Il y a une chose de certaine dans tout ça:
"C'est qu'une "constatation" n'a rien à voir
avec les hypothèses qu'elle suscite..."
Maintenant que le débat est éclaircie, nous pourrons parler plus intensément de ses distorsions entre "l'être" et "l'état", la conscience de l'existence et l'existence et toutes ses appellations qu'on donne par glissement de sens de la même réalité et prenant en compte les univers de "traductions" d'une manière un peu plus détaché...
Ici tout n'est en somme qu'une affaire de traduction!
Et il serait stupide de se contenter de procès d'intentions sur nos différences d'imprégnations culturelles et l'emploi que nous en faisons.
"L'intelligence" n'a strictement rien à voir avec la gestion plus ou moins sophistiquée de données plus ou moins complexes et facilement remises en cause par un semblant de logistique... Ou peut être justement l'intelligence à tout à voir avec cette capacité de dépasser le traitement d'une information...
Ou bien encore c'est la capacité que nous avons à différencier le traitement et l'information... Ou bien encore l'ensemble de tout cela... Oui peut être l'ensemble de tout cela...
Peut être que ce qu'il y a justement de plus vicieux ici est que nous en sommes venu à confondre au énième degrés en ergotant méthodiquement sur nos niveaux de prise de conscience de la prise de conscience d'une prise de conscience et de justifier de tout cela par la raison que tout ceci suscite des commentaires... Et en effet, il semble que le commentaire soit désormais plus important que ce dont il parle... Cette fameuse boucle rétroactive qui ne cesse d'agiter les neurones du "qui suis je" sans en obtenir la moindre réponse!
Et nous revenons ainsi comme une sorte de boucle tautologique dans l'assimilation du commentaire comme preuve d'une existence...
Le propos même de ce site si je ne m'abuse et qui fait parfaitement rire les "pauvres gens" n'ayant pas eu la "chance" d'un curieux hasard de se faire référencé dans le critère d'une "intelligence"!
Et donc revenons au point de départ voulez vous,
en traitant la question
"J'ai un QI de 160 que puis je en conclure?"
pour nous apercevoir qu'il faut être extrêmement subtil pour la poser...
de cette sorte: Au conditionnel en employant ici le terme "conclure"
Il ne s'agit pas de déduction, d'affirmation ou même d'une demande d'éclaircissement sur une donnée... D'une autre manière cette subtilité se manifeste dans le fait qu'aller pécher des réponses dans un site "d'expert" comme celui ci, rappelle fabuleusement les quelques plus grandes mystifications de notre histoire...
Qu'on pourrait résumé ainsi:
"Je demande instamment à toute personne intelligente
de venir me rejoindre afin de former un collectif intelligent!"
Car effectivement, pour prendre une métaphore simpliste, comment peut on considérer qu'une personne ayant la capacité de gérer une cathédrale et l'ensemble de son emploi, soit en attente d'une réponse suffisante en elle même? La réflexivité s'applique ici dans la banalisation de la constatation tout en passant par la flatterie de se trouver concerner par le sujet!
Cette invraisemblable nomination d'un "160" est frappante!
Personnellement, j'ai une tendance à utiliser le même artifice lorsque je demande une estimation de mon travail... instinctivement, la "personne", quelque part honoré d'avoir à donner son avis sur quelque chose qu'elle juge exceptionnelle, voir extraordinaire, du moins de son point de vue, se trouve concerné par sa propre importance dans le fait d'avoir à donner un avis sur la question. Et, instantanément cette méthode permet d'obtenir les quelques informations de "lectures" d'interprétations qui auraient pu échapper et l'estimation du seuil de lisibilité des informations traités.
Voilà!
Comme ce type dont je ne me souvient plus du nom qui relançait perpétuellement le débat jusqu'au moment ou agacé, je fini ici par obtenir une réponse sur que faites vous ici (sous entendu sur ce site)?
Il avait quelque chose à y faire et pourtant il ne se disait pas ayant même passer le moindre test d'un QI quelconque...
Pourtant il y pensait...
Et là ce fut la rupture!!!
24 Page désormais sur le propos de l'intelligence en ayant mainte fois recadrer pour éviter de la confondre avec l’encyclopédie universaliste...
Quel délice et quel divertissement dans le bon sens du terme...
Merci encore de cette fabuleuse question du genre
qu'elle est le sens de la vie!
42...
(Trop complexe malgré son évidence,
pour ne pas être pris au sérieux!)
UAQVVDB.
Accrochez-vous, je sors mon marteau (en étant un), ça va vibrer et faire mal aux hypersensibles du tympan. Mais il faut bien la construire cette zut et flûtes et jupe ? de maison !!!
Premier coup :
Si l'on s'accorde sur des définitions, on devient expert (donc sectaire). Or cela rendrait plus ardue l'accès à la discussion comme un langage propre aux petits jumeaux. Puisqu'alors pour comprendre il faudrait lire les messages précédents (et 42 pages, c'est trop de lecture pour comprendre un enchevêtrement de nominisme torticolius turlututis).
