment serions nous unis si nous n'avons plus conscience que la différenciation de l'espèce est composante salutaire de l'unification. Qui eut cru que la chose la plus difficile que l'homme aie à faire soit la maitrise du pronom personnel. Apprendre à employer ''je'' pour le ''nous'' comme il se doit. Emploi à la limite de devenir inusité à une époque où les convictions se font la guerre. Ne pas camoufler un ''je'' par un ''nous'' tendancieux sous le prétexte d'un jeu fallacieux. Quelle intrigue que tout cela!
J'ai crû en un monde appelé homme, souverain d'un monde dont les attributs sont ceux d'une mère. Cependant, ce monde me rabroua, me traitant en étranger. Lorsqu'il me demanda qui j'étais, je lui répondit que je n'étais qu'une version légèrement modifier de son reflet.
Que le fort aide le faible à devenir fort et qu'il l'aide également dans sa faiblesse. Même anathème, je défendrai mon reflet. Je tiens cela pour une vérité et seule la vérité nous affranchira.
Le cimetière est rempli d'idées qui se meurent alors que la plaine est pleine d'idées qui se languissent de naitre.( paradoxe accrocheur)
Je ne suis pas l'ennemi des hommes mais des erreurs que leurs esprits aveugles nourrissent et alimentent.
Bien à vous A.M.A
Dieu créa l'homme mais ils ne faisaient que s'entretuer. Alors il créa la femme, mais on créa société. Et Dieu ennuyé, dans sa fureur contre l'harmonie qu'elle en fut naturelle, il envoya sur terre les mathématiciens. Il voulait que de ce chaos, on en attende le retour du fiston ? Allez, il y a bien pire, il y les penseurs. Mets en un, peu importe où, peu importe l'époque ou le groupe, voilà que penser devient contagion. Ils nous usent nos semelles à nous dire que la terre se bouge sous nos pieds, alors que l'on croyait attendre debout, stagnant.
Que j'eu la quinzaine et vla que je tombe sur Zarathoustra , qu'il eut de ses mots fut accident de mon parcours. J'avais les même questions mais il les poser mieux. Hypnotisé de verité ou plutôt de m'échapper à ce que groupe d'appartenance me veuille m'adapter de ma différence, je respira. Plein poumon une fois.
Années passant, oui la théorie de Darwin, autant qu'il fut plein de superstition de sa personne souleva rocher laissant le crabe de l'idée me pincer. Comprendre l'idée ne vous épargne pas de conséquences qui vous en sont cachées. Nash fut il économiste ?
À un intervenant , l'hosto est de rendre différence normale , accepter le traitement c'est accepter que votre différence est pathologique. Vous avez appris qu'à trop faire confiance , qu'à être si bon de s' y faire, on finit de regret à l'avoir accepter.Merci de votre partage.
Pour l'anatman super héro de la bible , n'êtes vous pas simplement à dire que nous some brownien, mais parti de l'univers avant tout. Oui, mais votre cerveau animal est programmė pour s'en dissocier. Dans d'intérêt de reproduction et domination vous avez developé ego. Vous dissociez l'univers et vous même , et vous cherchez à vous adapter, même si vous le refusez à moitié maintenant. Des millions d'années de sélection vous ont fait de cette volonté à avoir ego et rependre vos gènes. Votre mutation peut-elle s'y refuser ? Rien est t il que la totale unification Y est, oui nous somes mouvement compliqué de l'univers. La vie n'est que que boucle logique ? Ne détruisez pas votre ego de vos considération théorique , vous en avez besoin.
Quand à l'Homo genius, qui nous dit avoir tout vécu, soudainement votre épée s'eguise, vous n'êtes pas fait de vous complaire dans la satisfaction d'avoir un passé. Non vous êtes toujours là, quelle morbide idée que vous n'etes qu'adapté à votre fauteuil maintenant, je vous ai ressenti autrement.
Oui mieux qu'être bloqué, le con qui marche va plus loin que l'intellectuel assis, même expérimenté, je récidive à vous encourager d'avancer , d'oser tomber , mais de concquerir sans faire esclave .
Réponse à artisan 58:
à vous lire, la question que je me pose est:
n'avons nous pas à peu près tous le même parcourt?
Car en dehors des anecdotes de situations, qui d'ailleurs sont toutes pénibles, l'intégration semble être un souci constant! Ce problème des compétences "au dessus de la moyenne" qui fait qu'un seul peut faire ce que plusieurs n'entrevoient qu'à peine, écorne la structure solidaire d'une société bien ordonnée...
Apprendre donc à s'emmerder, à faire moins que nous pourrions faire, à déléguer et à accepter de perdre du temps pour expliquer ce qui est une évidence! Au cas singulier parler singulièrement de peur de le noyer dans des océans d'incertitudes... à celui qui peut, offrir le moyen de la découverte par lui même avec une pichenette; "La question qui tue."
Certains pourrons dire de l'extérieur, en obéissant à cette sorte de propagande sauvage qui veut que la différence soit hiérarchisé; que le supérieur le soit devant l'inférieur et que la "réussite sociale" ... blablabla...
Et oui, qu'on l'avoue ou pas, le problème de "dysfonctionnement" ressemble étrangement à celui de la "vision à distance" (clairvoyance)... Quitte à faire bondir certains qui butterons ici sur les anecdotes référentielles...
Lorsqu'on envisage rapidement l'ensemble des probabilités, lorsque le ciboulot va trop rapidement, il conçoit facilement des solutions à ce qui est irrationnel pour certains. Il explore en somme le jeu des causalités à la vitesse de la lumière... Et donc toujours décalé de la réalité du nez dans le guidon, en avant ou en arrière, il se pose lorsque d'autres en sont encore à l'urgence ou accélère pour affuter les outils lorsqu'il n'y pas l'évidence de s'en servir.
C'est une affaire de société comme nous le signalons tous ici!
Et stigmatisé par nos possibilités, nous en finissons par faire peur à ceux qui se sentent dévalués de ne pas les avoir.
Et justement revenir à ses évaluations et sur le fait qu'elles sont majoritairement faites par des gens qui ont la plupart du temps une référence à la moyenne de par leur moyenne propre...
Ah cette relation avec l'équitable, avec l'égalitarisme faussé! Cet inexprimable gâchis qui fait qu'à la souris on donne la ration de l'éléphant et qu'on affame le pachyderme pour des raisons d'éthiques! je réponds ici à cette notion d'espèce encore en interrogeant sur les besoins de chacun et ferait un raccourci pour évoquer la culture du prêt à porter, la pensée unique et la valorisation de l'appartenance à quoi que ce soit!
Non pas qu'ici je veuille remettre en cause "la non appartenance" mais plus les critères qui la conditionne. à chacun selon ses compétences... De ces aphorismes simples qui devrait être enseigné à tous: ou les sublimes paroles des divins idiots qu'on retrouve dans toutes cultures:
"accroche toi au, pinceau j'enlève l'échelle!" bien de chez nous!
Ou bien encore de Perse; l'un qui se promène dans un jardin et voit des citrouilles à terre et un grand chêne plus loin:
"comment peut on admettre qu'il y ait un ordre quelconque lorsque des fruits aussi gros rampent par terre, tandis qu'un arbre aussi majestueux en produit de si petits? Là dessus il s'endort au pied du chêne. Un courant d'air, un gland qui tombe le réveille... Et il s'écrit: Dieu soit loué: tout est à sa place...
