J'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ? - Page 16

Et le steak? Bien cuit, à point, saignant ou encore bleu? Bin là je sais pas. C'est quoi qui vous demande le moins de travail? Bof moi je m'en fou un peu, c'est le cuistot qui fricote; Moi je fais que servir les auges... Ah, alors je prendrais comme il faut avec des frites et du ketchup hein! pas de moutarde! Et à part ça ça va? Bah on fait aller juste comme ça. faut bien...

Je ne vois pas le rapport avec mon message, mais pour moi ce sera saignant.

"Que puis je en conclure?" N'oubliez pas de faire chauffer l'eau avant de mettre les pâtes pendant sept minutes si ce sont des pâtes à sept minutes! Et à part ça ça va? Bon il y a quoi au menu aujourd'hui? De la bavette aux petits oignons et de la purée au beurre avec son jus. Et une bavette saignante pour la trois! Une! De quoi qu'on cause ici? Ah oui! "Que puis je en conclure..." J'expliquais à notre bon ami le singe la valeur de l'exactitude tout autant que sa nécessité dans l'art de communiquer pour partager. Et souhaitait juste avant lui transmettre le petit message qui me turlupine... Turlutintin et tire la bobinette... Quelque soit les convictions, et au delà des préjugés, celles ci n'ont aucune importance si l'on ne fait l'effort de les mettre en forme. J'expliquais encore (ou du moins je m'extasiais) sur le pouvoir des mots! Outil monstrueusement efficace s'il en est pour ce qu'ils sont au cœur de la pensée du plus grand nombre. La définition vaut plus (du moins pour certains) que la chose elle même. En premier lieu, savoir le langage usuel de la personne à qui on s'adresse et affiner le fromage au point de maturation apte à satisfaire le goût du sujet de la dégustation. Puis manger le tout avec délice en étant parfaitement convaincu que le sujet ne vaut que par son développement. Sur ce chapitre, notre bonhomme à queue préhensile (et lorsque je dis notre "bonhomme", j'indique ici qu'il a un potentiel d'engagement qu'il peut largement utiliser pour s'échapper de la pensée basique qui caractérise les routiniers du sens commun.) Mérite quelques attentions pour avoir utiliser la tronçonneuse là ou d'autres sont à chercher l'explication du "pourquoi que le steak qu'on ma servi n'est pas facile à découper avec le couteau qu'on m'a donné?" Et donc reprenons nos ébats afin que je puisse être maître parmi les maîtres! Mais non je rigole!!! Ah oui! J'oublie parfois la vertu d'être ramené à l'ordre par le bon sens commun! Merci La souris d'être ici toujours à l'écoute! "Vous écoutez radio intello. La radio qui vous dit tout sur tout en insistant sur ce je vous n'avez pas besoin!" ... J'ai des choses à faire et sachez le, Vous n'êtes pas forcément le centre de mon clocher, Je vous lâche un moment pour des essentialités... Ah si je vous aime? Et ça dépend des jours... Raplapla.

Une fois j'ai écrit un bouquin, ils m'ont tous embêté avec l'orthographe , aveugle de mon talent que j'eu comparé à côté de mon miroir comme ci celui ci fut d'autres au point de m'en considérer objectif pour être en désaccord du patron qui gère l'affaire. Tant de maux pour mes mots qui je fus sous self conviction (pourquoi j'ai pas pensé à internet plutôt qu'à plaire a un editeur ?) qu'ils sonerairent si ce n'est de mon temps un peu plus tard, quand j'en serai plus là pour avoir raison des autres. Ah oui, je ne voulais pas avoir raison raison raison. Moi j'ai juste partagé, écrit écrit écrit, un tout petit peu peu peu Après je me.suis plaint, râler, raler, râler en bon français qui sait sait sait Vous savez quoi, j'aime chez vous cette envie d'insister de ce que vous pensez avoir saisi et ça ne dépend pas du nombre d'escargots que j'ecrase selon les saisons, imbibé d'eau de vie, de survivre aussi . Vous savez quoi , je pense que vos écrits si ce que vous projetez partie sur ce "forum" vous le valez que je les comprenne pas, d'un écrit qui nous veut du bien ? Parce que oui, votre partage m'inspira et quelques autres. Non je ne serai pas le dernier à avoir raison de vous l'enlever. N'ai je pas clamé assez merci ? Parce que non, vous gueler a dégueuler votre œuvre ? Parce que oui, il ne s'agit pas d'en convaincre de quelques apparences pour être plus pertinent qu'un printemps de reproduction des idées fonction des feuilles d'eve comme vérité à s'en soustraire , comme motivation. Une vérité dégagée d'un bon coup de pied ? Non , et je vous trouve plus calme d'expliquer votre cheminement, Avant que ça pète à nouveau ? que vous n'avez pas encore acquis finalement vous même, qu'à trop en justifier la trace on en invite pas le train d'avancer . Parce que même si c'est vous même, vous le savez qu'il faut y en voir les failles plutôt qu'à s'acharner à les combatre, à vouloir être constructif ailleurs, parce que, pour s'y contraindre, c'est vous, pour vous, non ? Parce qu'on intègre un reflet de nous dans tout ça, et qu'on est pas.telement la cascade , si ce n'est de l'être considéré, du plus fréquent d'ailleurs, à en être le dernier rocher qui touche l'eau avant qu'elle plonge. J'ai plus de bouton à dissimuler depuis quelques temps, rien à en appuyer pour justifier que les autres finalement n'en ont jamais plus à carrer que mon moustique leur donne les yeux exorbités du chupacabra . Parce que le virus de l'intelligence nous y poussent au partage , comme si à voler , même à piquer, on se repose sur l'air que les autres nous le permettent. Sniffant le co2 (le code ?) de l'idée tiens. Toujours de s'envoler à la recherche de sens. Autant qu'aucune claque ne nous meurtrisse plus qu'aujourd'hui. Ce dont vous souligner le mur de l'incompréhension des autres je l'appelle rigueur. Parce qu'entre incompris aux mieux on le paraît, surtout, nous heurtassent le mur que cela ne le devienne jamais. Ah oui , sans entêtement on est que ce que les autres nous en voient sous peine d'en être plus fort.

