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J'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ? - Page 27

Question anonyme le 13/02/2011 à 15h42
Dernière réponse le 22/12/2024 à 20h50
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J'ai un qi de 160 et j'aimerais savoir qui suis je ,que puis je en conclure concrètement ?
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1246 réponses pour « 
j'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ?
 »
Réponse de R.E.D
Le 03/06/2017 é 09h18
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Eschatologie? rarement évoquer dans vos écrits... Je note ainsi une forme nouvelle, ou du moins qui apparait sur la notion d'échéance. La fin des temps comme leurs commencements, recherche d'une origine coïncidant obsessionnellement avec une inéluctable finalité... Aviez vous remarquer comment ce terme peut, à lui tout seul, presque englober notre civilisation? Un problème d'horloge? Non simplement un problème de séchage fluctuant de vernis complexes qui, comme son nom l'indique (vernis) se trouve être l'artifice d'un immatériel infini... "Je" de miroir parfaitement licite s'opposant à un trompe l’œil d'un noir dégoulinant, qui plus est bien astiqué. "Énergie = méandre dichotomique d'entre deux choses." Une fois j'ai fait passer 1 079 252 848,8 km/h entre 10 centimètre à l'infini... Et ceci ne cesse de m'amuser... Aussi je recommence... "Il suffit d'allumer la lumière" (Attribué à "Dumbledor" l'ayant lui même repiquer à son auteur qui l'a entendu de son boucher, qui lui même le tenait de sa femme qui ainsi de suite... Faut bien rire un peu!) "CRÉATION D'OBJOUET" Étonnant que nous nous croisions sur ce terrain! J'en ai même posé une thèse faisant office de validation de diplôme: Aussi le propos de ma première installation plus que polémique puisqu’incluant une réflexion de fond sur la culture contemporaine et ce qui allait devenir le post modernisme sous la forme de la laitière de Chambourcy et l'usage de la culture en bien propre... aussi une réflexion sur le fétichisme contemporain et les nouvelles métamorphoses de la pensée magique... Au cœur même: La dépossession de la qualité de "sujet" pour l'attribution de celle "d'objet". Il y a, il me semble dans la notion de "sujet" une qualité empathique absente de la notion de bien personnalisable qu'on retrouve dans celle "d'objet". Ce qui fait que nous avons besoin de "fétiches" est justement lié au fait que l'objet étant neutre et perçu comme différent de par sa qualité de "non vivant", il peut surfaire par sa durabilité et donc incarner justement une stabilité... En gros faire simple avec le coup de la pierre tombale et de la pierre levée qui manifeste la course du soleil... Là, je fais très simple! Mais ces réflexions comprennent aussi la notion de langage oral/écrit et je me met soudain à rire de nos futurs découvertes archéologiques d'un avenir post-post lorsqu'on découvrira les écrits actuels... La conclusion évidente sera certainement: "Les gens du 21ème siècle aimaient écrire à peu prés tout ce qui leur passait par la tête. Pour des raisons d'accroissement de la population dans les zones urbaines, ils modifièrent leurs rites funéraires en généralisant la crémation. Par ce fait, plus aucun d'eux n'eut la possibilité d'accéder à l'immortalité de granit en lettre d'or. Ils en vinrent donc à transposer le concept même de l'écriture sur des" immatériaux', eux même symbole représentatif des nouvelles déités apparus au court du siècle précédent et prenant l’appellation de "liens sociaux". Il semble de même que pour des raison de "sécurités" l'habitude de ceux ci fut de contre signer les épitaphes de l'instant avec des patronymes humoristiques. Ces avatar multiples comme autant d'odes à l'instabilité d'une époque ou l'antagonisme entre individu et globalisation marchande de l'objet, permis par mimétisme (et sur le principe d'une magie de premier degrés dite par sympathie) de se retrouver comme soi même étaler, en signe de prospérité, sur les rayons de l'abondance consumériste. On pourra dire encore de cette fabuleuse époque qu'elle su transmuer le silence religieux des cimetières des autres siècles en une syntonie concrète de bruissements du vivant." UAQVVDB.
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Réponse de R.E.D
Le 03/06/2017 é 09h22
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Ps: Ne parlez pas de ça avec tout le monde! Les gens sont encore persuadés qu'ils ont une identité palpable en dehors de leurs usualités "bestiales". Affaire de pédagogie, admettre qu'il faut un abécédaire et quelques mots simples pour les "idôlatres" d'eux même.
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Réponse de The_monkey
Le 05/06/2017 é 19h18
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L'impulsivité, de la facette de sa personnalité à doubler la mise avec un jeu déplorable : "Depêches toi, je suis pressé, je suis nerveux, il est important que tu me fasses ça.. " Elle se tenait droite sans froncer d'un surcil. La vaillante savait dire non. Le paumé lui en donna un coup de sa paume sur son côté, espérant que cela allait la faire réfléchir, la dedans. Elle, peine perdu, lui cracha sur sa chemise ! Et pour vous dire le blanc en a choppé une impression remarquable. C'était trop, trop avec ce "matérialisme" en bouc de mission, qui le tourmentait au "quotidien", il jeta un coup d'œil autour pour s'assurer qu'il n'y avait personne et se laissait enfreindre le bon sens moral (surtout d'elle !) . Il l'attrapa par les épaules et la secoua pendant plusieurs seconde, je vous passe ce qu'on appelle la poésie sincère.. (plus c'est moche plus c'est honnêtes, il avait compris cela le con) Le concierge qui voulait s'assurer des boîtes aux lettres arriva de l'ascenseur, imaginez sa tête quand il a pu contempler un bout de notre société à bout de nerf. Ce lui fut naturel que ce qui se passait était idiot de surcroît inutile voire mauvais. Après une course à 15km/heure réel (un peu plus que la vitesse de la lumière dans son esprit) il attrapa le bras de l'homme violent. "Ce n'est pas de cette manière que l'on traite celles qui nous donnent tant de plaisir, un peu de tenue, sale.. oh ! votre chemise.. Ricanement" Le concierge alors prend des airs indifférents d'un coup irréaliste, il devient "serieux" sort un tournevis de sa poche et le plante dans le ventre de la résistante. Les deux contemplent pendant une minute ce qu'il n'avait jamais pu voir de circuits dont nous somme intégrés. "vous aviez raison, celle là il n'y a plus rien à en tirer" désolé, disparaissant le concierge fit de ses clés un tour de doigt. (François Leponge) Point de fiction.. , peut être que certain d'entre vous ont compris et rions ensemble de ceux qui lui ont donné un sens de fascination, ou riez seul du fait que le clown ne se joindrait pas à ses vagues. Pourquoi la violence fascine ? Je sais je sais ! Le titre de ce texte est 'la machine à café'. J'en reviens sur cette capacité à distinguer l'objet et le sujet. Le sujet est un objet dans lequel nous pouvons nous y mettre, simple..? Similarités et confusion nous font être attaqué aussi. Et oui la finalité ou la pulsion de mort, ce n'est pas le sujet de prédilection de vos voisins probablement , de comparaison entre une poubelle et une bouche cela entamerait ce regard, Red vous l'expliquez au premier degree, pourquoi pas un exemple concret pour un 160 qui veut du concret ? Les autres ont un mac cartablisme du regard, je dis les autres parce que je m'en distingue non sans regret et labeur (sur ce point presque uniquement et