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J'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ? - Page 24

Question anonyme le 13/02/2011 à 15h42
Dernière réponse le 22/12/2024 à 20h50
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J'ai un qi de 160 et j'aimerais savoir qui suis je ,que puis je en conclure concrètement ?
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1246 réponses pour « 
j'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ?
 »
Réponse de The_monkey
Le 30/04/2017 é 03h05
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Clown au nez pourpre ou sulfuré, pardon pour l'utilisation du noir. Je viens de me relire.
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Réponse de The_monkey
Le 30/04/2017 é 03h39
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Parce qu'on s'en tape ! Ta mélanine. L'autre jour j'ai rencontré, des vivants, j'ai vu l'exacerbation d'exister, des super Qi entre autres, survivant même de l'enfer d'une dite société.
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Réponse de R.E.D
Le 30/04/2017 é 10h23
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Et d'ailleurs, V.I.T.R.I.O.L: De visita interiorae en latin de cuisine fut une formule assez classique chez les alchimistes au noir à la recherche de la pierre philosophale... Transposé assez tardivement dans l'univers du blanc qui absout plus blanc encore. Il fut à lui tout seul le "Destop" de la pensée complexe... Vers l'ultime simplification existen-ciel. Fallait il peut être préciser pour ne pas ramper dans le caustique! Non pas que je sois comme la plupart d'entre nous monomaniaque du genre, si je met un pull vert c'est que j'aime la forêt et les verts pâturages ou les vaches s'en vont paître à la cloche... Non pas que la nébuleuse en guirlande électrique scintille d'étoiles multiples dans mon ciel à facette... Mais s'il y a un fil dans tous ça: Il est dans la manière de percevoir les similitudes dans les systèmes. Mais revenons à "faire de sa cause personnelle une raison idéologique..." Oui c'est une possibilité comme de vouloir maintenir au moins une forme d'activité sociale... Tout en sachant qu'en réalité, dés que nous dépassons la réalité affective réduite d'un petit 30 en cercle de projection, le reste n'est qu'une affaire d'intérêt... économique... Au demeurant parfaitement conceptuel...Non? Il vous reste alors ce que la "raison" appelle l'empathie pour simuler mentalement des correspondances concrètes. Mais il me semble que lorsque vous touchez d'un peu plus près ce qu'on appelle la "raison", vous saute aux yeux le fait qu'elle est, elle même, une "idéologie". Anciennement, et là je veux parler d'il y a au moins deux siècles, le terme même de culture était péjoratif! Il fut intégré au jargon scientifique dés qu'on mit en place les théories "raciales" pour parler plus facilement des caractères "naturelles" des espèces. Les gens "évolués" parlaient eux "d'us et coutume" en entretenant des rapports de respect entre "civilisés"... Il y avait donc ceux qui avaient une "âme", (ce petit plus qu'on reconnait aisément par défaut dans le regard des animaux) et les autres dans l'obligation de le prouver. Il y avait donc les "hommes" et les autres. Et chacun vivait dans son territoire de chasse avec ses petites manies parfaitement heureux dans un microcosme à l'image de sa cosmogonie... ou du moins c'est ce qu'on veut nous faire croire (sans le vivre et dans une approche "raisonnable")... Mais vous êtes un singe vous et de surcroit troglodyte! Avez vous rencontré Prométhé, Socrate? Et que faites vous de ce feu? Désormais la culture est une discipline de l'esprit au même titre que la gestion financière. Elles est enseignée et souhaitée. On ne doit pas dire: - "de quel culture faites vous partie?" sans qu'on vous reproche de parler de relations humaines et de "discrimination"... à peine si l'on ose parler encore de "racines" sans qu'on vous regarde comme un attardé du parc naturelle... Et lorsqu'on parle de traditions, même si elles ne sont que familiales sans être plus étendu, on est antiprogressiste... Chacun est devenue le scientifique de lui même dans la vulgarisation du "connais toi toi même" et de "l'ego sum". Solipsisme creux n'exprimant qu'un grand vide entre deux bornes de la bonne question encore à trouver! La culture est devenue en quelques décennies un fourre tout universaliste existentiel, ou plutôt existentialiste qui sert à merveille l'idéologie consumériste par sa volonté à servir l'émancipation de l'individu"... (Mais qu'est ce que l'individu sinon encore et à peine en grattant l'idéologie d'un qui saurait en lui même réunir l'ensemble des caractéristiques de l'espèce (en paquet de douze encore une fois?)... Et la culture c'est juste ça? "Comment tu n'es pas au courant?" "Tu ne connais pas la dernière?" "Tu n'as pas écouté untel ou untel?" "Quoi tu n'as pas vue le dernier trucmuche?" Et devant ses évidences on truc encore les débats en nous parlant de culture de masse et des autres pour faire naitre un conflit factuel d'avec une partition multiséculaire de division par catégories "sociales" ... par reconnaissance de caractéristiques communes qui fait qu'on peut encore utiliser par transposition les organisations de castes; Et en paquet de douze en promo! Quand à la société, encore un fourre tout ayant sémantiquement glissé de l'organisation d'un groupe à une panacée soignant la raison d'être... Et toujours universaliste et donc moral... Comble donc d'en arriver à parler du rangement de la bibliothèque comme d'un but en soi! Comble de ce rationalisme qui confond la boite avec ce qu'il y a dedans... Organisation mentale fétichiste qui exhibe ses grigris pour conjurer le mauvais sort de l'excommunication! à ce point là de "réalisme" froid on pourra dire facilement qu'il existe une forme de misanthropie dans ces propos. Mais ce serait sans considérer le fait caractéristique d'une vie sensitive qui ne peut que s'opposer à la froideur d'un monde de psychopathie désabusés. Je ferais de l'humour tant que les gens qui se disent sérieux continuerons de me faire rire... Après je te me les recadre chacun dans leurs petites paroisses pour s'apercevoir que dés qu'on leur supprime la moindre certitudes en béquille, les voilà bien incapables d'envisager même la naissance d'un autre rituel. Et nous pourrions en parler longtemps de cet état de fait en abus de pouvoir qui fonctionnarise la personne au point de lui donner un sens utilitaire! Le mythe même du "social" (du moins tel qu'on le conçoit actuellement) fut créer dans ce sens: Fabriquer de "l'utilitaire" à deux balles pour des "emplois" fictifs "d'individus" qui se ressemblent trop pour ne pas être interchangeable. Décidément un peu "d'ethnologie" ne fait pas de mal pour entrevoir nos propres dérives totalitaristes. Il faudra qu'on m'explique un jour comment trouver une solution à un problème mal posé qui explore des hypothèses invraisemblables! Vous parliez d'idéologie?! Mais que faisons nous ici sinon échanger des idées pour y trouver une logique? Deux minutes de sérieux non plutôt trois qui semble sous certains hospices plus générateur de recul critique ( je vous laisse vous amuser à y mettre des références... au choix) pour en apercevoir la saveur de l'humour de l'absurde en la "matière". Et rassurez vous tout va bien, sans la moindre amertume mais juste une mise à plat sur les 160. Dans l'incertitude qu'ici exposé ceci (ah c'est pas mal "ici exposé ceci"! m'en resservirait dans la rhétorique de style...) puisse vous servir à quoi que ce soit. UAQVVDB.
