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J'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ? - Page 28

Question anonyme le 13/02/2011 à 15h42
Dernière réponse le 16/03/2024 à 06h00
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J'ai un qi de 160 et j'aimerais savoir qui suis je ,que puis je en conclure concrètement ?
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1028 réponses pour « 
j'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ?
 »
Réponse de The_monkey
Le 16/06/2017 é 17h29
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1. La société est constituée d'homme et ne devrait pas par le simplisme être une machine à exécution. (uniforme) La complexité est partout mais dans ce sens (entropie encore) on aboutit à des équilibres, je suis, en lien, en train de lire "the animate and the inanimate" (libre) ce qui fera atteindre la dizaine au rayon polygonale. L'obéissance consentante, j'ajouterai le bien. 2. Que dire de la grève de la faim pour le bien commun ? Et si il faut se faire au bien commun pour pouvoir subvenir aux besoins de la carapace ? Ce que je remettais en question était cette "volonté de bien commun" n'y voyez vous pas comme une coloration de territoire ? Et je doute que la moyenne transparence de respecter l'ordre du damier dans la responsabilité. 3. Toujours du principe qu'on satisfait le corps puis ayant rien d'autre à faire, on se met à se créer des mythes. a partir du moment où l'on nait en société, l'ordre inverse s'impose sauf dans un éventuel exile (à méditer, ou à apronfondir) 4. Oui. (pour nuancer temporairement une opposition de concepts distingués) 5. Et le sel ressemble tellement au sucre, cette dualité "intérieur/exterieur" se veut intrinsèque à la conscience. Comment associer les deux entre ce qu'on se théorise et le sensible ? L'un est purement adaptif, l'autre durement captif. 7. L'expérimentation même distord la réalité, critique de la raison sure. Le doute est, à mon goût, dans mon palais, ce qui transforme la réalité. Elle nous est figée dans la conviction, plus simple alors à propager. 8. Le problème de tout ce qui relève de l'évolutionisme est que quand la théorie a paru dans les journaux, il y en a plein qui nous on inventé des infusions mortelles. Au point que maintenant on peut presque dire "Darwin c'est mal". Ou pas orthodoxe alors que lui même croyait en Dieu. Absurde ? mais on ne peut pas discuter de tout ? Quand j'emploie le vocabulaire y étant relié, mettez de côté ce thé là, je parle de cosmogonie qui comme la solution d'une énigme, j'attends à ce qu'elle se révèle partout où il y a de la vie. 9. Un peu d'huile dans les pattes et on se colle par terre. La moitié comme rendement n'est ni bon ni mauvais. 23 chromosomes bis sauf le "why ?" , et la construction revient à muter l'environnement de nos lois internes. À l'écriture de partitions sur les objects ! Pas pour se tourner autour du doigt ce glock d'une réponse au millimètre, mais ne nous perdons pas trop vite dans nos ombres. Retournant bûcher sans révolverT.
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Réponse de The_monkey
Le 16/06/2017 é 17h38
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1. La société est constituée d'hommes et ne devrait pas, par le simplisme, être une machine à exécution. (uniforme) La complexité est partout mais dans ce sens (entropie encore) on aboutit à des équilibres, je suis, en lien, en train de lire "the animate and the inanimate" (libre) ce qui fera atteindre la dizaine au rayon polygonale. L'obéissance consentante, j'ajouterais le bien. 2. Que dire de la grève de la faim pour le bien commun ? Et si il faut se faire au bien commun pour pouvoir subvenir aux besoins de la carapace ? Ce que je remettais en question était cette "volonté de bien commun" n'y voyez vous pas comme une coloration de territoire ? Et je doute que la moyenne transparaît de respecter l'ordre du damier dans la responsabilité. 3. Toujours du principe qu'on satisfait le corps puis ayant rien d'autre à faire, on se met à se créer des mythes. À partir du moment où l'on nait en société, l'ordre inverse s'impose sauf dans un éventuel exile dans le désert gelé ou la forêt incendiée (à méditer, ou à apronfondir) 4. Oui. (pour nuancer temporairement une opposition de concepts distingués) 5. Et le sel ressemble tellement au sucre, cette dualité "intérieur/exterieur" se veut intrinsèque à la conscience. Comment associer les deux entre ce qu'on se théorise et le sensible ? L'un est purement adaptif, l'autre durement captif. 7. L'expérimentation même distord la réalité, critique de la raison sûre. Le doute est, à mon goût, dans mon palais, ce qui transforme la réalité. Elle nous est figée dans la conviction, plus simple alors à propager. 8. Le problème de tout ce qui relève de l'évolutionisme est que quand la théorie a paru dans les journaux, il y en a plein qui nous on inventé des infusions mortelles. Au point que maintenant on peut presque dire, c'est pas orthodoxe alors que lui même croyait en Dieu. Absurde ? mais on ne peut pas discuter de tout ? Quand j'emploie le vocabulaire y étant relié, mettez de côté ce thé là, je parle de cosmogonie qui comme la solution d'une énigme, j'attends à ce qu'elle se révèle partout où il y a de la vie. 9. Un peu d'huile dans les pâtes et on se colle par terre. La moitié comme rendement n'est ni bon ni mauvais. 23 chromosomes bis sauf le "why ?" , et la construction revient à muter l'environnement de nos lois internes. À l'écriture de partitions sur les objects ! Pas pour se tourner autour du doigt ce glock d'une réponse au millimètre, mais ne nous perdons pas trop vite dans nos ombres. Retournant bûcher sans révolverT.