Je ne crois pas qu'on ait refusé votre "bouquin" pour une simple question d'orthographe. Ils auraient été trop contents de vous facturer la prestation de leur correcteur à X € la page. Le vrai soucis, c'est la structure de vos phrases qui n'en sont pas. Il faudrait vous réécrire complètement et cela demanderait un travail énorme. On ne réécrit pas le travail d'un vrai auteur. Tout au plus, on corrige ses quelques coquilles. Il suffit de prendre n'importe quelle ligne que vous écrivez. Aucune n'est correcte !

Eh bien, Monsieur le correcteur automatique, sachez que je n'ai jamais écrit de livre et que c'etait une image pour répondre à un autre message. Cherchez donc à en saisir le sens plutôt qu'à trouver une coquille et fantasmer que l'on étouffe avec après que vous l'ayez détectée et affichée comme votre seule capacité demontrée et procédurale d'échange sur ce fil, jusqu'à présent. Qu'est ce qu'un " faux auteur " ? Encore une façon d'humilier autant que possible d'un jugement bien personel et simpliste pour que les trompettes y suivent, une écriture dite incorrecte pour ceux qui ne vous intéressent pas. À part peut-être d'aller jouer à la truande parce que pour vous l'important est probablement de participer ici. Percevez le second degré et les deux racines rélles de ma phrase. Ne s'agit-il pas d'être correct à saisir ce que soufflent les phrases plutôt que de bugger et nous en faire entendre l'alarme stridente pour des phrases qui ne vous sonnent pas assez correctes ? Je vous confie que d'écrire "proprement" de me soumettre aux usuelles règles de langue m'est très pénible, que mon esprit y est toujours loin devant et que j'ai peur de le perdre si je n'écris pas la phrase d'une traite. Ce sont des clous à une expression fluide, qui, s'il faut s'y reprendre que tous étaient comme vous, ce fil serait lourd d'echanges formatés surtout fragmentés et manquerait la moitié d'une réponse fiable. Cherchez y le sens de mes textes si celui-ci ne vous est pas évident, je le concois que nous appréhendons l'univers de manière assez distinctes pour ne pas toujours se faire une intuition de l'échange ou alors donner y votre point de vue sur le sujet posé en fonction de ce que des argument qui furent soulevés. Ils nous faudra en chercher le sens aussi si vous avez l'audace un jour de vous y lancer vraiment. Ou préférez-vous simplement orienter le débat sur l'importance de la grammaire ? C'est là votre point Godwin, (déjà atteind précédemment d'ailleurs, c'est ennuyant ) je vous réfère à n'importe quel des fils qui demandent un peu plus qu'une réponse pratique, pour en lire le débat étouffant qui suit habituellement les interactions proches de vos remarque sarcastiques . Je vous lis au point de voir votre télé . Prenez en de la graine : Joyeux Noël devant la trilogie de Brice de Nice. Et à la prochaine pour que vous cherchiez à casser du QI.

Je vous invite à relire les règles de bonne conduite de ce site : "un style rédactionnel clair, une orthographe soignée" et "une réponse construite, détaillée et argumentée". Il est bien évident que vous n'en avez rien à f**** de ce site et de ses règles. Le plus important est votre ego surdimensionné, n'est ce pas ?