D'une girafe au long coup qui voulait se faire lapin parce qu'elle aimait l'herbe rase... et fini décapiter par une tondeuse!
Ne soyons pas à contre-emploi c'est tout.
L'absurdité de la pyramide nous sautera au visage! Je vous demande; Qui en est le maître d’œuvre? Le commanditaire, l'architecte ou les ouvriers? Qui de la chèvre et du choux? à trop arroser le jardin on en fini par faire descendre les nuages...
Ici s'arrête le fabliau.
Si certains conçoivent facilement la tolérance parce qu'ils ont des ailes, d'autres n'en perçoivent même pas le sens pour être au raz des pâquerettes! C'est une évidence hélas qu'à encenser la base on n'en élève pas le sommet. Il en découle une certaine idée d'un pouvoir éthique qui ne peut se soustraire de sa responsabilité...
Et je procéderais par raccourci, il y a un temps pour tout. et l'arbre fait de l'ombre de par sa nature et non parce qu'il le souhaite. Il serait ainsi facile de se commettre dans l'idée d'être coupable de ne pas être une vaste plaine morne et idéal, brin constituant dans un troupeau végétal, mais cette habitude finirait par mettre en pot toutes les forêts du monde!
De la démocratie nous en reparlerons un autre jour car ce n'est pas l'esclave qui sut même concevoir sa liberté! Impolitique-ment correct choquant et malveillant? Non lucide. Ex-tendu au confins d'un soi, l'empathie qui nous caractérise voudrait le bien de tous lorsque tous ne veulent pas le bien d'un seul...
Non, la question qui nous préoccupe est qu'aucun ne souhaite que d'autres "semblables" soient élagués par les sédentaires des vérités acquises!
Et nous passons tellement de temps soit à remuer nos branches, soit à pousser hors d'atteinte, soit encore à émousser les cisailles des jardiniers en à la "Française" et des faiseurs de paysages!
La nature est "sauvage" et promet à chacun sa singularité sur la règle de la biodiversité, et c'est très bien ainsi...
De quel droit l'homme se voulant libre de ses choix s'en voudrait maître s'en s'y soumettre? Hein je vous le demande?
Spécifiquement, à notre amis du dessus immédiat
(il comprendra j'en suis sûr la connotation humoristique de la chose!)
Ais je dis que le fauteuil me rivait à une place quelconque?
Non! Demain si je veux et même aujourd'hui je fais celui qui me convient
... et même je m'en passe!
De fait j'en suis certains, nous nous entendons parfaitement bien!
C'est juste une question d'expérience... Pour le moment je me repose...
La preuve encore c'est que je vous écris et que modestement j'en vois les fruits... Vos propos sont moins acerbes et moins confus... Nous vivons hélas dans l'ère de la communication gratuite dont le sens est absent! Le moins qu'on puisse faire est d'y donner un sens.
quand à notre bon ami AMA;
vous m'aviez demander quelques pistes sur l'anatman. J'espère vous avoir éclairé un peu sur cette question qui semble un peu confuse lorsque nous l'abordons... Je vous renverrais sur Job encore (puisque ceci fait partie de votre culture)... inutile il me semble de relire le livre entier, le prologue et les deux derniers chapitres suffiront (je pense)... Lire et/ou relire avec attention ce livre ancien d'au moins 5000 ans (on le piste depuis la Mésopotamie...Et passer l'épilogue. Il semblera Hollywoodien!
D'autres pistes qui ouvrent d'autres horizons?
Quizz culture et "religion": "Sans but ni profit"...
Bien à vous tous; Je m'en va vaquer à mes occupations.
UAQVVDB.
Bonjour UAQVVDB
Merci de votre réponse
Je suis d'accord avec vous
sur la difficulté d'intégration
dans une société dites "ordonnée"
Ordonnée par qui, par quoi
La religion de notre famille,nos ancêtres?
l'éducation des valeurs morales de qui?
La première pièce maitresse de Dominos qui fit
tomber les autres sous sa Dominance.
Des que l'on s'écarte des principes de vie
inculqués à tous, qu'on essaie de mettre
un pied en dehors de la cage, qu'on veut
s'extraire des racines qui nous maintiennent
au sol nous interdisant de grimper dans l'arbre
de la liberté pour voir plus loin que l'ineptie imposée.
ont as droit alors, à tout ce chapelet
"Fait pas ci, fait pas ça!"
"Ceci est mal"
"Tu dois écouter ta mère, ton père"
"Il y as des règles à ne pas franchir!"
"une bonne gifle te remettras les idées en place"
"Vas au mur en pénitence pour y réfléchir un peu"
Réfléchir à quoi?
À une façon de penser et d'agir
qui nous différencie comme le ciel
et la terre. À pousser plus loin une
réflexion non écrite dans votre bible?
Vous roulez à combien au juste?
Puis je utiliser un moteur plus puissant
et prendre mes distances de vos déboires
existentiels? Vous êtes comme vous avez
appris à être mais cela vous appartient t'il
vraiment? À quel moment avez vous été
emprisonné dans ce voile blanc immaculé
de la vérité des maîtres de votre vie...
Et toutes ces punitions, ces gifles pour me
remettre les idées en place un peu comme
cette débile profonde à l'hôpital qui me faisait
uriner devant tout les passants ou mon père
qui me tabassait pour un oui ou un non!
Ce qu'ils ignoraient, c'est que me idées étaient
déjà bien en place, cette place inaccessible à leurs
mentalité, à leurs éducations. Cette porte fermé
devant eux qu'ils tentaient de défoncer sans succès.
Un enfant devenu avide de justice
"Laissez moi respirez et vivre"
"Respectez ma vie et mes idées"
"Laissez moi pensez différemment"
"Laissez moi avancez"
Donnez moi la clé de cette maudite cage
dans laquelle vous m'avez sournoisement
enfermé dès ma naissance.
Vivre et laissez vivre!
Chantent t'ils en coeur
ces hypocrites, ces métamorphes
à leurs convenances.
Quand le sage désigne la lune, l'idiot regarde le doigt...
Artisan58
J'inspire, j'inspire je suis inspiré, que les idées s'en extirpent.
Homo genius je vous invite à faire des mathématiques, c'est là plein de fantaisies, plein de jeux même des énigmes qui se créent les une des autres. C'est l'intelligence qui concquérit, de sa nature à dominer se laisse aller à s'affronter de l'inconnu d'un univers indéfinissable se dominant elle même de même que s'efforçant d'en faire de même des idées des autres. Pourquoi les hommes jouent-ils encore au échec alors qu'il y a deep blue ? Mais bien sûr , la musique ça le fait aussi, l'ecriture et d'autres. Voyez cependant qu'à toute cette concentration d'intelligence il y a des maladresses, la mathématique comme armes de calculs à tout intérêt inodor à sa puissance, l'écriture come arme de charmante conviction, les mots sont même encore plus puissants, les symboles ils nécessitent de les comprendre pour s'en laisser porter, les phrases, vous pouvez les interpréter les ressentir de toute façons, vous le savez la vôtre est de l'ordre de l'antimatière annihilant toute transgression moral de cette manière. Vos valeurs y sont autoritatives de votre expression literalles. Ce fil me fait pensez, oui le débat est de se surpasser par assimilation de la pensée des autres . À ne pas confondre du débat spectacle qui est sanguinaire de montrer à public votre supériorité, aux yeux du public (non nécessairement de la spécialisation ou de vos talents quant au sujet). Imaginez simplement dans ce genre de tauremachie, l'un dise "oui vous avez souligner une de mes confusions, vous avez raison , je m'en vais y réfléchir " Le public le fera vaincu, et c'est innacetable dans ce genre de debat, pour ce que l'intéressé fut intéressé de s'y confronter.