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Réponse de The_monkey
Le 16/06/2017 é 17h49
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Je vois double ? Ôtez moi ce premier que je ne saurais voir ! Pardon, pour le doublon.
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Réponse anonyme
Le 23/06/2017 é 20h58
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QI est mal appelé, il devrait être qualifié de QCI quotient de complexité intellectuel. L'approche des QI élevés est différente des gens normaux. Il faut aussi savoir que les haut QCI sont aussi des personne au quotient émotionnel exacerbé. Il n'y a rien de génial à avoir un QI élevé car il est dans la très grande majorité inexploité ou mal exploité. C'est une approche qui doit être différente car les haut QCI ont tout en tête en permanence les filtres qui permettent aux gens normaux de ne pas prêter attention aux infos "inutiles", les points de détails, sont déficients ou inexistants. Les hauts QCI sont simplement des personnes handicapées car la grande majorité de ces personnes se sentent seules mal adaptées à leur environnement et incapable de se concentrer sur des sujets qui ne leur plait pas. Donc vos délires haut QI ça donne quoi? simplement de la souffrance dans la majorité des cas.
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Réponse de The_monkey
Le 24/06/2017 é 08h19
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Que le monsieur, S'en allant piocher du durement plié, Nous envoya les cigles.. Et il faut deux signes pour faire un cœur, on a deux mains d'ailleurs. De ce qui l'etandar aurait dû moins de sa légitimité, cacher d'un soi mal autrui. D'être exploité comme manquement à l'adaptation.. ? D'une preuve du don plus que ce que prouvait serait d'être dompté, Vas y, sors moi ton QCI, après tout les QCM me vont mieux, il n'y a pas a dessiner des mots parlant d'un soi comme moteur d'échanger non de sanctionner du correct. Il vous manquait une case, celle de l'autre de choix multiples aux variables de l'avarié en préliminaire, Dans la lignée, au coït de l'utile, là d'espérance, du trou où s'evicsérer ? Attends je vais te la faire en argot : le delire c'est que tu te ramènes avec une rondelette freudienne du genre l'intelligence c'est la complexité unique, je vais vous dire, la simple vu comme résumé d'équilibre complexe se discretise exceptionnellement comme, par la complexité d'y accéder comme un étage compréhensible devinant les étapes intermédiaires sans les y contrôler, d'ondelette aux equations Travaillées maintenant dans la plus sérieuse des recherches et ta guibole, chez les surdoués, que tu te tringle la vérité à nous faire pochoir d'une souffrance "srab" mitonnée, Vas y le swag de donner le premier coup avec un public subvertif t'ennuyant dans le surway, ou le swat d'être allé trop loin dans la populaire pathologisation de l'indifférence à la différence, vas te Raspacoutouiller ton erasme, d'abjectif, fellationiste d'une fantasmagorique branlette sans retour affectif du con ci joint Un délirant inexploit
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Réponse de The_monkey
Le 24/06/2017 é 22h12
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"Vivre c'est souffrir, survivre c'est donner du sens à la souffrance. " La souffrance ne se filtre pas, elle est gardienne de la vie et puissance à ne pas crouler sous la disparition de soi. Puis se nomme respectable, de ne pas être la plus enviée et suggérant un alpinisme, exeptionelement un saignement. Génératrice de volonté, la douleur est l'alarme d'une contre-force appelée aux ordres de soi. Mais prenez garde ! L'eudémonisme est au plaisir ce que le masochisme est à la souffrance. L'utilité de l'information valorise la performance.. En effet, le détail ralenti les procédures, proscrit dans l'objectif, il faut être à sa poursuite dans la fantaisie, ok l'artiste ? Les surdoués sont dépourvus de filtres.. Crapule d'idolatrie ! Le café va être corsé le jour où vous découvrirez qu'à chacun son papier. La filtration étanche engendre une inondation de la conscience. L'absence de filtration est la voie royales des virus de la classe H5Q1 et PI-6. Voilà pour vous, l'exabserbé. Quand au génie, mettez sous votre oreiller la dent que la société vous a décochée et demain au premier rayon d'UV vous découvrirez dans les détails presque aléatoires de la mousse de votre chocolat bouillant la plus impressionnante des inventions pour faire de vous un humain accompli dans toute sa mesure, alors potentiellement capable de tracer un cercle autour de vous-même.