Vibration :
En s'accordant sur une "plus grande precision" sur des mots tels que l'étang, on l'asèche et l'évisévère jusqu'à la poile bosseuse staka-type. Ce qui fait la richesse d'un mot tel que l'être est de son raffinement d'interprétations possibles. Et ce que vous appelez éclaircissement sous-entend en fait chaînes pour un esprit zozio. Si on laisse apparaître une construction ideo-pato-logico-pro-zebro, le débat meurt. C'est je pense le piège avec l'intelligence, celui de vouloir la définir de manière claire pour tout le monde. Il restera d'elle toujours la possibilité d'un retour sur elle même et d'un renversement de sa signification. Êtes-vous d'accord là dessus ? Il n'y a qu'à voir tout ceux qui littéralement se casse l'œuf à pondre une rigueur sur elle. (j'ai une façon de l'aborder cependant et de la cerner la nuit, j'y revient une fois le tableau accroché de travers)
Deuxième coup, on entame la française :
Définir une culture de base, pour palier aux besoin les plus primaires, on va se faire des shampoings et des brûlures indiennes (destruction du corps rouge) sur ce comment que c'est la primalité et alors ne pas trop déranger, c'est sans compter les tricheurs qu'ils ne vont pas se déranger pour l'être. (ADAPTIVITÉ)
Vibration :
La culture s'impose d'elle même, si l'on cherche à la remodeler jusqu'à ses bases on est cuit, savez pas pourquoi ? Parce que si on laisse aller à des FANTAISIES, la culture de base va l'ingurgiter et grossir jusqu'à nous ingurgité en soi (apprécier de voir un drame, c'est le vivre et le REVIVRE, jusqu'à en faire une valeur et que la culture grignote avec des tatouages sur le corps). Le drame donne du crédit et du respect, la joie les éradique.
Troisième coup : a8-a9 le roi quitte l'échiquier se prend les pieds dans la marche car trop intelligent pour n'être qu' un roi un peu lent et donner trop de sens au jeu de dames. (en latin c'est plus correct)
Regardez ce fil, fulgurante idée de jeter un œil en arrière, j'ai même relu votre premier message, imaginez maintenant ce fil avec des millions de bonhommes, se construisant sur à la fois le fond et BEAUCOUP la forme. Une culture, une bonté et même une sorte d'intelligence surgissent. Ils sont où d'ailleurs tous ceux qui parlaient ici avant ? D'abord y avait plus que des assassins maintenant il y a plus rien, c'est le vide sidéral de la sidération dans l'échange ? Je vois Red qui vole autour on est dans l'espace à vouloir voir toute la terre ? Non. Je sais que certain ont ce sentiment de "s'incruster". Voyez-vous, je vous parlais d'audace il y a quelques temps, vous l'avez glissé sous le tapis, mais cette part d'intelligence qui est qu' un abrutis qui se tait on doute qu'il l'est mais qu'un abricot qui la ramène on est en sûre qu'il l'est... De vouloir se contester... Il n' y a qu'en cas de brouhaha, qu'il est tellement mieux, et je parle pour moi de me confondre du parquet.
Troisième coup.
Ce chat qui grise, l'espèc de sélection, je vous en voit fuyant, pourtant même si on veut, ou espérerait quelque chose de juste et de bienveillant. La nature nous rattrape avec des virus qui nous FORCENT à toute sorte d'ignominies, et même être surdoué ne nous donne aucune réelle marge pour s'en soustraire. Parce qu'une polarisation implique un manque ailleurs, simplement parce que les deux ensembles sont antinomiques ou antagonistes (choisis l'adjectif que t'aimes bien, je m'en fichtre)
Voilà pour mon Thor, peut être un peu lugubre aujourd'hui (qu'à vos yeux, d'un autre POINT DE VUE, le mien c'est la joie) , mon état de conscience, c'est ce rythme ternaire propre à l'espèce de vivant qui survie ou s'ennui. Mais ce qui me semble, à moi, la plus réussie des cultures, c'est simplement celle qui oublie pas celle qui te réfère en permanence au "déjà vécu ailleurs pour que tu le vive, cf page le carré de 5, et va t'en champêtrer en dehors de notre sérieux bien fondé." REVIVONS, tanpis pour la répétition ou éventuellement une ellipse, à chaque tour on se rapproche plus du soleil pour finir dans quelques millions d'années des cramés du buble.
J'avais promis de revenir sur une solution ? Je n'en dirait que trois mots : adaptivité joyeuse tragiquement.
Et je vous remercie également pour ce peu de temps accordé qui d'évidence n'a pas manqué de m'alterer en poids de mesures en "bien" disons pour ne pas être neutre.
Un marteau.
Et on pouvait nous lire à chaque message sans se sentir inculte. La théorie de l'oublie en ravissait des concepts plus que des uns à lignée d'avoir raison pour ce qu'elle en serait sa raison. On faisait de la géométrie sans axiome fut un temps. Maintenant leurs axes reposent sur une espèce "d'intuition commune".
L'intuition commune j'aime assez...
Si l'on parle de nous deux ici.
Vous avez bien changé petit singe!
D'une distorsion affirmative et quelque peu révolté...
Vous voilà maintenant en accord avec ce qui me semble être une attitude un peu plus juste parce que nuancé d'une infinité de teintes (du moins relevant d'un spectre plus large) devant la question...
(Et vous me répondrez: "Mais non!"
Un peu le poing dresser si je me permet d'anticiper...
"Oh fantômes du passé, oh,ombres et menaces de vous autres,
Ne puis je, moi, vivre encore sans attendre de vous la moindre reconnaissance? Et si je vous dois tout, me l'avez vous donner?
Il va pour vous que j'en sois en dette, ignobles fratricides;
et lorsqu'on vous donne, vous pensez qu'on vous rend!"