d'autres non abordés) . Il s'agit d'une mise en parallèle de tout ce qu'on fait sous l'interprétation commune mais qu'on ne dit pas avec les considérations communes(au sens fréquent) . CRÉATION D'IMPLICITE. Exemple CONCRET : quelqu'un vous dit qu'aujourd'hui il fait "beau", vous répondez "oui en effet" cela fait de vous une personne aux allures délicieuses d'odeur de chantilly, voire propices à des échanges plus développés d'estimation de vos caractéristique pour dans la fin établir une relation d'intérêt Pré établie (inconsciemment couverte du bien social) . Si vous ne répondez pas, parce que la beauté du temps vous fait réfléchir.. Si je marche sur le soleil est ce beau à voir me conFONDANT du sol ? Et quand le bruit de l'orage vient en retard, j'entends dieu tomber sur la terre. Toi aussi, lui disais-je sans l'aider à se relever, bien sûr. Je regardais ses yeux fermés, l'omniscience fut de les fermer de temps en temps ? Jusqu'à ce que Nemesis les yeux fermés aussi m'attrape de l'intime. Et je laissais dieu se relever ? Ou son prophète en révéler la grandiosité, À chaque orage me rememorant la rencontre d'un divin meurtri ? Parce qu'idiot pour notre classe. D'un professeur absolue inexistant. Ou la recherche de mentor du surdoué jeune.. Vous serez d'un trône anomalie, le vivant en a distinguant deux, l'adapté et la maladie. D'un côté génial de l'autre naïf. De tout âge, toute circonstance. Dans une interférence, il y en permanence cette référence à une loi universelle (societale) , les fourmis considèrent cela comme four déjà mis (et le vivent heureusement), les surdoués dansent (et je suis sûr de ce mot) avec, jonglent avec, d'avoir même plusieurs de ces cordes à leur arc en parallèles pour la musique des accords.. (ils le vivent presque schématiquement ? ) , les dépourvus d'un certain limbique le tourne à leur intérêts primaire, nous parle des bases (détournement des procédures tournesol, ils le vivent bien sauf quand ils sont entamés de la petite fenêtre ou promenade dans le jardin, leur transgression à l'implicite révélée), les socio aveugles eux volent au dessus, le toléré de la différence non dangereuse, ils en feront un cocon pour se concentrer sur leur important. Je trouve leur approche existentielle charmante, une force cependant m'a fait regarder les processus sociaux dans leur globalité, comme d'un Red soit du touché du sensible ou de l'œil bien loin, d 'un post post comprendre l'effondrement du tas de cendre fumée qui nous distinguerait ? Mais en étant un mégot en soi de la société, cette dissociation du moi et du tout, comme la charge émotionnelle et une sorte de vision extérieure elle censée, les deux sont confondues à l'origine ou à la finalité. Mais les surfouets en particulier ont ces deux visions, comme d'un ressenti et de la schématisation "d'ailleurs". Liez les deux ! Car le détachement purement rationnel est incensé dans la mesure où le soi la rend disciple. Le mélange fait est cette union de l'adapté et du sensible qui s'inssuportent. Mais la chimie n'est-elle pas de mélanger ? L'existant serait du même ordre. "il fait beau aujourd hui". Une bonne partie de nos relations étant d'estimer une cascade de reproduction possible ou d'intermédiaire pour y achever, ces règles restent la flexibilité à l'environnement social dominant sous cet aspect, cohérent ? Y répondre positivement prouve que dans le cas de développement de l'interaction vous puissiez être utile et stable.. Ainsi les échanges les plus communs ne sont pas d'un partage de mouvement frontaux de la nature en tant qu'être vivant sensible mais directement relié à la potentialité de l'individu dans les cas les plus communs. Hein les hauts potentiels ? Voyez ceux ce que cela signifie, je préfère surdoué (il y a chez le type qui reussi bien ces grimpantes une capacité à surpasser ces codes implicites, qu'on peut qualifier de cet ordre "sur" ) De même, on va pas commencer à appeler un homme à béquille un faible potentiel de marcher sur une plaque électrique.. Ou alors l'idée est d'être meilleur mais en cicatrices auquel cas, non besoin de se mettre des bâtons dans les roues pour avoir l'air sympathique, le vélo déjà roule en arborescence (rencontre les arbres). Concret ce paragraphe ? Concernant votre analyse des déroutes des sociétés développées, je pense que vous en avez saisi les contours, encore que comprendre un phénomène ne signifie pas être en désaccord ou ne pas l'alimenter, comment étant pris et le remarquant, d'être pris, cela est d'un aflux de notre compréhension de la société plus qu'un détour quelquonc.. Comment ressentir sa respiration sans le support vibrant, d'un retour d'ondulation Juste négligées d'être qualifiées physiques, pour cette raison, Nous expérimentons, à priori.
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Réponse de R.E.D
Le 06/06/2017 é 11h25
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Étudier les rituels et la notion même de rituel; En fabriquer aussi mais consciemment. comme celui du moment qui consiste à lire attentivement ce que vous écrivez à mes heures de pause et essayer d'avoir un suivi dans nos relations virtuelles. Il semble que la notion même de civilisation tourne autour de la production de rituel... Au point même qu'on pourrait se demander si le rituel n'a pas plus d'importance que ce qui semble être son point d'origine. La plupart du temps, les habitudes crées par les rituels perdurent au delà de leur justification cosmogoniques, et voir jusqu'à l'absurde de leurs exercices. C'est lorsque l'absurde devient incohérent, qu'il gène l'esprit qui se targue d'être "intelligent"... Du moins de cette intelligence rationnelle qui baigne dans le mythe des explications de tout. (Et l'incohérence n'est pas forcément absurde lorsqu'elle est comprise dans la notion de mystère... Et l'absurde n'est pas forcément incohérent lorsqu'il exploite des présupposés d'une manière "logique".) On ne réforme pas un rituel. Il est une sorte de chemin mental par lequel on construit l'image même du réel. On se contente de faire glisser doucement les pseudo causes de ce rituel jusqu'à rendre son déroulement incohérent. Parce que pour la plupart d'entre nous l'incohérence est absurde. C'est alors que le rituel se recroqueville sur lui même comme on roule un décor, comme on plie un chapiteau, qu'on voit s'installer une forme de "folklorisme" voir de "tradition"... n'ayant plus d'autres réalités que de promouvoir les formes socialisantes comme le costume d'une réalité vide de sens. Il existe une sorte de règle sur trois générations: La première bâtis La seconde en profite La troisième détruit, et la quatrième reconstruit. Ce qu'on voit à peu prés partout dés lors qu'on pense être quelque part, il conviendrait donc au mieux de se demander à quel générations nous appartenons. Et lorsqu'on comprend le processus, redevenir perpétuellement la première et la quatrième génération reste le seul moyen possible pour annuler les effets pervers de l'installation fixe des deux autres générations intermédiaires. L'important, il me semble, est de réussir à coexister dans les rituels des autres en les considérant pour ce qu'ils sont: Tout autant un décor de l'esprit qu'une construction du réel parfaitement respectable. Peut être est ce là la réalité caché de cette âme d'enfant... non?
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Réponse anonyme
Le 06/06/2017 é 13h04
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Pour un mec qui a un QI de 160, tu ne sais même pas écrire sans faire une dizaine de fautes. De fait, tu es juste un peu plus con que la moyenne.