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Réponse de R.E.D
Le 30/04/2017 é 11h21
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Ah vous en rencontrez vous des super QI? Je croyais qu'ils les avaient tous bouffés à grand coup de lobotomie? Ah c'est vrai! Statistiquement nous représentons à peine 2/100 de la population recensés... Mais par qui déjà? Ah oui par ceux qui veulent recensés... Ah c'est déjà une réponse... Mais pourquoi veulent ils recensés... Ah c'est encore une question? Difficile donc dans ses conditions d'imaginer un regroupement majoritaire? Oh comme c'est bête ce que je dis! Présentez les moi, au moins ça me changera de l'univers habituel! ça me surprendra un peu de l'étalage de ces dictionnaires auto justifiants utilisant des pseudo logiques... causales... Primaires... En conjonction de coordination... Nous pourrions peut être délirer un peu plus encore dans l'exploration "cognitive"... Habituellement j'ai juste un petit problème de traduction et justement "culturelle" qui me demande trop peu de temps à résoudre... Comprenez peu d'effort... il parait que "je" suis trop complexe! Non mais voyez vous ça! Moi qui suis d'un naturel casanier et entretien une petite vie presque monacale... Vraiment ça ne vous donne pas envie de sortir pour entendre de pareils idioties! Il paraitrait que je suis décalé... Vous vous rendez compte un peu? Ah mais vraiment les gens c'est n'importe quoi... Au moins avec vous je m'amuse un peu. Avec les autres c'est si facile d'avoir raison avec n'importe laquelle; De raison... Qu'on en viendrait à douter de l'importance de l'avoir cette raison! Tiens je vous l'avais déjà dis (et il me semble que nous l'avons abordé bien plus haut) cette question de l'étalonnage de "critères" d'intelligences en plaçant l'hypothèse qu'on ne peut établir de "mesure" tant qu'on n'a pas de critères! Cela s'appelle au pire une tautologie, et au mieux un sophisme! ça dépend de la manière de vouloir le comprendre entre deux scotomes... Personnellement, j'ai du mal à croire qu'un ver de terre (excusez la métaphore qui pourrait paraitre discriminative, au sens stricte du mot, pour tous les vers de terres dans leurs galeries) puisse être pertinent pour me coller dans une case avec une étiquette dessus autrement que pour conclure que je suis "différent"! Veuillez excuser ma différence, s'il vous plait! Pas de ma faute à moi suis née comme ça... Tombé dans la marmite en quelque sorte avec un super pouvoir dans la tête! Non mais et puis quoi encore?! ça va pas la tête, RED! Tiens j'ai faim... Je vais aller me grailler un petit quelque chose à envisager de nouvelles probabilités. Des "connections" "inédites" qui déconcerterons la plupart... Parait que j’excelle dans ce jeu... Étrange non? Tiens je vais faire aujourd'hui un peu de synesthésie entre formes et sonorités histoire de mettre un peu de couleur sur mes mots... Ah oui c'est une bonne idée... ça fait longtemps... Faut que je me dérouille un peu, le rationnel m'em... Allez je vous laisse à regret un petit moment ami grimpeur, soignez votre mal de tête et soyez vous même. Après tout pour vous même... ça n'est déjà pas si mal: à vous tout seul vous êtes si peu nombreux qu'on en deviendrait à se demander si vous existez! Oh Dieu merci j'ai envie de pisser... Ouf enfin quelque chose de concret. UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 01/05/2017 é 00h49
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A voté. Qui ? _ Oui ? Qu'est-ce que le lutin apporte au français. Structure, épistémologie, élégance? J'acquiesce que le côté est plus puritain que d'ajouter de l'anglicisme. Marre de tout ces mots du triangle des Bermudes ! Du genre "déjà vu". Regardes moi ces traits là au dessus des lettres, non mais ça c'est pour ceux qui ont un chat persan (ils ont deux âmes une pour chaque oeil). Cétéris Pas ribus. Idéologie : idée mais avec de la logique. (du dérivé grec loGorillus, qui signifiait il y a II siècles logarithme en base 30) Tiens, tu es des miens. Dire à c'est ? L'idéologie du bonheur par la frustration de la possession des autres par des esprits trop malins. Le principe est simple, la règle d'or mesure la valeur de l'argent. Merci, déjà traité comme sujet en complément de quelques verbes subordonnés à la franchise du bien. Le sujet estime avoir été négligé, il a reçu une lettre hier, ce qui lui a donné des idées : N. Une lettre de haine ? Cela devait être de moi. Le type a refusé de se pointer avant la fin de la pub en me disant qu'il avait besoin de développé sa volonté pour se sentir bien. Non, N comme numéro. Combien ? Pas d'importance, tu connais ton numéro de téléphone toi ? Ah oui t'es un surdoué, bah pour le coup là t'es long à la détente. je sais ton truc, probabstination... Bref, la règle d'or c'est que personne ne tire les ficelles, les humains tu les mets à côté d'un labyrinthe, ils vont rentrer dedans, l'agrandir, jusqu'à s'y perdre, c'est tout. Parce que l'intelligence c'est pas de rester un mobile planté à te demander si le labyrinthe a un sens. Espèce de taré, peu importe il faut que j'y cours la, hier j'ai rencontré un mur avec des amis, fort intéressant à taper avec mes genoux, bonne journée ! Dit-il, euphorique, le sourire jusqu'aux dents.
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Réponse de The_monkey
Le 01/05/2017 é 01h04
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Le feu de Socrates, un dialogue des plus sérieux. En exhibant son absence on suggère sa résultante. De même pour le contraire. Mais le sérieux est de ce sollipsime, à bien des égards. Une émotions, du rire à la gravité (considération du danger) le fait en lui même est vide de sérieux. C'est une lentille (personelle) qui polarise (au sens de la lumière) les évènements et nous en fait construire cette hiérarchie des importances pour ne pas mettre les doigts dans une prise électrique abstraite. (pour répondre concrètement). Ou résultante d'une longue suite logique communément aboutissant à des dommages au groupe. Cette cécité du cheminement causale mais qui est intégré est adaptive, alors quand les jumelles c'est fois 10 pas fois 23 on se laisse plus tenter de toute sorte de chemin. Et votre rhétorique est dominante par sa complexité simplement, elle suggère d'autre voies auquelles les autres n'avaient pas pensé, vla la raison qu'ils vous font confiance. Cela reste temporaire et l'oubli fait considérer la moyenne de ce dont on se laisse convaincre. Super Qi pour ne pas finir dans la jungle pleines de scorpions, ya pas de lézard c'est plus proche de ce qui est haut géométriquement pas algébriquement. Mais ce que j'aime plus que tout est de me servir de la boîte noire aux différences (appelées ainsi en cas de comparaisons projectives sur la hauteur de l'ombre sur les arbustes en négligeant l'angle d'attaque de l'éclairage) , tapis (prennons quelques risques) si c'est pandore, c'est juste histoire de faire des vagues, qu'il y a l'extérieur qui nous répond, cet échange est la Logique. Avec une ceinture une seule, celle que machiavel retira. Brave type cependant. Enfin la culture est un conglomérat des murs du labyrinthe (the lab) attaqué, on peut aller regarder les débris, imaginer les coups de genoux passés. Le passé a pris des millionnaires, le visualiser prend quelques minutes. Notre silex en devient taillé d'une précision quantique, ainsi parlait le troglodyte misanthrope casanier des bananiers des profondeurs du soi. Même sans lumière, il y a de la vie ! Toute petite au début.
