Encore de la morve... Tu ne fais que baisser le niveau de la parole et je suis obligé de t'ignorer, puisque tu n'as rien à dire (Lis-moi, tu apprendras quelque chose). Sans rancune, hein ! (tape sur l'épaule).
Si quelqu'un avait quelque chose à apprendre de vous, vous ne passeriez pas vos soirées et journées dans l'attente d'un message ici.
Vous pensez piéger tout le monde alors que vous êtes si facile à avoir, il ne m'a fallut que quelque phrase pour que vous vous dévoiliez.
à Max,
L'intelligence est donné à chacun par l'éducation, elle est développée à différent degré par l'individu.
Le bonheur,lui, est une notion des plus fluctuante selon l'état, le moment ainsi que de la perception de l'individu et ne peut donc pas renseigner sur l'intelligence.
Quand au QI, il est à considérer comme un point cardinal, un drapeau planté au milieu de nul part, un ingrédient, il renseigne sur, il donne un goût et non une substance.
Le mal-être rejoint la notion de bonheur sur le principe, ils sont tous deux une perception propre et unique à chacun.
Et si on se base sur les super-pouvoirs pour estimer une haute intelligence, alors il est indéniable qu'ils doivent être multiple.
maintenant on peut poser la question, est-ce qu'un haut QI ne permettrait pas de "guérir" son propre mal-être?
Jonah
Cher Jonah,
Votre explication est bien argumentée. Je crois que vous avez mis le doigt sur ce qui, en effet, fait que le bonheur ne peut servir à mesurer l'intelligence. Il fallait le démontrer, vous l'avez fait, bravo.
Sur la question des super-pouvoirs, nous sommes d'accord : ils doivent être multiples. Il sont des marqueurs nécessaires de la haute intelligence (sans quoi prévaut l'argument kantien que j'ai présenté - et qui n'a soulevé bizarrement aucune question. Ne pas hésiter à questionner).
Comme mesure qualitative de l'intelligence d'un individu donné, je propose de choisir un panel de domaines de connaissances de thématiques diverses, et d'analyser pour chacun de ces domaines (politique, mathématiques, identité professionnelle, rôle social, philosophie, sens de l'esthétique, etc.) les questionnements que l'individu porte en lui, a développés, et qui le préoccupent dans son actualité à lui. Ces questionnements sont un excellent état des lieux de sa compréhension profonde d'un Sujet donné, étant entendu que les questionnements se bâtissent sur les réponses que nous avons su apporter à nos questionnements précédents. La mémoire humaine ne retient que ce qui fait sens pour l'intelligence, que ce qui a une place dans la structure cognitive que l'individu a mise en place. Or quelle est cette structure ? Ceux qui ont fait de la pédagogie savent qu'elle est celle de nos questionnements, qui ainsi forment un vaste réseau de connaissances où chacune d'elle a été une fois la réponse à une question que l'individu s'est posée sincèrement. Toutes les autres connaissances se font oublier car le cerveau n'aime pas à s'encombrer d'informations superflues (qui ne sont la réponse à aucun questionnement personnel). En éducation, on cherche donc idéalement à ce que les élèves découvrent par eux-mêmes (voir source). Parmi les connaissances dites déclaratives, Celles dont on se souvient le mieux sont celles que l'on a pensées par soi-même. Les autres s'oublient. Pour s'en convaincre, il suffit de demander aux étudiants qui ont fait une bonne note à un examen, un an après, ce qu'il reste des connaissances bachotées.
J'en reste donc à ces deux choses : les super-pouvoirs comme marqueurs nécessaires de la haute intelligence et cette proposition que je vous soumets de critère qualitatif de l'intelligence d'un individu par l'analyse de ses questionnements.
Référence(s) :
Pour n'en citer qu'un seul parmi une pléiade de spécialistes de l'éducation : Philippe Meirieux (pédagogue français à l'origine de la réforme de Jospin sur l'éducation en France).
Du savoir d'un individu nous ne tirerions rien puisqu'il n'est que le fruit d'un apprentissage dispensé généreusement pendant l'étude, un par coeur et au mieux une assiduité récompensée.
Une bonne culture générale avec de solides connaissances dans des domaines diverses indiqueraient un résultat des plus incertain et moyennement fiable.
L'analyse d'un questionnement propre saura t-être plus révélateur, à condition il est bien entendu, que ce questionnement soit sincère et non superficiel.
J'ajouterais à cela, que l'observation de la qualité analytique ainsi que la capacité de création d'un processus complexe pourraient renseigner plus précisément sur le potentiel de l'individu.
il est sur que tout ceci doit être redéfini car ce qui précède n'est qu'une ébauche.
Je ne porte aucune critique,
Il est important de différencier certain aspect de l'intelligence, le savoir par l'éducation aussi étendu soit-il d'un individu ne peut être un référentiel sure, si il acquiesce et accepte l'idée que la terre est "ronde" parce que son éducation a été dans ce sens cela n'implique pas avec certitude qu'il puisse justifier ce fait par lui même.