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Réponse de R.E.D
Le 06/06/2017 é 14h03
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C'est une obsession chez les nouveaux intervenants de se la jouer Bernard "Pivot"! Excusez du peu! Je tapote trop vite comme "un mec" qui n’écrit que deux phrases et pense qu'il est moins idiot que la moyenne parce qu'il s'est posé la question de savoir s'il a un fort potentiel! Donc correction puisqu'il en faut: "Bâtit"... Problème de ponctuation au niveau de la phrase: "Ce qu'on voit à peu prés partout" un point final et une majuscule. "quelle génération"... Quoi que la version pluriel peut être aussi employée. La phrase suivante est possiblement sécable en deux propositions autonomes par l'adjonction d'un point virgule... Et avouer que, ce qui est écrit ci dessus peut paraitre parfaitement idiot sorti de son contexte: Et depuis un moment déjà. D'ailleurs la question, toujours d'actualité est: "Pourquoi perdre son temps en écrivant sur ce site?" D'autre part, écrire bêtement pour ne rien dire d'autre que: "je suis supérieur et je m'en contente!" N'est pas particulièrement constructif; Non? Anonyme sans même un pseudo ni la moindre explication, idem?! "Du respect et de la politesse envers les autres, une réponse construite, détaillée et argumentée..." Merci de votre intervention, et je reste ouvert aux correctifs comme aux informations sur le sujet. Question: "Pourquoi et comment êtes vous arrivé ici?" Puisque le libellé est: " j'ai un Qi de 160, que puis je en conclure?" Avez vous la bosse des math? Êtes vous enseignant en raison pure? Inadapté peut être ou en profonde dépression? Peut être simplement curieux d'une confrontation avec un mythe contemporain? Minimum requis deux paragraphes étayés et la volonté d'échanger. Depuis un moment déjà nous échangeons en huit clos. Il faut avouer que la plupart du temps nous fonctionnons en interne en référence croisé, voir au delà des références sans nous soucier d'une relecture. Partant du principe que nous avons dépasser le stade d'une précision impersonnelle impliquant autrui... Veuillez donc nous en excuser par avance et nous faire part de vos réflexions sur les "sujets" sur lesquels nous dérapons parfois. UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 06/06/2017 é 18h50
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Nous avons repéré une faiblesse chez l'enemi, parmis la troupe des villageois s'armant de baïonnettes électriques 21E (Siècle) , seul celui qui provoquait l'eboulement de cris n'était pas illettré, et une poignée de tentes devinrent libre, aux yeux juste du villages, les maçons désormais fauchés. Regardez les brouillons de Candide, ça vole raz-la-terre à propos. Le rituel comme fondement du labyrinthe qui ne cesse de se reconstruire, on raisonne une couche en dessous et on atteind tout type de société. (oui en effet) La genèse du social, il arrive que dans une démonstration mathématiques et je lisais un livre il y a quelques années que j'ai choisi presque au hasard, qu'on se place dans une généralisation pour approcher une question à priori voisine (dans l'espoir et la confusion surtout !) . Comme si un niveau disons de programmation orientée objets était insuffisant pour atteindre le sujet que l'on espère "comprendre". (la compréhension étant incompréhensible sans la projeter quelque part, encore) Avez-vous déjà expérimenté au travers d'une altération avec un individu provenant d'une société aux rituels une morale de direction à prendre en coordonnées sphériques ? De s'y plonger de le vivre par ces miroirs (neuronnes du même nom à l'origine de l'autre en tant que sujet, comme l'expérience d'un se reflète et peut éblouir toute l'espèce quasiment, ce "nous" d'identité dont la distinction avec le je est la douleur du corps physique essentiellement, l'amplificateur de localisation) qui nous rendent autres et surtout ces règles fondamentales qui recouvrent toute notre fonctionnement propre (dépourvu de rituel à l' origine localement) . Très sûrement mais de nos jours avec de nouveaux hachereaux on peut se confondre avec d'autres que ceux du Brain Drain. Dans l'extrapolation d'autres sociétés, sans moral pour que cela soit constructif sur l'interprétation du "j'existe dans ce groupe et ma façon même de concevoir la société, la réalité, en est globalement orientée". Alors vous observez ces rituels, l'existence d'organisation par la valeur aussi et quelques points communs qui donnent l'accès aux bases de l'humain dans son comportement social. Ce qui serait qualifiable de surdoué devient vraiment, c'est mon impression, un détachement physique par rapport, non aux rituels auquels on peut difficilement échappés (pression de la société de la nourrir) , mais à cette conscience d'un "autrement", le social distinct de l'univers ou inclu strictement dedans avec un intermédiaire non vide. Comme de se voir de l'extérieur, une vision que l'on pourrait croire objective et j'expliquais dans mon dernier que ce n'etait surement pas vrai. Des lors que l'on suit ce qui est intéressant pour soi (indirectement tout le monde pour ce concept d'"intéressant" ) nous nous heurtons à cet imprévu qui rend les lois de la thermodynamique possibles et bloque le mouvement désiré(émotion ?) , dans l'efficacité et le "censé" (le censé n'étant que d'arbitrer une permenente mutation de représentations pour l'adaptivité) alors que nous pouvons trouver dans des chemins de notre propre jugement absurdes, bien plus intéressant à posteriori que ce que l'on pourrait s'attendre du plus grand sucess des voies que nous avons déjà imaginées. Il faut savoir faire des erreurs avec la plus grande volonté.
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Réponse de R.E.D
Le 07/06/2017 é 11h47
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"La genèse du social..." Du moins de notre social certainement. Débat de fond sur la valeur d'imprégnation s'opposant à celle de l'étude critique. (Comme s'il y avait dichotomie entre la part de "vécu" active et celle de l'auto-analyse. Mécanique d'interdépendance entre le sujet e l'objet parfaitement maîtrisé dans la gymnastique de la psychanalyse, Non?) Aurais je envie d'ajouter que: "Bien voir n’empêche pas de mal regarder?" Lorsqu'on approche l'irréalisme absolue par la raison "pure", d'elle même pour elle même, qu'on constate que quoi qu'on fasse de "ce qui sort de ce qu'on pense" n'a strictement aucun sens commun et frôle l'absurde... Parce qu'il semble être contraire à l'instinct de survie, il est à mon sens grand temps de nettoyer les bases et d'examiner le moindre fétiche avant de nous retrouver à appeler le soleil en sacrifiant de jeunes vierges pour justifier une activité sociale par une économie... "Il faut savoir faire des erreurs avec la plus grande volonté." Toujours et encore cette notion d'erreur en opposition! "Manquement au but" me semble être une meilleur traduction de cette notion de "péché originel" que vous côtoyez parfois. Et puis ne pas exclure un sens pratique de classification des genres; De peur de ne plus pouvoir déterminer la différence entre un génocide parfaitement justifié intellectuellement et un coup de gueule en privée. Il y a, dans certaines organisations sociales ce qu'on pourrait appeler des défouloirs ou "cellule de survie" destinés à endiguer le trop plein de ressentiment... On pourrait presque mesurer la notion d'inconfort sociale par la taille de ces espaces. Circus maxima pour immeuble de dix étages et club Med en maison clause. En opposition la moindre parade de guerre Zoulou semble être anodine. Le moindre sacrifice d'une poule une rigolade dans la hutte à paix et la moindre altercation sur la gestion du saut d'eau pour laver le riz une pichenette à la barbe des ancètres! Se voir de l'extérieur... Oui peut être est ce une solution d'enfermement volontaire capable de protéger ce qu'on juge être une forme d'intégrité. Mais sur ce point une question me hante depuis des années: Celle de la notion d'intérieur et d'extérieur comme celle du plein et du vide. La notion même d'existence tel que nous la percevons est sujette à caution dés qu'on aborde d'autres "cultures". Ainsi il existe une multiplicité de niveau d'existence sur d'autres "valeurs" critiques. Désoler de dépoussiérer encore! Ce qui n'existe pas/ ce qui existe potentiellement/ ce qui existe parce qu'on ne peut pas le nier. Cette notion d'existence "potentiel" est assez intéressante pour qu'on s'y penche en se demandant pour soi même ce qu'est ce potentiel d'existence. En dehors de la notion d'espoir ou de son contraire susceptible d'être assimilé à ce détour entre passé et futur, fil du temps altération ou non, le potentiel d'existence est à situer comme l'existence d'une petite cuillère, d'un récipient quelconque qu'on ne considère que par son emploi... Variation sur l'interrogation de la considération du "social" économique tel que nous le vivons actuellement, sur le propos de l'utilitarisme globale et de la nature des liens qui forment les groupements justement dit sociaux... Vu de l'extérieur, effectivement tout ceci pourra paraitre facilement abordable pour la raison que "Zeitgeist" en état de prise de conscience. Mais la défausse est encore une affaire d'existence potentielle. Lorsqu'un sujet est dans l'air du temps, il peut encore s'assimiler à juste un courant d'air entre une porte et la fenêtre entre les murs... Non? Je me méfie depuis longtemps des courants d'airs comme des nettoyages de printemps en crise d'amnésie au karcher et reste plutôt dans l'idée de trier les ordures voir de les recycler en prenant le temps d'un recul critique. Toujours cette notion de potentiel d'existence qui traîne derrière... Ce qu'on voit et ce qu'on pourrait voir... Ce qu'on ne voit pas et qui pourtant existe. "Je sais", encore trop simple pour un qui se targuerait ici de survoler les mots en les considérant comme une simple affirmation... "Il faut savoir faire des erreurs avec la plus grande volonté" comporte à mon sens une capacité de jugement excluant l'Abduction: Et revenir à ce débat que nous avons souvent sur le propos de la morale. Lorsque je découvre l'étincelle qui fait déborder le vase, assèche les marais et extermine les hippocampes, suis je ou non responsable de ne pas avoir prévu son emploi? il me semble qu'ici nous abordons le problème du "profit"... Non? Voilà pour aujourd'hui et je retourne à mes interrogations pratiques; à savoir: "Dois je ou non mettre trois œillets sur la périphérie du possible?" "Comment puis faire autre chose qu'une marelle avec une suspension pour élever l'instant?" Mon nez de clown se teinte de noir à force de le frotter d'un revers de cendre. Bien à vous. UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 08/06/2017 é 02h31
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Cérémonie d'oscar, ce soir nous avons des favoris : La morale, gouverne les consciences par le ressentiment, nous a offert un film prodigieux de bon acteur dans "demain tu regrettera, et l.'ego dans sa resistance des pulsions animales dans un but humanitaire" La vérité qui n' a fait aucun film mais nous en avons une citation : Attrapes moi si tu peux !! La philosophie pour un livre" tu me comprendra plus tard mais en attendant je te domine, quel fut le but de mon existence a part cet oscar duquel je me fou ? L'argent qui de son plus grand bien, nous en avons dérobé un peu pour en justifier ses Re devancés quand à la morale. Merci ! D'être ici, nous le prenons pour vous même comptant des envieux. Dieu, choisi mais occupé ce soir il a donné une raison illogique mais acceptable "je suis en vous tous, inutile de vous faire le coup de foudre à ma posologie" Le psychiatre des hautes soies, qui publia un article de notre cérémonie comme inceste refoulé d'un succès ritualisté à coup de flash RE COMMÉMORATIF, sadico-anal d'un œuf type cultivé. Un type normal d'être heureux. Pas si évident la simplicité.. Le surdoué, corrigeant la Nasa à 12 ans ou dans un univers parallèle juste genre normal mais avec un truc qui cloche. Son arrogance mérite bien quelques souffrance de notre part nous la plus incensée des sociétés de laquelle il ne peut s'échapper , il finira second ou dernier. (mais il l'a deviné, ennuyant.. ) Le prof qui va nous apprendre à tenir un public, ça ricane un peu de trop en effet. En coproduction avec la morale dans le silence des agneaux en voie de connaissance. Le président, parce que ça marche bien nos cérémonies quand il est d'entre nous. Jack, pour avoir dit au responsable "je te chope à la récré si tu te la fait trop smoginard, je vais te crever les pneus ( si tes chevilles gonflent, à te la péter. (ta tronche) Enfin, le gagnant est le lecteur, d'avoir regardé la réalité, comme ce qu'elle devrait être d'un surplus d'imagination. Je vous répond Red de suite, d'une diversion ou de ce que vous oubliez j'ai besoin de réfléchir un peu. De ma plus grande volonté de parler d'erreur aujourd hui.
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Réponse de R.E.D
Le 08/06/2017 é 08h01
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Corriger la Nasa n'est pas une chose compliqué en soi: Il suffit d'être nombreux à exploiter les connaissances des autres. C'est un peu comme installer des réverbères sur un chemin de randonnée parce que les ampoules existent et qu'il y a quelqu'un qui a fabriqué le fil. Reste juste la question de l'électricité... Suffira d'aller voir les pages jaunes pour en trouver.
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Réponse de The_monkey
Le 08/06/2017 é 17h47
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Le compliqué serait alors de se promener sur ce chemin mal éclairé plutôt qu'un autre, encore que le compliqué est d'un jugement de l'extérieur. Nous n'avons jamais rien fait de compliqué, nulle part sans essayer de comparer à ce que y a déjà était fait. Voyez toute notion se confond avec son opposée dès lors que l'on cherche à la comprendre dans l'absolue. Vous me parliez d'une cuillère, nous renversant d'images comme un miroir sphérique d'exister en tant qu'objet, ou de l'absurde au censé, de l'intérieur à l'extérieur, toujours cette façons de distinguer. Nous distinguons en se réfléchissant des autres. Si je répond à une de vos questions, lorsque je lui donne du sens je me projette dans vos représentations et soi je l'assimile à d'autres mémorisées ou je procède à des mutations orientées de jugement permanent et de sélection en imaginant des sujets (méditation) pour en piocher une qui est véridique. Or ce qui est véridique doit vous convaincre et ceux qui vous convainc est de cohérence ou d'argument d'autorité (pour la plupart du monde). Dans le cas de la cohérence vous estimez l'absence de contradiction et une réponse qui vous amène éventuellement à un développement sur d'autres chemins. Mais une simple complexification n'est pas parlante il vous faut une base pour qualifier d'un raisonnement et distinguer le vrai du faux et alors vous aboutissez dans la plus raisonnable des logiques impure (car à ce moment il y a un avant et un après) à ce qu'est la vie, de choses qui s'accroîent dans l'énergie, comme d'un aimant de muter, se nourrir, subsister, comme seule volonté. Après tout un ensemble de phases le virus devient un mammifère, d'une étape suivante avec le bien d'un équilibre de Nash et les autres comme base de toute notion. Et cet équilibre est à l'origine de société (stabilité ?) . Les rituels nous créent du mouvement pour pouvoir se distinguer les uns des autres pour les autres pour amplifier ce qui donne du poids à tout le monde tout en nous assurant de notre bonne localisation. Pour parler de soi il faut partir du nous dès lors que nous somme sociaux et que nous avons assimilé notre conscience sensible à "la vérité ". (grâce aux autres) Ce sensible que je répète ! des sens est traité par nos mécanismes de résultante de nos ancêtre par l'ADN et globalement mémoire du vécu choisi ancestral (l'origine à considérer est donc non notre naissance mais celle de la vie, à notre naissance nous avons déjà des millions d'années de vécu en raisonnant de ce "nous" ) et est donc aussi dépendant des autres. Nous sommes de fait une espèce de grande tache grossissant éternellement dans un univers. Une tumeur du corps de la nature réfléchissante. De se regarder se regarder..(manie du surdoué). Et cette possibilité est LE sensible. Ainsi voilait je pense toute la notion d'esthétique du sujet que d'être capable de voir "seul" cette nature ou plutôt dans un dialogue comme la plus profonde volonté du vivant de contempler dans un plus loin nous attirant de l'absurde, similaire à un grain de nature auto-hypnotisé.