Certe, la religion eut quelques désagrément à ce que l'on soit singe, c'est si immonde que ça pour s'en offusquer ? Et ce n'est qu'une théorie comme vous dites, y a pas le non B qui implique le A sur la copie. Mais ce fut plus question de survie de leur valeurs , du moins de calmer ceux qui y croient. Sûrement un électorat de la chrétienté peu religieu en somme cette partie chouchouté de l'agression de la theorie. La théorie de Darwin non besoin de me la redefinir home genius, au moins autant que vous l'avez comprise, vous êtes être vivant , offensé ? Comme les singes pourtant, même les insectes. Animal ne signifie t-il pas la même chose fondamentalement ? Non c'est presque plus élogieux, les vers ne sont pas animaux. Quoi que l'éloge non loin de révéler admiration, se voulant vous ressembler peut signifier de vous en déloger de ce qui vous fait briller.
Vous parlez d'eugénisme , de génocide à l'ADN ? Ca viendra, ça s'estompera ? Je sais pas peut être des robots. Mais oui encore faudrait t il donner un coup de main à ce qui est adapté. Qu'est ce qui est adapté, si ce n'est la diversité ? C'était pourtant facile de ne pas montrer en effigi ces idiotes interprétations du Darwinissme, seriez vous un brin populiste homo genius ou vous êtes convaincu qu'a voir ce que l'on s'attend à voir vous vous attendiez à ce que j'en sois confus sur ce point ? Le débat historique au passage fut terminé simplement parce que la médicine est le contraire de l'eugénisme , c'est s'opposer à la sélection naturelle en un sens , cela calma les idéaliste obtus de Darwinisme.
D'autant que le sujet ici est l'exception comme possiblement plus adaptée. Ca saute aux yeux , que la diversité, la pathologie, les apparences en serait de mise du questionnement . Les homo genius sont malades, oui statistiquement develope plus de trouble psychiatrique que la moyenne, de la dyslexie à l'hyperactactivė, certain ont l'impression qu'ils en sont le melting pot du trouble psychiatrique. Mais en paralelle on les considéré "intelligent " , donc on les guérie ou pas de leur maladie ? Que faire ? Allez vous laissez l'epilepsique avoir ses crises, s'étouffer de son langage ? Non assistance à personne en danger vous direz le bien pensant. Allez vous meutrir la beauté d'une intelligence alors que même qu'il est souvent dit en philosophie qu'une nouvelle en tient souvent la route de ce qu'elle est pessimiste de l'humain.
Je veux traverser cette rivières très froide ! j'ai froid aux pieds !
Oui c'est les symptôme annonciateur que je vais souffrir, ma guérison est de m'attirer à faire demi tour, si on me frappe juste en sens contraire je pourrais résister, ils me disent que je tends vers une froideur du corps totale , que je peux en mourir des crocodiles avoisinant. Ils me soulignent:
"ils y a des crocodiles tu es fou"
ne devrais-je pas répondre :
"je vois loin, dans ce domaine, convexe bornée, plus que les autres, la oú s'entasse le plus grand nombre avec ce spectre que me donne mes yeux je ne me sens pas d' y rester plus qu'à prendre le risque de me.jeter à ces eaux troubles , j'ai vu cette forêts de l'autre côté pleine de banane pour en faire coup de pied au cul à la faucheuse de la faim envahissant le peuple :
je peux guérir maladie, je ne suis pas malade !
Les regards sont ni convaincu ni convainquant, peu importe , mon esprit domine leur confusions.
"Je vais construire un pont"
Anatman, super héro de la.metaphysique,
Mais t'es Jésus ou boudha ? Leur corrélation peut-être.
C'est surement débat bien présent, surtout de la.physique théorique en ce moment, mais les philosophes y ont toujours pensé, Schopenhauer appelle volonté les phenomene que j'aime à qualifier d'un argot browien (il n'avait jamais entendu parler de Darwin, peut être son tout petit fils)
Quand je parle de domination je parle de principe primitif , comme les parties primitive de votre cerveau , tel que l'humour, ce rire soulignant contradiction de soi même ? Ou des autres par projection de quelque neurones miroirs ? Non élucidé, Euclide fut trop occupé, de ses tangentes, à coupé droite d'Euler ou autre occultes clamés de ne pas s'y circonscrire, y compris les pytagory-sienne.
Je vous laisse Candide cultiver votre jardin, Candide vous ? Non, non vous êtes assez expérimenté coupable pour vouloir faire fruit d'un peu de repos. Cela n'a rien de mal la plupart s'y accorderaient d'un peu d'hosto.
À bien tôt
Et voilà que la liberté reprend ses droits!
fi donc des convenances apprises...
Du pourquoi et du comment j'en aurais des réponses. Elles sont confusent sinon qu'elles tiennent en quelques mots ce foutue mythe d'une supériorité quelconque.
D'un esprit divin qui inspire plus certain que d'autres et qui en fin de compte aura piégé l'humanité dans une sorte de révélation personnalisé que certains auront pris soin de transformer en pouvoir...
Reprendrais sur la suite, je suis sur le départ... Merci pour ses échanges!
UAQVVDB.
Le concept de supériorité est caduque dès qu'il n'est pas reconnu comme tel. La supériorité s'opère par rapport à des caractéristiques spécifiques. Cependant, si la masse- c'est à dire un grand nombre d'individu- ne considère pas cette caractéristique comme vecteur de supériorité, alors il ne s'agit plus que de facilité qu'un possède entièrement dépendante de ce qu'il souhaite en faire et touchant que sa propre personne.
Cher UAQVVDB,
Il est vrai que je me dois de vous remercier pour le nom de ce concept. Je me suis approché des upanishad et de la sagesse asiatique pourtant je ne sais comment, le nom du concept d'anatman m'étais étranger. Cependant, à la minute où j'eus achevé la lecture de votre message le mentionnant pour la première fois, je m'attelais à réparer ce désagrément d'ignorance par de multiples recherches détaillées. Il en est sorti que je connaissais la substance du dit concept sans en connaitre le mot auquel il répond. Cela dit, je ne vous aurais pas fait l'affront de vous faire professeur d'un individu tel que moi, considérant votre temps précieux et n'ayant pas succombé à l'indolence au point de ne pas m'acquitter de mon devoir d’acquisition d'un savoir nouveau dont je puis avoir un accès aisé.
Ma question pour peut qu'elle ne soit pas assez clair portais sur votre position par rapport aux idées amenés par le concept d'anatman, autrement dit votre point de vue personnel dans l'affaire.
Un triangle, c'est beau plein de symetries, le plus haut qu'en est il de supérieur à la base ? Oui il peut tourner à changer de point de vue, et parfois même un sommet n'est pas supérieur, d'un côté en haut reposant sur un sacrifié.