Puisque nous en sommes là, c'est en grand "températeur" que je soulignerais qu'à chaque fois que vous intervenez, un conflit se manifeste! Comme si souffler sur les braises suffisait à vous rendre justice. N'avez vous pas d'ego assez costaux pour vous passer de l'assentiment des autres? Ma grand mère qui était d'une sagesse remarquable sans avoir jamais eu d'autres diplômes que son certificat d'étude (le bac de notre époque sans perte de temps) disait toujours que la belle écriture est la science des ânes! Et c'est d'ailleurs pour les ânes que je ne cesse d'insister sur cette notion d'esthétique pour ce qu'ils s'en satisfont... Qu'est ce qu'une belle écriture? Qu'est que correcte? Tiens, quelques exemples de l'imbuvable littérature concrète avec Zola! L'avez vous au moins lu du haut de votre superbe? Et peut être au collège... Et par obligation. J'aime vous entendre parler critique comme certains sans construction possible. Le doigt sur la gâchette, le holster sous la veste, à la Tarantino ça dégaine à tout va sur tout ce qui n'est pas action ou gag... N'avez vous pas avoué plus haut que votre présence sur ce "site" vous pose quelques problèmes pour ne même pas savoir de quoi nous parlons ici... Pour en être exclu? Que savez vous de la confusion, du bégaiement, de l'absence de démonstration lorsque tout se fait trop vite et de tête? Que pouvez vous encore nous dire de vous (ou du moins le transpirer)? lorsque d'autres ici parlent de ce qu'on leur a montrer comme difformité; Quand certains dans les latrines, sortant des cages ou ils furent nourris tel chez Barnum, réclament le droit d'être autrement traiter qu'en sujet dérangeant... Êtes vous a ce point aveugle de vous même pour préférer entendre chez les autres ce que vous souhaitez penser? Hein? Hein? Hein? Plus haut plus avant (et ne soulèverait pas pour vous ce paradoxe coulant de source) Nous en étions à parler vibrations, capacités multiples anticipations, sensibilités extrêmes et parfaitement consciente... Faisions en références croisées un tissage, un brocard presque baroque en admettant encore d'oser faire exception, laissant tomber la vaisselle cérébrale et la dépassant de peur d'incommoder la modestie de certains... Et la virgule vous incommode? Lorsque j'insiste sur la lisibilité... je vous quitte un coup de fil à passer... Mais n'en ais pas fini!!! UAQSHDEV.

Je n'ai jamais parlé de "belle écriture" mais de phrase syntaxiquement correcte. Vous savez, c'est ce qu'on nous apprend dès la primaire... Sujet, verbe, complément ! Et en plus, je ne m'adressais pas à vous.

Et que tout se passe bien quand il ne se passe rien ? D'en faire toute une Montaigne de quelques circonstances d'une originalité, serait-ce le sujet de discuter de l'anomalie à trancher que ce n'est pas correcte ? Les règles ne sont heurtées que par la rigidité qu'elles y poussent à s'y opposer plus qu'à s'y modeler. Les discours sont à moy, et se tiennent par la preuve de la raison, non de l’experience ; chacun y peut joindre ses exemples : et qui n’en a point, qu’il ne laisse pas de croire qu’il en est assez, veu le nombre et variété des accidens. Si je ne comme bien, qu’un autre comme pour moy.