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Réponse de R.E.D
Le 08/06/2017 é 19h52
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Et bien merci pour ces éclaircissements... J'ai désormais la preuve que vous n'êtes pas un robot culturel à déglutir une bouillie prémâchée... Et croyez moi, j'en suis très heureux! Dans la plupart des cas, les "organismes de synthèses" trouvent toujours la solution la mieux adaptée en terme de rentabilité en excluant le caractère confusément sensible de nos relations. C'est d'ailleurs la méthode que j'emploie fréquemment pour les reconnaitre d'un véritable produit naturel: Habituellement ils trouvent toujours un moyen d'essayer de faire rentrer n'importe quel propos dans une case d'un de leurs dictionnaires, accordant plus de valeur aux petits papiers qu'il n'en faut. Ceci étant dit j'aurais besoins de votre aide pertinente maintenant, noyé que je suis dans des apparences intelligentes. Pourriez vous, s'il vous plait, me faire part de vos réflexions sur le rapport entre la réalité et son titre? Sujet qui me préoccupe en ce moment... N'hésitez pas à digresser à coup de citation! Depuis que j'ai l'assurance d'un esprit critique à qui m'adresser, je les étudierais avec soin et en prendrais compte avec le recul nécessaire. D'autre part, pour reprendre un peu de votre précédent texte en y ajoutant quelques réflexions étayés par d'autre... (Il conviendra de dire maintenant que je suis sujet depuis trop longtemps à ces espèces d'intuitions et que la plupart du temps, je reste parfaitement surpris de les retrouver chez les autres. L'étude généralement (et sans fausse modestie ou autre perversités accusatrices) me sert simplement à confirmer d'une manière "classique" en n'ayant pas l'air de sortir n'importe quoi comme une lubie...) ... étayé par d'autres, que ce qui reste le plus saisissant est de constater que même sans rapport avec le moindre modèle, l'homo ce qu'on veut arrive toujours à trouver les ressources, par l'observation, pour claquer des pierres l'une contre l'autre et se couper avec avant de faire la même chose à l'autre histoire de se prouver qu'il est comme lui! Cette faculté qu'on pourrait dire innée chez l'homme habile se trouve contrebalancée en permanence par la notion de hiérarchie sociale. (Un peu court en raisonnement mais efficace puisque je sais que vous dilaterez le propos...) L'homme habile, la plupart du temps, enorgueilli de ce qu'il pense avoir acquit par lui même au travers de sa notion d'effort personnel... S'il n'est pas constamment remis en place par justement les deux extrêmes de sa vie: Les plus vieux et les plus jeunes... se contente d'imposer une réalité partagée par la majorité comme une simple évidence pour en faire une imbuvable potion d'imbécilité pour son voisin. Les mots d'ailleurs servent plus à cet usage qu'à véritablement communiquer du genre "passe moi le sel s'il te plait"... C'est quoi le sel? Le truc là. Ah pourquoi? Parce que ça manque de goût... à bon tu trouve? C'est quoi ton goût?... Bin j'aime bien quand c'est salé... Bon alors tu me le passe le sel? Voilà! (Cette version d'un dialogue idéal me satisfait puisqu'elle laisse à l'autre, la possibilité de mettre trop de sel ou de ne pas en mettre du tout ou de s'en fiche complétement!) Et puis parler encore de cette obsession d'un soi même qui semble caractériser les personnes intelligentes avec un exemple récent. Pause de cette après midi; Un "debunker" imbue s'essayait à commenter du haut de son point de vue quelques conférences sur la socio-économie. (Les quelques réflexions et les développements en étaient plus que pointues et demandait d'aller plus loin que la brève de comptoir.) Ne comprenant rien à l'argumentation étayer sur plan classique entre fiction du probable et réalités prévisibles, il s'essayait à trouver le maximum de contradiction dans les divers discours proposés en opposant la raison vraisemblable à celle invraisemblable d'une prospective fantastique. Au bout d'un certain moment, il fallu qu'il admette pour lui même qu'il n'avait pas trop suivi la teneur des débats et se contentait de relayer des "opinions" politiquement correctes et incorrectes qu'il avait entendu ailleurs... S'apercevant bien que son propre raisonnement ne tenait pas la route, mixer des incohérences pour se rendre intéressant lui valu de conclure par un: "En fin de compte c'est un point de vue comme un autre." à la suite d'une intervention, un qui se croyait certainement plus malin que les autres parce qu'il avait appris par cœur un nombre incroyable de définition, du genre à avoir une bonne note à l'école et pas de petites copines parce que trop chiant, se mit en devoir de faire une coupe réglée à l'intervenant chef qui parlait avec des mots de tout le monde en souhaitant compléter avec des théorèmes ce qui avait été volontairement démontrer comme un simple postulat. Moralité toute bête: il fut simplement remis à sa place par l'intervenant chef d'une réplique toujours agréable à entendre: "Mais ce que vous dites là Monsieur fait partie de nos connaissances et sera totalement dépassé le mois prochain; Encore plus dans dix ans..." S'en suivi une excellente réflexion sur la prospective passée et les échecs de la fiction du genre "2001" et la volonté d'éclairer rétroactivement le radar et le web à grand coup de 1984! En 1984, j'y étais, pour la comète de Haley aussi, l'éclipse totale, les tempètes... Le big bug... En 2012 aussi! D’où ma réflexion plus haut sur doit on croire ou non la fiction comme une valeur prospective dès lors qu'on ne souhaite pas la voir se mettre œuvre et tout se micmac du voyage temporel à deux vitesses et de la causalité et de tout le bazar. Étonnant non, cette possibilité que nous avons de vouloir tout comprendre lorsque ça rentre dans une grille de lecture qui nous flatte... Nous et notre superbe intelligence du dessus d'une moyenne d'on ne sait quoi!!! Cette manie que nous avons à notre époque d'en étaler sur la tartine plutôt que d'y aller avec le dos de la cuillère, fait que nous en tâchons le sol régulièrement, mais dignement! (humour?!) Mais j'en colle partout et il y aura bien un petit malin pour penser qu'avec une étiquette sur la salière ça simplifie tout! "Bin quoi c'est marquer dessus tu sais pas lire?" Désolé j'ai appris tard, je n'en voyais pas l'utilité! Sans rire, quelques réflexions sur le propos du titre de votre part serait les bienvenues... UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 10/06/2017 é 01h44
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Aujourd'hui il pleuvait, c'était l'autre j'espère n'avais pas de parapluie, je fus mouillé et du loin j'entendais une musique d'indiferentiables choses repetant "cela ne va pas". Alors je construisais un toit de ce que je trouvais autour, au calme d'un feu j'entendais toujours ces voix "ça ne va pas", dégustant alors à l'abri des torrents cette relation que j'aurais de ces cordes comme un phénomène que je n'ai jamais compris mais auquel je ne me ferai jamais. Je n'ai pas eu moins de joie de recevoir la lettre par laquelle vous me faites la faveur de me promettre votre amitié, que si elle me venait d'une maîtresse dont j'aurais passionnément désiré les bonnes grâces.  Descartes dans une lettre à Fermat. Plutôt comme d'un échange d'enchevetrements fonctionnels ? d'atteindre d'autre type de processus pour une espèce de sensibilité commune. Et je suis content, un temps que l'on puisse dialoguer sans les usuels parasites court circuitant l'incompréhension de la société pesante du dorsale, d'un mot de l'ïnoui l'intuition de fessée faussées pour ce que l'insupportable serait d'un meilleur à en oublier qu'aucune comparaison n'est absolue, ce simple fait de respirer même d'un animal domestique de son espèce en priorité, d'etre un certain soi, vous dites "re devenez vous même", je comprends surtout de s'efforcer de s'exprimer sans l'attente d'être déçu de ne pas se voir Comme on le fait de sa propre réflexion des autres. Une authenticité, de se mettre à nu, non que ce soit d'être incompris mais surtout d'être cadrer du dominant. Je vous démontrerai volontiers que ce qui domine est normal en général. Je suis heureux également que vous posez ces questions, si j'avais à redéfinir l'amitié j'en nommerai cette vision qu'à vous lire, vous exprimez ce qui vous pensez vous trouble. Cela n'a rien d'évident voyez juste sur ce forum, la lutte pour en arriver à ce style de discuter sans la société trop dorsal pesante d'une intelletigence mythique . Comme une grossesse, ils nous a fallu vomir puis se retenir de fumer, pour enfin accoucher d'un échange sans infirmière régulant le taux d'oxygène. Comme d'une volonté de plus s'y faire prendre..? Et dans cette optique je vais maintenant en partager une approche : Si nous nous voyons en tant qu'energie se rassemblant dans le vivant, alors la réalité est le cannibalisme comme ce que vous avez décrit Red, d'un coup d'œil à visé normalement attractive de l'orateur faisant les écouteurs se perdre ou s'êntre mêler, d'un individu accédant la polymorphe dette en profite de se localiser. Même de vous une impasse, c'est une valeur societale que de se complexifier de l'intrigue. Relisez ce premier paragraphe, pour s'attaquer à la réalité, il nous faut considérer les autre comme plus qu'un ou deux phénomènes extérieurs. Zoom out. Au delà de ce que vous avez pu en réussite de nauséabond. Voyez, ce qui pousse l'un à parler, les autres a l'écouter, de rituel simplement. D'un grain de sable comme de tomber sur la tour, il se fit du haut du château, le donjon qu 'il se construisant convaincu de convaincre il devenait aux yeux tous une conviction, déterminée.. L 'indéterminée à sa valeur d' être plus qu'un sujet, Je reviens tout de suite vous en dire mon avis sur la réalité, j'ai un tunnel à creuser d'une bougie lointaine et devrait m'apparaître si ce n'est de ne pas pouvoir vous éclairer plus que par des interogations aujourd hui.