La croyance à elle seule ne fait pas la raison.
Quant à moi, je me fendrai d'un prochain message que si quelqu'un dit quelque chose de substantiel, parce que là... je fais la discussion à moi tout seul et ça ne me convient pas. Prouvez que votre pensée est originale, que vous êtes en mesure de faire avancer le Schmil-Blick, mais je vous préviens... A coup de morve psychologisante (ayant pour seul but de disqualifier tel ou tel intervenant) et d'idées peu ou pas structurées (où les notions sont évoquées n'importe comment), on ne fait jamais une bonne discussion. D'ailleurs... Même votre orthographe n'est pas souvent de la partie (Max).
Der Divisionaer
Der Divisionaer
Après constat du "débat" stérile qui s'étale sur nos écrans respectifs, je ne peux qu'acquiescer votre concept. Pour définir avec plus de précision la capacité de l'individu, il faut le confronter à des domaines de connaissances et thématiques diverses et analyser son questionnement profond.
Pour l'heure je vais retourner à mes lectures, Kant auquel vous avez su m'intéresser (merci), Edward Lorenz et H.Poincaré.
A posteriori je reviendrai sur le problème de la qualification et quantification de l'intellect.
avec mes salutations
Jonah
Je vous souhaite donc une lecture agréable, cher Jonah.
A ce que je m'imagine, vous venez du domaine technique... me trompé-je ? Dans ce cas et si vous êtes intéressé par ce genre d'idées telle ce critère d'existence des entités (Kant), je vous propose de lire un livre de philosophie du langage (philosophie du langage, état des lieux). Ci-dessous, je donne un papier de référence qui vous donnera des indications de lecture. Le dernier livre de la liste, "Philosophie de l'esprit. Etat des lieux", est un petit bijou qui se laisse très bien lire.
En vous souhaitant autant de plaisir que j'en ai eu moi-même à sa lecture,
Der Divisionaer
G également un Qi de160 je suis nul en tous j'ai foiré ma vie mes etudes rien m intéresse.et pourtant je comprends tous dans ma tête mais j arrive pas a sortir mes idées.
Ca, ça veut précisément dire que tu n'es pas particulièrement intelligent.
L'intelligence, en effet, c'est la curiosité, c'est le fait que l'esprit trouve une prise sur certaines choses et cette prise de l'esprit sur les choses, on l'appelle l'intérêt. L'intelligence, c'est le contraire du désintérêt blasé affiché par une certaine jeunesse. Or toi, tu avoues que "rien m'intéresse".
L'intelligence, c'est également une certaine Obligation de résultat. Or toi tu avoues être "nul en tous j'ai foiré ma vie mes études".
L'intelligence, c'est la compréhension. Or qu'est-ce qu'une compréhension qui ne passe pas le cap de son Expression ? Est-ce que mon Chat (de Schrödinger) comprend la physique mais ne saurait pas l'exprimer ? On croit rêver, non ? Or toi, tu avoues ne pas arriver à sortir tes idées même si tu "comprends tout".
Tu n'as probablement pas 160. Sans doute habitué à lire les signes de droite à gauche (comme dans la tradition islamique), tu as en fait 061 de QI. Mais c'est déjà bien, n'est-ce pas ?
He les gars, c'est vachement chouette de se retrouver entre génies : ça rassure, non? Moi perso j'ai deux QI - Un qui tourne à 134-135 et l'autre à plus de 160-170. Trouver l'astuce! Sinon, postulez aux RG, vous servirez à la France comme ça! René.
Ouais René, t'as tout bon.
Tu leur as mis dans l'nez !
T'es mon pote génie...
Dans la vie, 'y a deux sortes de gens...
Moi Ch'uis Blodin et toi, tu creuses (Tucco).
La recherche de son QI n'est pas forcément démarche facile et fait dans le but de se sentir supérieur aux autres !
Pour ma part, la recherche du mien à été faite enfant, parce que je me sentais différent des autres, je pensais même être anormal ! J'ai toujours été un élève moyen, qui a réussi ses examens avec la moyenne, sans forcer mais non avec brio.
Je me suis toujours embêté, toute mon enfance avec les enfants de mon âge, il y avait un profond décalage entre leurs centres d'intérêts et les miens. Je m'ennuyais à l'école et puis lorsque que l'on m'a descellé un QI dit supérieur cela m'a juste aidé à comprendre pourquoi j'avais vécu en retrait des autres enfants. Cela m'a par ailleurs permis de changer un peu ma vision des choses pour apprendre à m'accepter et à accepter les autres. Dire que nous sommes tous identiques est une aberrations, nous sommes tous différents, avec nos défauts et nos qualités et fort heureusement.
Maintenant, s'interroger sur son QI peut effectivement être très profitable pour faire ses choix dans la vie en aidant à moins douter de sois, mais il ne faut pas oublier que la connaissance de son QI n'est pas très intéressant si l'on ne connaît pas son QE (quotient émotionnel ) car ils vont de paire. Être interligne est intéressant et important, mais des échecs scolaires sociaux et professionnels peuvent être expliqués par un QE élevé ...