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Réponse de R.E.D
Le 01/05/2017 é 17h17
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Soit! la culture est un labyrinthe... C'est aussi un cimetière dés qu'on la contemple pour elle même. Et si elle est encore un ensemble de murs indiquant des chemins et obligeant à un cheminement, il va de soi qu'elle est d'ordre initiatique... Non? Ainsi il existe des initiés et une masse d'autres dont une infime partie ayant rencontré au hasard de leurs pérégrinations quelques autres leur ayant montré l'entrée justement d'un labyrinthe... Auquel cas le novice se devra de prouver sa maîtrise en sortant du labyrinthe sans se taper la tête contre les murs. Lui aura t'on fourni le moindre manuel? Non. Lui aura t'on indiqué les danger d'errer toute son existence avec le risque de tourner en rond sans même s'en apercevoir? Non plus... Si nous ajoutons à cela que l'entrée est payante d'une manière ou d'une autre puisqu'elle rapporte au moins la sensation de "pouvoir" à celui qui indique la porte... Si on ne précise pas que la fameuse culture dont nous parlons, en forme de labyrinthe, n'appartient en fait qu'à celui qui l'a mise en œuvre sans envisager le pourquoi de cette fantaisie mortifère, et l'intérêt qu'il y trouve, cela ressemble vous l'avouerez je pense (dans un sursaut d'innocence) que c'est un p... De piège à C..! Et un P... De piége à C... qui ressemble lui même à un entonnoir à pigeon avant le massacre aux laboratoires! Me suis je ici bien fait comprendre? Oui! il conviendrait déjà si le "sachant" était honnête de présenter l'article comme une sorte d'occupation à passer le temps, un loisir en somme qui peut détendre des préoccupations quotidiennes plus terre à terre comme de continuer à vivre et à faire vivre... De présenter encore l'ensemble de cette construction complexe comme un parc d'attraction ou on y verrait des artistes de tous genres de type clowns, dramaturges, pédants en tous genres et simulant parfois la folie jusqu'à y croire, dont on peu sortir quand on veut et sans obligation même d'y rentrer. Cela serait un peu plus honnête non? Quand à confondre "l'intelligence" ou du moins ce qu'on appelle comme ceci sans en avoir la moindre définition qui puisse échappé... Et tiens justement à la culture... Pour remarquer que la culture est le fait des gens intelligents, pourra berner quelques imbéciles en ce que l'imbécilité se suffit d'elle même. Les imbéciles sont heureux et lorsqu'ils sont, de surcroit, persuadé d'être intelligent, ils peuvent en être heureux d'être malheureux et ainsi de suite! Quand au silex d’extrême précision à quoi servirait il si la tâche qu'on en fait est grossière? Il convient donc dés qu'on a tailler le silex à la ressemblance d'un scalpel de trouver une opération à la hauteur de l'outil d'exception: Ce qu'on appelle communément l'opération de progressisme dans la sophistication... Peut être un cadavre à déterrer lorsqu'on veut se faire la main avant de se balancer médecin du monde. Coupé du saucisson au sabre laser n'est pas l'occupation la plus spécifique de l'espèce humaine et pas non plus la plus utile qui soit pour faire la soupe ou vider une fausse "scepticité". Quand à inventer la sophistication en machines sur l'ambivalence de ce qui construit/détruit... Idem... Le discourt qui s'en suivra... (Mais Pasolini en parle si bien dans Salo ou les 120 jours de Sodome en faisant parler une vieille prostitué lors de séances de tortures!) Bien sûr toutes ces applications d'une intelligence sophistiquée, capable de comprendre des chaînes à plusieurs dimensions est flatteuse pour la personne qui souffre d'une hyper activité cérébrale... faire des maux croisés en somme entre deux coliques frénétiques... Je lui conseillerais toutefois de prendre quelques tisanes et de s'aménager tranquillement un salon privatif à rêver avec des murs rembourrés capables de protéger les autres de ses coups de boutoirs à ensemencer le monde d'une intelligence (en soit) qui reste à prouver! Et si même l'intelligence, de celle dont nous parlons ici, intimement lié à la "culture" labyrinthique même de l'intelligence, peut avoir un avantage, c'est en terme de transcendance d'à peu prés les mêmes composants qu'un antidépresseur et avec hélas les mêmes contre effets! Celle ci n’empêche certainement pas d'être parfaitement stupide et aurait même tendance à cultivé ce véritable trait de génie de notre "espèce" évoluée. Car ne nous y trompons pas, ce qui nous réunie dans une grande majorité et qui fait notre caractéristique principale c'est justement cette stupidité de nous croire plus intelligent qu'on ne sait même pas quoi, parce qu'il est différent et échappe (tiens comme c'est bizarre!) à notre "compréhension". Mais revenons voulez vous un peu à la "culture"... Un peu comme qui dirait ma tasse de thé pour être de ceux qui la fabriquent, horloger du temps qui passe et forcément je te la monte et je te la démonte avant qu'elle ne te fasse coucou! J'y reviendrais c'est the tea time! La seule véritable contribution des colonies à la culture des Beatles... Good shave The Kong! (La prochaine je répondrais ou du moins tenterais d'explorer sans en crever la boite de pandore... et nous ferons comme ça de fils en aiguilles une petite ballade sur la trame du temps et quelques belles broderies avec de jolies motifs agréables à regarder et racontant de belle histoire à Bayeux.) Et pour finir l'intelligence quoi que je doute qu'elle soit autre chose qu'une fonction mécanique, c'est justement de ne pas se faire berner par sa culture. Mettez votre nez rouge et amusez vous bien... "Sans but ni profit". UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 02/05/2017 é 05h14
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Un labyrinthe égyptien plein de pièges ? avec des flèches empoisonnées à l'influence sur les masses qui sortent des plafonds idéologiques et des faussés habitant des shaved-souris enragées apparaissant sous une fine couche de plastique du soi-disant fondant quand on y marche fièrement d'accomplissements ordonnés implicitement. Voilà de quoi se sentir vivre du danger ? on appelle intelligence de savoir s'y promener sans carte si possible avec un oignon entre les crocs pour montrer que vraiment t'as lu tous les livres du grand marabou de la jouissance raisonnable sur la gymnastique à trois jambes (2 béquilles et une tête). Et cela vous permettrait de cacher entre autres, d'être un cas à prendre au sérieux, d'une ambition d'ingurgité la bibliothèque aux livres imagés des synonymes et acronymes du tout Savoir des gens gagnants. Cette dénommée culture s'impose, comme une forêt desanchantée de jeux morbide et orgiatique pour humains développés où on y opère une sélection impitoyable et biaisée à sa construction par ceux qui connaissent les sièges à ch'tons et vous y regardent vous trimballer d'un basart de cymbale des couloirs de vert après vous avoir aimentés d'intérêts primaires pour s'amuser ! Ou de cette fonction mimétique M. S. M. D. (de l'anglais). Cette dénommée culture transforme l'humain en matière première de fûmier (plein d'énergie, plus que l'anti-matière, celle là est spirituelle) de chaire à canon pour rependre ses odeurs au travers de tout ce qui n'en respire pas jusqu'à plus soif. Œuvre des cannibales (surévolués de fait) avec une tronçonneuse en kératine comme nez qui cuisinent à petit feu tout doucement et font des cheveux rebels un repas convivial et heureux entre amis d'une grotesque logique ogrueste. Qui sont-ils ? Inutile de chercher une classe d'humains. Ou un groupe identifiable culturellement ! Ce sont les lionçeaux. Et quand à la culture, celle que vous qualifiez d'honnête, j'en entrevois des bribes avec une paire de lunettes faite de prismes que je te me suis offert. Un zéro de plus, à droite. (de la virgule)