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Réponse de The_monkey
Le 10/06/2017 é 05h26
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Et le sensible ? Regarde autour de toi, n'es tu pas là ? Je creuse dans cette voie, comme si, "je" existe pour voir cet univers en parallèle d'être de nous. D'oublier comme un idiot, j'ai oublié de sentir le temps passer, Parce que ce "passer" dans l'acte est aussi une confusion commune, À bientôt, je vais faire un tour d'un cycle de semaine. En souhaitant d'approfondir plus "tard"
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Réponse de The_monkey
Le 10/06/2017 é 21h40
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J'ai 23 secondes pour vous Harry, le magicien qui s'introduit dans la réalité des autres pour faire disparaître la compréhension du rayonnement du corps noir dans l'objectif d'y glisser "l'inspiration littéraire" en voilà une foutaise, l'inspie. Si on en croit l'as de pi, cela ne reviendrait qu'à rencontrer par hasard le bon trousseau de clés de ce qu'on veut se faire comprendre de fiction. Donnes un coup de jus dans le circuit chef, au début ce sera le bazart dans ton régimen mais relaté de ce que tu t'es embobiné, puis en glissant sur les fréquences dissonantes, tu découvrira le jaune en cuisant un œuf plutôt qu'en se cassant la tête tout le temps sur les décennies et les années du lion. Transition pour en venir à la réalité, ces mutations d'images, si je les exprime sans les rafistoler, je pourrais en sortir de ces liens qui tiennent la route pour survenir chez certains. J'ai relu votre question, j'ai relu ma réponse et j'en fais émerger une synthèse avec un code plus figé.. Voici qui explique pourquoi on peut se lire comme un étranger. Ma réalité a été altérée la deuxième fois sur vos représentations (une troisième fois et j'y verrai une métaphore que vous n'avez pas remarqué), elle consiste en un ensemble d'images auquelles j'attribu de la vérité. Comment se synchroniser avec une réalité que l'on peut partager ? On en revient à ce cannibalisme (d'espace). Nous préférons certaines images, ensemble, car elles sont adaptées à l'univers, l'extérieur et nous surmontons de cette manière le vent qui nous confondrait de tous et de tout. (le mal) Si maintenant nous nous isolons des autres et que l'on fait décarpir cette synchronisation (Robeau ? ) , notre sélection ne s'opère plus qu'à nous même et nous dialoguons avec l'univers en continuant de muter les images. Si maintenant on se supprime les bases et on se laisse aller à un mélange naturel sans force on atteind la liberté presque totale, mais on risque de s'inadapter (plus de paravent), alors le soin consister à se souvenir des bases des autres et se restaurer les "bons" outils paramilitaires de sélection d'images, les curseurs. Mais rien ne nous empêche de fonctionner sur les deux modes, en alternant, en gardant les bons curseurs dans la boîte à gants avant d'aller accomplir son devoir d'être humain. Cependant, lorsqu'on écoute une musique on peut en apprécier ses harmoniques, il y a d'intégré chez chacun un détecteur de vibration universelle qui sont indépendantes des autres et privilégiées dans notre sélection, de cette manière même dans l'absurde nous trouvons toujours tant qu'on l'apprécie des parcels de sons que toute l'espèce peut ressentir presque identiquement (sensible) comme positif. (bien naturellement) Quand à la hiérarchie sociale, je pense qu'elle est surtout de ce que l'on accepte d'être prisonnier dans un labyrinth holograpgique de croire qu'il existe un gyroscope qui tient mieux en équilibre sur une surface de Dyck. Je n'arriverai pas à la démonter pour tous ceux qui croient que deux éléments intriqués sont distincts mais j'ai une vague idée de ce qui à laissé passer sa définition dans le dico d'une sucess story. (je vous laisse parachever si cela vous tente) Un qui est clair, des fois que nos fictions auraient du flair. S'en retournant faire du bac à sable un sablier.
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Réponse de R.E.D
Le 13/06/2017 é 09h29
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Voyez vous ,il y a une grande confusion du sens à notre époque et entre autre sur cette notion de "dominance". L'organisation sociale est faite de responsabilité de soi même et d'autrui tout autant que de l'ensemble de relation d'un soi avec les autres. Généralement il est d'usage de laisser la responsabilité d'un groupe aux individus qui sont capables de gérer d'autres intérêts que les leurs. Une vision donc élargie semble être nécessaire tout autant que l'envie d'un bien commun qui pourrait relever simplement d'une force d'empathie avant même d'envisager" l'altruisme". ça c'est ce qu'on appelle le sens général de la responsabilité d'un "chef" ou d'une "chefferie". L'organisation sociale se doit d'être régler avant tout sur une sorte de foi en l'intégrité de celui qui dirige et à qui on a donner le pouvoir de le faire: En quelque sorte ce qu'on appelle un mandat impératif qui oblige le responsable à tenir ses engagements et parfois pour une simple question d'honneur. "Dominer" donc, n'a rien à voir avec la notion de réussite sociale... Qui nous donnera immanquablement une "méritocratie"... toujours cette notion de critères d'une réussite façon eudémonisme: "L'eudémonisme se fonde sur une confiance générale en l'homme qui reste la clé irremplaçable de l'humanisme. La doctrine se concentre sur cette seule chance d'épanouissement que constitue la vie terrestre et c'est par conséquent à la réussite de cette vie, au bonheur immédiat ou rationalisé sur un temps long, tant au sien qu'à celui d'autrui, qu'elle consacre logiquement l'essentiel de son effort." Dominer... C'est en quelque sorte une clause naturelle de "non sélection" dans la mesure ou la responsabilité oblige à maintenir un "ordre" apte à subvenir aux besoins de chacun dans un consensus commun d'entretien de la vie du groupe. Je sais, revenir encore une fois sur les bases peut paraitre ennuyeux mais pour sortir de cet "imbroglio" "idéologique" nous ayant fait passer l'histoire de dominance comme une clause d'élimination du "gênant", du "nuisible"... Bref physiocratique. Ce qui nous renvoie sur le "physicalisme" après avoir fait le tour du "matérialisme"... « Non seulement l'esprit n'est plus un produit de la matière, mais on ne peut même plus formuler de manière sensée les expressions "esprit" ou "processus spirituel" ni parler d'esprit ; à leur place entrent, sur un plan fondamental, des formulations dans lesquelles entrent uniquement des relations spatio-temporelles … La question "esprit" ou "matière" est résolue par la disparition de la doctrine de l'esprit ; seule reste la doctrine de la "matière", à savoir la physique. Ce qui est donné comme science du réel ne saurait être autre chose que la physique. » Le planplan d'un monde physique dans lequel ce qu'on considère comme les lois (sans même s'être pencher plus avant sur la notion même de législation) nous amène à considérer l'ensemble du "vivant" selon les connaissances "actualisées" en permanence des "découvertes" de nouvelles formules. On relèvera l'effet pervers dans l'application durant tout le vingtième siècle de ce "scientifisme" obtus! Décapiter pour pouvoir étudier l'intérieur