Dans tous les pays nordiques, lorsque l'on fait effectuer un test de QI , un fait également faire un test de QE.
Enfant on m'a descellé un QI important, mais finalement quand on y "réfléchi" ce n'est pas très important surtout à l'heure actuelle! Mais on m'a également descellé un QE important avec une une forte sensibilité et ça croyez moi ... C'est important, important pour la vie professionnelle et personnelle !!!
Http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Comportement/Articles-et-Dossiers/Adultes-surdoues-comprendre-leur-difference
Je me suis reconnue souvent dans ce lire qui pour une fois ne se contente pas de décrire, mais apporte des exemples ainsi que quelques pistes.
Référence(s) :
La lecture du livre de
L’adulte surdoué. Apprendre à faire simple quand on est compliqué
Monique de Kermadec. Albin Michel, 2011, 184 p., 14,90 €
J'ai encore trouvé un lien où les commentaires sont très parlants.
Tant les questionnements que la sincérité des intervenants qui à n'en pas douter sont bien concernés.
Leur façon de le dire ( l'écrire) le montre sans ambiguïté.
Connaissez-vous?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jonathan_Livingston_le_goéland
Est à lire avec le cœur. Évidemment si vous sentez cette lecture être pour vous.
À mes 20 ans je l'ai lu et relu. Et ce n'est qu'aujourd'hui, 36 ans plus tard, que j'ai fait le lien. Vous allez comprendre. C'est vite lu mais le principal est que ça nourrit votre être.vous vous sentez "reconnu" ! :-))) bonne envolée....
Référence(s) :
Cet article sur Wikipédia, mais à la base, la lecture du livre de Richard Bach 1970
Il est plus facile à un grand brûler de comprendre les dire d'un autre grand brûlé. Et même si vous y mettez toute la compassion du monde, vous ne pouvez comprendre l'autre SANS EN ÊTRE.
Avant d'avoir accouché, une femme ne sais pas ce que c'est que de le vivre.
De même pour toute "expérience", .... qu'elle fût, positive ou difficile.
Sans savoir, sans connaître vraiment, on ne peut que supposer.
Et dans la situation de chaque HP enfant ou adulte, la question est surtout que:
- de SON point de vue, ( comprendre par là, avec tout ce qui le compose, dans son fonctionnement) il / elle ne peut voir QUE de cette façon. Et NE SAIT PAS qu'il est possible de voir avec d'autres lunettes.
D'où ce grand malaise de se sentir différent ... et souvent isolé. ( nous excluant bien souvent nous-même pour mieux supporter).
Et d'où, le bien fait ( vital parfois) d'échanger et partager avec ses " semblables "
Si vous êtes expatriés et soumis à un isolement forcé. Pour ceux qui l'on vécu, vous savez le bonheur d'entendre quelqu'un parler votre langue ( votre langage)
Et peut importe si celui-ci étonne votre entourage, qui dès lors, à son tour, ne comprend plus vos échanges, vous savourez les retrouvailles avec quelqu'un de votre espèce.
Mais, vous est-il déjà arrivé d'entendre des gens parler une autres langue et vous pouviez trouver " intriguant" et vous imaginer qu'ils parlaient de tant de sujets.
Mais le jour où vous apprenez cette langue, vous constatez, parfois avec déception, qu'ils ne se disaient rien de plus que vous dans votre langue.
Leurs besoins fondamentaux sont les mêmes, leur soif d'amitié, d'amour est la même. Mais surtout de reconnaissance, parce que l'isolement, on le sait est une des pires punitions.
COMME CHAQUE ÊTRE HUMAIN, nous avons un cœur = un petit enfant qui vit en nous toute notre vie, notre vrai nous. Celui-ci a soif de partage, de relations vraies, d'échanges, de se sentir " nourri ".
Notre " fonctionnement de HP " nous en fait encore plus grand demandeur, parce que nous savons encore " plus fort " lorsque notre être n'est pas satisfait.
Nous sommes des miroirs les uns pour les autres.
Alors, si nous parlons de cœur à cœur, nous ne sommes pas si différents.
Et si nous préférons nous cantonner "à la tête" , peu importe son QI, nous nous condamnons par choix et devenons alors si distants.
On dit que la musique est un langage universel. Le langage du cœur aussi :-)
Nous partons, parfois dans un tourbillon, à la recherche de ce qui, en fait est juste sous notre nez, c'est à dire, nous-même.
Si notre base est satisfaite, alors toutes les nourritures qu'elles soient intellectuelles , artistique, etc... viennent en plus. À partir de cette base, ne nous privons pas de nous faire plaisir. Le monde est vaste. Explorons!
Mais si on oublie l'essentiel, tout ceci nous restera "vide" à jamais, avec une frustration ... ou un déni profond.
Petit partage d'une sincérité.