Et nous avons tous deux "avancés" ayant quitté l'idéalisme morbide d'une progression. Moi, le courage de l'avoir ici affirmer dans mes écrits, vous il me semble maintenant dans le courage d'être cohérent et de tomber le masque!
Ou sont les autres?
Je pense détenir la réponse ou du moins une partie...
Il sont repartis dans leurs mythes respectifs,
se protégeant d'autant de n'avoir pu se dégager de sa pesanteur.
Venant ici pour des affaires de "raisons" et pensant en bon prêcheurs pré-dictés celle ci comme on "axiomatise" la causalité:
Relire encore les première pages de réponses arrogantes sur le "sujet"...
Mais c'est le propre justement de ce flou volontaire qu'engendre les définitions.
Tel sera obsédé par son poids dés qu'il saura qu'il existe une gravitation, tel autre la remettra en cause lorsqu'il saura qu'il n'y a pas de corrélation entre la masse et le poids. Tel autre aura vu un Dieu, tel autre l'aura vu tombé et ils s'affronteront, l'un pour le savoir vivant l'autre pour l'avoir tué...
Il en allait ici pareillement "suis je intelligent et comment?" de celui qui est détenteur de la question et de l'autre qui détient la réponse... Et de là l'affirmation plus ou moins compulsive que l'un puisse justifier l'autre.
Ah, ah! Disait l'un je vous y prends vous avez fauté!
Chacun pour juge et juré argumentait de sa condamnation espérant mettre à bas l'infortune indexé. Pliez vous, pliez vous encore aux règles communes qui firent de nous autres, les estimateurs de ce monde!
Sur ce point nous avons avancés...
Au moins sur la question d'un "faut il s'intégrer?"
Mettant à mal en ajoutant "dans quoi?"...
"L'homme est un bipède sans poil" disait l'un,
l'autre ajoutait
"qui le sait et c'est là un bien grand mal!"
... Quand au troisième il exhibait un coq, une lanterne à la main!
Y aurait il un au delà?
De la mesure de toute chose il ne reste qu'une certitude:
"L'homme est la mesure de toute chose."
Enlevons "l'homme", il n'y a plus de mesure.
Je vous laisse là à votre juponage,
j'ai un tambour organique à maroufler, une sorte d'hommage en somme d'un héritage interne à tous les intestins de la terre...
Ah j'ai pensé à vous l'autre jour et je ne vous l'ai pas dis!
J'ai pris des mesures?
Non j'ai transférer des dimensions d'un plan à un autre...
Au pied à coulisse...( quel jolie nom quand on y pense)
à la pige... histoire d'inclure des similarités dans un propos sur le vide.
"Le froid, tel qu'on le nomme après l'avoir reconnu à d'autres effets alentour, entre à l'onde, à quoi la glace se subroge.
De même les yeux, d'un seul coup, s'accommodent à une nouvelle étendue : par un mouvement d'ensemble nommé l'attention, par quoi un nouvel objet est fixé, se prend. Cela est le résultat d'une attente, du calme : un résultat en même temps qu'un acte : en un mot, une modification.
A une, de même, onde, à un ensemble informe qui comble son contenu, ou tout au moins qui en épouse jusqu'à un certain niveau la forme, — par l'effet de l'attente, d'une accommodation, d'une sorte d'attention de même nature encore, peut entrer ce qui occasionnera sa modification : la parole.
La parole serait donc aux choses de l'esprit leur état de rigueur, leur façon de se tenir d'aplomb hors de leur contenant. Cela une fois fait compris, l'on aura le loisir, et la jouissance, d'en étudier calmement, minutieusement, avec application les qualités décomptables.
La plus remarquable et qui saute aux yeux est une sorte de crue, d'augmentation de volume de la glace par rapport à l'onde, et le bris, par elle-même, du contenant naguère forme indispensable."
Francis Ponge...
Bien à vous et merci encore de tous ses échanges!
UAQVVDB.
Mais 8 !
Un spectre infini d'une largeur démesurée. Multicolore si possible, pour se retrouver dans la contemplation et déviriliser l'action. (manière de bonhomie)
Quelle justice que de l'autre qui décide jusqu'à ce que chacun pense avoir à y rendre assez pour prendre.
La dette morale ? Le produit intérieur de brutes en dépasse la recette à l'échange bestial.
Attention au surdon, encore que l'hôte ne sait pas que ce qu'il nous offre pendant le refus de payer, c'est la chaleur d'un accueil froid éventuellement l'idée d'une future volonté d'en targuer les couloirs.
Combien de patates , attendez-vous pour tomber dans les pommes qui déforment l'espace temps en comptes rendus ? Je pense personnellement que nul n'est déjà pas trop mal. Jusque quelques mots, comme que vous dites avec le langage et la frustration.
Et j'en ai vu beaucoup qui en jouaient (malignement) du fait que l'on donne jusqu'à se que l'autre en exhibe un merci. (Merci du merci, j'ai cru comme être quelqu'un de droit, je marchais avec la robe d'avocat pour répendre notre justice mais qui avec ma lanterne n'était que l'approximation de la fractale des bords d'une îles rongée par les flots d'étoiles bleues, un temps, et vous savez quoi ? C'était un plaisir de vous rencontrer, disait-il poliment)
Pour en jubiler d'être quelqu'un de bien ? Et si c'est injuste, Dieu en chargera dans le flanc des voleurs que je me définis.
