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J'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ? - Page 22

Question anonyme le 13/02/2011 à 15h42
Dernière réponse le 26/04/2024 à 01h54
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J'ai un qi de 160 et j'aimerais savoir qui suis je ,que puis je en conclure concrètement ?
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1055 réponses pour « 
j'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ?
 »
Réponse de R.E.D
Le 11/04/2017 é 10h50
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Bonjour chez vous? Un adepte du 6 ou une manipulation du 2? Mais qui est sur le grand bi? La bulle pépin la bulle oh oui emmène moi! Envoyé du village. Et c'est signé Mac Gohan. Ah, Ah, Ah!!! "Faut bien rire un peu"...
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Réponse de The_monkey
Le 11/04/2017 é 21h02
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Je ne voudrais pas m'incruster ? Comme sur un studio télé ! Il y en a 4-5 qui parlent et derrière on place des figures à géométrie avariable, qui tapent des mains en même temps pour un support, ou qui U pour montrer les griffées d'une suites de mots effrayante (danger) , des fois il y en a juste un et cela prend pas, plus de jeux d'ombres, qu'une nounou de groupe, le bien veillant au bon déroulement, d'un œil curieux mais sévère dans sa possibilité de surgir du "néant"(quand on refuse d'y penser) . J'ai un imaginaire comme représentation des autres percevant mes mouvements et je ne voudrais pas m'en détacher car celà permet d'avoir un ou deux sentiments d'un retour sur soi sans l'autre, qui oscille entre narcissisme et déception de l'esthétique de mon expression voir des idées émergentes qui me deplaisent,(problème de communication suffit pas de le vouloir) je vous parlent aveuglement et qu'au contraire, quelle joie d'une intervention qui n'est pas derrière, l'escapade assurée, mode sans échec, du petit coup de poignard qui se voudrait, d'un juste en passant, tant qu'il n'y a pas fontaine résultante à vampiriser. Mais possédant un rôle non dénoué de sens tout autant, cela nous amène à un rééquilibrage "merci de me rappeler le sens commun" dit il. T'as déjà vu les oiseaux qui traînent ensembles ? leur façon de voler sans chef, (mathématiquement toujours non modélisé mais ça régresse ! ). On peut constater quelques échecs de leur survie sur leurs INTERACTIONS, au dessus de la mer, du couché de soleil à l'hexatombe, l'un d'eux plonge, quelques fragments de T s'incrustant entre. Tous d'un Urysohn qui s'est laissé prendre dans le courant de son exploration. Un lien de topologie du danger que je me refuserai d'appeler manqué. Même si, on voudrait s'exclamer, dommageS ! En tout cas je l'applaudis dans sa globalité existentielle volontier. Tesla a bien failli y passer un paquet de fois aussi, conclure que le comportement fut mauvais inciterait à nier l'extérieur de l'intérieur, la frontière entre devrait se saborder sans causalité morale au moins. Dieu, au conditionnelle, serait révélateur d'un extérieur à nous (donc de la construction d'un intérieur qui s'en distingue) , un ressenti que l'on s'adapte à quelque chose un univers que l'on ne controle pas totalement, et le fait de le contrôler partiellement nous amène à imaginer que l'on peut incrémenter sur ce plan à l'infini. La limite est Dieu. Je vous invite à relire l'axiome du choix avec cette optique qui est, justement est ce que se poser la question à un sens, sans en considérer le rapport qu'on en a. La dessus je suis d'accord. Pour une théorisation, la religion permet de créer une force opposée aux instincts, mais interfère de la moral et la baston de survie donc. Quant à Dieu, il faudrait je pense partir de ce qui vous a amené à considérer son existence, creuser entre deux tréfonds de la genèse de votre spiritualité, se voir de l'extérieur d'un imaginaire intérieur de l'extérieur (meditation ?) . Il semblerait qu'il n'y a pas de temps car il ne passe pour un observateur extérieur à l'univers. Imaginons ! Enfin en lien, la juste théorisation compréhension ne nous suffit pas pour combler assez un besoin de sentir. Et surtout avoir un moteur à notre agitation, qui n'est sûrement pas simplement reposer de tout comprendre toujours plus, mais de se laisser prendre dans ce qu'on appelle l'esthétique, le charme, les saveurs, je pense que très peu saurez nier que quand Red écrit un truc même si on en saisit pas les métaphores directement (3D) c'est mieux à lire qu'une analyse FROIDE.