Coup de fil dans le labyrinthe... Et donc: Tiens parlons de l'académie française (selon la deuxième source internationale actuelle); 1634/ "Depuis sa fondation, l'Académie a pour mission de veiller sur l'état de la langue et de rappeler son bon usage. Elle est garante de la précision de la langue française, en ayant pour objectif d'éviter qu’une confusion dans les mots n'entraîne une confusion dans les idées." ... "L'Académie française s'est toujours défendue d'être la créatrice de la langue, considérant que son rôle est uniquement de constater, de recueillir et de normaliser les usages[réf. nécessaire]. En cela, elle opérait de la même manière que les autres institutions royales, comme celles qui recueillaient les us et coutumes, et les codifiaient en lois sans se donner le droit d'en changer les dispositions." ... "Vu qu’en chacun sommeille un snob toujours prompt à se réveiller et qui jamais ne se dérobe quand il s’agit de s’afficher, et vu qu’alors il se dépense à s’enrober de suffisance pour admirer ou dénigrer selon la mode et ses décrets, et vu qu’ainsi le monde est fait et qu’à chacun son pas de danse, rions plutôt que d’en pleurer car qui ne se sent concerné ? Au snob laissons quelque innocence…" Esther Granek. Et moi je parle de belle écriture... Car sans le charme qui n'est pas l'artifice, il n'y aurait qu'une esthétique froide, un robot de ménage et son livre de recette à potage. Il n'y aurait même pas d'érotisme dans la reproduction et moins encore de "sentiment"! Pour toutes les fois ou l'usuel de la communication reflète le lapidaire du passé au karcher( double sens), ou nous constatons l'interchangeable sans garanti de service, le jetable des mots sans suite, et cette économie de roman de gare élaboré avec soin par les auteurs pour leur chiffre de vente... Pour toutes les fois ou mal parler et mal penser se trouvent unis dans le consensus du goût commun! Et me voilà à étudier l'incommensurable trous de la prétention à vouloir écrire comme un mythe! L'écriture en Reconquista du pauvre, par le tapuscrit virtuelle serait il devenue la panacée de l'inculture? Néocolonialiste d'un soi même déconvenue du sens, quelques lectures en francisation, quelques néologismes en accident de la route, et d'un coup l'originalité se met en scène! S'il y a le trop plein d'épice, il gâche la saveur des simples Si le simple n'a pas de saveur il faut le relever d'une épice. Quand au discourt incompris? Il ne pourrait être comparé au vide de ne pas en avoir. Mais revenir au sujet (Et seulement pour mon "singe") Élaguer un jardin n'est pas forcément le contrefaire. C'est encore prendre le temps de montrer à voir tous ses aspects, et en offrir plus d'un point de vue! Et sur ce point, il n'y a aucune autre règle que de considérer la nature selon ces quelques évidences: Soit nous la pensons, soit nous la contemplons, soit nous offrons au autres le choix des deux. Quand à la "culture" qui ferait une différence entre "le sot le non sot", il existe un certain snobisme propre à toutes les époques à reconnaitre chez l'autre les défauts qu'on ne veut s'attribuer. C'est une question d'éducation. Voilà encore pourquoi il y a des cercles de ce qu'on veut et des centres d'intérêts. Voilà comment certains pensent que l'accent "régional" fait plus que le sujet de la conversation et passent leur temps à éructer des inepties mais avec l'étiquette certifier GVSOP! Sortez un peu de vos chapelles après la messe et non pas pour aller vers d'autres "religions"... Les convertis ont ceci de désagréables: C'est qu'ils veulent convaincre les autres de la raison de leur conversion! Soyons assez intelligent (pour certains) pour s'abstenir de commentaires lorsqu'il s'agirait d'éclaircir, d'éclairer sa mise en forme. Quand aux autres, qu'ils sachent en visitant le cimetière de la pensée perdue, qu'ils n'y trouverons que des ossements et au pire de la poussière allergène! Teinter un texte d'une patine ferait ressortir un relief? Oui mais faut il encore que sa ciselure ait un intérêt! Le nettoyer pour le rendre plus blanc serait il mieux? A la condition que l'éclairage rasant puisse sortir de son laboratoire! S'en est fini du cour de littérature!!! Maintenant passons à autre chose que la définition en apagogie... De cette abondante littérature de genre qu'est la "théologie négative" en cette croyance de "l'intelligence supérieur"... Sinon je vous renvois à la "crotte au chocolat" histoire de vous rappeler que n'importe quoi vaut bien n'importe quoi! Monsieur mouton, quand à vous, une seule question puisque vous y croyez: En quoi êtes vous "intelligent"? Allez je vous laisse, j'ai à préparer quelques rituels de "magie blanche" et recevez l'assurance que ceux ci, lorsqu'ils sont dénués de pertinences, n'engendrent que l'occultisme et la manipulation! Passant au dessus des références d'aujourd'hui, des modes et des saisons: "Demandez et l'on vous donnera" vaut bien qu'on s'attarde sur la demande! "Non, il est vrai, je ne suis pas l'homme des réussites. Pourquoi le serais-je? Puisque de toute façon je réussis. Le but que je n'atteins pas est le but qui me rapporte, que je rapporte. Pourquoi irais-je à la tête d'armées nombreuses m'installer impudemment dans la capitale d'un pays étranger? Pour une si petite insolence, je m'en voudrais de m'être donné tant de mal, d'avoir conquis en vingt ans des galons qu'on peut avoir pour cent francs et pour dix sous de méditation inventive, d'avoir sacrifié des tas d'hommes réellement qui ne revivront plus (et qui ne s'y sont pas tous amusés, ni le chef lui-même). A la vérité, j'aurais honte d'être à sa place, ou du moins d'en être content. Même si je ne m'étais astreint que vingt minutes et non vingt ans à l'esclavage de la discipline. S'être appuyé sur tant de règles, pour blesser de pauvres diables qu'on ne peut même plus ni achever proprement ni ressusciter dans leur santé première. Non vraiment, je ne comprends pas ce gaspilleur malfaisant. Heureusement, nous ne nous rencontrons jamais." Henry Micheau. ... Car voyez vous, l'étude et la curiosité tout autant que les rencontres font qu'on s'attarde sur ceci! UAQVVDB.