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Réponse de R.E.D
Le 02/05/2017 é 09h46
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Je l'avoue en toute logique de base, nous nageons en plein paradoxe! Ou du moins semblons le faire pour une lecture extérieur. Dans l'hypothèse qu'il y ait un rapport entre "l'intelligence" et la culture, le fait d'avoir un vocabulaire plus ou moins évolué faisant référence à plus ou moins de "collections de savoir", pourrait indiqué ici que c'est l’hospice qui se fiche de la charité. Mais... Il y a en quelque sorte, lorsque nous démêlons l'écheveau, plusieurs fils qui s'entrecroisent: Le premier est une capacité avant d'être une particularité à envisager et créer des liens. En premier lieu avec soi même (son corps entre autre) et les extensions externes. En clair, ou en ce qu'on veut, le nourrisson qui regarde sa main sans savoir ce que c'est et qui se trouve surpris d'avoir une information... La conscience immanente d'un danger de par le propre de ce qu'on appelle une vie "sensible" ou du moins ayant conscience de son existence... (à noter sur ce point que la fameuse conscience dont on parle ici n' a strictement rien à voir avec une "prise de conscience"... Celle ci, la prise de conscience n'est qu'une boucle rétroactive; Nous sommes d'accord?) ... Et la conscience d'une certaine forme de dépendance avec l'entourage immédiat. Ce qu'on appelle aussi une "charge affective" dans un langage commun.( cette volonté de simplification dans l'énoncé n'empêche absolument pas de revoir l'ensemble de toutes les "littératures" du monde entier pour ce qu'elle sont: la simple notation au travers d'interprétation de prises de consciences par un langage quelconque... (Formulation un peu alambiqué et manquant de clarté.) je prendrais quelques exemples assez simples pour apercevoir la différence qu'il y a entre cette sorte d'intelligence nue et celle qu'on appelle culturelle... Tiens qu'est ce que ce raccourci vient faire ici? ... Peut être indique t'il simplement le retour au propos de la différenciation entre nature et culture?... Oui peut être... Et justement, le nourrisson qui balbutie la musique des mots avant d'en connaitre le sens. Le ton, le rythme et les fréquences qu'il associe sous forme d'instinct à des notions assez basiques de bien être et de mal être... Progressivement, si l'on insiste un peu il finira par associer certaines consonances avec une notion volontaire en faisant un rapport entre satisfaction et insatisfaction. Là ce sont les bases. Les quelque problèmes détectés à ce stade d'un développement de l'intelligence, le sont justement par les quelques personnes n'ayant pas eu à faire avec l'empirisme d'un conditionnement interprétatif... Et donc rétroactifs... Pour les autres, cette volonté de vouloir se satisfaire intellectuellement par un bilan plus ou moins sophistiqué d'applications de théories (et les plus diverses) indique plutôt une frustration qui, selon certains viendrait de l'incapacité de satisfaire ses besoins vitaux par un quelconque "langage". Explicitement: Lorsque nous avons à faire à des sourds, il convient de parler plus fort quelque soit l'enjeu de la communication; Considérer que celle ci n'est rien d'autre qu'une demande afin d'obtenir quelque chose... Sans nécessité de précision... Lorsque nous ne formulons pas une demande, c'est que nous n'avons besoin de rien! Lorsque nous n'avons besoin de rien c'est que nous n'existons pas... Et sans aller plus loin, nous ne sommes plus alors de ces existences sensibles qui, muent par de simples réflexes, ont une conscience de leur vie. cette notion de base de "l'intelligence" est en générale partagé par toutes les formes de "vies" et les question qui en résultent sont plutôt de l'ordre de savoir ce qu'est une forme de vie dés que nous remarquons des similitudes formelles ou spéculatives avec ce qui nous semble extérieur... Il me semble (pour le moment) avoir assez bien résumé ce qu'est l'intelligence de "base"... histoire de recadre nos propos sur le domaine des extrapolations rétroactives et interprétative... Rétroaction et interprétation de ses rétroactions font ce qu'on appelle maintenant la "notion de culture". elle est indifférenciée de la notion d'idéologie pour la raison que la formulation rétroactive ne peut qu'être soit conceptuel soit physiologique... Les deux nous sommes d'accords (je suppose) sont désormais interactives. Ainsi la moindre réaction physiologique se trouve être interprété par un ensemble de concept interprétatif idéologiques et au même titre le moindre concept idéologique se trouve interprété physiologiquement. L'état de "malaise" est lié à l'état d'insatisfaction... Dés que la "culture" sous sa forme de prise de conscience en rétroaction interprétative remplace l'intelligence de de base ou "instinctive" commune aux être qu'on dit vivant, dés que cette substitution s'opère, on peut constater rapidement une conceptualisation générale de toute notion de "réalisme". Bon encore une fois ici, le besoin se fait sentir de revenir aux bases même du propos de ce fameux 160! Répondre maintenant à cette attaque biaisée et triturée sous la forme: "Et cela vous permettrait de cacher entre autres, d'être un cas à prendre au sérieux, d'une ambition d'ingurgité la bibliothèque aux livres imagés des synonymes et acronymes du tout Savoir des gens gagnants." Sachez ici que c'est assez tardivement et poussé par d'autres, qu'il me fallut m’intéresser à ce qu'on appelle la culture... Qu'elle qu'elle soit! Les bibliothèques du monde, ne sont pas pour moi une preuve quelconque "d'intelligence" sous sa définition la plus vaste. La lecture me fut imposée par la volonté d'autrui à vouloir m'y inclure. Peut être est ce là une de mes particularités: Observer avec détachement le rôle justement de l'idée de culture qu'on m'imposa! à plus tard...