Cher AMA,
tout d'abord je vous remercie de votre sollicitude.
Voilà maintenant plus de quinze année que ,pour des raisons de travail, (je préciserais probablement sa nature plus loin) je me suis attelé à mieux percevoir ce vaste questionnement de "l'esprit".
Ceci n'est pas une pipe illustrera facilement les prémices de ma réflexion sur le rapport possible entre l'oeuvre et le titre...
Et puis, par la suite au travers de l'étude de la philosophie du "zen" Soto (par une simple rencontre avec un moine) puis, encore, plus en érudition (par l'étude de textes) avant de m'apercevoir que le paradoxe était insondable pour une pensée occidentale tant que celle ci continuait d'aborder la réalité au travers d'un solipsisme tout autant qu'en dualité "science et conscience". Car ici, et dans la plupart des cas, nous avons à faire à une sorte d'ordonnance parfaitement opposée: (Du miroir et de son reflet? justement pas!) La conscience avant la science, la non appartenance à "soi- même" avant la reconnaissance d'un soi. La dialectique, qui est d'ailleurs un abus de langage (redécouvrir au plus proche "l'art du Ko'an") tendrait à vouloir mettre la pensée analytique en échec tant qu'elle n'a pas sû se contraindre à accepter sa juste place au sein de la réalité stricte.
Je me permettrais de rappeler ici qu'il y a d'un coté les illusions et de l'autre la globalité du réel. Aussi, il serait bien difficile d'essayer de comprendre d'une manière analytique ce qui se refuse au classement pour la raison qu'il n'y a pas d'ordonnance autrement qu'en outil... Que l'outil n'est rien sans le savoir faire et que la question essentiel est de savoir ce qu'on fait en en distinguant sa part d'illusion... Et que la boucle ainsi est bouclé.
Il me semble que depuis une "sorte" de toujours, "je" me suis senti proche de cette "révélation"... (Révélation qui d'ailleurs ne peut en être une puisque c'est une évidence.) dirais je c'est dans mon caractère?!
Du moins dans ma constitution sensitive: La nécessité d'être avant d'avoir, pour ramasser la discussion à un pragmatisme tassé.
J'aurais "personnellement" tendance à expliquer cette évidence... Mais revenir ici à ce personnellement si tendancieux: Ce qui m'appartient est il ce qui me constitue? Peut être juste un glissement sémantique afin de raccourcir les vaticinations de traductions caduques. ce qui d'ailleurs nous pose le problème du "mystère" dans le fait qu'il pourrait bien être un simple problème d'explicite!
... J'aurais tendance à expliquer intellectuellement cette tendance par la naturalité même de ce que nous appelons "l'existence": elle se sait "animiste" et reconnait en chaque chose ce qu'on pourrait traduire abusivement par "esprit". Et d'ailleurs nous ne ressentons que ce qui a une existence... ça n'est que par la suite, il me semble, que nous en faisons une sorte de traduction abstraite nous permettant d'en concevoir des généralités. Cette sorte d'extrapolation qui dés la naissance nous fait ressentir le lien qui nous unis à l'ensemble avant même de savoir qu'il y a une structuration... La culture en somme vient après l'état. Pourrais je dire ici qu'il y a l'évidence de ponts conceptuels avec le commencement d'un tout?
J'étais encore étudiant en art lorsqu'un de mes professeurs arriva en cours avec ce qui, pour lui, était un coup de bélier dans son édifice mental:
"Dans un bol à thé, au Japon, il n'y a pas d'intérieur et pas d'extérieur!"
Il venait de se frotter à la dure réalité du tore tout autant qu'à celle du ruban de Moebius... Ce qui cassait on s'en doute à peu près toutes ses certitudes intellectuelles topologiques.
Nous pourrions gloser durant des heures sur les liens de subordinations qui peuvent exister entre l'atman et l'anatman tels que l'on fait les philosophes jusqu'à même se poser la question de savoir la raison du mot derrière le mot...
Jeu de l'esprit ou nous aurions la certitude d'Averroes: "L'homme n'a que de l'imagination." Mais pour en revenir aux anecdotes qui peuvent étayer mes propos, je dirais juste en me référant à Dogen (et contextuellement dans ce jeu de référence) que seul le cuisinier à de l'importance!...
En mijotant des ingrédients divers afin que d'autres les mangent.
Il s'agit ici, bien entendu de prendre les propos avec toute leur ampleur et ne pas se restreindre à justement une ordonnance structurelle.
Nous souhaiterions avoir une recette, une sorte de "panacée" et l'ensemble de nos questionnements tournent toujours autour de cette "recherche de certitude": (Je me permettrais de resituer ici... Pour ceux qui n'ont pas le temps pour l'étude... Que la panacée est cette subtil pommade que des médecins grecques cherchèrent qui, enduisant l'épée guérissait la plaie!) qu'un des seuls enseignements (et là encore contextuellement dans le jeu des références qui nous occupe) attribué à Siddartha fut cette parabole de l'homme recevant une flèche empoisonnée qui refusait qu'on la lui enleva tant qu'il ne savait pas la nature du poison et qui lui l'avait envoyé. vous en laissant la conclusion tout en sachant qu'elle n'est pas si facile que ça à mettre en pratique.
Bien à vous et dans l'espoir que ceci puisse continuer d'enrichir nos réflexions!
Ah oui! Pour notre amis en soin du dessus:
à l'évidence, lorsque je trace un carré sur une surface courbe, c'est une illusion... Dans un espace infini, peut il exister une direction quelconque s'il n'y a pas une seule réalité empirique qui puisse déterminer une mesure?
UAQVVDB.
Dans l'espoir que la question de l'épée ne soit plus tranchante!
Ayez un amis, il aura vite fait de vous demander de l'argent (Nietzsche le post romantique) pour le coup peu romantique. Pour prendre votre retraite, homegenius se veut couper des têtards pour en laisser cicatrice historique à votre existence ? Non besoin d'oeil beurre ou noir ou même tout blanc d'oeuf voulant devenir oisif, ça craint, pour la misericorde, simplement ne prenez pas retraites. peut etre ici allez, pour mettre un point a votre image ici. Mais non vous allez vous reposez d'un peu, d'avant que vous ne partiez pour de bon, permettez moi de glissez ce caillou à votre manteau de culture. Que sous le fumigène à l'érotisme d'une alarme d'incendie, de ce que les autres ne connaissent pas, ce n'est pas l'occasion de pécho l'infirmière msieu. Laissez moi expliquer, puisque que je suis ironiquement du dessus l'ami, bien que je me refuse des deux. Oui ! L'amitié c'est se tendre la main, surtout laissez les autres en soufrir le piston royal. Fraternité n'est même pas république, ou est l'egalité ? De celui qui eut l'occasion de passez sa vie à lire et nous en parle comme ci nous en avions tous eu la possibilité. Encore un snobisme, vla que ça se la pète d'avoir lu Rousseau plus qu'a avoir travailler le charbon. Même moi j'ai pas eu le temps de connaître toute ses bavures. Les autres vous lisent , ils disent , ce gars là doit avoir raison, je comprend que dalles, à ses reference, même en demandant de l'aide à wikipedia. Mais mes mots ils les ressentent mieux msieu, pas de tartines ici faites d'étrange produit à consonnence elipsoide bizaroide de se suicider au fils de Staline, bon amis comme lui vous diriez "il ne peut rien faire correctement, dire qu'il n'a même pas su viser juste". Ici on questionnait le sandwich en soi. Parce que je parle de raisonnement plus que de connaissances . Vos connaissance y sont sujets au raisonnement, des cas particuliers , qu'il est réel du carré de l'unité imaginaire ? On va pas mieux en gérer le complexe. Pour vous nous sommes tous amis, ah moi j'ai essayé votre truc ça m'a refait le dos, tiens une bonne cure, à en faire un tatouage de gribouillage de ce que l'abus se nouris de confiance. Comme pré-socialiste se veut idéal pour bien dormir à croire qu'il suffit de vouloir bien aux autre pour que l'harmonie noient le conflit des egos. Si ce n'est sacrifice ? Votre épée n'est que l'aristocratie de mon revolver, je me suis efforcé d'expliquer que la mouvance humaine, conflictuelle ou d'amitié se fait de notre primitive construction .Une conjecture, non deterministe, non la ç est rêverie personnelle .