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Réponse de R.E.D
Le 25/06/2017 é 10h36
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Petite réponse à anonyme: Pourquoi souhaitez vous parler de souffrance ici? L'analyse que vous faite sur l'absence de filtre se retrouve aussi chez bon nombre d'autres "profils" types". à croire que ce blinder est la seule solution pour pouvoir vivre dans ce que vous considérer comme l'individualisme. le critère du "point de détail" est encore paradoxalement à affiner pour des raisons de classement d'ordre. Un nombre incroyable de personnes de nos jours souffrent d'une overdose intellectualiste entretenue par cette absurde raison d'être de l'intelligence. Trouver une raisons cohérente à tout pour penser exister ne suffit certainement pas pour remplir une vie, non? Qu'est ce qui vous fait penser qu'il existe même un délire? Sinon son contraire! Personnellement, et encore hier, j'ai rencontrer plusieurs personnes qui cherchaient des réponses parce qu'ils pensaient qu'il était vitale d'en trouver. Ils se grattaient donc le front de l'intérieur parfaitement vide en souhaitant y trouver une cohérence. N'ayant aucune explication à donner pour différencier le ceci d'un cela, d’ici d'un ailleurs, étant entre le haut et le bas, ils tournaient trés bien en rond sans avoir la moindre idée d'être quelque part. Et pourtant je puis vous assurer qu'aucun d'eux ne brillaient par la pertinence d'une intelligence exceptionnelle, sinon celle de vouloir y croire! Mais le domaine de la croyance fut il me semble aborder plus avant. Il y aurait donc deux cas? Le premier d'une restriction volontaire de ce qu'on appellerait les fonctions intelligentes pensant que l'intelligence" cognitive est en quelque sorte nocive à une intégration sociale (thèse assez intéressante vu qu'en générale parler pour ne rien dire est une occupation courante depuis que nous vivons dans l'ère de la "communication"...)... Bien sûr à développer... Le second cas serait celui d'assumer l'ensemble des questionnements quitte à ce que ceux ci remettent en cause la moindre certitude "acquise". Quitte aussi à "désintégrer" une fois pour toute les bases d'un ça moi je et hyperboles conscientes sur moi et autres probabilités. Pour autant j'adhère à ce fameux QCI dont vous parler pour évoquer la notion même d'intelligence. Cette faculté que nous avons tous à créer des liens et quel qu'en soit la forme et la fonction entre les "informations".... Vous êtes vous jamais posé la question de savoir ou du moins d'envisager la différence entre une surface et un tissage? Cette question qui peut paraitre incohérente et hors propos est pourtant fondamentale dans le "cas" qui nous occupe ici: à savoir une surface est elle forcément organiser par la fibre qui la compose? Peut on déterminer la qualité d'une surface par l'organisation de cette fibre? Et juste comme ça pour illustrer cette "idée" du lien possible entre tout et rien jusqu'à l'infini et sans restriction volontaire: Connaissez vous l'origine du "KAUNAKES"? sorte de "tissus" apparu en "Mésopotamie" servant de vêtement entre le paréo et la jupe, imitant parfaitement une peau de chèvre. Il fut "inventé" irrationnellement pour la raison qu'il n'avait absolument aucune utilité "pratique" lorsque les premières "cités" furent mises en oeuvre. Ses anciens peuples nomades tenaient trop au lait pour "sacrifier" leurs animaux et il aurait été trop complexe d'entretenir le doublon pâturage et agriculture. Ceci je pense pourrait trés bien servir de métaphore pour trouver une "explication" au développement de la complexité de ce que nous appelons (ou du moins vous) l'intelligence des QCI! Cette étoffe particulière devint durant des millénaires l'image du renoncement à la richesse matérielle, puis en glissement l'image même d'un retour au nomadisme dans sa notion de pureté des origines... Et pourtant la complexité de sa réalisation (probablement la première étoffe bouclée et l'ancêtre de la serviette éponge du tapis volant et du velours.) Mais je noie ici le poisson dans son bocal en tentant d'y mettre de l'eau! Parcourir un territoire ne veut pas pour autant dire le définir. Il en va de même de la pensée. Et le fait même de penser la pensée, dés lors qu'on oublie ses applications ressemble étrangement à un enfermement volontaire. Un peu le drame d'un forgeron qui ferait un marteau sans savoir l'emploi de celui ci. Ce tord fréquent de confondre la culture avec l'intelligence. Mais il me semble que vous souhaitez rechercher quelques réponses en venant sur ce site. Peut être êtes vous chercheur dans le domaine? Peut être êtes vous vous même diagnostiqué QCI? Si c'est le cas amusez vous un peu à contempler l'étoffe avant d'en mesurer la dimension. Regarder encore les tisserands dont le seul but est d'y adjoindre un motif... L'utilité même est un motif comme un autre... Une sorte de sens complémentaire d'une "réalité". Ce jeu même de glisser sur la patinoire des sens "possibles" est purement jouissif et n'a strictement rien à voir avec la moindre notion de souffrance dés lors qu'il n'est pas perçu comme un handicap ranger dans la section "utile et/ou nuisible". Passer indifféremment de la macro à la micro en changeant de focal comme dirait un photographe, ça n'est pas varier les points de vue ni même se fondre dans le paysage, ou chercher un absolu;non. C'est simplement se promener dans une réalité un peu plus vaste que la petite boite qu'on nous propose habituellement. UAQVVDB.