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Réponse de R.E.D
Le 02/05/2017 é 16h20
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Reprendre entre deux "collages" cette passionnante mise au poing... Et donc: "Cette dénommée culture transforme l'humain en matière première de fûmier (plein d'énergie, plus que l'anti-matière, celle là est spirituelle) de chaire à canon pour rependre ses odeurs au travers de tout ce qui n'en respire pas jusqu'à plus soif." La culture à en constante horreur l'esprit libre. Qui plus est si celui ci est rapide et doté d'un pouvoir d'observation, une sorte d’acuité à regarder au delà justement d'elle même... Dans la plupart des cas, il est nettement plus facile de raisonner par induction de principes. Blanc est blanc et... Le nominalisme tiens de cette sorte. Rien qu'à comprendre pourquoi le moindre contre emploi d'un vocabulaire, ou néologisme peut changer la perception d'une définition pour envisager aussi en quoi dans nos sociétés le langage est tout. La société "nominale" peut alors s'organiser simplement par l'ordonnance et l'ordonnance elle, ne tient pas compte du vivant puisqu'elle est persuadé qu'elle le créé. Elle ne tient nullement compte non plus de la moindre "évolution" qui serait en dehors de ses vérités premières... Principes de bases récités en crédo à chaque instant. Elle fait juste semblant comme se voulant amusée d'elle même et de ses déviances. C'est tout. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il faut des normes, des équivalences en quelque sorte de manière à regrouper à synthétiser jusqu'à l'exception. Culture de masse obligatoire pour une production de masse ou seul la couleur change mais si peu la pointure. Mais pourquoi j'écris cela? C'est évident il me semble au delà même d'une notion "d'intelligence"! Rentrer de force dans un pot pour en développer une esthétique Nanifiée parce qu'il n'y a pas la place pour tout le monde c'est un peu le malaise ressentie lorsqu'on aborde sérieusement cette intelligence culturelle qui parle si bien d'elle même... à compter le nombre de laisser pour compte, en sursis pour ne pas avoir la bonne taille, ayant même parfois accepté l'amputation volontaire d'une partie d'eux même... Effrayant bilan d'un système culturel ou chacun maintenant peut se monter en kit avec une notice vendu à la naissance aux parents bien intentionnés et ne voulant que l'intégration de leurs progénitures... Le meilleur des mondes en somme avec quelques réserves d'exceptions, passe droit au commun, qu'on s'en va visiter durant des loisirs durement gagner! Bref tout un tas de poncif qu'on peut décemment appeler un conditionnement. Avez vous déjà eu le "loisir" de vous intéresser à l'histoire de la culture? Non je ne pense pas à vous lire! La "culture" pour vous est une sorte d'évidence, un bocal dans lequel vous avez appris à nager et à surnager remontant des tréfonds de ses abysses une perle rare pour respirer un grand coup avant d'y replonger. C'est en quelque sorte un élément qui ne saurait supporter la moindre remise en cause... Et pourtant comme tout ce qui existe ici bas et bien ailleurs encore, elle se compose d'atomes bien différenciables, d'une chimie constituante, comme une sorte d'atmosphère qu'on respire... Jusqu'au jour ou un autochtone d'on ne sait ou, vous dira que l'ambiance est irrespirable. Peu importe! un bon coup de déodorant un ravalement de façade et la culture continue parce qu'elle a toujours sué d'elle même sa propre contestation. Ce qui reste remarquable est en soit d'avoir réussi à créer et prendre en compte un système binaire alternatif supportant même sa propre contradiction et... L'absurde! Il aura fallu si peu de temps pour mettre en place cette fameuse culture dans laquelle nous sommes, qui désormais englobe à peu près tout parce qu'elle se veut "universelle" (et souhaite l'être) que s'en est proprement sidérant! à peine moins de 200 ans pour transformer un monde soumis à sa naturalité en monde économiquement viable! Il reste encore tant à faire dirais je pour réussir à dominer les ambitions de cette culture particulière... Tant de rêves globalistes que le moindre esprit qu'elle suscite qu'elle encourage parce qu'il lui faut de la matière grise dont elle se nourrie... Je continuerais plus tard si vous êtes toujours là. Profitez du jolie mois de Mai pour vous découvrir d'un fil... à Plus tard.
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Réponse de The_monkey
Le 02/05/2017 é 22h48
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Cet enfant là ne savait pas lire. On ne l'y a jamais forcé. Ils le laissèrent dans une pièce où rien ne bougeait pour qu'il se fasse à la société. Il y avait une porte pour sortir, mais la lâcheté juvénile y fut naturelle de la snober plus que la contrôler. Il y avait aussi une bibliothèque tout au plus les titres et l'image de la première de couverture le laissa imaginer tout son contenu. C'était tout lu d'avance dans son imaginaire. Puis vagabondant et découvrant les loi de l'espace, un bruit le stoppa net le pov gosse en puissance d'être inculte. Une horloge qu'il ne pensa pas à démonter mais fixa pendant plusieurs heures jusqu'à ce que l'ennui devienne douloureux. En voilà une éducation pas trop mal, non ? De laissez le petit singe lambda grimper ses arbres plutôt que de lui filer des altères pour grimper des boulots qu'il n'a pas recherchées. Réponse à une énigme passionnante, ce n'est pas le problème juste que celle ci ne lui fut pas posée nécessairement. Et si les géniteurs étaient juste idiot en tant que maîtres ? (à méditer) Je vous lis plus lentement maintenant, le tampon de vos interprétations m'est plus marquant. Une volonté de re cadrer ? Que je ne n'arrive pas à m'encadrer ! La lubie du carré ? Pourquoi pas après tout si c'est vous, vous y êtes plus crédible et desinteressé qu'un mathématicien. Cependant votre histoire de culture m'intrigue, un anti-nominisme m'amène à connaître le sens de ces nouveaux mots qui émergent de vos messages et dont j'ai besoin d'en chercher le sens ailleurs, avant que vous ne les ecriviez. Voyez je sens un basculement chez vous, de l'élégante et poétique indifférence à la construction de liens dominant à bras le corps sans le délai d'impregnation. Ne vous y ai-je pas provoqué aussi ? Je m'en excuse alors. Re devenez vous même, disait-il. Oui je m'accorde bien les "bases". Mais toujours pareil on remonte jusqu'à la progéniture pour en expliquer la conscience. Tout au mieux avant la mémoire personnelle (en se convainquant qu'on existait avant le développement de l'hippopotamus lymbique, comment ? ) . Pour saisir le sens de la vie et de l'existence il nous faut remonter à son origine dans les flaques des cavernes. J'y traîne beaucoup en ce moi de mai, bien plus que dans le bocal rayonnant de la culture, et de batifoler saison, n'y ayant pas baigné assez pour y être à crocs ? j'en ai développé l'arrogance que ce me soit égale ou non. C'est ça. Je sais, je ne l'ai pas vécu mais cette recherche de cohérence m'y a amené. L'expérience imaginaire va plus vite que la réelle et plus loin sans pour autant en payer réellement le jus de citron à quelques négligences pratique près (ce que) . Laissez moi vous dire que toute la vérité (de la pensée) pour moi est là dans ces flaques (et je suis loin sensiblement de la commune Biologie bretonne) . D'une vision qui m' est devenue increvable avec le temps. Qu'avant vous je n'imaginais pas que le délire délivre de la non-unicité. La satisfaction vous est tout en bas sous le pilier du temple de la construction rationelle. Mais elle n'est voyez-vous que le renforcement d'un système (auto-) jugé bon. Ce qui est satisfaisant est renforcé, qu'est ce que le plaisir m'opére concrètement ? Et de mes plus grandes Eureka est que le bien la consomme. La boîte de pandore.. je resterai vague. Tesla me fascine. Car il se voyait de l'espèce pas de la société, un bien des plus forts, invisible du raisonnement local et du sollipsime que use et coutumes prônent. J'y répondrai sûrement de tout votre condensé si temps est que le développement s'y attarde joyeusement ou tragiquement. Le temps, je vous suggère de ne pas le considérer comme référence. La rétroactivité en dépend d'ailleurs. La causalité provoque l'apparence du temps qui coule, pas l'inverse. On en perdrait la meilleure des logique avec son contraire comme dogme. Une période plus longue pour rendre le concept de période absurde !