Quel bel ruban de Moebius en effet, cela n'a pas de sens si ce n'est de dire que ça n'a pas de sens, ah bel ami merci cela me fait du bien, je suis capable de me dire que vous méritez retraite maintenant à quel point votre langage nous en est lointain, vous avez oublié le peuple, même les talentueux qui ont fait de shémas plus que d'exemple leur moteur.
Au revoir , nous prenons la releve en effet, mais votre vitalité ne saurez vous y faire repos de durée indéterminée. Ne soyez pas idiot, il vous reste quelques grains a moudre semble t il, ailleurs ?
C'est beau un carré, c'est plein de symetries , quitte à vouloir ne pas s'y faire carré à suivre les cotés on va brillant à oser la diagonale dans les brousailles
Cher, trés cher voisin du dessus,
si, si j'insiste! vous avez entièrement raison...
Le fait est que nous pourrions nous satisfaire de cette affirmation:
"si l'idée de culture évolue, c'est qu'il y a une évolution."
N'en doutons pas il y a un changement.
Quand à savoir le sens que nous lui donnons,
c'est un débat d'une autre trempe.
Mettre des mots sur les faits ne change pas la nature de ceux ci.
Évaluer encore les définitions selon d'autres définitions,
faire le jeu des mathématiciens
(jusqu'à confondre l'espace et la géométrie)
ne change pas l'état d'un cercle!
Je reprendrais ici (et vous me direz bien sûr, je compte sur vous,
que les références ont un goût suranné) l'évidence que la preuve est un alibi.
... Le propos du sophisme.
"Le monde mental messieurs, le monde mental ment monumentalement"
Prévert.
Ceci dit, mes questionnements actuels (et pour répondre encore à la retraite évoqué ci dessus... Je n'ai pas dit mon dernier mot et loin s'en faut! lorsque le repos des actes se manifeste, c'est pour laisser la place à l'analyse...)
mes questionnements donc, tournent autour de l'évidence qu'une fois de plus dans nos histoires d'humanités, la fantasmagorie, l'imaginaire, encore la fiction se mêle à la réalité. Ce besoin que nous avons d'affirmer l'état par le besoin du mythe... Nous assistons aujourd'hui à une nouvelle création constitutive d'une nouvelle "humanité" par l'émergence de nouveaux paradigmes (ah Dieu, que je n'aime pas ce mot! pour la double raison qu'il évoque la "sélection" par l'argotique et qu'il faudrait encore réussir à nous mettre d'accord sur la notion de "vérité" pour envisager son emploi!)...
Le modernisme ne cesse d'agoniser pour avoir rater sa "vulgarisation" il y a plus de quarante ans. La flatterie consumériste, l'apologie du commerce par la novation spécule encore sur des "valeurs" émergentes là ou nous constatons que dans ce marais d'eaux croupies, ça n'est que bulle de méthane pour feux follet! L'idée messianique d'un renouveau, parousie facile pour millénaristes attendant l'apocalypse... Nouvel âge d'or d'une rédemption au goupillon... est le nouveau crédo de la nova-révélation.
La roue tourne "oh fortuna"! Ce qui fut rejeter par certains se retrouvent désormais loué par d'autres.
Et alors! En moins d'une dizaine d'année, on aura fait les comptes des charniers idéologiques, brûlé sur le bucher d'un "hors contexte" nombres d'hérétiques et s'il n'y avait la décence de la lâcheté humaine, le génocide entier de notre "espèce particulière" aurait été réalisé jusqu'au suicide des bourreaux. L'obsession de la vérité, de ces particularismes, de ses singularités... Et pour l'avoir étudié... de ces nouvelles communautés regroupés autour d'opinions "radicales" en devient une nécessité;
Peut être la raison en est qu'il nous faut établir une fois de plus un tissus confortable d'us et coutume, le terreau stable pour de nouvelles fondations?
La fiction ici est à son comble... Chacun est devenue prêcheur de la reconnaissance d'un point de vue dans la corruption (de la volonté d'être "utile") de peur d'y perdre son identité.
Le post modernisme tousse et bafouille d'un cancer de la respiration pour avoir trop fumé l'herbe de la connaissance: De celle qu'on survole lorsqu'on est l'abeille pour la ruche et voilà que le miel en perd sa saveur. Tchernobyl et d'autres encore auront fini de corrompre la saveur des coucher de soleil!
Quand au contemporain? Débordé de mémoire, il déterre les anciennes haches de guerre dans l'idée d'un calumet du "consensus globale" pour mettre fin au catastrophisme du sacrifice des moutons.
Et vous me direz ici que dans cet amoncellement d'images, ce texte ne fait pas exception à la tentation de confiture de notre époque?
Soit! La broderie des motifs en devient baroque et presque rococo...
Passage obligatoire du style ou le déversement de la décoration mentale s'en va dans la cabane au fond du jardin... L'engrais, (dirais je le compost?) de la déjection lorsque le corps flatulant d'avoir trop bouffer n'arrive plus au contentement de la sieste... La fête de la bière, l'orgie de la grande bouffe... Qui n'a pas encore goûter la foi grasse d'une conversion de masse?
L'épice de la connaissance, le curry de l'intellect, le piment d'en parler pour ne rien faire... Le zèle de faire pour ne plus en parler:
Kifkif à la manière d'un slam.
De "ceux qui sentent le lin parce qu'ils travaillent le lin..." Encore Prévert!
Et désormais demain est devenue une incertitude institutionnelle...
Comme on pourrait le constater, en toute logique, l'institution en dogme d'un relativisme fondamental est tout aussi absurde que n'importe quel autre négativisme! "Demain la mort" n'est pas une fin en soi et la vulgarisation de cette provocation d'un "No futur" n'aura fait que favoriser la sur-individualisation. L'"ego" si bien nommé "transcendant", fait qu'on en retourne au scatophage; La nature ici se venge de nos immortelles prétentions en nous rendant ce que nous pensons que nous sommes:
Des coprophages!
Et...
La mode est au recyclage...
Pas de perte! Et comme il se doit, la moindre pensée ne peut être gaspillée, il faut optimiser! devenir à nouveau dominant en étant responsable de l'univers entier. Et si l'univers lui même est en expansion, nous autres étant tout ou partie nous nous devons de l'être aussi! L'eudémonisme en mot savant: Le bonheur à tout prix!!!