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Réponse de R.E.D
Le 26/06/2017 é 13h11
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Suite désolante en réponse à anonyme: "Il n'y a rien de génial à avoir un QI élevé car il est dans la très grande majorité inexploité ou mal exploité." Ah le mythe encore une fois du génialissime! Paradis contemporain entièrement progressiste d'une intelligence artificielle qui viendrait résoudre l'ensemble des secteurs inconnus et enfin trouver la grand réponse à la grande question... Pourquoi voudrait on qu'il y ait des génies et d'autres qui ne le sont pas? Si l'on essaie de regarder avec soin ce que nous pouvons savoir de notre propre histoire (personnelle et toutes les autres) le "génie" est à peu prés constant dans nos existences. Il s'agit parfois de quelques secondes d'une "fulgurance" pour révolutionner notre manière de percevoir les choses plutôt que de les changer. L'épluche patate ou bien encore le bouchon décapsuleur... Le réfrigérateur et l'ensemble de toutes ses petites choses sorties de cerveaux étranges en un très court instant pourrait en donner une petite idée. Non? S'accrocher de nos jours à cette idée d'une exceptionnalité unique est à peu prés aussi obsolète que de s'accrocher à l'idée d'une réalisation d'un "soi" parfaitement hypothétique. "Le don est une sale manie s'il n'y a pas 90% de travail." pour citer au moins un de ceux qui forgèrent ce qu'on appelle notre quotidien et le prendre en défaut d'une opposition entre nature et innée. Il n'y a pas de futilité sinon dans cette conception pratique purement issue d'un rationalisme matérialiste consistant à mettre en avant ce qui semble servir, reprenant l'ami singe, une certaine idée "Eudémoniste". Toujours ce dualisme cartésien alors que nous vivons de plus en plus (et ce depuis maintenant plus d'un siècle) dans l'application d'une idée "moniste". à préciser ici le propose de l'imbrication des phénomènes et la réalité des interdépendances. Le souverainisme impliquant le propos d'une réussite de notre dite "espèce" en tant que manifestation la plus évolués de la vie se trouve perpétuellement remise en cause. L'ancestrale croyance dans une hiérarchie ascensionnelle autour d'un égocentrisme branle de tous cotés. Émerge doucement au travers de l'observation pluridisciplinaire l'idée d'une conscience collective ne s'opposant plus à celle d'un individualisme mythologique du genre "je maîtrise le feu et je suis un homme libre." La complémentarité au delà même de la notion de partage est devenue une évidence qu'on suspend d'un halo grandiloquent de bio-diversité, accordant à l'épine dans le pied son statut particulier d'être un frein utile à l'idée d'avancer en marche forcée. Les oppositions tout autant que les conflits, issues d'une idéologie belliciste auront fini par lasser le vivant pour en avoir laisser traîner des cadavres... Pourquoi voudrait on encore faire de l'exceptionnel? De l'extraordinaire dans une société événementielle dont le seul but est la mise en spectacle de ses composants? Ma grand mère me disait souvent qu'il y avait une différence entre un idiot et un imbécile. L'imbécile est un idiot qui le sait et qui préfère le rester parce que c'est confortable. Il en va ainsi de celui qui continue de s'accrocher stupidement et sans aucun recul à quelques théories, croyant qu'il en fera des réalités... Un mensonge n'est un mensonge qu'à partir du moment ou il souhaite se faire passer pour une vérité et deux mensonges n'ont jamais fait une vérités même complexe parce qu'il sont agencés logiquement. Et puis terminons en avec cette idée d'un émotionnel séparé: Comme s'il était possible d'anesthésier le sensible en maîtrisant l'esprit! Il est parfaitement évident que lorsqu'on cherche à séparer les phénomènes, on en trouve autant autant qu'on souhaite... Les sous catégories des classements m'ont toujours amusé. Une folie bien commune à cette prétention de vouloir attribuer des étiquettes pour s'en glorifier d'en avoir compris le sens. Combien de rouleaux de ficelles avons nous découpés pour démonter la machine sans même nous soucier de savoir comment la remonter? à croire encore que l'horloge est la manifestation du temps et que l'absence de tictac suspend son passage. Et nous pouvons constater une chose étrange qui restera dans tout ce bazar de l'étrange (à le rechercher en justification d'un non étrange ou ordinaire): C'est qu'il existe chez certains une capacité d'attention plus développer que chez d'autres; que celle ci soit protéiforme et non constante est une évidence. J'y mettrais ici l’hypothèse d'une "immaturité consistant à ne pas se contenter de réponses toutes faites. "Immaturité" dans le sens que certains recherchant une forme de reconnaissance dans l'intégration au sein d'un groupe quelconque acceptent de se mentir à eux même plutôt que d'oser se poser quelques questions pertinentes ou dérangeante sur ce que nous appelons une réalité immuable. Appliquer en somme des principes substitutifs, des recettes et onirisme oblige, de l'eau dans la soupe déshydraté pour en faire un potage sans saveur... La connaissance serait donc devenue un exhausteur de goût, un colorant artificiel n'ayant aucune raison d'être sinon de nous faire croire que les poireaux sont verts et que les tomates sont rouges... Jusqu'au goût du sucre! Maintenant pour le petit singe grimpeur et hurlant: Ah je comprend votre surprise lorsqu'un