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Réponse de The_monkey
Le 11/04/2017 é 23h05
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Grothendieckie même "isolé" de la société avait ce besoin de développer, irrésistible qui lui tombait dessus. Plein de cartons incompréhensible qu'on a maintenant de brouillons, qu'il refusait que l'on voit. (tant que vivant) Bien loin des rubikscube pour frimer, il faut conclure
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Réponse de The_monkey
Le 11/04/2017 é 23h16
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Mais votre description en donne une approche
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Réponse de R.E.D
Le 12/04/2017 é 10h12
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De l'usage de la métaphore et de la palette sur un métier à tisser. à petit singe. ou comment ratisser son jardin lorsqu'il n'est pas à la française. Se promener au hasard dans un aléatoire confortable et correctement chaussé. Du moins ajuster la vitesse de ses pas aux sandales de la sensation. Puis, à chaque pas arrêter doucement sans faire de bruit, à peine à respirer. Faire l'effort de s'écouter penser jusqu'à ce taire de peur d'étourdir le paysage et qu'il ne fuit. Se pencher doucement le nez en l'air pour être l'oiseau qu'on entend chanter sans se soucier de ce qu'il dit; Cela viendra après si le besoin s'en fait sentir. Un peu plus loin l'ordonnance du détour fera largement oublier la sensation d'avant, le chant de l'oiseau en écho renforcera le bruit du ruisseau. Engranger l'accord et redescendre sur terre, pour y sentir l'odeur. Lorsqu'on ressent une fatigue (laquelle?) ne pas retourner en arrière de peur de voir la mémoire chercher les points communs. Vous en seriez déçu si le souvenir ne vous intéresse pas. Tremper vos doigts au petit matin sur la condensation du jour. Asseyez vous sur vos talons sans jamais poser le cul par terre: Vous pourriez y rester. Puis revenez lorsque l'envie vous dit en des territoires qu'on fini par confondre avec soi parce qu'ils s'étalent à l'infini. Là, posez vous sur l'assise du temps qui passe et plantez un mystère; N'importe lequel. Si vous n'en avez pas, peu importe il viendra à vous parce qu'il est libre d'être là ou il veut, le mystère. Arrosez le de votre promenade et comme entre ombre et lumière, la profondeur se joue, n'oubliez pas de le tailler à chaque instant. Mais pas n'importe comment! Laissez le décider, tournez encore autour et revenez à votre point de départ, votre premier point de vue, et puis fermez les yeux. Respirez le... Les mystères n'ont pas qu'un nez ils vont toujours ensembles dans toutes les directions, ils reniflent comme ils bavent. En animal de compagnie ils vous lècherons et se frotterons à vous. S'il souhaite remuer le mystère, remettez le à sa place gentiment. S'il veut grandir, faites lui encore comprendre d'un petit claquement de doigt, qu'il n'est pas ici chez lui et que c'est lui qui maintenant se promène. Renversez les nuages. Et si encore, vous ne bougez pas, il se mettra à frémir. Peu importe la raison, d'ailleurs les mystères frémissent toujours pour se rendre intéressant. Ils trouverons une raison si vous n'en trouvez pas... Rassurez vous. Puis, revenez à vous. Les pieds dans la tête, je veux dire en semelle de vos rêveries, arrosez la présence d'un verre d'eau, assaisonnez par une pincée de la promenade et contempler le mystère. Il est déjà partie s'en aller voir ailleurs. Alors, sans bouger, sortez de vos yeux comme lorsqu'il pleut et que l'averse ne peur rien faire d'autre que de tomber, puis brodez doucement sur la trame du temps les motifs que vous jugerez les plus décoratifs lorsque le soir vous tombe. Il tombe toujours le soir de quelques part. Peu importe la couleur, il y en aura plein d'autres dans un rayon de soleil... puisqu'ils sont dans les yeux et que ceux là sont sur vos genoux, au fond de vos poches, ou ranger dans le sac à ouvrage avec le dictionnaire et le carnet de bal. Mais ne vous piquez pas en confondant l'aiguille et le bout de vos doigt. Car il arrive parfois, lorsqu'on fait partie du monde qu'il devienne un autre soi même. Repliez vous encore un peu dans votre enfance, elle n'est jamais très loin. Et d'un peu de rien, bricolez un soubresaut ou un frisson avant d'aller dormir. Blottissez vous doucement dans votre couverture brodée aux couleurs d'un tout en chacun puis oubliez vous un petit moment... De l'intérieur. Shi Ren: S'il n'y avait pas d'inconnu dans le moindre mystère de quoi voudriez vous qu'on parle? Du mystère de nous même? De peur de nous ennuyer... Les volets claquent sur la fenêtre et le monde entier semblerait s'en noircir. Bonne journée.
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Réponse de canounet
Le 12/04/2017 é 13h19
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Aaaaaaaaaaaaaaah ! quelle douce berceuse, musicale, enchanteresse en clair, sans fautes de français ou d'aurttaugrafe enfin un post que j'ai lu de bout en bout et que j'ai goûté et apprécié ça change des dizaines de galimatias hermétiques précédents merci R.E.D sauf que j'ai eu qques difficultés à me pencher le nez en l'air (gag)
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Réponse de R.E.D
Le 12/04/2017 é 17h54
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Peut être regardez vous trop souvent le sol... Réflexe de Pavlov des arpenteurs. Lorsqu'ils s'occupent de leurs nez c'est pour se moucher. Et bien voilà enfin un langage qui vous sied! Vous l'auriez dit plus tôt, le costume aurait été vite fait! "Qui se soucie de regarder la fleur de carotte sauvage au temps des cerisiers en fleur?" Yamaguchi SODO. Pour ma part un "qque" ressemble à un gâteau et indique la recette qui suit: Le pudding! Utilisant les restes, celui ci en vient à faire durcir le pain pour le remettre à tremper. Additionnez les raisins secs de l'année dernière puis mettre au four à gamberger... Voilà le plat du jour. L'habitude ici de confondre le kilomètre parcouru avec la distance de la terre à la lune... "Mais pourquoi est elle tombé dans le puis?" "J'avais besoin d'eau" semble être une bonne réponse! Poète va... Vous l'auriez dit plus tôt,mais méfiant comme vous êtes, sans autre commentaire plus enveloppé, vous deveniez consommateur de la soupe en boite! Poète, un peu d'eau pour se réhydrater! Osez donc ça ne vous fera pas de mal et même à l'eau du robinet!!! Enfin!