Mais non !
La question n'est pas de donner de la valeur à ce qu'on donne mais plutôt d'en saisir la valeur que cela nous donne. Le sage ne cesse de s'entourlouper avec cette impression de dons. A croire qu'il y perdrait ! (et votre paragraphe, je ne fais que le développer en partie)
Qu'est ce que la naïveté ? Cette garce que l'on ne veut chez soi. Pourquoi une garce serait péjoratif d'ailleurs, voyez toutes les surdouées qui se comportent comme des garçons et des surdoués qui se comportent comme des fillotes ?
Arrêtons. (fronça-il de manière assez forte et convainquante pour en avoir l'air gentil mais ferme, quitte à l'ouvrir un peu trop souvent.. )
Continuous ! Jusqu'à ce que ces mots deviennent trop usés et de fait naïfs à la reproduction du ah.
Le courage, l'audace, comment en percevez-vous la différence ? L'audace à ce côté je bouscule avant de sauter dans le vide, le courage serait alors la même chose mais seul. Mais sans bousculade le précédant comment vivre derien ?
J'ai pensé à vous aujourd'hui, me questionnant de la généalogie de la volonté, regardez j'en ai même fait un message.
L'ado ce bout du crépuscule, attend son train, pour aller à son travail. Regardes voir l'horloge, pourquoi qu'il en ont fait une énorme ? J'ai personnellement pas manqué le détail plus tôt, sont idiots cette société d'insister et en plus ils nous en font un vacarme à chaque tour. Et à ce moment précis, vous savez pas ce qu'il voit ? Flou.
(merci à Francis ponge, de l'au delà de ce qu'il aurait imaginer que cet échantillon nous soit amené contre des probables qu'un petit singe en comprennent mieux la notion de définition)
Tout ce que l'on peut imaginer est réel.
(Picasso)
Bon appétit,
Un marteau piqueur.
Le 4D, celle qui apparaît et disparaît d'un endroit à l'autre de l'espace sans raison. Repititions dont on se passe pour le moment, mais qui frappe rétroactivement. Ce fut il y a longtemps et c'était déjà tout proche jusqu'à ce que cela nous touche.
Encore faudrait-il pour voir la bouteille de Klein, la visualiser. Et l'intelligence nous laisse l'imaginer qu'on y peut, l'intuition fait émerger le 4D. Quelle tristesse que ces notions ne soit pas encore populaires. En espérant y avoir contribué pour que demain à mon chevet, l'un me dise Newton affirma qu'il énonca la loi sans comprendre pourquoi elle était vraie.
Le courage, l'audace...
Excellente question qui dépend principalement de la notion de mérite
et donc de réussite. Non? Le courage des anti héros n'étant en soit qu'une
post- réussite... Voir le temps filer.
Rien ne se fait en un jour de ce qui prend justement du temps.
Mais le rapport est étroit entre les deux lorsqu'on entend les moralistes!
"à risquer petit on n'obtient pas du grand!"
"C'est à la fin qu'on perçoit l'ampleur de la tâche."
Et ainsi de suite la "méritocratie" se construit sur l'ensemble des fins et non sur des probables.
Copier coller dans le genre se rafraichir la mémoire...
"De nombreux chercheurs — constatant que l'ordre social créé ne correspond pas à une véritable méritocratie — la qualifient d« idéologie » méritocratique ou de « mystification », voire de « mythe » à l'effet nuisible quand : sans réflexion critique sur la nature des systèmes auxquels il s'applique (sociétés, État, école, monde du travail, etc.), sans définition claire de la notion de mérite, du mode de rétribution, et sans outils complémentaires de correction des inégalités, le modèle méritocratique aboutit à des effets éloignés de l'idéal qu'il est supposé promouvoir ; par exemple en reproduisant les inégalités sociales, tout en les rendant légitimes, renvoyant ainsi les « vaincus du système » à leur seule responsabilité."
D'où d'ailleurs l'importance des engagements, non?
Il y a, il me semble, assez de matière à réfléchir dans ce petit paragraphe sur la notion de courage et d'audace.
L'horloge est en 12,ça devrait vous plaire d'extrapoler sur ses déclinaisons!
Il y a 12 singes qui gigotent entre les bouteilles histoire de passer le temps.
Quelques sous et tout nous parait plus clair...
Ah ce fameux pouvoir d'achat...
Que ne nous ferait il pas faire?
Pour obtenir cet ordre du mérite!!!
à bientôt?
Un "fou" n'est pas courageux. Mais dans ce qu'il fait il peut réaliser ce qui serait dans d'autres mesures de peines.
A quoi bon se faire forcer ?
Prenons le cas de l'école. (parce que je sais que certains ici y ont de la bouteille)
"enfant précoce, au cœur d'une école pas comme les autres" ce documentaire, on peut le regarder d'un œil pas comme les autres.. On y observe globalement, une école comme les autres.. (pour ceux qui lisent à propos des surdoués et se demande si tous en était)
Je pense, opinion non opiniâtre, que c'est une mauvaise idée de mettre les cubes de la même couleur ensembles, être exeptionel est une jambe cassée comme un troisieme pied qui pousse aux bottes dans les orties aussi, parfois, la citation à la fin parlera mieux que moi.