débarquant d'un tapotement aléatoire, vient nous ramener sur l'évidence de l'incompréhension. Nous avons pourtant depuis quelques mois aborder intelligemment jusqu'aux problèmes même de la notion "d'intelligence". Démêler un peu l'écheveau des fantasmes du "QI" en démontant nos mythes. et voilà qu'un arrive dans notre belle exposition de peinture en ce demandant pourquoi l'on n'y voit que de l’abstrait, qui plus est du tachisme! Se proposant lui même de faire une tache sur le mur. Comme un qui lisant pour la première fois un haïku confondrait l'infinitude et l’incomplétude en attendant une fin. Je replacerais ici un de mes préférés: "Quel est le con qui a pisser sur la neige?" (traduction consensuel n'ayant rien à voir avec trois vers deux rimes et onze syllabes) BASHO? ça nous apprendra, tiens, à jouer entre nous sans penser au regard extérieur! Sur ce anonyme à qui j'écris, n'hésitez pas à échanger votre compréhension du sujet en ne vous étonnant pas de nos réponse parfois un peu limite, voir insultante.. Par défaut! UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 27/06/2017 é 01h45
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Que de cordialité l'ami, les bases aussi bien posées, croyez-vous que cela attire à se risquer d'en faire une rayure ? Sous quels dogmes pensez-vous que l'échange est confortable dans le respect mutuel et de lever la baguette de pain en exige l'escrime ? N'avez-vous pas remarqué cette provocation dans le discours qui, à mon sens se réclamait d'un naturel en opposition. Vous savez ce qui est pire qu' ignorer un hurlant, c'est de lui mettre la main sur la tête de la plus honête bienveillance en lui faisant comprendre que son sursaut est vain dans l'horreur d'un cadre d'échange que vous IMposez. Car alors vous créez un climat où vous être maître, l'autre invité à l'échange se tait ou se courbe à vos règles en y ayant dans ce cas là bien peu de chance de vous atteindre (du dialogue..) exepté par l'unique destruction de vos règles. (vous invitez donc au silence ou tues moi brillamment de ce que je considère) De fait, vous vous ennuyez (dans la prospérité) et l'autre se sent idiot ou se contentera de vous imiter si ce n'est pour en tacler certain du groupe ainsi formé piochant dans les réserves des achats de canifs à votre magasin bien fondée ? Et hier trouvant un téléphone au sol, j'oubliais qu'il était à moi, parce que le gain d'une centaine de jetons.. Il faut je pense apprendre à manquer de respect dans de bonnes conditions, je l'ai souvent fait sans même me rendre compte d'une "hiérarchie sociale suggérée". Non pas de retirer la couronne d'une fronde où me placer en substitut du rebel au futur chef (que je trouve encombrante comme place) , mais d'une opposition délirante motivée d'une odeur d'être broyé de procédures de ce qui se veut écrasé usuellement. Alors apparaît le "suicide social" du surdoué, d'une désertance sans kamikazisme. Sans même but de répondre justement, d'un malaise imperceptible de ce qui l'a fait naître et fuir. L'autre cas, moins coûteuse est l'opposition perdante, où l'on tape du pied sur le sol, dans le vent, il arrive alors que l'environnement entier se tord d'un ensemble d'empathie ou du vaillant patronisme craignant son domaine menacé de sa logique fragilisée (regard extérieur) . S'en suit le conformisme de l'exception bien traitée. (encore faut-il être capable de s'exprimer "clairement" ) Enfin après ces deux cas, il y a l'opposition que je qualifierais de manière moderne comme sociopathique, qui là vise au travers de l'onde créé volontairement, d'en prendre contrôle par les leviers qui y volent et de surclasser l'ordre imposé. Le succès. Il est déplorable que la société est paranoïaque fascinée du dernier cas, traitant ceux du second cas comme des belligérants, alors que cette révolte perdante et intuitive se veut d'un "bien commun" non voulu. (donc au moins désintéressé) Cependant cette distinction est inatteignable en général. Ce qui est commun est donc méprisable dans cette incapacité nocive à l'ensemble de la société de confondre le bien et le mal sur ce poing d'opposition. Loin d'avoir répondu entièrement, Juste un détail, un qui repasse après
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Réponse de The_monkey
Le 27/06/2017 é 03h34
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Petit homme, Se croyant vert, d'un sentiment d'être loin de ce qui devrait ressembler à ce qui ressemble d'habitude. Il eut en soi au delà de la bonté, une volonté à laquelle son ego voulait résister de la plus grande fierté, Chef, il ne se questionnait pas plus des valeurs que l'y accordait de sa coupe, Finnissant par aimé faire bien, il devenait d'un triplé sans se regarder, Car mangeant les croquettes d'autres espèces lui étant proche, il, s'estimant de sa survie et de sa souffrance exceptionnelle au point que quoiquonc y verrait son réel chemin, ne saurait s'opposer aux fantasies qu'il nous chante du haut d'un perchoir dévoyé, Jusqu'à ce que la crue éclaire rende votre branche désirable, pour les singes s'amusant du bain de boue, alors il fallut être juste d'en trouver une raison, qui en mériterait un bout de se nommait joyeusement perdue. Sans jamais rien n'y comprendre, le grand singe malade eut le plus adapté des sarcasmes, que la fortune d'un espace qui se veut soi partout, le rende marrant, grand, ou l'infortune. Une allégorie pour ceux qui la "comprendront".