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Réponse de The_monkey
Le 12/04/2017 é 21h15
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La hérésie, cette poesie d'exprimer au travers de caché, un message bien complexité. On fait sonner quelques fond ensembles, on en oublie le mot surtout le cherche d'analyse que l'on message aussi. Sans chaos pas d'émotion, sans logique pas de fantaisies Sans émotions pas de chaos, sans fantaisies pas de logique Sans point, où est le point ? Gardons un peu de froideur dans l'esthétique, Et que la journée elle est prédite bonne ! Pour, moi c'est ça, ça c'est moi. Une pause de lecture ? Stop ! Et allons nous en pisser quelques temps pour ça coule plus longtemps
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Réponse de R.E.D
Le 13/04/2017 é 10h03
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Ah cher poilu de la cime, que me faites vous là? Vous réclamez à tord et à crie un échange de "nature" à "culture" et dés qu'il s'agit d'être en couleur, les mots croisés impressionnistes serait devenus opaques? Et comme toujours, de la complexité formelle, une ambiguïté du ton. Mais comment signifier les pesanteurs du sens autrement qu'en décantation? Et vous êtes à ce point la bouteille au savon boum derrière la palissade. D'un nappage du non sens, de l’intérieur et toujours vers l'extérieur. Une allumette sous l'alambique, quelques litres d'eau de voilette en postiche... "ça" revient! Auriez vous peur de quelques incertitudes? Et toujours cette affirmation d'une différence de forme, comme si le modelé valait son pesant d'effort. Rappelez vous, et même sans devoir, votre besoin de vérité, ou du moins votre recherche d'une telle sincérité. Ne pourrions nous pas parler franc ou du moins vouloir l'écrire? Il y a encore quelques temps, l'octosyllabe marquait ses soliloques dans des pages volontairement obscures... Non? Le discourt intense d'un en soi à la recherche d'une reconnaissance pour elle même s'étalait en tectonique bousculant les océans. Un geyser à en décourager plus d'un faisant péter la camisole. "Moi" j'insistais alors sur les éclaboussures en remettant certains sur la remise en cause des dogmatismes; L'esprit vaut plus que la forme qu'il revêt, non? Quoi le singe en bon intelligence osait à peu près tout du haut de son refuge! Je demandais ,et non pour moi, un peu de tempérance de peur que l'intransigeance vienne inonder l'endroit d'un marais fat. De quel droit certains demandait une logique linéaire allant de la définition à l'emploi? Et du summum de la mauvaise trempe; Qui de l'outil ou de la main? De quelles profondeurs parlions nous, et puis encore de quels super-pouvoirs? Vous reprenant parfois sur cette notion d'élite, nous épluchions ensemble les diverses dimensions des écritures en s'adonnant au jeu des correspondances presque gratuites en beaux cadavres exquis... Et puis voilà maintenant que la fantaisie bariolée à deux doigts d'être baroque vous évoque le chaos? Jardin à la Française tracé au compas, magnifiant l'angle droit dans la sûreté d'un buis au cordeau. Vous aimiez le pentagramme? J'en étais à sortir du plan plan en insérant Tzara. Vous critiquiez la citation se mettant en valeur avec l'esprit des autres (j'aurais bien d'autres formulations) et "je" faisais de même à contre courant. Vous défendiez l'expression libre? Je me contentais d'y mettre des virgules de peur d'une embolie. C'était une pause pour un trop plein de "frigideux". Et par dessus le marché, le trotineur au nom étrange pour une fois se fend d'un compliment? "Pas de fotes en qques lignes" et pourtant le pavé était juste pour vous. La science rassure. Elle offre la boite à outil mais l'outil est il adapté à la tâche? Revenons voulez vous à quelques bonnes questions! La mélodie est là, mais plus la chanson... TRALALALA l'air... Reprenez vous mon bon d'une logique linéaire. On inscrit pas toujours le temps dans "il était une fois"! Le bazar sédimentaire charriait alors des poudres incertaines que je me plaisais à tamiser pour le plaisir de tamiser en orpailleur de vos torrents. UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 13/04/2017 é 12h44