(je n'ai pas l'audace de traduire)
You don't learn anything in school. It's just a waste of time. You lug around books and all and do homework. They give too much homework. You shouldn't be doing homework. Nobody's interested in it. The teachers are stupid. They shouldn't have any women in there. They don't know how to teach. And they shouldn't make anyone go to school. You don't want to go, you don't go, that's all. It's ridiculous. I don't remember one thing I learned in school. I don't listen to weakies. My two and a half years in Erasmus High I wasted. I didn't like the whole thing. You have to mix with all those stupid kids. The teachers are even stupider than the kids. They talk down to the kids. Half of them are crazy. If they'd have let me, I would have quit before I was sixteen. -- Bobby Fischer (très jeune ! )
Avant de blâmer l'injure (tout à fait méritée ? à priori et il a eu droit à sa claque, car ces mots ne furent pas oubliés et il a gagné le qualificatif d'arrogance avant de pouvoir voter, pourquoi ne pas attendre 18 ans avant de faire peser ses positions.. Les échecs n'y avait rien à voir ? ) , je vous suggère de voir ce qui a poussé un enfant à râler de manière presque suicidaire (le succès pour lui était les échecs où il était adapté, peut-être aussi de volonté) . Plutôt que de le prendre à la lettre (ce qui serait stupide) en premier lieu reductionniste (comme reflet de confusions des alentours perçues mais non osées) et bien sûre insultant pour être blessant de manière évidente, quel était le malaise ? Et sans le domaine parallèle avec le sentiment de succès, aurait-il eu l'audace de ses mots ? (création de groupe opposé sur base de valeurs se voulant nouvelles)
La note est un jugement de correction. Ce qui est correct est ce qui est perçu par l'estimateur comme bon par rapport à ce que lui même a évalué de son expérience. Jusque là, je pense qu'on est tous d'accord, que c'est clair ? Gare à l'évidence tout de même..
Raisonnons plus global. L'école a pour but l'integration à la société et la société a pour but d'être ensemble pour être plus fort. Donc l'école est directement liée à la notion de danger et de survie de l'espèce comme imprégnation non de ce qui est intelligent dans le fait de s'opposer à l'environnement mais plutôt de ce qu'en serait de résister à l'environnement qualifiable de "les autres" . Donc il n'y a pas de savoir indépendant de la culture par ce biais . De même que pour les mouvements totalitaires on voit l'émergence d'une nouvelle "école" .
Le malaise de l'enfant fut qu'il était incapable de comprendre en quoi l'école est "bien". Point que l'on a argumenté avec toute la logistique du langage.
Comment être courageux si l'on n'est pas vu dans une sorte d'échec par certains que l'on considère comme gagnants ? (lentilles de serieux) Le courage doit donc être prouvé.
Vous parlez de volonté de succès je parle d'echappatoire de l'échec au yeux extérieurs puis,
dei gratia
intérieurs (miroir dis moi qui est le plus idiot).
Maintenant je veux dissocier la volonté "joyeuse" de celle décrite, "tragique" .
La volonté joyeuse est consistente de conquête, ce qu'on appelle curiosité (j'ajouterais addictive car tout plaisir est renforcement de ce qui y a abouti) . Et pour raisonner encore global, elle consiste à faire du post-aléatoire (sous intuition) pour ensuite en percevoir les règles de l'univers : Je tape dans le mur par curiosité je vois qu'un vase tombe que je peux l'utiliser pour augmenter mes chances de subsister.
Selon Freud, l'amour est la volonté de joie, elle serait sexuelle, comme recherche de nouveaux chemins pour accéder à une meilleure fertilité. Mais je me répète, cette volonté a perdu le lien avec sa conséquence naturelle ce qui donne lieu à l'existence de vouloir de control (pas le social) sur ce qui est extérieur. L'intelligence. Et le point problématique où vous m'avez beaucoup apporté je pense c'est de l'estéthique qui oriente la volonté joyeuse. Mais qui, je dois de me confesser, devrait pouvoir, j'aimerais, l'appréhender.
Le courage serait alors un effort, perceptible ? Un effort de se changer sous un procédé que l'on connaît mais que l'on n'en sait pas y répondre naturellement. (espoir)
Alors que l'audace serait un ras le bol, un pas vers l'inconnu dans l'opposition. Un "ça va pas, je fais mal pour l'espoir de mieux" et moins de considération des conséquences (causalité) imaginées.
L'extrapolation du courage serait la raison alors que celle de l'audace serait la folie.
La volonté de la volonté est sa mise en abyme, encore.. On gagne un rang mais comment la voir dans son "infinie" réflexion qui je voudrais converge vers un raccourci de la comprendre comme un infini particulier et surtout accessible.. Sans sucessbilités.
A bientôt ou plus tard.. Le temps permet le dévelopment dans les circonstances présentes.
Une citation que je te me suis promis ?
« Si j'étais à nouveau un jeune homme et devais décider comment gagner ma vie, je n'essaierais pas de devenir savant, chercheur ou enseignant. Je choisirais plutôt de devenir plombier ou colporteur, afin de trouver cette modeste part d'indépendance dont on peut encore bénéficier dans les circonstances présentes. » (Astone)
Ah oui c'est petit dans la démesure.
Vous auriez pu encore écrire:
- j'avais une souris qui suçait les croutes en pompant mes vingts"
C'eut été plus drôle!
(Quoi que cette humour badasse aura de quoi rafraichir l'auditoire...)
Avait elle la masse ou était elle simplement creuse: La copine?