Un rien s'en faut du point de stabilité de l'équation différentielle pour en diverger à jamais. Et comme à jeter une balle dans la bonne direction elle déciderait de devenir deuxième lune terrestre dans vos attentes, elle ne fait que, après tout, tomber un plus loin de vous, dans votre jardin ou sur la tête d'un concitoyen. Pourquoi, on s'attendait à faire un nouveau satellite ? on en vient à en faire de sa tête litige. Le snob le savait que si vous lanciez cette balle il devrait y lever les bras. Alors ce dernier, pour s'en prémunir inventa le raquette à l'intelligence comme culturel, pour que l'abstrait ne nuise pas au concret, ce fut noble idée de créer référence à suivre , stable pour le groupe disons, inculpant alors le lanceur aux yeux des autres en tant qu'enseignant du groupe de ce qui est mauvais. Ce dernier, de sa curiosité, fut puni car un voisin sage n'aurait pas raison de faire bruler votre quartier sans y faire attention à ce que vous y vivez, les représailles y seraient lourdes de sa survie. On est tous bons ? Attends je demande aux académiciens, moui ils s'en fichent. J'ai oublié de citer un grand nom si ce n'est le leur. Attends je demande a quelques passant . Ils rient de ce délire de faire un nouveau satellite , on le sait tous que les balles retombent comme ça, c'est idiot , clairement le but était de nuire ou le lanceur est un enfant peut être ? Attends , je demande aux spécialistes du domaine questionné de ses evidentes apparences , ils me répondent que l'on sait depuis bien longtemps que ce n'est pas vrai : Que les balles retombent vite, c'est ce qu'on appelle la gravité et que quelques contractions musculaire n'y feront pas face comme 2 n'a pas assez de zeros pour y rivaliser face un gogole. Attends, j'interroge le lanceur. Je veux connaître ses intérêts finalement , il à ptet un mauvais côté , après un mauvais jour. Il me rétorque : J'ai prédit son mouvement , la balle devait suivre la voie du satellite, j'ai même utilisé toute l'énergie que j'avais en moi, je savais le résultat de l'expérience cependant, on me l'a toujours dit. Et je suis lucide d'ailleurs, je vous l'assure. J'étais sûre que j'aurai problemement plus de problèmes, mais voyez vous, même si de mon expérience passé j'en étais convaincu que j'allais surprendre de douter, je voulais le sentir avec moi, l'univers, et même l'observant en même temps. Il fut à moi un temp. Vous savez de nos jours, l'observation n'est pas sans conséquences. "Et cela m'inspire d'avoir plus de problèmes, aussi", ajouta t il. Je lui ai donc demandé : pourquoi le réaliser de cette manière, pourquoi ne pas juste observer independamment, beaucoup de trajectoire s'y assimileraient de votre quotidien, pourquoi avoir eu besoin d'être acteur d'une évidence commune ? Il me dit : C'est ainsi à douter de ce que j'en suis convaincu et ce que les autres me punissent rarement de mes erreurs ,que j'appelle ma propre existance ou car celui qui recevra la balle , n'en n'aurait mal que de son snobisme, les consequences de mon mouvement étant déjà, du pire que je pourrais vouloir, raisonnées. De deux choses douter des évidences m'aida à m'y faire , et d'autre part à prendre conscience de ce que douter implique sur ceux que je représente en tant qu'individu de mon espèce sociable. Qu'en dire ? La superstition, d'un autoritaire commun accord on peut s'efforcer de l'appeler religion, ou même d'être philosophie d'un winner , ou même pire de ce qu'elle est, hypothèse non meurtrie encore de raison. Je vous propose une théorie plutôt de ce qui consiste à douter de son fondement à l'amener à être respecté de son statut de considération du nombre uniquement, oui à ce qu'elle n'en deviennent pas moteur de groupe, mais de ceux qui s'y questionnent. La religion n'est qu'un cas particulier d'une équation différentielle globale à notre fonctionnement en tant que groupe reposant sur un empirisme de survivre les uns des autres, les uns les autres, sans y penser. La morale un autre reposant, là, sur celui de stabilité du groupe et des ses intérêts de survie en tant qu'entité faite de ses membres. Je ne vous en conseillerez aucun comme verité à s'y soumettre sans question, si ce n'est celui de douter toujours, d'exister. Je ne vous conseillerez jamais de ne pas avoir tord de croire en quelques uns un temps. De débattre de vous même . D'introspecter les failles , je veux dire les contradictions de votre raison. Et que l'ego y sera toujours pour beaucoup dans ces cadres théoriques là. Une syntaxe correcte cette fois ? Je m'y plie à vos règles car j'aime ce site ? Un peu moins de queues ? je m'y plis à ne pas en faire un billard. Nous impressionons autrui d'apprendre , plus que de les impressionner de savoir leur apprendre.