J'en vois dans les nouveaux venus qui rejouent la décroissance sans savoir qu'il faut une vie pour créer un parfum: L'urgence du style gratine les nouilles en crème brûlé (ah la cuisine vaut bien qu'on en hume les odeurs et les leçons aussi! la nouvelle cuisine, les nouvelles saveurs... Et puis un jour l'apparition de la vertu des coquillettes au beurre)
Le constat de suralimentation:
L'obésité chronique d'un cerveau affadie par l’éclectisme qui tente de réunir dans le jeu des correspondances des analogies "évidentes".
Il nous faudra du temps! Il nous faudra du temps par décantation pour séparer la gadoue de l'eau qui dort. Et encore revenir aux sources sans les confondre avec la réactualisation des mythologies demandera, au moins, de les identifier... "Remonter le temps" ne peut être "revenir" à notre incertaine perception "progressiste" d'un passé de l'âge de pierre. Démonter le temps importe plus lorsqu'il s'agit ici de la simple survie. Puisque nous en voilà réduit à survivre à l'abondance.
Et voyez vous?
Dans ce souci de "nouveaux réalisme" prendre en compte ce besoin vital de retrouver un sens, dialogue incessant entre la mémoire résiduelle interprétative et réalité non consensuel, je me pose "moi" la question de l'équilibre. Comment ne pas manipuler la moindre conscience en acceptant de le faire? Pousser au bout la probable interprétation jusqu'à la rendre caduque... "Faire" qu'on tourne en rond jusqu'à l'insupportable sensation d'enfermement. Passage obligatoire qui détruit la maison des interprétations.
J'en ai fini de l'absurde en attendant Godot... Faire neutre, non pas en se défaussant, non pas en jouant le mort ni en passant son tour...
Pas même en imposant le parcourt mais le laisser faire à celui qui veut!
La "quête" est à l'homme tout autant que son nomadisme... Plus loin à l'horizon jusqu'à ce que la terre soit ronde.
Un carré c'est beau? Ah oui!
Il y a une symétrie et ceci conforte l'idée d'une ambivalence.
On en déduit qu'il peut y avoir un centre.
Topologie pratique des "bâtisseurs".
1 le point d'existence.
2 La projection d'un possible.
3 La prise en compte de la distance
4 la prise en compte de l'antithèse
5 l'élévation de la critique et le positionnement d'un centre
6 le volume
7 le composite abstrait concret
8 la pérennité par le renouvellement
9 l'observation du relatif
10 la création d'un système complexe
11 le retour au fondamental
12 la fusion de l'amalgame hétérogène.
à noter: Qu'en est il des populations ayant un autre système que la base dix?
Puisqu'on ne peut nier le fait que la numération quantifie le comparatif...
Bien amicalement et justement;
UAQVVDB.
à vous relire, à nous relire, je constate qu'il y a des améliorations techniques...
Le rythme d'abord se trouve mieux gérer. mieux assimilé il donne du relief aux idées. La ponctuation y joue son rôle et du coup, il semble plus facile de décrypter les intentions au delà des références. Bien que certains paragraphes soient encore façonné façon "combat de boxe", et c'est un jeu bien amusant que de mettre ses gants, la joute chevaleresque, le renvoi stimule!
L'effort poétique qui fit peur à certains "rationnels", la richesse des métaphores oblige souvent à la relecture,
enrichi de même la compréhension des implicites.
et paf et tac et plif et ploc!
La palette s'élargie et au delà des mots, la touche se précise, le paysage se trouve plus net... Nous faisons connaissance. Ce besoin viscéral de nous cacher de la critique commune rabaissant les surplus, comme on fait des ourlets, s'estompe de la grisaille de la taille unique, du propos passe partout.
Et dirais je depuis nos quelques échanges, la relation se fait. Chacun y allant de sa petite recherche rompt son isolement. N'est ce pas le but?
Parler franc dans cette liberté crue parfois de paroles qui va à nos humeurs.
Devant l'exclusion de l'exception, dont apparemment nous avons tous souffert sur ce site; retrouver la fierté d'y aller droit, de farfouiller dans ce vaste monde, la tête nue; sans masque et sans faux cols. Chacun depuis un petit moment y va de ses ressentiments, de ses craintes tout autant que du reste d'ailleurs. Non à en être encore à former une sorte de club des intellos redondants, des Snobs et des pédants... Nous arrivons à être à peu près sûr que le lecteur d'en dessous, suite, saura répondre et compléter les quelques interrogations; Réagir aussi parfois d'un camouflet aux bavards par une pause de sobriété! Aussi veuillez excuser vos surnoms du dessus ou bien encore d'ami pour certains, dans la confusion et l'ébullition de ces textes denses, l'idée même qu'ils puissent faire appelle à quelques entrelignes sujettes à interprétation force parfois à contrefaire les premiers jets. Ce besoin de compréhension... J'essaierais modestement par la suite de préciser un peu plus et en me concentrant, mes propres réflexions sur quelques paragraphes qui furent écrit. Plusieurs rebondissent et puisque nous avons passé les tests d'admissions réciproques, je pense, j'espère, que nous pourrons de même franchir les généralités obligatoires pour peaufiner certains "saute à la gueule" dont nous avons le secret!!!
Dans l'effort d'une compréhension mutuelle et d'une volonté de partage car il me semble naturel que nous l'ayons au delà de nos clivages,
Bien à vous,
UAQVVD...B
Etes vous mort un temps pour méritez le Phoenix d'un Renard ? La retraite c'est le salut ? En début de message ou d'echappade à la fin de l'échange , ou peut être un peu de pub, histoire de créer le manque. Non non.. Un panel de possibilité , allez on va peindre notre vérité en en preferant quelques une. Comme ci les faits avaient une couleur avant qu'on y regarde leur conséquentes avalanches à appeler rouge une révolte d'un changement pour bouger non d'un état vers lequel se diriger. À juste vouloir le mouvement, la chute est plus probable que l'escalade. La degringolade vous affirma que vous avez confondu bas et haut, que soudainement vous volez. Le mouvement le plus aisé, muscle tremblant, c'est de lâcher prise, de se laisser tomber, ah oui, pourquoi on grimpe déjà ? Monkey see, monkey do, chantant, voici que l'abisse s'en veut plus charmante que l'infini effort de continuer mouvement de grenouille de prise emprise, non ça c'est le jus d'eau. C'est l'histoire de x qui se voulant traverser l'hyperbole de son inverse plutôt que de s'essouflant à la rude montée créa dimension supplementaire pour en contourner du négatif au positif. Un petit saut en 3 démence et on saute la sainte ptet, l'asymptote.