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L'incertitude, je ne suis pas certain d'en avoir peur, L'indecidabilite il va falloir que je me décide un jour de nuit, Le sens ? Je sens qu'on a jamais fini de tourner en spiral dorenavant pour s'en sortir dans un imaginaire pointu. Regardons tout ça avant d'aller se réfugier dans le danger des apparences. C'est beau l'intelligence, c'est plein de liens ! Vide de vérité, voilà la morale de l'histoire. Pas satisfait ? En avant la transcendance, avec des intérieurs et des extérieur qui s'emboîtent infiniment. Ouvrons les tous un par un pour pas s'ennuyer. Non, j'ai une meilleure idée, modélisons le avec un polytope qui s'en va de tous les côtés et toujours plus vite. Avec un peu de chance, nous pourrions confondre le point et la sphère, sinon c'est fatal (destin), le chaos du 4D devient inévitable. L'univers est proche du zéro absolue (froid ?) en moyenne, une densité plus grande de concepts en points de culminance du monde génère de l'intérêt. Regardez voir par là, les surdoués survivent et se surmontent sans jamais surpasser les autres c'est sûre ! Pourquoi ? T'es bête ! Parce qu'il n'y pas de comparaison possible sans projection stéréographique sur un écran de cinéma d'un film avec des zombies vampires et des cadavres exquis. LA partie d'échec avec Dieu n'est pas terminée ? Trop nulle, il paraît que j'ai des (/-053 (élitisme, je vous attends là dessus.) à faire , Soyons franc, elle indique quoi votre horloge ? Pfff foutue relativisme j'avais pas oublié d'oublier ce coup là. Là, pis c'est de revenir plus tard ? Bien ! LAA, et VLAN, BOOM e Rang dans ta face triangulée à mon super scanner hypersensible aux ultra vibrations harmonieuses, (humour avec un nez rouge, il en faux des couleurs). Je vous aime bien, Tombez pas de l'autre côté de l'absence de conclusions conjecturales conditionnées d'incrementations de valeurs partageable, sans cela, pas de pronom. Des questions ?
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Réponse de R.E.D
Le 13/04/2017 é 17h30
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Alors ne vous décidez pas de peur d'en être sédentaire. On en fini par en découdre; de la propriété privée des autres. Les barbelés des volontés restreintes, même apprendre à y trouver un sens à grand coup de boussole ne satisferait pas le moindre vagabond. Et là, je vous rejoins sur la morale et sur les liens. Quand à la vérité? Elle n'est hélas qu'une apparence que d'autres prennent au sérieux a en rompre ses fils. Ce monde est froid? Aujourd'hui, de cette présence des commerçants d'amis... Et le sens me pose encore question depuis une éternité (horloge en suspend). à cause de cette fichu logique d'invertébré en stricte causalité du pourquoi/parce. Nous en avions déjà parler: Tout est justifiable et dans cette mesure on pourrait en conclure que ceci vaut bien cela. Je suis d'accord. Il y a une mauvaise conclusion à en faire. De celle du bon étranger qui s'offre pour faire manger ses hôtes... Ou les limites de l'altruisme. ( Et j'y ais cru...) Stéréographie? Ceci vaudra bien la peine de s'y attarder un peu. Par moment, j'en arrive à penser que le manque, le petit monde des autres, manque de relief. Il y faudrait un peu plus de "ça dépend" pour au moins paraitre ne pas s'émousser à la moindre escarmouche. Savez vous affuter un outil? Le boucher lui se contente de faire du morfile en frottant ses aciers sur un fusil. Belle image... Quand aux barbiers et autres trancheurs du réel, ils font de même sur une pierre grossière, puis ne s'en contente pas. Ils vont en rechercher une plus fine, et d'un geste un peu plus délicat, repassent encore et encore pour polir la lame. Arrive alors le moment décisif ou ce fameux morfile, résidu barbelé de la première friction, il faut le supprimer. Doucement dans un va et viens bien maîtrisé, on le redresse en continuant le polissage. Il se décolle tranquillement sans jamais cassé. S'il casse il faudra revenir à l'ébauche. Petit à petit, la lame étincelle tandis que les barbules s'évacuent sur la pierre la plus fine. On finira au cuir, au gras de tête, la main dans les cheveux avant de contrôler sur le bout des doigts le rasoir ainsi obtenue. Si la tâche est bien faite, c'est sans effort comme en caresse qu'elle prendra sa part et sans la moindre douleur. Et puis il y a encore les tailleurs de pierre aux mains caleuses. Ceux là s'échauffent pour un rien à croire qu'on mesure la dureté d'un travail au poids de la masselotte. Mais c'est le contrecoup qui fait le résultat. Le premier lance une vibration et le second la stoppe d'un son mat. Tac Ta en quelque sorte. Ceux là qui chantent en régulier sur la pierre qu'il taille, ceux qui n'ont pas de cales aux mains ne portent rien d'autre qu'un petit tas de poussière à balayer le soir en rangeant l'atelier. Pour les autres qu'on entend de loin, les éclats parfois s'en vont crever leurs yeux. Une petite leçon de ma vie puisque tout mène à tout. Et c'est vous ou moi qui définissiez l'intelligence comme cette manière de créer des liens avec à peu prés tout? "Je" tue "il". Lao Tseu a pensé à vous: "Inutile d'apprendre à grimper aux arbres à un singe." UAQVVDB. Horloge: La mienne indique aujourd'hui la fin... La fin de quoi? Je n'en suis pas sûr puisqu'il y a toujours une fin. En tous les cas je n'y ais vu aucune synthèse possible... Juste un bon ouvrier affutant ses outils.