"Je suis un extraterrestre,
une réincarnation atlante,
un super héros qui s'ignore,
une vielle âme (c'est nouveau ça et j'adore le coup!)
... Je suis un type..."
(on en conclura ceci pour la raison que sauf cas exceptionnel,
seul un éthéro-textuel aurait pu pondre pareil serpillière.)
"Je suis un type, un troisième sale type,
et je me la pète badasse...
Nanar va, série Z, recolorisé, Western...
Parce que la "littéralement" heu non la litté- rature, bin c'est trop..."
Ah, h ! Non ! C'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire... oh ! Dieu ! ... bien des choses en somme...
Moi aussi j'aime bien Jean Claude Van Dame,
surtout quand il file aux œufs.
Attendez, attendez,
Peut-être fut attaquée, la difficulté de vivre avec un surdoué(e) ,
Pour cela que je demandais d'expliquer,
Quand le bras droit est gangrené, le cœur haletant le bras gauche le ressent.
Ce monsieur qui eu une copine de 160 Qi disons, ne pourrions pas comprendre qu'il ne pu s'y faire ?
Le mot "cul" futil de provocation ?
Probablement.
Mais regardez, regardez.. cette question de l'anomalie comme obstacle à l'attendu qui engendre la suspension,
Et si, et si quand m'aime si ?
Ce monsieur en demandait du couple avec une surdouée de toute son audace ?
N'entend on pas, qu'il faut avoir le Qi proche pour se supporter ?
Non celui là aurait du s'expliquer avant de semblant de simplement détruire ce qui serait visible de son cheminement qu'il sublima d'un ailleurs,
Inter alia
Insistais-je ? Juste si jamais
Le moustique revient piquer, l'abeille perdant son dard, on n'y verrait que ça plaît, gonfler
Je continue.. Il paraît que l'échange est d'être doué,
Il semblerait que de les voir à l'œuvre devait être la moitié d'une réponse,
Et zoo ouf !
Une suite de mots pour un état. Cela regardait l'état, quand toute la suite n'avait pas de sens, sans les mots
Et hop, vision globale
Ça voit de haut tellement que ce qui se passe là bas, on capte plus, histoire d'une preuve d' être pas trop idiot, certain signaux d'y être unsensible.
Attends, jte jure d'âme it ! Je suis là, attends la prochaine bulle j'en éclaterai pas dedans
Attends, jt'injure, je suis pas que ton soldat ! Je vais faire des vagues jusqu'au rats de ceux qui en ont marre.
Marre, d'accord mais de quoi ? Nous avançions !
Allez tous vous faire tourner en rond, je vous juron qu'ici, c'est droit
Tout est poesie, voyez que ce que vous appeliez poésie n'était que ce qui vous semblait trop litemeraire !
L'idiot, n'a jamais eu de sens que d'en faire un ou une nulle à des règles que mes autres acceptent.
Et le plus invraisemblable était que l'idiot devait être le fdp surtout le mdp, pour la serrure de la porte que les savants frappaient.
Par moment, lisant entre autre les commentaires sur à peu près tout ce qui me passe par les yeux, "d'informations" doublés de points de vues et images du monde...
Nous avions peur, il y a de cela quelques années
que l'audio détrône la "civilisation" de l'écrit,
que le langage synthétique du genre "MDR" fusille à jamais la moindre notion de culture littéraire... et la question actuelle serait plutôt du genre:
"Peut on écrire n'importe quoi avec l'alibi qu'il y aura toujours un lecteur pour le lire dans le nuage?" L'autre question sera de savoir comment et pourquoi certains arrivent sur ce site?
Accrocheur le 160!
Mais encore se poser la question de savoir dans quel mesure enclencher un processus de lecture croisé, d’entremêlement des sens avec n'importe qui, sans être élitiste ni même en avoir le goût, force est de constater, comme vous le disiez plus haut, qu'on ne peut échanger quelques points de vues avec n'importe qui sans avoir à faire au "rat de pâquerette". La confiture aux cochon et quoi qu'on en dise, ne les nourrit pas plus qu'un quignons de pain...
Aussi je propose démocratiquement avec moi même (puisque nous sommes nombreux à l'intérieur et que nous valons bien au moins d'être représentatif d'une majorité de nous) de ne pas dans l'avenir tenir compte des petits couteaux sous peine de nous égarer dans les ruelles sombres de nos cités urbaines (celle là, quoi que certains pourront dire qu'il y a faute, je la laisse volontairement. Il y a donc cités et urbanités qui sont deux choses différentes:
L'une et l'autre étant parfaitement ambiguë...)
de la stupidité: Carlos Cipolla
Loi 1: Toujours et inévitablement nous sous-estimons le nombre d’individus stupides en «liberté».
Loi 2: La probabilité qu’une personne soit stupide est indépendante des autres caractéristiques de cette personne.
Loi 3: Une personne stupide est une personne qui crée des problèmes à une autre personne ou à un groupe de personnes sans en tirer soi-même le moindre bénéfice.
Loi 4: les personnes non stupides sous-estime toujours les dégâts que peuvent faire les individus stupides. Elles oublient en permanence que conclure un marché ou s’associer avec des personnes stupides est une erreur très coûteuse.
Loi 5: Une personne stupide est la plus dangereuse des personnes.