Et voilà! Je vous ais impressionné... Du moins assez et sans le chercher... En répondant avec cet honnêteté sincère d'un qui cherchait à bien faire... Et vous pouvez largement repenser tous les mots de l'envoi du dessus sans me faire le procès d'une normalité imposée par défaut... "Des mythologies météorologiques du temps qu'il fait!" De l'insert pyramidale et du "respect" de "correction", de l'exécution en peine capital d'exclusion, du refus imbécile de comprendre parce que la cravate n'a pas son petit pois, du costume de prêtrise et du savon parfumé... Les dévots et les tartuffes, insupportables malades imaginaires, cherchant l'attention de peur de n'être pas assez, la bourgeoisie gentilhommière et le jardin en plastique, trompe l’œil de ceux mettant la charrue avant les bœufs... Se prenant pour un bœuf et meuglant sur le sort imbécile qui l'a fait bête de somme! La délicatesse qui fait qu'on confond la bêtise (d'elle même en préjugés) c'est le raffinement des arômes. Lorsque certains en sont à l'eau de toilette aux phéromones, à en croire "promesse du septième ciel", c'est par le rire délicat (si proche du sourire) qu'on emballe sa reproduction... Mais qu'est ce que ça vient faire là?) Ah oui; Impressionnons! Par le maintient, la maîtrise et la pertinence. Déjouons encore les poncifs qui font qu'on reconnait le diamant du strasse et parce que l'époque est en plastique, la moquette sur le sol, farfouillons les nuages et visitons la terre de l'intérieur... Au delà, en méta des apparences sans pour autant les nier. Tant de compilateurs dans ce cocktail mondain qui ne font qu'avoir lu sans comprendre et récitent par défaut les apostrophes, les fureurs de l'histoire de certains. Placés là sans qu'ils le veuillent, (de la fameuse sentence d'une exception qui...vite dit) ceux ci incarnent facilement le désespoir des hommes sans songes. Comptables parmi les comptables, ceux là (les calculateurs Pascaliens) parlent de l'ivresse en degrés alcooliques et de la fièvre un thermomètre à la main en recherchant la cause pour en trouver le remède! Et pourquoi le remède qui tomberait par besoin? Lorsque la nature donne à certains cette faculté de rébellion, ce poing à la ligne qui s'en va pécher le "gros" dans la mer des "sarcasmes"... Pourquoi le remède serait il donné à ceux qui s'en vont aux limites, entrevoir l'impossible "correspondance" sinon pour ne pas déranger l'usuel de la méconnaissance. La limite est donné par la peur des autres à ne jamais apprendre à nager. Sans le feu pas de cuisson... Il fallut bien quelques perturbateurs d'idées courantes pour envisager même de créer les mots. C'est la déformation, l'anamorphose, la perspective graticulée qui fait prendre conscience du spectacle pour le spectateur. La "loi" d'imaginaire qui fait le catharsis. "Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer ; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher." Un classique? Là, pour rappeler à ces hommes d'équipage que: Sans la musique pas de chanson et pas non plus d'horizon! Chacun sa place ici bas... Ici bas... Ici raplapla... S'il y a des cartographes, c'est qu'une bande d'imbéciles cherchant les indes recherchèrent les épices ailleurs qu'en leurs jardins D'autres y descendent pour y trouver du romarin. Maintenant les règles et qu'on passe ensuite à d'autres "soucis" C'est l'héritage des hommes, le patrimoine, l'histoire ou du moins la trace... Et derrière chacune d'elle se cache la génération d'avant (qui d'ailleurs fut la même qu'aujourd'hui!)... La leçon de "l'histoire" des arts? C'est qu'elle se constitue de nos découvertes les plus abracadabrantes, les plus irresponsables, les plus anticonstitutionnelles... Les moins conformes à la définition. Il faut comprendre que sans l'idiot qui frotta deux pierres l'une contre l'autre à coté d'un tas de truc dont il ne savait rien, pas de pizza possible... ça se respecte. Les enfants ont ceci pour eux ils redécouvrent le monde d'un A quelconque sans savoir ou est le Z. On leur refourgue nos histoires et ça n'est que les nôtres. Reprenons voulez vous au 12; Avant d'avoir le 13 en superstition dans la lunette. De la fantaisie, de la fantaisie et encore de la fantaisie... Sans but ni profit est le seul guide admissible pour soi même. Et si je peux encore "transmettre" de ma "douce" expérience (en toute modestie) "je" dirais qu'il faut de la patience pour voir les graines défaire la muraille des conventions et un savoir faire précis pour saper la construction des nouvelles avant qu'elles ne viennent boucher les horizons... Il est si rassurant de vivre dans les habitudes lorsque celles ci deviennent la seule réalité qui puisse être. UAQVVDB.

Incongruité: Rencontre un soir dans la rue avec un professeur de français presque trop bien saper cachemire et petites lunettes, bourré comme un coin. Accompagné d'un larron macabre qui n'avait en commun que le verre sans ses pieds, il cherchait un commerce de plus pour étancher sa soif; Une grammaire à la main. Là, le docte s'approche autant qu'il vacille et, comme nous évoquions le mot souvenir, nous parle de Kerouac... Pas de Madeleine. Il bavache quelques minutes entre blues et regrets sonores d'une vie qu'on croirait la sienne si elle n'était teinté de littérature trop importante pour le bonhomme. De ses personnes qui n'ayant pas vécu se brodent des motifs à redorer les cadres. Son légionnaire d'à coté cherche à le faire taire lui rappelant qu'il peut le supporter tant qu'il paye les coups, servant de faire valoir. "Ah souvenir bégaie t'il encore!" Et moi pour le faire taire je lui envoi comme ça: "Mais pour se souvenir il faut prendre le temps"... étrange non? L'instant, d'après, d'un signe de tête on lui indique un bar au bout de la rue. Il comprend vite et sans aucune correspondance: "Alcool". Cherchant l'oubli, il en évoquait son souvenir avant de le noyer dans ceux des autres... de tous les autres qui en laissèrent une trace.