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Réponse de The_monkey
Le 14/04/2017 é 15h05
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Paul Morphy évitait le barbier très probablement, car le coiffeur déjà risquait de lui trancher la gorge, sa vérité n'est pas sans sens. Quand on taille jusqu'à se dire que les cornes de la feuille se cachent dans les recoins. Choisissons un détail, faisons en toute notre vision, il n'y a que moi à fond sur ce galet là. En général je m'entend moyennement avec ceux qui refusent d'avancer, plutôt bien avec ceux qui reculent, c'est de symétrie qu'ils comprennent le mouvement linéaire, (en métaphore, il cache ses ramifications) l'interaction. Quant à ceux qui regardent le même galet, ma proximité est apparente, au delà de la constante de Planck, on entend tous à peu près la même musique ? Les accords s'accordent en bien absolue du moins. Je vais vous confier une tache que j'ai vue sur ce galet, qui se veut croire que chercher la vérité est passionnant jusqu'à en éliminer sa valeur, tout boucher en finirait la lame à l'œil pour retirer le bout de viande ? (belle image projetée type stéréo) Non on peut aussi voir cela comme un univers qui s'ouvre à nous plein de nouvelles géométries à mater, échec après échec, et cela nous amène à se surmonter, ce n'est pas parce que je comprend comment je fonctionne que je ne peux plus fonctionner (si JE fonctionne réellement) . Je développe du déjà ecris mais je dirais faux, se comprendre j'ai l'impression que c'est trop douloureux ou humiliant au point que dès que l'on se rapproche de soi, on se met plein de contradictions en tête pour devenir plus compliqué. "Je ne veux pas d'amis, cela voudrait dire que quelqu'un me comprend, je m'y refuse" (une citation d'un de nous). L'introspection, trivialement est impossible car l'observateur change l'observé en se confondant. Le bonheur certain vous diront que c'est pas pour l'intelligence. D'autre appliqueront maladroitement "X implique non Y" donc je tue X pour me sentir Y sans comprendre que Y ressemble à la fin de ce paragraphe. D'autre tueront l'implication, vous charmeront d'un juste X et Y ! Jusqu'à ce qu'il se rendent comptent que les deux ensembles font fuirent les Zautres. Quittons l'ABC de notre air du moi communément intéressé. Et si le bonheur n'était pas simplement le fruit sucré de la morale ? . . Tout devient possible.. les 11 insupportables du monde deviennent compréhensibles et l'altruisme en gagne parfois un arrière goût de domination.. quant au malheureux, il se rend dépendant des marchands pour se sentir bien : Il cherche des baguettes valeureuses à copier pour se découvrir heureux ou "stable" . Cette notion de stabilité m'a personnellement toujours effaré quand elle concerne la conquête existentiel je vois cela comme la fin du jour. Peur de l'acertitude ? (à méditer) Quelle vue ! ces lignes de cubes respirants de différentes couleurs mais de même forme à structure auto-calquée cependant grandissant avec un quasi-aléatoire bien macaque. La première rencontre est fascinante tant j'ai compris que j'étais superstitieux des pronoms (entre autres). Cette répétition ou ce manque d'esthétique à l'entourant qui vous tape sur le système, je le vois comme ça. Je ne vous donnerai pas la demi-solution que j'ai trouvée pour en survivre de ce choc émotionnel car il s'agit là que de mon pavage, mon tapis sage. Et vous en avez sûrement développé une solution du 3/4 ou de l'ignoble 2/3 pour une approche semblable ? L'admettre comme vérité s'était le début d'un syllogisme, une erreur d'un autre temps, dites-vous. Là vérité, pour en terminer aujourd'hui avant de retourner scier des arbres pour y grimper plus facilement puis en faire des radeaux. Je vais vous raconter des histoires : Je lis un message, je ne le connais pas donc il est venu en dernier ? Non j' ai peut être oublié leur contenu. Il se trouve en bas, ici le plus bas est le plus récent car cela me permet de comprendre l'échange et de ne pas perdre le fil. L'ensemble je le touche cohérent. Cherchons la vérité plus loin, je suis convaincu que j'ai oublié la moitié d'entre eux et le plus récents doit se trouver au milieu, quelqu'un mélange leurs places sans leur ordre (hypothèse folle car rare). Et je n'arrive pas en comprendre leur cohérence ensemble, je vais te saisir vérité ! Bon, je n'y crois pas vraiment, pas la foi, je ne suis pas fou, ne vous inquiétez pas. Mais après tout, je suis peut être pas assez intelligent pour prouver ce que j'ai imaginé et je peux imaginé bien pire, où mieux, restons dans le bon sens commun. Non, allons y lentement dans le curieux Incensé, c'est dangereux, le censé est dans la vitesse ? L'incensé reste nécessaire au développement à l'espèce du "je saurai" . Un Franc.