à mettre en rapport avec Isaac Asimov:
- un robot ne peut porter atteinte à un être humain, ni, en restant passif, permettre qu'un être humain soit exposé au danger ;
- un robot doit obéir aux ordres qui lui sont donnés par un être humain, sauf si de tels ordres entrent en conflit avec la première loi ;
- un robot doit protéger son existence tant que cette protection n'entre pas en conflit avec la première ou la deuxième loi.
L'aléatoire au delà du conditionnement...
UAQVVDB.
Le global contient le local dès que le local reproduit des morceaux du global. L'ensemble des locaux constituent le presque-global. (inclu dans le global).
Pour accroître la précision de la copie des morceaux du global dans le local, cela nécessite une traduction. Car si la copie n'est qu'un morceau du global alors le local n'existe pas distinct du global. La traduction n'est pas une compression, il s'agit d'un ensemble de traits accompagnés de leurs relations qui permettent par le placement des traits selon les relations d'obtenir presque tous les morceaux du global.
Pourquoi le local existe et procède à une traduction ? Cela appelle, le presque global pour que le choix des morceaux copiés accessibles par les traits et les relations aient un sens.
Le presque global détermine la volonté d'atteindre des morceaux accessibles pour que le local procède à sa localisation en dépit du vent qui supprime le local par l'aléatoire altération dans le global. Ainsi pour l'échange des traits et des morceaux, le presque global permet de faire peser ce qui s'oppose au danger de la confusion du local et du global par le bontrait. Le local désormais existe.
La création de relations et de bontraits est donc de copier de volonté presque globale ce qui permet la distinction local/global, pour résumer.
L'Univers n'est pas local (scientifiquement assumé). Le global ne serait plus que le langage. Et la distinction, l'observation. (Le local qui se regarde sensible (verbe) le global et pour sa distinction il y a ce retour sur soi qui est de même nature que la contemplation du global sous le filtre du presque global.)
J'évite le non-sens par le presque global, mais ces traits et relations sont défaillantes car j'ai commencé par voir le global pour parler du local, or JE SUIS local et le global est conditionné de mon existence. (ici la science rejoint son contraire)
Le sollipsisme n'a pas cet avantage.
Cela grâce à la confusion du local et du presque global.
(justifiée par l'imitation des bontraits au mérite de leurs succès.. ).
Je continue un temps.. Ou me précède ?
sur l'échelle de vos nos bontraits (les leurres aussi qui nous viennent des nuages), les lois décrivant le stupide nous aurions envie de les inverser pour en saisir l'intelligence par la négation :
Loi 1: nous sous-estimons le nombre d'individus intelligents même emprisonés.
Loi 2: les tendences à être intelligent sont dépendantes des autres caractéristique de cette personne.
Loi 3: l'intelligence donne des solutions aux problèmes des autres sans en tirer des bénéfices.
Loi 3 (variante) : l'intelligence bénéficie de la création de problèmes.
Loi 4 : l'intelligence est bonne.
Loi 5: je ne sais pas.
Doute : l'intelligence semble être perçu comme la capacité de génèrer des bontraits, or cela recquiere un jugement du presque global pour que les traits créés aient le mérite d'être des bontraits. Et l'erreur de jugement (la copie d'un trait massivement) peut causer autant de destrustion que la plus grande stupidité. Les lois faibles et les fortes y vont mais celle de l'intelligence à plus grande échelle (de gravité) ne me semble pas innocent.
La création de mots est une façon de générer des traits (sans oublier leurs relations intéressante pour tous ? ) .
Enfin,
Ne serait-il pas bien d'unifier les lois de l'intelligence en une seule équation de ses interactions ?
Je vous propose la suivante :
Bien-mal=intelligence
=fantaisies curieuses-folies dangereuses
(sous l'hypothèse que l'opposé de l'intelligence est la stupidité, non des moindres)
Doute 2 : L'intelligence sierpinskienne pourrait être plus naturelle
Doute 3 : le côté robotique de ces deux derniers messages peut-être stupide, il manque l'esthétique à l'équation je vous l'accorde.
(dualité de l'échange)
Et un jour, le robot serait plus humain que son créateur ?
Réponse: Le robot ne peut qu'être "morale" parce qu'il doit servir la vie de son créateur... Belle utopie de notre temps de confondre la morale avec l'intelligence et la performance avec l'intelligence... quand à cette relation micro macro que vous évoquiez, un poncif est un agrandissement au carreau d'un croquis qu'on a perforé à la mollette pour en tirer une recomposition des courbes. l'univers tiendrait il dans une tasse à café pour la raison que nous pouvons l'envisager?
Est ce la tasse à café et ses extrapolations qui contient l'univers?
Si je constate qu'il existe une boite dans laquelle je puisse réunir les archétypes de la pensée, celle ci peut elle être une définition et de quoi? De la pensée ou de ce que je peux penser?
"La traduction n'est pas une compression."
non, c'est une transposition à une autre "échelle".
De ce vieille instrument composé de quatre tiges réglables dont je ne me souvient plus du nom et qui servait à agrandir ou réduire n'importe quel "motif" à n'importe quel échelle... quand aux mots il sont comme je le disait parfaitement métaphoriques et totalement représentatif de notre fonctionnement psychique: On glisse dessus...
La complexité vient du fait que dans certaines formulations
(et vous êtes très fort. Si, si!) plusieurs échelles se côtoient et vont jusqu'à s'imbriquer.
Mais il me semble qu'à ce niveau, nous pourrons parler plus intensément du rapport entre les diverses "dimensions" au travers de cette fonction première des glissements sémantiques, Non?