d'un cerveau, et ou se situe la bosse des math, celle de la vertu ...Etc. Puis choisir qui se trouve être potentiellement "utile" selon des critères "économiques" sans s'être poser la question de "l'utilitarisme" qui se borne juste à définir un acte en fonction de ses conséquences: " dans des circonstances différentes, un même acte peut être moral ou immoral selon que ses conséquences sont bonnes ou mauvaises." Tout ce sac de nœud envoya un nombre impressionnant de personnes qui ,dans une autre conception du social aurait été parfaitement intégrés pour leurs singularités démontrant toute la diversité même des manifestations du vivant. Qui peut en effet oser déterminer, sur la raison simple la valeur de ce qui le dépasse? En toute modestie, il faudra reconnaitre que la "sélection" de la manière dont nous en parlons, n'est rien d'autre qu'une affaire d'imbéciles prétentieux appliquant au pied de la lettre une physiocratie matérialiste et qui plus est mercantile (dans le sens de la définition et non de son usage courant actuel). L'explication "hiérarchique" d'une société pensée comme pyramidale est une invention d'à peine 200 ans; Dans la mesure ou avant, celle ci était une émanation de ce qu'on appelait un ordre naturel. Il était évident alors pour tout le monde qu'il fallait de tout pour faire un monde et que la diversité était un principe "Divin" ( dans le sens un "ordre", un "état de fait", une "observation" immuable.) L'idée même de sortir l'espèce humaine de ce "naturel" parce qu'il était "imparfait" ou placer comme tel sous entendait des "critères" d'imperfection. Ainsi, lorsqu'on ne fait plus la différence entre la conception d'un "carré parfait" et sa vocation à nous faire réfléchir sur la nature même de notre réflexion, on en fini à redresser les arbres parce qu'ils ne collent pas avec l'idée du fil à plomb! Dans cette conception la hiérarchie s'impose chez celui qui possède le fil à plomb et qui donc est en mesure de redresser ce qui n'est pas droit. (s'il vous plait pas d'allégorie complotiste à cause du fil à plomb! Il suffit de le lâcher pour qu'il redevienne un simple bout souple, ou la corde d'un cerf volant)... Sortir "l'humain" de l'homme pour en faire le responsable d'un univers dans lequel il vie, c'est faire du géocentrisme primaire! En quelque sorte: Accorder au caillou une absence d'âme pour la raison qu'il ne manifeste pas d'autre volonté qu'être dans un mouvement général! Un peu confus mais en pleine action , pas le temps d'étayer un peu plus sur les paradoxes fins que soulève la question! UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 14/06/2017 é 00h54
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Personne ne veut monter dans la grue, bancale à se la jouer médaillon pour tuer le temps. Le chef a dit qu'il fallait que quelqu'un si colle, il est dans notre intérêt de nettoyer cette vitre avant que d'autre coléoptères s'y prennent.. Ils voulaient faire bien, mais la rue, mal barrée, un ballon dirigeur la cognait qui tombait sur la vitre en question. Quel est l'intérêt ? Pourquoi le dirigeant se mêlent des intérêts qui ne sont pas les siens ? (il y a rien de mal à être intéressé ! ) développez nous donc cette notion d'intérêt, je pense que le point sensible de votre démonstration s'y trouve. Ce bien commun est irresponsablement idéaliste. (panneau triangle parfait pour la misanthropie) En tout cas, de la pratique, n'est-il pas de flingue sur la nuque que la montre religieuse y va de son plein grès pour le savoureux de congénères. Ce qui téléguide ondule dans notre mouvement. Notre mouvement adule les contraintes. Toute contraintes est poésie en puissance. Pardon, les bases ennuyantes, histoire d'endiguer une fois pour toute le flegme de la raison pour ce que TROP la considère propre tant qu'elle est vétuste du moine. Il faut réussir son existence, d'être soi-même ! Postulat-il. De la plus grande jouissance de ne pas être trop marqué du cartographique, de bienveillance à désastre à décompter de croire que l'attendu ne se jouait pas de plusieurs coups d'avance . Et que les bonne conséquences s'avéraient venimeuses. La réalité est ce qui surprend disait un de ces américains "intelligent". Au point que cette surprise, pourrait presque palier l'expectative. Soyons modeste, vraiment d'accepté d'être fini, continuait-il d'un premier son grave. Nous n'avons pas d'âme de même que cela vous agacerait d'être comme un cailloux ? Mais voyez vous, je me confond de vous comme d'un arbre ou d'une limace, car ces entités au contraires du rocher d'elles même résistent aux fluctuations d'un dehors que je peux entendre (la vie). Si je prend ta caillasse et la jette sur la vitre de ta bagnole, elle se laisserait d'un millier de morceaux à l'écarlate. Mais si j'attrape un piranha, qu'adviendra-t-il de mon index aux références du lancé lointain à 45 degrés optimal, alors je m'identifierai en tant qu'être vivant dans cette résistance d'être séparé de soi même. (empathie, pour espèces modernes) La physique n'est pas à dissocier de notre appréhension, à la recherche de nouvelles équations, l'étoile à fait son défilé et en attendant la prochaine nous donnons du sens.. Si tout était sans compréhension auriez vous une parcelle d'émotions de vous chatouiller de différents langages même très vite ! N'est ce pas là des plus grandes joies, que de savoir que tout est brouillon jusqu'à aujourd'hui, c'est idiot de vouloir être plus savant que ceux de demain, de même que se croire savant de ceux d'hier. Nous continuons notre route invincibles, et même les morts raisonnent dans le tic de langage ou l'idée d'un original dont on ne souvient même plus du nom. Il n'y a rien de plus idiot que de vouloir organiser son bonheur, car le plaisir est de soulever la barrière des trains l'entendant mais le voyant loin, non d'alimenter toute sorte de boucles de satisfaction de l'esprit comme ci celui était possible à contracter d'être imprégné d'un environnement préféré. Et oui l'esprit contre la matière, de se voir de l'extérieur Comme un rien, les théories nous prédisent deux pas sur trois. Être humble est alors de se refuser d'avoir une âme comme inconsistant du grain de rire à se renifler. Mais dans le cas où l'on se voit en soi et toutes les perceptions SENSIBLES nous y donnons du sens que d'être une conscience qui se veut l'être, alors il n'y a que les autres qui meurent ! (pas si difficile à atteindre l'immortalité logiquement) Enfin, la physique, comme la chimie ou l'ingénieurie, toutes reposent sur notre conception de l'univers qui semble-t-il blude la doctrine expérimentaliste. (l'inderterminée, j'insiste à sa valeur au rayon X) Ainsi la physique est jointe de ce que l'on nomme réalité maintenant dans ses fondements secoués. La science est humaine. Pas de harcèlement de la faire mère de l'homme sans tête hantant l'ignominie du savoir qui hésite entre interjeter chiotte ou chouette (eudémonisme global) La sélection.. Voyez cette morale très encrée en vous, cette responsabilité que vous tenez difficilement d'une moyenne de masquerades de plus volatiles moralement, cela fait de vous des plus adaptés. Parce que ce qui domine est ce que la plupart considèrent bien. Voilà de quoi vous donner un peu de fil à retordre. L' anémie qui vous veut du lien.