Ceci étant écrit je vous laisse une fois de plus à vos écoles d'importances. Les uns cherchant, les autres trouvant, ils ne finissent ni l'un ni l'autre. Lorsqu'on énonce mal un problème, lorsqu'on ne rend pas compte précisément d'un état de fait, lorsqu'on amalgame ce qui vient et ce qui suit, lorsque la cause se confond avec sa conséquence, lorsque, lorsque... C'est un procès d'inquisition: "Avoue, oui avoue que tu n'es pas ce que tu parais être!" Avoue et expie tes fautes car seul la perfection à le droit d'existence et seul l'aveu de tes erreurs te sauvera par la grâce de les avoir reconnu! Le concile réuni, les doctes s'affrontent à discuter des points de détail. L'homme est il divin ou pas? Quel est sa part, quel est son cota d'extraordinaire? Fait il ou non partie du grand tout et en quoi en est il responsable? Peut il ou non être affranchi de sa part animal? Et d'autres encore du genre (non plus Dieu existe) mais ou est l'homme? Fait il honneur à sa domination? Appliquons voulez vous les chiffres un peu partout: Le sous-ordre des Lumbricina, regroupe l'ensemble des vers de terre, soient treize familles et plus 6 000 espèces décrites (et des Haplotaxida très nombreuses non encore connues, surtout dans les régions tropicales). Le ver de terre est un animal fouisseur qui contribue au mélange permanent des couches du sol. Sa diversité spécifique et génétique, son activité et son écologie en font un acteur majeur dans la structuration et l'entretien des propriétés physiques des sols, dont leur capacité à retenir et épurer l'eau et dans la qualité du fonctionnement des agroécosystèmes. Au total sur terre, ils représentent un poids vingt fois supérieur à celui des hommes... ... Il y a dix milliards de milliards d’insectes qui vivent sur Terre, dont environ 1 % de fourmis... on peut dénombrer environ 100 milliards de grains de sable par mètre cube et pas question de dénombrer ici les étoiles et sous quel critère... Et ce petit prétention d’humanoïde en est encore à se poser la question de qui est le plus fort!? "J'ai 160 de n'importe quoi et alors?" Les experts vous répondent: Puisque nous parlons à ceux qui se posent la question, il est normal que vous n'y compreniez rien! Allez je vous laisse un petit moment... J'ai plein de chose à faire comme aspirer les tardigrades de mon petit chez moi pour les rejeter dans l'espace intersidérale totalement persuader qu'ils survivrons à mon extinction permanente...

J.Go, y sont frappés ces mecs, non ?

Ah un petit nouveau! Bonjour Monsieur Caniveau. Et tout d'abord, merci du bel hommage que voilà: Justement j'en discutais avec mon psychiatre hier... "De la différence": Et il me disait qu'il fallait garder l'esprit ouvert et surtout aux autres. Et j'avais beau argumenter qu'avec certains mieux valait garder le silence, lui m'affirmait qu'il valait mieux se soulager la conscience par une verbalisation quelconque... je vous encourage donc, comme tout un chacun, à continuer de vous exprimer et tel que vous êtes. Surtout ne changez pas! Quel délice, quelle pertinence, quelle culture et quel à propos dans cette superbe locution. D'apparence anodine, elle suinte une intelligence d'une rare profondeur... Un vocabulaire d'une rare précision et si délicatement employé qu'on en croirait une sentence populaire! "Après la pluie le beau temps" "Tout ce qui monte doit redescendre" "On n'enfonce pas les portes ouvertes"... Vous en suggérerais-je quelques autres? Allez pour le "fun" au moins un prétexte à alimenter les discussions en suffisance: "Le dictionnaire des idées reçus" de Flaubert Et puis après, pour la bonne mesure, ajoutons un zeste de Sacha Guitry: "Aimez les choses à double sens, mais assurez vous bien d'abord qu'elles ont un sens." De quoi agrémenter de longues soirées en paraissant avoir le relief de l'éclairage des autres. Il est étrange qu'autant je tance certains sur les dangers de "se la péter" et que là, pour d'autres raisons, je sois à renvoyer les autres aux dictionnaires "des idées reçus"... Des idées! Et pas de la forme de celles ci... Dangereusement vôtre, Godzilla! Ah ah ah... Faut quand même un petit "minimum" pour se la mettre au caniveau... Non? à par ça l’almanach Vermot vous connaissez? Ah les blagues Carambar alors? J'ai une excellente version de la danse des canards par André Rieu au Casino de Berlin en 1997 et une bonne version de Claude François sortant du bain avec son sèche cheveux par Groucho Marx!