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Réponse de R.E.D
Le 15/04/2017 é 16h32
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étonnant votre parcourt, non? Il y a des ponts un peu partout et puis d'un coup, ce calme après la tempête. Je me suis toujours demandé si ce qu'on nomme "l'intuition" n'était pas ce pseudo sixième sens du "bon sang mais c'est bien sûr!". Ce que certains ont et que d'autres, par soucis de nominations, passent leurs temps à rechercher dans tous les dictionnaires? Il y a cette conscience innée chez certain que tout est relié, fractale en quelque sorte et que partout et dans tout, nous pouvons retrouver l'ensemble, dés lors que nous ne nous perdons pas dans nos intellectualisations pour elles même. Voyez vous c'est un peu le piège dans ce que j'en ais perçu de cette tendance actuelle à vouloir "connaitre": Connaitre même jusqu'à la connaissance. Il y a ce don, cette sorte de capacité chez nous autres (et de qui parlais-je au juste?) a pouvoir tout réinventer en permanence. Et cette entité parfaitement abstraite comme il se doit qu'on appelle "culture" n'est en somme qu'un liant, une colle à maux qui pense nous rapprocher par ce qu'on appelle "l'échange". Mais de quel échange parlons nous encore? Puisque la plupart du temps nous parlons pour ne rien dire et que d'autre part, nous passons notre vie à vouloir nous donner raison par nos jacasseries. De ce qui est maintenant une certitude pour moi: (veuillez excuser la citation qui met en scène un congénère sur ce plan elle est archaïque et dénote un sens commun qui aurait dû disparaitre depuis plus d'un siècle!) "Mettez un singe devant une machine à écrire et un jour ou l'autre il finira par vous écrire Mac Beth." Parfaitement absurde donc d'imaginer ce "quatre mains" aux normes de son époque représenté pour un public de la même "espèce" son imaginaire s'attendant à en recevoir des applaudissements autres que celle du reflet de ce qui est admissible par tous... Je continuerais si vous le voulez bien un peu plus tard, quelques "courses" à faire. Excusez les entre guillemets mis ici pour signifier les quelques raccourcis non développable. Pour autant ceux ci soulèvent des questions plus profondes que leurs énoncés. Mais nous les avons (il me semble) à peu près tous développés plus avant; La flèche du temps. Et coupez moi de beaux arbres en leur demandant chaque fois pardon et en assumant la responsabilité de ce que vous en ferez... ça ne sera déjà pas si mal. UAQVVDB. Ps: Il y a effectivement un aléatoire de classement dans ce site. Cela vient du fait qu'il fonctionne en arborescence: Chacun peut répondre à qui il veut sans tenir compte d'autre chose que de son désir de répondre. Ainsi, si nous regardons de plus près les premières pages, celle qui sont lus par la plupart qui s'intéressent au "sujet", de par le libelle même de la question, elles se densifient. Nous avons donc dépassé maintenant le domaine des experts en faisant le tour de la question... Si cela peut vous rassurer!
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Réponse de The_monkey
Le 17/04/2017 é 22h27
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L'intuition que j'aime ! L'intuition, une logique inconsciente. Oui c'est tout. Et vraiment tout ! Ou presque. Presque rien de ce que l'on en perçoit. Des murmures, sans causalité apparentes. (ça y est il va nous ressortir l'allemand et sa vision de tours tout aux tours du monde). Non j'ai comme une intuition sur l'intuition. Elle serait la méthode du logique à priori sans causalité. Le raisonnement conscient qui consiste à mémoriser les liens les organiser puis les utiliser comme route de l'intelligence sont des obstructions à la logique non causale. Exemple, prenons par hasard les échecs, je vous ennuis avec ce jeu d'absence de hasard comme on entend dire où de foure tout du QI en bas de la montagne east side (fais avec tes doigts si t'es pas un zzZebre qui dorlotte ! rigolote celle là ? On s'est bien que t'as l'air endormi mais que ça fuse la dedans Garson, ramène un vert pour red) Les super joueurs, de leur vécu douloureux (defaites, souffrance) ou de leur victoire (succes, confiance) développe une intuition, de sorte qu'il ne sont pas capable de choisir le mouvement de manière rationnelle mais sentent qu'elle mouvement est le BON. Cela marche encore mieux avec tous le reste, la logique de causalité est souvent médiocre à côté de celle qui est intuitive. Trop se réclame d'être plus vrai pour en asseoir sur leur causalité (plus certaine pour dominer, moins instable), mais ainsi ils tuent leur intuition, (horrible image) pire quitte à s'être déterminé en tout logique, l'intuition est détruite à coup de rigoureux d'incomprehensible et faux parce qu'il manque un s tiens. Le plus difficile pour les haut Qi je pense est de rendre l'intuition causale, soumettez vous a quelques règles d'expression, pour échanger de votre imaginaire aux autres, mais cette phrase que Red a balancé l'autre fois m'a marqué, c'est qu'en échangeant on en perd de sa logique. La réalisation du cheminement ne suffit pas pour aboutir à sa preuve, il y a toujours ce travail parallèle du recherche d'étapes intermédiaires, je connais A je connais C, je suis passez par XYZ, maintenant je peux trouver B, pour les autres, qu'ils marchent sur ce pont. L'esthetique ce travail pour que les autres suivent. Et ce n'est pas PARCE QUE que vous prenez deux farfelues que les XYZ vont leur être commun, l'autre aura sûrement choisis pi gamma eta race? Humour hyperbole, super pouvoir du pleuvoir sur perfide. Calme après la tempête, en effet et calme avant le tonnerre, j'ai une vision ternaire et fausse de mon fonctionnement sur lequel je n'arrive pas à relativiser, mais je pense qu'il se généralisé à à peu près tous, phase d'égards puis fasse du regard dès autres, phase qui prend feu jusqu'à la prochaine pluie (merci tempête).