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Réponse de R.E.D
Le 14/06/2017 é 08h45
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"D'ailleurs c'est toujours les autres qui meurent." Mais que vient donc faire ce bon Marcel sinon offrir son parfum de voilette? Séparons voulez vous et je répondrais sans polémique juste histoire d'échanger quelques réflexions "bis cornues" pour être sur un mur sec, sec, sec... 1) Ce que vous évoquez ici est la conclusion d'un acte n'ayant pas été motivé. Un acte absurde découlant soit d'une société inondée de complexité et incapable de transmettre à ses exécutants une raison suffisamment "simpliste" et compréhensible pour maintenir la cohérence des tâches qu'elle demande à ses membres. Deux motivations sont suffisantes pour obtenir l'obéissance consentante: Le registre de la croyance en quelque chose d'au delà de soi et l'intérêt à court terme. 2) Le bien commun est il idéaliste? "il n'y a de plaisir pour l'homme qu'à boire manger, dormir et profiter du travail de ses mains" disait un ancien parfaitement désabusé. Le bien commun est une chose simple et parfaitement concrète qui n'a rien à voir avec l'idéalisme. c'est seulement lorsque "l'esprit" se trouve libéré des questions du "ventre" qu'il peut se préoccuper de l'idée. Dans la plupart des cas, pour la plupart des gens d'ici, la préoccupation principale est de garantir la multiplicité du choix et son intention et non de simplement vivre à la limite de la survie. Déjà se borner à satisfaire les besoins vitaux et ensuite, on verra ensuite. 3) La confusion fréquente entre imbécilité de la croyance et supériorité de la raison. Changement de niveau du solipsisme "ego sum". Les interrogations d'Alice dans le terrier. je reste partisan du fait que tout est croyance dès que nous dépassons le stade la survie (ou du moins lorsque les besoins de base, qui entretiennent la vie pour elle même, dans son caractère organique, comprenant la reproduction dans ce qu'elle a de plus brut et d'instinctif...) sont affaire de cultures, de mœurs, de coutumes. En gros, une affaire d'intérêt partagée du genre séparation "sexisme" afin de limiter les naissances dans un territoire donné. Le cas se présente assez souvent et est en soi assez bête pour être présenté en tant qu'étude de fond des relations humaines. Dés que nous dépassons cette réalité, nous arrivons dans le monde de la "spéculation" intellectuel sur la lecture des "intentions" de l'acte et non de la mesure de celui ci. ( Ce petit paragraphe outre le fait de n'être pas politiquement correct est un sujet en soi qui vaudra la peine d'être redéveloppé... Non?) 4) Réussir d'être soi même... Excellente formulation! Réussir demande de déterminer au moins une direction pour aller quelque part. Du fameux point A au point b... Quand à soi même? Ne sommes nous pas nous même et comment pourrait on être autre chose? Tiens je me la fait préchiprécha en cette période de solstice... Le doute insinué du genre "Mais êtes vous sûr que...?" Le doigt pointé sur la différence dans le sens ou celle ci vient de l'examen d'un trait partagé qu'on voudrait faire commun et hop au poteau chez Mao! C'est ma faute et mon autocritique vaudra bien celle des autres, pourvu qu'elle m'apporta ma pitance! Non? 5) toujours chez vous ce gnosticisme de fond qui cherche à opposer la dichotomie corps/esprit soit en faisant monter le corps plus haut qu'il ne se pense soit en faisant descendre l'esprit plus bas qu'il n'est. ce dialogue de sourd entre l'acte et la pensée! Je reviendrais ici sur le "cru et le cuit" en base d'approfondissement. 6) Le discourt de la "méthode" met un terme à la "spéculation" de son temps cherchant à établir par l'examen des faits qu'une théorie est valide. En somme, l'idéologie devant se trouver justifier quitte à faussé le réel et le corriger... Descartes termine véritablement son "œuvre" introspective avec les méditations métaphysiques... 7) L'idéologie en valeur d'utopie reste fondamental chez nous autres mais lorsqu'elle s'articule au delà de la raison simple pour s'en aller construire des dogmes, des vérités imposées, le devoir de l'intelligence est d'en relever les déviances: Le devoir de "doute" passe par l'observation et l'expérimentation et non pas l'exercice de distordre la réalité pour qu'elle ressemble à ce que nous "pensons" ou percevons du monde. 8) La sélection qui vous tient encore une fois à cœur... Oserais je vous demandé s'il s'agit ici d'un complexe recensé ou d'une spéculation basé sur une expérience personnelle? Il est une réalité claire c'est qu'on ne peut parler de tout avec tout le monde. La raison en est simple: "Notre inconstance à pouvoir passer outre les contingences organiques." 9) Je reviendrais plus tard vers vous... Pour le moment quelques constructions appliqués me prennent l'essentiel de mon temps... Et non de D... Sortez de votre dualisme primaire et lâchez l'application des "vérités" du genre: "si vous savez faire cuire les nouilles, pourquoi collent elles entres elle une fois sur deux?" Je vous laisse ici sur l'examen de la colle au pâte.
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Réponse de R.E.D
Le 14/06/2017 é 12h51
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Et merdre père Ubu! à relire tout ceci, je m'aperçois que j'écris comme vous! Selon vous pour ce faire la peau sur un morceau de bois quel est l'astuce... Sinon la flotte? La lune est elle en os dés qu'on la regarde comme un fossile? Faut il forcément que le plomb soit en bas? Un "sentiment" doit il être pathologique pour paraitre véritable? Qu'est ce que la non couleur sinon l'état imperceptible de la variation multiple? Et tant d'autres choses qui me tracasse dont tout le monde se fiche entre une feuille d'impôt et une ardoise au cul!!! Bien à vous, UAQVVDB
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Réponse de The_monkey
Le 16/06/2017 é 04h38
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Bouges rouge, touches coulant de mots, amusez vous ! Disait-il. Verra bien qui écrira le dernier. Assez, assez d'allegories, même si votre message d'allégresse me parle beaucoup plus ! J'aime les images bien plus que les analyses, les énigmes plus que les solutions, je suis d'une espèce qui nage haut que dans l'accélération quand à un repère (les autres me donne l'unité je leur répond de la mesure, voilà un bonheur d'accomplissement d'être sociable) . Vous n'écrivez pas comme moi, je vous ai emprunté de miroirs, dois-je avouer que je n'avais jamais rencontrer de tels bavardages, vous m'avez offert une équation, à mon échelle cela vaut bien un relativisme ! Dans l'absolue, ce qui est des autres, qu'elle en est le lien véritable de l'appliquer à soi ? Nous souffrons, alors nous nous adaptons, d'être scientifique plus qu'illuminé. Pourquoi ? Parce que même dans le sollipsisme, le mirage peut nous nuire, on met l'autiste dans l'eau froide pour qu'il se sente d'entre nous. On dira que cela le calme ou le soigne. La société opére de cette façon, pour tous à moindre degré. Vous voulez une anti-sèche ? Je l'ai découvert récemment grâce à des perturbations exeptionelles auxquelles je réagis exeptionnelement (normal quoi), que lorsque l'on se met à douter des autres nous ne sommes plus qu'à soi même pour y répondre, et d'une douleur infinie on en attrape un peu de volonté d'en sortir. Voilà une source inépuisable d'énergie. D'un accès métaphysique, je n'ai qu'à y faire un pas avant que l'existence perde de toute valeur, alors stressé je me sens de force à échanger. Alors que plus jeune, j'étais convaincu que mes théories au mieux je ne saurai pas m'y adapter douillant du douillet de < l'abserbe attitude >. Je suis assez d'accord sur votre description, de l'état de survie à autre chose pour de la fantaisie. Non en faits ! je ne suis pas d'accord car la seconde conditionne la première, en vrai. Il faut presque se faire de la fantaisie des autres pour survivre !! Car il n'y pas de règle posée maochiste, la société altére les réalités pour que l'on s'y joigne. Sans adaptation à un environment autant dire que seul les autres y trépassent au carré de trois même d'une numétotation peu d'une remise à une certain place indéfinissable. Allé vas y société, tires moi par les jambes histoire que ma tête se prenne d'un bien commun sur le rebord pointu de la bet*** généralisée. Je vais venir mais demain si tu ne pas convaincu que j'aimerai être ton disciple, je ferai d'un morbier la bonne discipline. Je reviens tout de suite dual.
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