J'ai lu jusqu'à la 4è ligne pas étonnant que vous deviez fréquenter un psychiatre (le pauvre, même si c'est son métier) sans autres commentaires je ne lirai pas plus une réponse que je n'ai lu vos divagations

Ah sincèrement, vous êtes comique vous! Jusqu'au bout... Mais qu'attendiez vous? Peut être la confirmation d'une intelligence supérieure, l'assentiment de vos pairs? Jusqu'à 120 ça va... à 130 on bute sur des problèmes d'acceptation de normalisation... à 140 c'est mort! Alors au dessus? On a le choix entre assumer ou passer à la lobotomie. Z'aviez pas lu les rapports officiels sur l'autisme et les facultés spéciales des surdoués? "Moi" personnellement, et tout à fait démocratiquement avec ceux qui sont à l'intérieur, je trouve que tout va mieux depuis que j'ai appris à vivre l'ordinaire de la folie des autres. Et à ne pas vous le cacher, j'en ai même fait plusieurs métiers! Que voulez vous c'est ça la réussite. Tout à fait sincèrement, le danger vient de vous. La bêtise bornée reste le pire de mes cauchemars tout autant que ce semblant d'intelligence qu'est la logique mal ajustée. Le costume mal taillé d'un 40 à bon marché qui fait que celui qui le porte se croit beau tout en boitant de plus belle. Mon cher paillasson, l'intelligence n'est pas une parure! C'est un métal rare qu'on ne cesse de ciseler pour lui rendre hommage. Et certains se leurrent à vouloir transformer le plomb de la lourdeur en or. Croyez moi sur parole puisque vous n'irez pas plus loin, un torchon est un torchon et vous n'en ferez jamais une soie brochée. Moi j'aime bien les torchons! Ils sont bien pratique et je ne les confond pas avec les serpillières, J'aime aussi les soies fines et les cachemires... mais si j'essuie parfois les lunettes avec, et lustre les pierres précieuses, je ne les range pas dans le même placard. à cause des taches... Et puis des mythes. Bonne route, oh charmant prince de la nuit! (celle là j'y tiens) Allez trouver le Graal ailleurs... "Et faites des sudokus" C'est déjà mieux que rien! UAQVVDB

Coup de gueule! J'en viens parfois à me demander ce qui me fait passer du temps ici? Et puis d'un coup comme ça, une petite étincelle qui passe... "Bon sang mais c'est bien sûr!" Endiguer la bêtise plutôt que la combattre! Lorsque la plupart des gens considèrent l'intelligence un peu comme la moindre bécane programmée, lorsqu'ils en arrivent à croire qu'une photographie est intéressante parce qu'elle procède d'un "appareil" à 5 millions de pixel, lorsqu'il y a les vrais news et celles retouchées par un logiciel, lorsque la parure de l'intégrité, la boussole du savoir vivre vaut plus que la vie elle même, lorsque j'entends certains hausser la voix d'un ton suffisant pour réclamer leur cartes graphiques à insérer leurs fictions en HD Et 3D... Lorsque tout ça, comme au super marché, au rayon "trop" en solde à deux balles avant le discount, le vin ne vaut que par l'étiquette... (La liste est longue de la sagesse de chacun depuis l'imprimerie à la station essence...) Et ce clinquant insupportable de la suffisance en plastique du: "j'ai déjà lu et je suis passé à autre chose... Tu connais pas la dernières? Ah t'as louper le buzz! J't'envoie le lien!" Et ça se dit avoir un "potentiel"? à la taille du caddy! Sur-booster aux céréales enrichies, gavés aux super héros depuis la plus tendre enfance, ça regarde les coucher de soleil comme on regarde un film... Dormez braves gens! Il est l'heure de dormir pendant qu'on vous gave à crédit. Pas une once de synthèse, pas une parcelle "d'authentique"... Tiens je vais pisser avec l'ensemble de tous ses synonymes! Du respect? De la politesse envers les autres? Mais parfois, je vous jure, difficile de se contenir. Un style rédactionnel clair, une orthographe soignée? du genre: -" j'est sans soizante de QI et je ne suis pas bons en ortografe" Du genre encore: "comment fère pour qu'on me conpraine parceque je conné pas la langue?... Qu'est ce que je dis c'est y des conneries?" L'SMS je le vire cause que MDR est trop petit! Quand à ce qui suit? Diffamation, déconstruction, xénophobie? N'en parle même pas!!! Crotte zut flute, sacrédiou! ça c'est poli!!! cuistres pendard et autres zoiseaux rares... Cette suffisance à se gonfler d'un rot ne vous donne pas l'état d'être autre chose qu'un ballon dans un courant d'air. Tiens je le remet: "Qu'elle est le con qu'à pisser sur la neige?" Si même nous remettons en cause l'étalonnage, c'est pour l'avoir trop mesuré! Et qu'on ne me parle plus de J Go et ses comparses! Comment pourrait on faire confiance ou accorder le moindre crédit à quiconque se ferait appeler d'un acronyme aussi... Aussi... Je répondrais au moins à "minouchette" et "pupuce" pour des raisons d'esthétique... Tout autant qu'à "Rambo" et "K2000" soupççonnant qu'on ne peut y recourir sans un second degrès! Les touristes m'e... Voilà c'est dit: J'ai taper mon gros poing sur la table de "charcuterie"! UAQVVDB mais là qui se demande comment! Remettez vos nez de clown...