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Réponse de R.E.D
Le 27/06/2017 é 07h23
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"L'autre" est en défense de toute façon tant que nous ne lui auront pas servi sa ration, soyez en sûr et qu'on n'en parle plus! Puisque la plupart n'attendent que la confirmation de ce qu'ils pensent pour être sûr de le penser... Cet orgueil propre aux "exceptions" de se croire investit d'une mission: celle prophétique d'apporter ce que les autres n'ont pas. Du haut d'une supériorité autoproclamé, et je parlais de soupe, certains donnent en charité à ceux qu'ils ont fait pauvre. Normale donc un jour que la gamelle devienne une arme plutôt qu'un outil lorsque, accepté l'aide sous entende se soumettre et dire merci. Quand à l'idée de hiérarchie: "Puisqu'ils leur faut un roi, donnons leur des juges!" La boussole ne suffit pas aux prudes pour se sentir aventurier. Même un bon coup de pied au cul ne les feraient pas avancer. c'est la curiosité qui leur manque et la peur qui les immobilisent pour franchir le pas d'une porte qui par essence devint le symbole sédentaire. Vos trois cas illustrent assez bien la triste réalité de l'existence des vérités admises s'opposant à celle qu'on conquière et qu'on pense imposer. Et il me semble à moi qu'un bon couteau et une paire de chaussure soient plus utile qu'un dictionnaire que d'autres ont écrit. Le roman d'une vie, s'il ne s'écrit pas ponctué de blanc, de suspensions et de non dit, fait que certains recherchant des héros se l'approprie. Ce que déjà d'autre avant moi ont soulevé concernant les divers impossibilités du temps de conserver l'écrit ou du moins de le diffuser sans en altéré la force vive. Il est futile l'art de la nécromancie fabriquant des héros de papiers comme tigres du Bengale. Ce qui se cache chez Don Quichotte est fascinant de réalisme! « Heureux, trois fois heureux le siècle où l'intrépide chevalier Don Quichotte de la Manche vint au monde, s'exclame le narrateur, car […] il nous offre, en ces temps si pauvres en distractions, le plaisir d'écouter non seulement sa belle et véridique histoire, mais les récits et nouvelles qu'elle renferme. » Ne pas en être dupe en premier lieu puisqu'en acceptant d'écrire ici nous fabriquons nos Sancho Pansa. Et à ce propos, dans la plupart des cas du burlesque, l'anti héros ou "faire valoir"est l'auteur réel de la fantaisie. De Laurel et Hardy ne reste que Laurel maître en l'art de recevoir la tarte à la crème avec une telle gentillesse qu'on aurait envie de lui lécher le visage. Et donc avec élégance se prendre les pieds dans le tapis renversant la soupe chaude en s'en prenant au tapis de n'être pas à sa place... Oh désolé je n'avais pas vue la carpette! Il faudra vraiment la mettre ailleurs, c'est dommage de gâcher la soupe... et l'autre de vous dire stupidement "oui, oui vous avez raison!" S'excusant presque d'être sur le chemin de la soupe. Connaissez vous Lycurgue? Il fut un mythe qui justifia l'ensemble des obligations sociales.
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Réponse de The_monkey
Le 29/06/2017 é 02h45
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Retour arrière, sans effacer, le fil est de superposition de couches mais les sédiments m'envoient des informations en retard. Réfraction fossile juger coupable pour la soupe. Comme les champignons, il faut attendre la bonne saison pour contempler l'amanite panthère dans son danger, et si un doigt la touche malheureusement il devient une arme comme lamelle en criminologie. Avez-vous remarquer que lorsque l'on croise de tels object vivants (dotés d'une résistance mortelle à d'autre espèces nous incluant), ces grains nous "avertissent" par le dégoût du danger, alors que le cèpe voluptueux on le mangerait presque cru même avec un ver y aillant tracé son sillon. Où à la limite on le passe à l'eau bouillante ? Pour se convaincre que le gluant du ver s'est détaché. Que d'élégie des bases forestival, je vous l'accorde. La complexité sans filtre.. le codex Séraphinianus est il plus "intelligent" que le manuscrit de Voynich ? Le juge d'intelligence dit : Vous donnant un groupe d'images, j'y ai glissé un code, que j'appelle intelligent que vous le "deviniez". Vous traitant d'une plus grande complexité avaient plus de chance d'une fulgurance prophétique pour me donné la brique translucide de ma causalité (que je partage avec d'autres). Alors que la complexité seule, même très élaborée ne vous donnera pas nécessairement ce que j'attendais, vous ne communiquez alors plus avec moi et je peux vous considérez comme défaillant à mon épreuve car vous manquez des filtres de ME/NOUS comprendre. Les surdoués sont blindés de filtres, pour les autres types avec des odeurs de plasticité exacerbée j'y viens, il faut se faufiler dans la question de la réalité. Toute affirmation est vraie, fausse, ou indécidable par rapport à un ensemble de postulats. Génial.. Maintenant les postulats sont d'évidence. Par deux points passe une droite, regardes ! "D'accord vient au fait. Je veux faire de la géométrie pas de la philosophie, je sais ce qu'est une droite je suis en rapport avec l'environnement aussi. " Et ils inventèrent la puissante cocycliquicité. Brillant. Mais nous avons abordé la question de l'évidence commune, et toute la compréhension de notre compréhension de la réalité s'y trouve. J'explique, l'abstraction consiste en une suite de caractères que l'on applique à l'environnement dans un but prédictif (valeur de vérité autoritaire naturelle) ou d'éviter notre elimination. Il