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Réponse de The_monkey
Le 03/05/2017 é 00h15
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Que tu veux que je t'aime culture, tu t'impose implicitement de sépultures pour me faire peur de ne pas être sous ta gouverne. Se questionnait le paprika. Que tu veux que je me sois satisfait, je suis À, tu me montres C, pour en prendre B. Je l'ai remarqué moral, tu ne m'auras pas, s'enorguellissait le sage. Je suis un lion maintenant, ta vérité c'est mes nouveau mots ! S'en flattait, l'humain de raison. -Explique moi donc ton cheminement espèce d'ectoplasme. -Je ne puis, je suis tombé dedans. -Tu t'es au moins désaltéré ! S'en amusa Socrates les faisant tous les trois douter de l'étoile du berger ou de la simplicité de son coup pour la masse au poids démesurée. Vous n'avez pas compris ce que signifie comprendre. Vous ne m'avez pas pris ce que vous deviez me rendre ! (ajouta le poise à tort ou à se tordre, entre parenthèses du débat)
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Réponse de R.E.D
Le 03/05/2017 é 07h26
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Premier texte d'une élégance remarquable, second texte en contre point... Comme une seconde nature chez vous de cultiver le dualisme pour ne pas en avoir de remord... Prendre avec c'est ça? Du moins sommes nous d'accord sur la racine linguistique... ça n'est déjà pas si mal vieux débat de fond entre nominalisme et conceptualisme qui remonte au moins au 12ième siècle (pour la Sorbonne) et bien avant puisque nous le retrouvons énoncé différemment dans à peu prés toutes les sociétés. Cela voudrait il prouver que le débat est vieux ou qu'il se trouve constamment actualisé? Il y a fort à parier que Socrate fut une fiction valorisante; En quelque sorte un "faire valoir" par la stupidité contradictoire de ce qu'on lui attribue. Entre le mythe et la raison il n'y a que la volonté d'incarnation... Quand aux géniteurs une petite réflexion concernant la transmission: ( et on me reprochera peut être d'y faire une référence qu'on souhaitera obtuse et malséante en cette période d'obscurantisme primaire... Tant pis.) "Pater noster qui es in coelis"/"mater noster qui es in terra". De l'esprit et du corps... Ne pas confondre le géniteur possiblement "violeur" d'une naturalité avec "l'esprit"... (Encore une petite réflexion sur les racines mêmes du dualisme! n'y voyez nullement une profession de foi ou quoi que ce soit de cette sorte, mais juste une petite étude de fond venant encore de la traduction d'une expérience personnelle mainte fois renouveler...) c'est une piste qu'on aura voulu commenter sans recul et dont on aura sillonner les sentiers sans se poser la question du terrain... Et là c'est moi ici qui suis volontairement hermétique... ça laisse la place au rêve. Nominalisme contre oblige: Il y a parfois ou les mots ne sont pas utiles à réciter les vers dans les souches vieillissantes. Une réflexion d'un ectoplasme multicellulaire.
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Réponse de R.E.D
Le 03/05/2017 é 09h45
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"Voyez je sens un basculement chez vous, de l'élégante et poétique indifférence à la construction de liens dominant à bras le corps sans le délai d’imprégnation. Ne vous y ai-je pas provoqué aussi ? Je m'en excuse alors. Re devenez vous même, disait-il." Il n'y a qu'on soit claire que la poésie pour moi! Je reste profondément convaincu qu'en seul probable de l'articulation mentale, n'existe que l'analogie. En soit, tout est métaphore et la vision que nous entretenons du réel est "imagé". Le reste n'est qu'une possibilité d'orchestrer la métaphore autour d'un discourt plus ou moins "mathématique"... qui est aussi une métaphore comme une autre. Quand au discourt lui même, il a ses règles propres qui comprennent le propos de l'argumentation: "Induction, déduction, abduction" trop souvent utilisé de manière addictive. Mais ce n'est pas la seule possibilité que nous avons de transcrire nos perceptions. Ce qu'on appelle encore une "poétique" et selon notre "culture" actuelle n'est que cette capacité de certains au décalage libre du sens pour lui même... Hélas cette triste perception d'un monde réduit aux discours qu'on en fait sous l'obligation d'une seule rédaction argumentaire, réduit d'autant la recherche profonde des racines de la pensée nue. L"utilisation de "l'allégorie" (qu'on confond justement avec l'univers qu'on nous présente comme le propre de la "poétique") étant spolié de la "raison" discursive, réduit le propos du langage au discourt de lui même. Faux semblant troublant lorsqu'on se penche sur les conséquences d'établir chez "l'homme" une rationalité dont le seul but est de prouver à qui veut la viabilité de son raisonnement... par l'énoncé d'une preuve convaincante ou du moins qui demande à l'autre de prouver par un autre argumentaire... une autre preuve... Mais parfaitement transparent pour celui qui se contente d'écouter les mots pour ce qu'ils sont et le discours pour ce qu'il est; Un artifice de l'esprit. Il n'y a donc que de la poésie! Comment s'appelle déjà cette manie de vouloir attribué aux nuages une forme reconnaissable? Ah tiens le mot m'échappe! peu importe si je l'écris il faudra en trouver au moins une définition "convaincante" et donc générale capable d'appuyer le tronc commun d'une banalité par la vulgarisation. Il faudra qu'on m'explique (non je le sais mais peut être juste le plaisir de l'entendre pour laisser l'eau couler) la différence qu'il y a de raisonnement entre voir 10 nuages et voir un troupeau de mouton! 10 n'est pas plus abstrait qu'un troupeau... Non? Lorsqu'on pense que des "sociétés" "entières"... (je reviendrais au fait qu'entre guillemet évite le fastidieux développement linéaire d'une argumentation alambiqué qui se voudra rationnelle) ce sont fondés sur de tels fantaisies, on ne peut qu'admirer la survie des groupes humains de par le monde par leurs facultés à séparer l'imaginaire du "tangible"! Etablir une "culture" est en soit assez simple: Il suffit de l'imposer et on ne peut l'imposer tant qu'elle semble être "évidente". Une culture est donc l'application "rationnelle" d'un postulat de départ... C'est tout. Je reprendrais plus tard...........................
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Réponse de R.E.D
Le 03/05/2017 é 11h03