Écoutez bien homo genius, ouvrez ce qu'il reste de vos oreilles, non que vous soyez sourd, j'aime musique à l'être plus que tout age, mais plutôt de ce que le savoir enferme de vulgarisation à être sage :
Ce que l'on intellectualise ne nous empêche pas de le ressentir. Ce que l'on comprend ne nous en empêche pas d'en douter. La conviction émotionnelle latente à celle de l'idée d'entrevechement lucide. Quelle étape entre vouloir sortir le revolver pour en tirer benefice et d'appuyer la gâchette, de la pensée à l'acte, de l'idée à sa réalisation , de l'erreur à la culpabilité, de l'audace au brillant. Du pragmatisme à la philosophie. Vous avez cernez les enjeux de ce que la démocratie eu gueule de bois, vous avez perçu un point d'instabilité approche. Ça crépite oui le contemporain non sans conclure que l'histoire se veut cyclique non ! On ressent un point de rupture c'est tout ça converge tout se bordel , ça c'est typique des.homo genius, vous le sentez avant que ça percute, sensible aux tendances. Mais je vais vous dire, ça bouge oui et ça va continuer et le papillon de son effet nous en rend aveugle , nous nous adaptons. Bien sûr qu'il.y aura idiot gâchis, bien sûr qu'il y aura héro d'y répondre, bien sûr que la stagnation est repuslive, bien sure que la société comme être vivant suit ses lois de sélection. Apprenant le pas aussi de quelques chutes.
Système sophistiqué tend à satisfaire le plus grand d'exclure à système isolé toute tentative de putch.
Moral, bien mal se veut relative de son groupe. J'en dis trop, j'en dis trop. Aimons les énigmes msieus, ce qui est clair nous parait moins vrai . Je vous laisse à vos jardins.
Un pentagone c'est beau, c'est plein de symetries, c'est le résultat de notre parcours, ça marche d'un pi à son opposé, ça va de notre recherche de stabilité ça, à en avoir peur de perte de liberté. On tend juste vers le cercle .
Je suis mort un temps,
c'est vrai... Selon qu'on défini l'immobilisme en opposition au mouvement et comme d'habitude vous égrenez des "vérités à contre emploi".
ça n'est pas grave docteur! Vous préjugés du symptôme avant d'avoir la prise de sens... Vous, je, moi, nous, on... De ces pronoms impersonnels qui font les rouages des horloges complexes ou même l'excentrique joue son rôle dans l'équilibre de masse. Clarifier une pensée n'est pas la vulgariser.
La préciser n'est pas non plus la restreindre.
C'est mettre en œuvre la volonté d'un échange sur des données par l'extériorisation. Et là, comme nous avons à faire, d'un à un site "public" de deux au langage écrit, il semble à peu près correcte de passer par certains codes que, d'ailleurs vous ne remettez pas en cause; Quoi que votre tentative d'établir un code obscur ressemble trop à une volonté d'affirmer une supériorité par l'action de la vouloir indiscernable. Nous nous connaissons au travers d'une écriture et celle ci semble refléter ce qu'on appelle des personnalités tout autant qu'un "niveau de culture"... Ne referait pas ici le procès de la singularité par l'acquisition... Les apparences donc d'un tapotage sur un clavier suffirait il à vous donner les caractéristiques du génome absolu?
Non, et s'il vous plait sortez de vos catégorisations puériles... Mon intention dans le texte ci dessus, est d'établir, non pas une palette restrictive et comme il vous semble "normative", mais plutôt l'élargissement du propos sur (justement) des ressentis qui comme vous le dites (en pensants que je n'en suis pas tout en affirmant le contraire) sont de ces fulgurances d’enchevêtrements lucides... Une fois encore vous présumez de "qui ou de quoi on puisse être fait" parce que par raison simple, la verbalisation se souhaite une traduction.
Nous traiterons donc de l'importance des intelligences multiples et de cette faculté d'établir des correspondances avant de se poser la question de la définition par "catégorie" du potentiel de chacune d'entre elle... Voulez vous?
Et la synesthésie qui se voulait un "trouble" nous apparait soudain comme la clef du processus d'assimilation du langage... La métaphore qui se cache derrière toute définition sans vouloir l'admettre, la "correspondance" traduite, qui fait qu'un geste justement se trouve être mis en mot, en son ou bien encore, en forme et en couleur... C'est un problème de traduction d'un "sens" à l'autre et nous vivons sur ce point un énorme bouleversement qui ne nous laissera pas indemne! Et lorsque, ici, j'use du "nous" c'est avec le souhait qu'il soit parfaitement global... Empathique pourrait on traduire par simplification.
( soit dit en passant qu'il faudra un jour envisager ce terme au delà de son emploi moral; Il est tout a fait normal de répondre à la violence insupportable par la même intensité... Seul le défaut d'empathie et cela se travaille aussi, peut permettre d'acquérir la maîtrise de la douleur? Seul le discernement des probabilités peut permettre d'envisager son emploi!)
La conception même du "rationnel" du "quantifiant" s'en retrouve branlante.
à vous entendre parfois, on en croirait presque que le mystère commence dans un miam ou un beurk! Quand à la séparation probable par l'application de la valeur de l'expérience, bien que celle ci puisse jouer dans la gestion des "dominos" justement, la distribution aléatoire fait que chaque partie se trouve être une aile de papillon. fit donc de la valeur de l'expérience lorsqu'on constate que seul l'adaptation à la nouvelle donne peut être prise en compte.
Le rouge de la révolution? La notion de sacrifice de certains pour le bien des autres implique quelques critère de valeurs, quelques abus de consciences qui envisagent un totalitarisme sélectif. On ne retourne pas sa veste encore lorsqu'on s'adapte; L'opportunisme n'est pas une trahison... Et ce mythe périmé de la stabilité ne vaut que lorsqu'on insinue qu'il puisse y avoir pérénnité... d'un état... (Ah crotte! Je me la joue grand style!)
Action réaction? (et justement empathie y revenir)
Exclure pour ne pas être exclu et balle dans la tronche en légitime défense sous entend d'admettre "tuez les tous et Dieu reconnaitra les siens!"
Mauvaise défense que de répondre en agitant les mains dans tous les sens, c'est ainsi qu'on se noie.
A.M.A à raison lorsqu'il nous affirme que:
le concept de supériorité est caduque dés qu'il n'est pas reconnu comme tel!
J'y rajouterais la fameuse "on a toujours besoin d'un plus petit que soit"...
Avec en codicille la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf,
Le pot de terre contre le pot de fer...
Et la question que je poserais ici pourra paraitre, comme à mon habitude un peu décalé: Si l'on retrouve sur un chantier de fouille plus de pierre taillée que de métal forgé cela veut il dire que la population était plus importante au néolithique? Peut on conclure que l'objet en fer est plus récent parce qu'il est placé au dessus tout en sachant qu'il s'érode plus facilement?
Tiens j'ai fais un "chopping tool" ce weekend. Suis je un homme des cavernes qui aurait survécu, un supra sapiens ayant pris conscience par l'observation et la connaissance transmise de la réalité du dit objet ou: Avais je besoin de savoir qu'il existait pour en refaire un? Est ce parce que je n'ai pas trouvé de minerai de fer que je peux en conclure une généralité sur ce qui semble être "l'évolution" de notre espèce?
Il me semble que ce type de raisonnement ne fait pas honneur à notre discernement! Vous en extrapolerez certainement un nombre incroyable de "probabilités" tout autant que vous pourrez les simplifier avec autant de "préjugés"... Et certains se poseront, à la lecture de ce texte, de savoir si oui ou non la compétence en archéologie prévaut sur la pertinence de l'analyse générale. J'ai fais à mon grand dam, un singe de plus aussi durant le temps de plaisir que j'ai eu à faire ce chopping tool lorsque celui là me demanda l'historique de l'objet et son emploi, j'eus recourt au langage en faisant une fois de plus l'effort d'en avoir un qui ne soit pas "hermétique" et donc sujet à la prétention de ne transmettre que le langage. La position du swami pratanjala jampa n'apporta jamais une once de bien vivre sinon la prétention de le dire.