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Réponse de R.E.D
Le 17/04/2017 é 23h30
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L'intuition est un raccourci économique qui se passe de la démonstration. J'ai eu souvent le problème en math lorsque j'étais étudiant. Les résultats s'imposaient d'une manière évidente au point que la démonstration n'avait pas lieu d'être. vous parliez de perte de temps dans l'obligation de preuves? Juste le fait de convaincre par le jeu de la partie d'échec, la conclusion. Puisque pour beaucoup, le jeu vaut plus que l'enjeu. Non pas que l'intuition soit au delà ou en deçà de la causalité mais plutôt que la causalité de par le fait qu'elle se veuille logique, n'indique pas que la logique de premier degrés, soit encore une croyance. Il y a donc un effort à fournir lorsqu'on se trouve dans ce qu'on pourrait appeler un raisonnement globale pour structurer la perception dans un cheminement de manière à créer une histoire convaincante. Tout ceci tient au fait que ce type de pensée fonctionne non par déduction mais par proportion sur une vision spatiale. Je pourrais développer mais... Je n'en vois pas l'intérêt maintenant. Rationnellement parlant, j'ai des choses à traduire et la question du langage me préoccupe. Je doute de plus en plus que l’idéogramme puisse correspondre actuellement à autre chose qu'à une vague notion métaphorique qu'on aurait rendu superstitieuse pour les besoins d'une flatterie numérative. à titre gratuit, s'il est possible de tout réduire en une suite simpliste d'opération (algorithmes) encore faut il avoir une vue d'ensemble pour savoir ou couper le serpent... Bien à vous. UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 17/04/2017 é 23h39
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Et justement, trouver B peut être plus compliqué qu'atteindre C, et cette confusion des hauteurs est terrible, car la hauteur reste solitaire ou folie sinon, et sur ce point vraiment sur ce point, toute votre intervention ici prend sens et reste irresolue si ce n'est quoi par le charme de la poésie ?
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Réponse de The_monkey
Le 17/04/2017 é 23h45
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Red, l'intuition n'est pas économique ce qui l'est est d'avoir raison et de dominer, au contraire l'intuition est cette intelligence que l'on rarement peut se permettre sans pérennité ou folie
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Réponse de The_monkey
Le 17/04/2017 é 23h54
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Pas d'intérêt où occupé, plus à le dire qu'à l'être ? Allé je m'en retourne vaquer aussi, MOURRONT ensemble dans l'incertitude, ou pourrait même être amis, qu'en dites vous ?
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Réponse de The_monkey
Le 18/04/2017 é 00h17
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Enjou feu, bon soldat ta touché le mille ce qu'on attendait, toi t'es un boss, tu vas diriger et le soldat avant d'exécuter ou après eut ce rêve que ce fut lui, t'inquiète c'est normal tu t'identifie à tes victimes, t'inquiètes pas c'est la guerre, bon soldat avant que tu ruines ton chemin, laisses moi te mettre autour du coup ta fierté
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Réponse de R.E.D
Le 18/04/2017 é 10h48
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Peut être oui, peut être la poésie petit singe grimpeur. quel meilleur moyen d'occuper son esprit, surtout lorsqu'il s'agite en permanence, de trouver de nouvelles images mentales? On court-circuite l'utilitarisme, on globalise une réflexion dans ses ramifications ultimes, on surprend l'esprit rationnel à outrance dans des impertinences qu'il jugerait impensable, on fabule gracieusement de nouveaux porte mentaux en alternant les palimpsestes et les allégories. On farfouille comme on chine des collections extraordinaires au plus grand plaisir des bidimensionnelles de l'esprit accroché à ses pas. Prendre encore l'expiration dans une goulée d'aire du temps et étaler d'une manière bien mince la pâte ainsi obtenue pour en créer une oasis désaltérante dans ce désert de sens. Quand à l'économie? Comment voulez vous construire des cathédrales ou temple de l'esprit si une forme de vision large n'envisageait pas la synthèse avant la structure? Non à ce que je sache et que j'en ais vu, l'univers des hommes, du moins ce qui se passe dans la petite boite en os, est fait de fulgurances, d'inintelligibles intuitions. Et ce qui fait la différence d'avec ce qu'on appelait instinct, ou même inspiration, c'est cette faculté de traduire en "langues" les révélations en quelque sorte. Veuillez ici excuser les références. Il y a une grande confusion, il me semble, entre l'outil de la logique et le traitement de l'information. Et