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En cela n'importe quel postulat de départ fera l'affaire même s'il est totalement irrationnel puisque la raison elle même est un postulat irrationnelle. Mais sur ce point nous avons besoin de merveilleux! Notre activité mentale fonctionne de cette sorte... Pour reprendre une analogie douteuse et justement rétroactive... De l'idée que le cerveau humain et donc "l'intelligence" "humaine" fonctionne comme un ordinateur, sans percevoir le lien existant entre la "créature" et le "créateur" et toutes ses sortes d'analogies "causales"... J'en dirais que la banque de donnée est incommensurable et que la "raison" justement est une censure ergonomique. S'il y a génie (et quoi que j'en doute selon le sens qu'il est donné à ce terme en tant que suprématisme d'une doctrine idéologique consistant à mettre en avant l'exception pour y affirmer le stakhanovisme et à défaut le Fordisme.) c'est dans la résistance innée du caractère "pragmatique" de la vie et de ses fondamentaux... Quoi que je doute encore de l'existence du moindre fondamental par le fait qu'on ne peut constater qu'une interaction... Que plus notre perception s'affine (et là j'y mettrais une clause de découverte et de volonté de celle ci dans le sens qu'elle est "innée") plus nous reculons d'autant sur l'affirmation d'une existence intrinsèque et différencié d'une globalité. suis je assez clair? Non! Par manque de poésie, et j'en convient, les images se faussent d'un didactisme et se confondent avec l'icône même du discourt justifiant... Mais il vous faut ça petit singe! Afin que vous sortiez une fois pour toute ou que vous preniez la petite pilule d'intégration par défaut... Excusez la référence... (si elle est intéressante dans le premier volet, elle se retrouve contredite par peur de franchir le pas dans les deux autres!!!) Il en va de même de toutes fictions du genre H2G2: L'auteur dans la plupart des cas, refuse la remise en cause d'un certain "réalisme" ne pouvant pas expliciter volontairement les incohérences d'un système égocentré finira par terminer son ouvrage en se dédouanant dans une sorte de "conventionnalité"... Juste histoire de se prouver qu'il est humain! Et donc un pur produit de la "culture" "humaine"! Voilà pour le moment mis à part que je vous aime bien et qu'avec vous je me détend un peu de cette fabuleuse hystérie collective du "j'ai raison et point barre!" En rigolant un peu de cette manière pédante "d'argumenter", une pensée partagée d'avec Alfred Jarry: "Une boîte de corne-beef, enchaînée comme une lorgnette, Vit passer un homard qui lui ressemblait fraternellement. Il se cuirassait d'une carapace dure. Sur laquelle était écrit qu'à l'intérieur, comme elle, il était sans arêtes." Bien à vous et surtout pas aux récitants des complies... UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 05/05/2017 é 00h27
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Le second je le voulais de la disparition de la com dans les principaux débats de société. La dualité, en tout cas celle là, tordait le il/elle pour compenser le je/vous ainsi que le dis-donc est défiguré du dis-juste-en-passant. En voilà une de vos fines jetée du troisième œil. Parenthèse ouverte. J'en reviens vite (riol) sur "Avec les autres c'est si facile d'avoir raison avec n'importe laquelle; De raison... Qu'on en viendrait à douter de l'importance de l'avoir cette raison!" Et le refus d'être compris subvient au fait que se sentir l'être amène à une prise de confiance, en l'autre... La protection [para-simplification à l'idéologie de l'autre] revient à créer des règles d'un jeu assez compliqué, pour que cet intermédiaire serve à dissimuler le sensible. Le je se métamorphose en jeu et le tu en tue. Le vous en tous et le nous en atchoum [car l'âme y n'a alors de sens qu'en terme de Pro du Non ou du Oui, allié] Parenthèse fermée. Le premièr aurait-il la moindre élégance sans le second à mettre en-dessous ? Et fait d'armes extérieures comme vous l'avez signalé, la polarisation trop forte d'un argumentaire ou d'un résumé, laisse place à la survenu du subtil levier de l'impertinence. Chose à laquelle sont sensibles les surdoués, du jugement toujours dernier de l'assaillant. Plus à tendre de se faire à une erreur surlignée que de l'exclure comme imperfection "tolérable" ou d'ouverture à la suite dans une tentative d'échange. "Il est possible que tous les faux-pas mènent à un bien inestimable." [JWvG] Alors croire l'erreur comme une erreur relève plus de l'individu qui s'y est intéressé sérieusement. Je doute que si on vous enlevait une douzaine vous auriez cette faculté d'avoir raison sans raison. A ce que j'ai pu lire à propos de la culture : "Lui aura t'on indiqué les danger d'errer toute son existence avec le risque de tourner en rond sans même s'en apercevoir? " Quel est ce danger ? On ne voit que ce que l'on s'attend à voir, je n'ai pas vu ce que je m'attendais à avoir de votre dernier ! En négligeant l'adaptivité et l'environnement, la vérité ou la culture deviennent une base de données de suites finies aléatoires référencées par leur popularité puis imposées comme vérités de l'humanité. Il me semble impossible d'en retirer leur cohérence sans la considération de la pression de l'environnement par le danger <destruction du corps> : ce qui ne me DÉTRUIT pas me rend plus fort. De même que si vous tournez autour d'un mouton vous ne vous dites pas qu'il s'agit d'une suite d'images avec des similarités de couleurs et de géométries [cohérence] . Sans l'adaptivité, pas de captivité de sens. Ainsi la raison n'a pas totalement tort. Mais là où elle faible est dans son absence de sensible, comment avalée seule la pillule si il n'y a que sa poudre ? Joie ou drame nécessaire. Et combat des plus forts et d'en taper la force du "raisonisme" qui robétise les groupes en sociétés fait d'un plus grand bien. Dit mouton ou dit nuage, le seul point commun evident est de pré-dire leur nombre. Mais si je prend un mouton et que le jète en l'air [pour le mettre dans sa cage plein air], combien reste-t-il de nuages ?
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Réponse de The_monkey
Le 05/05/2017 é 01h12
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La culture se nourrit de sa contestation comme le moi et bien d'autres. Au plaisir d'être bien aimé ? C'est comme ça, c'est la vie. Slogans d'élégance, pour ne pas comprendre le fonctionnement PROFOND que la boîte noire n'en devienne pas rouge une fois chauffée ? T'es un qui se camoufle dans le pétrole ou dans le salé (allons faire un château de sable, pour sauter dessus, c'est là l'avis judicieux). Sujet qui en est toujours, regardes ! Pas de dit-regression dans les abîmés nécessaires à la prise de conscience de l'un tel haut-diligence. Merci pour les bases ! Vraiment.. L'intérêt restreint. Ce luisant de ne pas être celui d'avoir celui que la 79997 (ici le palindromisé) pour cent auraient. Mais la restriction n'est-elle pas dans l'eau qui se mord ou le talent du bourg à coMsonnances. L'intérêt restreint, restreignez vous autrement, pour vous laisser au delà des restrictions. Pas facile de se dégager des contraintes d'une vie sociétale, toujours pris à la gorge de delais et broutades forcées. Plus tard ? Que l'inculture nous laissera vivre à juste que nous nous questionnons de ce qu'on en serait autrement, c'est la vie d'aculte. J'en retourne à mes ré de friction, quelques jours. Entre deux péages. Un bruit beau mais d'âne, pour le premier (message ? ) me précédant du dessous.