Me suis je contredis?
Oui certainement, dans l'assurance de savoir qu'il n'y a pas une solution théorique à chaque problème.
Maintenant la diatribe est fini:
Faisons un commentaire sur le pentagone s'il vous plait.
Figure qu'on dit mythique pour l'avoir entouré d'une mandorle glorifiante.
Si ceci peut tenter certains; l'opposition au symbolisme dit "roman" d'inscrire l'homme au centre d'un carré se serait immiscer par l'idée de mouvement.
L'idée de progression justement par la notion du "libre arbitre" en opposition à la soumission à la "divinité" ou sorte de "fatalisme".
Base cinq qui se veut encore être de dextre souvent en opposition complémentaire a l'octogone pour la raison qu'il est lui intrinsèque à l'ordonnance naturelle du renouvellement. Récemment et par l'attention qui ont porté les néo-pythagoriciens, il se retrouve associé au courant humaniste.
Savoir encore que dans bon nombres d'anciens textes, le cinq était justement noté comme l'ensemble des points qui forment une croix, que cette notion caractérise aussi pour d'autres les quatre doigts et le pouce en fonction opposable. D'ailleurs cette analyse renvoie à l'idée de préhension en général et donc de choix possible. à noter encore que dans nombres de livres, la traduction en formule algébrique et nombres complexes du genre 1+racine de 5 divisé par deux n'avance absolument à rien concernant la compréhension de la valeur du 5. Lorsqu'on se penche sur la question plus attentivement il est facile de concevoir la capacité d'abstraction des nombres pour l'esprit sans passer par une traduction mathématique moderniste. Se référer ainsi à la corde à treize nœuds et ses extrapolations géométriques pour passer outre la volonté contemporaine d'en faire une mythologie rationaliste.
Personnellement j'aime assez le cinq pour ses capacités à extraire le centre de la préoccupation de stabilité.
Bien à vous,
UAQVVDB.
Aux deux-trois soliloqueurs de mes deux qui monolopisent le forum ces dernières semaines.
Premièremement, et c'est important : Ne vous sentez pas malins,
Deuxièmement : Vous gâchez le sujet, vous et vos bêtises que vous vômissez sans considérations pour les autres. Vous vous admirez vous même, vous entreglosez, et cette attitude est franchement minable. Tirez-vous de ce forum, vous dénaturez !
Certain que beaucoup de gens pensent la même chose, puisque vous monopolisez l'espace écrit !
Vous monopolisez l'espace écrit à la façon dont un crétin qui crierait dans le quartier la nuit monopoliserait l'espace sonore en dérangeant tout le quartier. Et je me sens l'envie de descendre dans la rue vous en mettre une, histoire de vous recadrer. Franchement, que fait la police...
Derdivisionaer
Ah ça fait longtemps qu'on vous avait pas entendu vous deux!
ça fait plaisir de vous retrouver! Sans vous on s'ennuyait un peu..surtout le manque de Maître divisionneur "extra convaincu" que la science acquise est dans le lapidaire des miches de la boulangère! Me fait rire ce type Einstein le doigt pointé sur la crétinisation des autres sans jamais s'engager autrement que dans la dénonciation! j'aurais cru que vous dormiez un peu! histoire de rêver à une vie meilleure? Si ,si j'y ai cru: Tellement les platitudes impertinentes volaient sans vous! Allez donc: étalez votre culture petits critiques du message polémique! Une formule tartignole du genre qu'on croit à votre supériorité... Décidément la souris et le grand coupeur de jonc n'ont qu'une chose en tête:
Affirmer par défaut leur adhérence à l'obsolescence d'un test qu'un môme de quinze ans, en révolte adolescente découvre! Le "che" au dessus du lit...
j'éclate les boutons d'une acné à coup d'eau précieuse et qu'on passe à autre chose... J'ai cru un temps qu'on pouvait progresser mais j'en avais oublié la délation commune! Que diable un effort pour sortir de notre fameuse tête à TOTO! Faites nous faveur de votre intelligence qui se veut au pinacle de la supériorité... Allez dépassez vous dans la verve! Sublimez vos appétences et faites un peu sortir ce qu'on appelle la rhétorique... je n'en applaudirais que mieux! Surprenez moi: Je m'appelle zitoire et je suis le suppôt de Satan!
Faut bien rire un peu! Non mais avec vous ça n'est pas j'ai 160 et que dois je panser? C'est "comment puis je convaincre que je ne suis pas Forest Gump!
Ma mère disait souvent: "La vie c'est comme une boite de chocolat!" et j'ai appris par cœur ma calculette en éclatant mes boutons!
Allez je vous laisse, vous me faites rire pour toutes les fois ou nous avons soulever des questions, vous voilà en duo du genre Laurel et hardy... tarte à la crème. Sans fou rire! le prix Goncourt en vue, un petit effort et vous nous referez bientôt bécassine pour avoir confondu le titre avec le résumé.
J'ai donc 160 de n'importe quoi et j'ai gagner le gros lot...
De grâce mes bons amis! Cultivez vous et sortez de votre feuille d'impôt!
Mais je repense soudain à une attaque d'un genre peu élégant de monsieur la hache et le hachoir: Vous êtes du genre à... Prout!
Si nous écrivons beaucoup?
soit! Mais recadrons donc un peu le propos que vous avez vous même dénaturé: Il s'agit ici de savoir "j'ai un QI de 160 que puis je en conclure?"
Rien d'autre qu'une erreur de diagnostique et qui sous entend que puis je en faire? Et là comme par hasard, absent des propositions l'index pointé sur la suffisance, aucune de vos deux n'aura ouvert le dictionnaire pour suivre un tant soit peu les échanges d'ici bas!
Ah dommage! "J'ai un QI!" suffira donc ici pour vous satisfaire...
Personnellement, je suis et j'étudie avec soin la moindre remarque et référence en faisant l'effort de l'intégrer?soif de points de vue et les vôtre aussi qui me ramènent au toilettes encore prout! Mes deux vont bien merci. elles se portent à merveille et vous en êtes écœurant... Une ligne droite c'est bien, ça va d'un bout à l'autre et jusqu'à l'infini... homogénius et AMA celui du dessus et toutes les autres bandes de crétins sans nom qui vous glorifiez devant la suprême puissance omnipotente de der et d'agneau! il est écrit "demandez des preuves avant de vous agenouiller"... à vos insultes chroniques d'autosuffisances... Il est encore écrit demandez et l'on vous donnera! Ah je préfère la révolte engorgé de connaissance à votre abrutissement dogmatique messieurs réponse à tout!
Et c'est signer à la demande générale de deux pseudo:
UAQVVD...M
Histoire de vous apprendre à être un peu plus et un peu moins et juste milieu! Non sincèrement j'ai cru sur vos premiers écrits que vous étiez supérieurs à on ne sait quoi... Et puis très rapidement je me suis aperçu que vous étiez adepte du mode d'emploi du genre la vis à droite et dans le trou. tien je vous bafferais bien tous deux en demandant mais que font les services sociaux? Manque de respect pour manque de respect!!!!!