en résulte que l'abstraction a une utilité uniquement dans l'expérimentation. Cependant. Une abstraction inutile, à priori, peut se révéler dans un univers expérimentale sans que l'on ne l'ai déjà croisée, ainsi une théorie peut répondre à un problème qui n'est pas encore posé et il est impossible de prouver son inutilité notre connaissance de l'univers étant contrainte à l'incompletude (sinon la compréhension n'aurait pas de sens). Il y a une autre "utilité" inconsciente mais que l'on est capable de considérer par l'intution (pensez aux champignons), sans comprendre notre tracé on peut éviter tous les obstacles, par notre séquence "adaptés". Notre compréhension est consciente de ces processus et par la duplication de chaînons (neurones miroir) nous pouvons intégrer des séquences des autres (lecture de dictionnaires comme que vous dites). Alors prendre ses bottes consiste à transformer ces séquences soi-même par la mutation et l'auto-selection (qui n'a rien d'absoluement personnelle..) On en vient donc à se demander qu'est ce qu'un lien entre deux informations ? Et pourquoi certains sont valides. Encore une fois cela est indirectement liée à l'expérimentation à l'origine. La morale a pour simple but de pondérer les abstractions sans preuve au travers des cinq sens le perceptible du plus grand nombre et ce qui assure la stabilité et l'importance s'en finit n'être que essentiellement sélectif. Le sensible que j'insiste encore à disossier du théorique (l'esprit/corps) est ce qui nous est en lien direct avec l'environnement et non perçu immédiatement des autres par projection type miroir. Alors que l'autre adjoint est notre conceptualisation vie-à-vie des autres qui incluent, la morale, la vérité (le dôme des connaissances atteinte dans le tachisme tordu efficace) , l'intérêt (de la dette à payer à la société relativement juste de s'accorder des libertés) , l'intelligence (au sens respect de vos séquences dans leur utilité par les autres) , l'utilité de manière générale. L'expérimentation était donc notre premier dragon "humain" de naviguer "supérieurement des autres espèces" grâce à l'abstraction, de ce qui constituait notre société dans ses plus profondes racines. Concernant l'adaptation. Nous entrons dans une aire où le retour utile et sensible devient rare ou d'un lointain peut être même infinie, les theories se retournent donc sur elle même et nous en arrivons à une conception de la réalité comme la conscience collective de notre espèce. Dieu est mort il y a peu, l'individu maintenant est mourrant, nous somme en transition vers une meta-morale, car IL renait de ce qui la tué transformant "l'intellectualisation par imitation" en foi moderne. L'eudémonisme étant obsolète car voulant satisfaire une morale figée, la tendance est à l'interaction avec la conception de l'éthique "contrôlée" et orientée (vers quoi ? De résoudre les problèmes de marrée existentielle ? Les rituels me semblent immortels même dans cette Meta-societé, ou du moins le jeu sociale) . Il n'y a, à mon avis qu'une solution pour résister (parce que la marée c'est aussi un peu les autres) à une morale contrôlée visant au renforcement de ceux qui la concevront dans ses balbutiement. Si ceux là, et je pense que ce sera le cas, sont rudement intéressés. Il s'agit de prendre conscience, distinguant la liturgie et son contraire ou non, de la Réalité au moins partiellement (doutant de la possibilité de la totalité à l'ensemble du propos) dans ce qu'elle est de tous et de rester sceptique de l'âge du capitaine lorsqu'on en connaît que l'horaire de joie des rencontres s'y déroulant.
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Réponse de The_monkey
Le 29/06/2017 é 03h56
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Le don qui saute fit d'un triple saut la remarque : "sans ton criticisme de mes fantaisie, ma. Chevalerie n'aurait rien pour faire trois mètres assis !" Le lutin surdoué prit un papyrus, Où il écrivait "qu'à ce que mon intelligence fut-elle désirée tant qu'on ne savait pas qu'elle en brûlerait le papier cadeau, Je ne serai jamais un chevalier, mais peut-être qu'en expliquer le mouvement de quatre jambe et leur agencement mystérieusement parfait est charmant de même que ce qui était de vrais chevaliers puissent chasser" Trois siècle plus tard, l'âge feodale mutait, Être chevalier n'était plus que marcher à quatre pattes, au sens du moyen âge, Le surdoué moderne alors eut cette chance d'être de la cavalerie mythique , Savait pas ce qu'il a fait ? Il s'est mis à ramper.
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Réponse de R.E.D
Le 29/06/2017 é 10h15
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Codex séraphinianus Ou le livre des fantasmes énoncés pour eux même. Parfaitement assumé par l'auteur, cette fantaisie comme toutes les autres issues de notre imaginaire, vaut bien la moindre page d'autres mystères à qui l'on attribue des spécificités rationnelles. Le goût pour le rationnel ou son interprétation rassurante d'une réalité froide rassure justement comme cette manie de vouloir que l’arithmétique gouverne nos vies. "l'intellectualisation par imitation" en foi moderne. a un nom et est clairement identifié pour avoir commencé avec l'utilisation de la notion de "culture" humaine comme vocabulaire en lui même ou justement "métalangage": Le post modernisme. La question qu'on pourra se poser dans cette adaptation, est de savoir si le plus grand nombre est en mesure d'interpréter correctement le raffinement de ses glissements? Ce dont je doute! à plus tard!