Je reste tout à fait convaincu que nous ne pouvons envisager rien qui ne soit issue de notre "manière de fonctionner". Il va de soi donc, et j'aime ce donc, que le monde nous représente dans le sens que nous voyons ce monde comme notre représentation. Cette manie que nous avons de donner un sens à tout en reliant les points sur lesquels nous buttons...
Peut être est ce là la parfaite notion de décalage d'avec la réalité préétablie?
Peut être, oui, peut être!
Mais nous tournons en rond...
Non en spirale puisque tout, à ce que nous en sachions (petit) est en mouvement.
Revoir les prépositions, en quelque sorte les principes, est une vaste porte de sortie. voilà tellement de temps que nous arpentons nos évidences que nous en sommes saturés...
Et je reviendrais sur le sujet de l'invention avec la proposition pertinente d'un allumé de service qui nous érigeait la possibilité de créer l'univers entier au fur et à mesure de ce que nous étions en mesure de concevoir... Pas si bête que ça le principe dés qu'on le retourne!
Pas de petits couteaux à l'horizon!
Un saut de puce avant de reprendre la route.
"Tout est dans tout n’empêche absolument pas
d'entrevoir la dimension de chacun des éléments comme générateur du tout... Non?"
Allez hop gimblette sur la réalité crue!
à la prochaine...
Et si le robot se trompe son asservissement pourrait être néfaste moralement à son maître.
La performance est une brèche de la morale moderne pas étonnant que vous deviez la placer ! Comme un petit slogan "la performance c'est diabolique". J'aime bien aussi en cracher une sur ce qui m'insupporte, même sans lien A PRIORI, il m'arrive d'y ajouter un coup de pied dans la chaise voire de me taper la tête sur le tableau pour montrer qui que c'est le vivant après tout.
Mais mes messages ne perforaient que rien. Tout en passant.
Là boîte maintenant.. Quelle hypocrisie (demi dieu) bonhomme ! De nier son existante alors que vous ne cessez de l'utiliser. Pour survivre de la société n'avez vous pas mis ces boîtes les unes dans les autres ?
Le motif à n'importe quelle échelle ? Voyez simplement Comme c'est simple créant du compliqué au point qu'on pourrait croire que ça l'est.. (l'axiomatique comme. Prophète)
"fonctionnement psychique" tiens je t'en chie une de ta boîte(j'ai remarqué votre stade sexuel phase première
à mainte reprises) . Je sais même y donner une interprétation à ton bordel, à part à la freudienne comme d'hab, vous nous habits tuez ?
Donnons pas de sens, mais c'est quoi votre volonté à part le greffons parasite ? Je vais te jeter des boules de neige que tu m'as demandé de faire de dites différentes MANIÈRES.
Comme pour sous-entendre que le bonhomme c'est Mozart avec une flûte !
Quand à l'allumé de service, j'aime bien l'allumer pas le service réussi.
Là réalité Crue comme ci il fallait être violet pour avoir autre chose que la raison. Toujours cette inversion des valeurs d'une transformation non conforme au fait de taper de regarder l'himalaya plutôt que d'imaginer son sus jette.
J'ai toujours en tête l'échange d'informations paisible, j'ai toujours le poing en l'air, tombant sur la table, questions de temps avant que j'en vois une peau de banane ou la frontière d'une cacahuète (je ne suis qu'un humble-manquant marteau). Et vous, je vous aimes bien, parce que vous me faite réfléchir. Vos messages m'y aide.
Pour être honnête, même si je n'ai pas d'idée ce qui se trame dans votre tête. Ce qui en ressort est pas trop mal.
Oh coup pet, l'artiste a impressionné la gallerie. Voilà une définition pour ton bien être.
Je vous aime bien..
Aujourd hui j'ai fais du ski d'été, il y avait du hors piste ou nulle n'allait pour cause d'avalanche fréquente. J'étais fatigué de mon passé, je charmais le danger de me rencontrer.
Quelques mètres plus loin, j'entends un bruit, je pense à l'avalanche, retourne ma tête, je suis tombé dans un fossé. Point d'autres pour le savoir, inutile de crier, condamné je fus Courageux et voulu de grimper.
Le froid m'envahissait, j'étais cuit. Et là, j'apercevais contre toute attente une épée dans le mur que j'usa pour m'extirper. Celui qui la planta on lui demandait pourquoi, cette épée, il répondit qu'il. Voyait bien ce mur brisé.
L'aléatoire ? L'allée à toi. De réfléchir outsider qui s'en lisait ici.
Je me dois d'une opposition
Je continue..
Hier je me suis réveillé tard, je me demandais quand la société devait me frapper.
Je 'n' avais pas les. Références des autres pour en survivre.
Je fut forcé une fois, je comprenais que le travail nous prend et que l'on a mieux à penser que notre indépendance.
Il y avait d'autres qui travaillant ne remetez jamais en question ce fait, d'être utile.
Même certain y sentait une joie d'être utile, je me demandais, comment ?
Et ces gens, semblaient possèdant d'un bien que je ne me. Définissait.
Et que ce fut il, la société allant. Et que ma. Maladie ou folie ne devenez que d'une opposition inconsistante mais qui me passionait,
Demain je serais esclave aussi ? Probablement. Par chance, j'ai eu le temps de me. Demander pourquoi un peu plus. Mains tenant le doute.