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Réponse de R.E.D
Le 05/05/2017 é 09h24
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Peu de temps à vous consacrer; Mais un heurt toutefois qui me chagrine: "En négligeant "l'adaptabilité à l'environnement", la vérité ou la culture deviennent une base de données de suites finies aléatoires référencées par leur popularité puis imposées comme vérités de l'humanité." La vérité par cooptation est directement lié au fait de croire qu'un ensemble est équivalent aux divers particularismes de ses composantes. (Est ce nécessaire de développer?) Ainsi il me semble plus juste d'envisager ce qu'on peut appeler une"culture commune" suffisante à chacun et restreintes à quelques données de bases compréhensibles pour tous... Une sorte de cooptation de vérités généralisatrices, qui ne dérangent personnes, interfère le moins possible à l'ordre "innée de ce monde" (et là encore pas envie ici de préciser le concept même d'ordre innée dans ce qu'il se constate au travers d'un autre concept des universaux.) et puisse servir de base (comme une brique) afin que chacun en construire sa propre maison. L'idée qu'une "culture (et en revenant au passage sur la définition de "culture") soit si sophistiqué qu'elle en admet son utilisation par son mode d'emploi est un peu semblable à ces jeux de constructions pour enfants qui ne proposent comme réussite que la possibilité d'être conforme à l'image de la boite. (Un peu comme vous vendre les pièces d'un puzzle en comptant qu'implicitement vous soyez tenter de l'assembler pour obtenir l'image entière.) Le dramatique, voyez vous, de cette usage qui se généralise, de l'idée d'une réussite par la conformité du résultat selon la règle proposée, est qu'elle ne peut engendrer qu'une sclérose d'elle même. C'est en quelque sorte confondre l'action d'assembler avec le but de recomposer une image pré inscrite parce qu'il faut une entrée et une sortie. (Ah! Je ne suis pas clair ou du moins pas assez didactique et narrativement descriptif pour ne pas vouloir revenir sur le détail...) En admettant qu'une culture soit un jeu de construction, peut on se contenter d'admettre comme seul but son utilisation conformément aux règles qu'elle a établie? Si oui, le fait d'avoir de la "culture" oblige toute personne à être conforme à ses règles. (Là ou le bas blesse, si tant est que qu'on ne se cogne pas en haut!) Si nous incluons une clause "culturelle" "d'évolution" ou d'adaptation" "probable" de la "règle", nous incluons une possible contestation au travers de la notion de "tricherie" entre les joueurs. Auquel cas le seul but du jeu sera de transgresser la règle par le fait que la règle est une transgression normal dans cette idée de "culture" de "construction"... C'est un peu le paradoxe de cette culture du progrès pour lui même. Il conduit indubitablement à proposer comme seul alternative la reconnaissance des universaux par la scission d'avec les implicites de leurs cooptations... Là je franchi le pas et tant pis s'il faut relire avec attention... J'assume le temps qui doit passer sur une "réflexion". à mon sens,( splendide locution géométrique en résultante des forces et hop!) Une culture digne de ce nom serait une réduction volontaire à quelques unités de bases susceptibles d'être assez concrètes pour satisfaire les besoins élémentaires d'un système de regroupement pratique. Une sorte de "mode d'emploi" simplifié à l’extrême, permettant à tout un chacun et sans tenir compte des divers interprétations probables, d'exprimer ses "fantaisies mentales" comme autant de "probabilités" des possibles sans changer les constantes des universaux... Plus une culture s'approche donc de son "antithèse" ou de cette notion qu'on appelle comme cela par le fait qu'on souhaite opposer une notion de "progressisme" à une notion de "conservatisme" (et puis zut... Marre de de revenir toujours un peu plus sur les poncifs qui justement font paraitre plus obscurs les recoins d'on ne sait quoi au nom même de la lumière!) (Et puis crotte à cette manière de vouloir paraitre "intelligent" par opposition à son contraire!) (Et puis flute d'être obliger de constamment paraitre n'avoir comme seul argumentaire possible un jour nuit inclue dans une roue de bicyclette) (Et puis Marre d'envisager l'improbable mystère du gyroscope comme défie à la gravitation...) (BREF...) De son antithèse dans le sens qu'elle oppose une sophistication des données à une simplification des valeurs... Ce qui est d'ailleurs complètement idiot puisque données et valeurs sont déjà contenues dans le présupposé! Et donc revenons à nos moutons! Parce qu'il y a mouton-nage... il serait donc préférable, (pour le moment et du haut en bas de l'arborescence) dans le respect de toutes les divergences que peuvent créer les dérives "culturelles" d'identification personnel aux rituels propres à chaque groupes, de considérer la notion "d'us et coutume" comme véritable notion d'adaptation au milieu (au biotope et à tout ce qu'on veut du genre paradigmes et autres grands vocables donnant aux clampin l'impression de glisser dans le sens d'une évolution de son intelligence...) C'est un peu voyez vous comme cette idée d'apporter un frigidaire dans le grand nord pour avoir une boisson froide... Parce qu'il est nécessaire de boire un soda lorsqu'on est "humain"... De sortir en minijupe en plein hiver et de se plaindre du froid... De mettre le chauffage l'été parce que l'été n'est pas assez chaud pour l'être... Ou pour encore donner des exemples encore plus étranges de la dérive "culturelle": D'admettre une chose belle parce qu'on ne voit pas comment elle ne peut pas l'être!... Nous pourrons encore échanger là dessus c'est une domaine de réflexion qui ne cesse de me surprendre...
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Réponse de R.E.D
Le 05/05/2017 é 13h44
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Il n'y a donc aucune possibilité d'être cultivé ou non. Il n'y a pas non plus la moindre possibilité de sortir d'une culture ou de rentrer dans une autre puisque cela sous-entendrait qu'il existe un extérieur et un intérieur et donc une possibilité de comprendre la notion de culture comme on comprendrait un objet extérieur à soi même. En cela et si ça vous dit de trouver quelques parallèles possibles, et dans l'air du temps, on ne peut délier l'observateur de l'observation... Mais, dés lors qu'on implique une forme de systémique dans l'observation, on se contentera t’étudier les interactions et de remarquer les "effets". Cette relation est perceptible dés lors qu'il existe une syntonie... Une sorte d'harmonie donc entre l'"être" et sa culture. voilà pourquoi j'en déduit le fait que lorsque la culture se différencie de l'"être" elle ne peut que distordre le réel de l'existence. Dans la plupart des cas, lorsqu'une culture façonne ou se donne l'ambition de façonner l'état (plutôt que l'être! Ce qui me semble d'ailleurs plus intéressant comme notion...) elle se place alors comme l'étant en inversant le propos de l'observation et de l'observateur. Il y a alors contrefaçon de l'être puisque celui ci préexiste à l'état de culture. Verbiage? Peut être et comme tout type d'argumentation on pourra décortiquer jusqu'à plus soif les ambivalences de ce constat en y impliquant la raison critique... s'il y a un quorum dans la relation de l'être d'avec sa culture, c'est qu'il ne peut réussir à choisir entre l'un et l'autre et préfère alors instaurer un moratoire (qu'on conçoit aisément dans le principe décision du quotidien... Le choix entre la soupe parce que c'est le soir et un bol de céréale parce qu'on a faim et qu'on en a...) Pour autant doit on se laisser mourir de faim dans l’hypothèse qu'il n'y a pas de soupe le soir et qu'on se refuse à prendre un bol de céréale parce que celui doit être consommer le matin? L'exemple est assez clair et justement de ce que vous appelez l'adaptation. C'est en fait le non classement parce qu'il n'y a pas de possibilité de choisir entre vivre et maintenir les apparences de la vie. il en va de même de cette relation étroite, cette pseudo- antinomie, entre le corps et l'esprit... Non? Si l'esprit nous intime de choisir, c'est que le corps est déjà là. Il ne s'agit donc pas de choix mais d'un pseudo choix! Et pour en revenir à la "culture" qui pourrait paraitre être la perception du réel intellectualisé en opposition avec le réel "vécu".... Revenir encore sur l'idée d'un équilibrage en faisant justement reculer le trop plein "d'intellectualité"... Mais soudain une question: Pourquoi tenais-je à a partager avec vous ces réflexions? Ah oui je me souviens! Parce qu'il me semble que vous tenez beaucoup à parler de votre "culture" comme si celle ci pouvait rendre compte de votre état!!! Voilà bien une chose bizarre pour moi de ne pas pouvoir faire la séparation entre l'image d'un soi (culture) et soi même? Personnellement je me contente de regarder chaque matin le reflet de ma tronche à l'envers dans un miroir et j'en conclue que ça n'est qu'une image... Même pas fidèle à ce que les autres perçoivent de moi... Et d'ailleurs... Si le miroir n'existait pas que ce passerait il? Et la réponse est un peu dans toutes ses études ethnologiques qui furent faites auprès de ses populations n'en ayant pas... Oui ça date un peu mais franchement elles valent le coup d'oeil et lé réflexion qui va avec! vous êtes vous jamais demandé ce qui changerait si l'espèce "humaine" pondait des œufs? Bien à vous, et tant pis pour moi... Je souhaitais travailler aujourd'hui sur autre chose d'un peu plus concret, mais la communication me rattrape dans mes rendez vous improvisés! UAQVVDB. Ps: Merci encore de vos échanges! Ceux ci me permettent aussi d'approfondir en les rédigeant les quelques réflexions sur les sujets.
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Réponse de R.E.D
Le 05/05/2017 é 13h49
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Ah oui! encore une chose je n'ai pas véritablement le temps de me relire, aussi veuillez excuser le temps et les coquilles. Principalement la faute à la marée qui monte!!!
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