j'aime assez le temps du rêve à l'Australienne. cette sorte de contrebalance d'avec le strict concret des besoins de survie. La synthèse possible entre ses deux mondes serait assez comparable à l'équilibre qu'il peut y avoir entre l'architecte et le maître d’œuvre. Nous vivons dans une époque ou il semblerait que l'outil, du moins sa collection dans une caisse vaut plus que ce qu'on en fait. Apparemment, nous en sommes là à regarder nos outillages comme la preuve rationnelle de notre capacité à faire. Parfois revenir aux choses simples en regardant à l'intérieur, relativisant le pas faisant taire les univers de traductions simultanées que nous offre l'analyse formel. En quelque sorte rêver avant d'agir, pour faire au plus court, semble être le seul sens qu'on puisse donner au fait d'avoir autant de capacité dans si peu de volume. Et pour en revenir à cette sorte de pensée analogique, ce concentré intuitif de "religaré", apprendre à se faire confiance pour ne plus aller au hasard; Le hasard n'est en somme que l'impression de se perdre dans des statistiques... et même lorsque la peur de l'incertitude est là, la peur de la feuille blanche du chèque en blanc, savoir qu'il y a une place dans le monde des autres pour les rêveurs. Ils sont un signal rouge qui clignotent. Un phare et peut importe le boat people qui emmène les immigrants affamés d'un coin du monde à un autre. S'il n'y avait pas l'espoir du rêve, si partout nous croisions les mêmes paysages, que nous étions interchangeables et qu'une sorte de profile type nous rassemblait tous dans une collection d'instincts, insectes sans suite à vocation utilitaire, se reproduire, bouffé, chier et crever, savourant encore des plaisirs sans suite dans l'apologie du bipède et de sa différence d'avec l'invertébré... Nihilisme infécond et solipsisme morbide... Alors le rêve oui! Sous la forme d'une non dictature; Les dictatures s'appuient toujours sur des certitudes ayant valeur de vérité. Et tant qu'à faire la poésie (du moins la définition actuelle qu'on en donne, restrictive d'une soi disant pensée irrationnelle; Ceci reviendrait à dire que la seule manière de penser se doit d'être orchestrer autour de conjonctions de coordination!?) offre assez de fantaisie pour se sortir de la bouse des vaches de la prédestination à être. Voilà que je suis confus! ah crotte! parce qu'entre nous, entre qui? S'il y a une caractéristique d'une humanité, s'il y a une seule trace de singularité dans notre existence, qui fait que l'on puisse répondre à pourquoi et comment, c'est dans cette singulière aptitude à recréer sans cesse les outils dont nous avons besoin pour façonner nos rêves. Les laisser à leur juste place en se racontant des histoires autour d'un bon feu de bois... Ouba ouba... Vaut largement mieux que d'orchestre des critères évolutifs pour un soi disant bien être du genre vivre plus vieux en mangeant mieux; Oui mais pourquoi? Pour vivre mieux ou mais pourquoi? ,Pour manger plus? Oui mais pourquoi? Et ainsi de suite. Cette forme de philosophie physiocratique, nous réduisant à des fonctions, comme je le disais plus avant, algorithmique est un constat d'un terre à terre du genre je bouffe je chie qui en réalité n'explique rien à rien. Dans le genre si j'ai des doigts, et que j'utilise un marteau il est possible que je crève de la gangrène... Et alors vivre ou crever, cela à t'il le moindre sens puisque tout le monde, il semble... Mais depuis la nuit des temps, "l'homme n'a que de l'imagination." Averroes. Alors autant l'assumer? non? Quand au nez rouge, il a deux fonctions la représentation pour les autres et encore pour soi même. Mettre un masque en sachant que s'en est un permet de pouvoir distinguer la comédie ( vision idéale d'un monde mental de représentation et donc d'illusion) d'une réalité crue qui se passe bien d'avoir à se justifier d'elle même. Après tout, c'est nous qui avons besoins d'explications, pas le monde? Et j'en donnerais la preuve ultime c'est que partout et à tout moment certains d'entre nous n'ont même pas une allumette pour la raison qu'il n'y a aucune raison à son emploi et que le cru et le cuit, et pourtant ils vivent! Voyez vous mieux maintenant? Le "rationalisme" tel qu'on nous le diffuse n'est pas le structuralisme. C'est une manière abusive de réduire le réel à une image d’Épinal dans lequel nous devrions tous rentrer. Il semble donc que le propre de l'homme soit devenue la mesure de toute chose et que la connaissance algébrique ai surpassé l'intuition géométrique: Des arpenteurs sans mission et pas même construire une nouvelle route sur une terre trop ronde perdue dans un univers trop grand pour des définitions trop étroites. Non! La mesure de l'homme est la démesure de son imaginaire... La suite au prochain tour! UAQVVDB.
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