L'infraction d'un abus de gestion ou de bien social envers l’intérêt général étatique de son économie,doit permettre de sanctionner tout dirigeant ou chef d’entreprise qui fait non seulement usage des biens de la société et de son profit à des fins personnelles,mais aussi de cadrer à volonté un climat d’exploitation autre que celui stipulé par les diverses lois en matière du code commerce et du travail.
Hélas la manie de l’acte a réussi de l’emporter sur les normes des faits et tout le monde n’a pas envie d’en parler même les inspecteurs du système fiscal marocain.De tels abus financiers et sociaux, bien qu’ils soient inadmissibles, sont en forte augmentation ces dernières années tout en aggravant en moins certes les situations des caisses des trésors de l’état en impôts collectés,et nuisent à fond l’ordre souhaité en assurance des employés de leurs statut du travail dument être préservés de tout aléas de soumission patronale.
La vulnérabilité des uns nourrit fort probablement la convoitise des autres,et le plus désolant, c’est malgré qu’il semble y avoir pas mal des mécanismes de contrôles fiscaux permanent valable pour mettre temporairement fin à ce genre d’abus dans notre société,Il faut acquérir dorénavant la culture éducationnelle de dénoncer ces abus inacceptables qui ont un impact néfaste sur la santé de l’économie nationale parfois vraiment rigolo,quand il s’agit des entreprises démunis de tout service réellement actif ( tel le cas de l’entreprise Oubaha de la ville de Mohammedia,ou la plupart des call centers du royaume,ou même les luxueuses salles de gym et soins de beauté de casablanca ainsi que les grands cabinets de notaires tout en citant les promoteurs immobiliers etc…), à travers lequel l’état devrait puiser dans le hasard de l’ironie du métier,les données de telles exploitations brumeuses pour talonner les comptes en fin d’exercices sur des forfaits d’impositions d’impôts hors de tout rapport avec les rentes et profit des dites entreprises.
Bien qu’on en parle,le sujet de la dénonciation reste encore tabou dans la nomenclature sociétaire à la marocaine quoi que la religion de l’islam stipule le fait, les gens ne s’intéressent pas aux problèmes macro- économiques de leur pays même s’ils en fassent parties de leurs vrais maillons de chaînes.Les informations dont disposerait le système fiscal marocain suite de telles dénonciations devraient être analysées et minutieusement traitées pour donner lieu à des vraies enquêtes effectuées par des services spécialisés,à fin de déclencher systématiquement les meilleures procédures souhaitées de contrôle.