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Réponse de R.E.D
Le 30/06/2017 é 09h08
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"La morale a pour simple but de pondérer les abstractions sans preuve au travers des cinq sens le perceptible du plus grand nombre..." Effectivement et voilà pourquoi le "propos moral" se doit d'être simple! Non parce qu'il s'adresse au "simple" mais parce qu'il est par essence d'une simplicité qui pourrait paraître effrayante par son coté "singleton" au cœur d'une théorie des "ensembles": Si le "propos moral" est juste, ce dont on peut douter dés lors qu'il s'adresse à la pensée formelle, il met en jeu une sensibilité d'aversion indiquant le danger par la douleur... (Voilà pourquoi le rideau est rouge!) De celle toute simple de verser une larme sur les "malheurs du monde" avant d'y trouver une explication. Quand à l'explication, la voilà conséquence du sentiment. Immuable valeur du "sensitif" qui fort heureusement nous rappelle à l'ordre chaque fois que nous nous égarons dans cet abstrait inutile et ses spéculations justifiantes... "Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli." ... Suffit à créer la cohérence dont nous avons besoin pour vivre un catharsis. S'en suit que (parfois) le "Deus ex machina" soit utilisé pour en finir avec la dramaturgie comme pour quitter le fauteuil du spectateur volontairement impliqué par le travail des gens de l'extraordinaire... "Talam!!!" en est le maître mot. Nous vivons en spectacle, qu'on soit clair, dés qu'on allume quelques feux de la rampe! Il nous faut nous garantir un maquillage impeccable illustré parfaitement par la matité des poudres, la correction du teint et l'uniformisation des reliefs en une surface "pomponnée". Combien de fois peut on utiliser la "machine" dans un récit avant de plonger d'une fiction réaliste dans une fantaisie héroïque? Et cette fameuse intelligence dont nous parlons tant n'est en fait rien d'autre qu'une "mécanique divine" arrivant plus ou moins à propos pour résoudre les incohérences d'un récit paresseux... Mais revenons un peu sur cette notion de souffrance en précisant qu'il faut y adjoindre celle de "douleur"... Et parlons maintenant de la douleur de constater les méfaits de l'outrance de la "machine" ( et non pas du coup de théâtre imprévisible qu'on pourrait confondre facilement) comme d'une condamnation à être cohérent selon la conception des "cooptions" ordinaires... En y adjoignant la clause de Knockout par épuisement... Comme on meurt toujours d'un arrêt cardiaque! La confusion ici fréquente est qu'on attende le tombé du rideau pour croire l'histoire fini. Oscillant entre clôture et immobilisme, chacun situe ainsi son propre mouvement se différenciant de l'illusion volontaire pour rejoindre celle involontaire de redevenir "acteur" de son quotidien... Peut être ici une des raison qui me font préférer la fantaisie extraordinaire frôlant l'absurde à cette tentative d'application du théâtre de boulevard (ou le placard fait office de révélation tant attendu qu'on s'y attend... "Quand est ce qu'il va sortir?" est en fait notre seul attente). Et comme nous souhaitons vivre dans une pièce, un récit affirmant notre propre cohésion, nous ne vivons que dans un théâtre ou le cumule additionnel des similarités nous rend l'autre insupportables par le soupçon de plagiat. Il en va de nous autres (comme acteurs) de se lasser des autres parce qu'ils sont de mauvais interprètes . Différencier ainsi la "forme" permet d'intégrer même la fantaisie du clown triste dans un "répertoire" d'exactitudes référencées. L'invention consiste alors à surprendre et non a se laisser aller au comique de répétition sans la variation finale déroutante. si ce que nous recherchons est une authenticité dans les rapports humains, alors il conviendrait de bannir tous les acteurs d'eux même en leur signifiant clairement, et non sous les feux de la rampe, que la "machine" ici ne sert à rien! Le masque dont on se farde, qu'il soit de plomb ou volatile en poudre de riz, et même les lunettes en fumées... L'odeur des autres reste sous le parfum et c'est parfois la seule solution que d'employer le savon pour les décrasser d'un savoir en bain mousse. "Ah les acteurs veulent un texte? Une direction sans laquelle ils ne différencient plus la réalité de celle augmentée de la longueur des cils? Et bien donnons leur du Crazy Horse plutôt qu'un manteau d'arlequin! "Nous sommes toujours les autres de nous même." UAQVVDB.
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Réponse de R.E.D
Le 30/06/2017 é 09h55
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Il en va que ce que nous supportons le moins c'est l'impression de mauvais film ou celle du déjà vu qui est exaspérante. Peut être est ce là la racine même de la notion de changement en opposition avec celle de la stabilité incarnée d'un liturgie qui elle se veut un reflet immuable. Mais il me semble qu'il y a pire encore que cette séparation des artifices: La fusion entre les genres! Cette sorte de baroquisme dans lequel nous vivons incluant à peu près l'ensemble de tous les n'importes quoi sous le prétexte de nous divertir d'une réalité rendu absurde par le spectacle qu'elle tend à intégrer (comme faisant partie de sa seule raison d'être). Ce qui fait que ma conclusion actuelle en terme d'usage de la "fonction d'intelligence" est le nettoyage de sa propre surface en utilisant justement les filtres de la déconstruction volontaire. L'idiotie donc qui tend à faire penser à une "pathologie" par trop plein de cognition ne peut se soutenir autrement que par la volonté de soutenir la confusion pour entretenir paradoxalement cette fausse simplicité de l'unité dans le spectacle d'un nous même. L'unité encore de style qui fait qu'on entreprend de définir l'empreinte de chaque chose afin de l'identifier comme justement unique alors qu'elle n'est que la réunion aléatoire des possibles combinaisons du réel complexe... Mais cette volonté bien ancrée de vouloir confondre la réalité, son spectacle et la réalité de son spectacle est bien trop complexe pour un mauvais acteur d'un lui même mal défini. (C'est donc l'observation constante de tout ce qui se présente comme "réel" qui est la seule chose capable de nous débarrasser de l'outil "uniformisation" que nous critiquons tant alors que nous sommes les premiers à la défendre dans notre droit à la différence!... Mais ceci demande à être éclaircie!) Il est certainement plus évident de comprendre la situation d'une droite (pour en revenir à la géométrie) en y comprenant sa longueur entre deux points extrêmes. hors c'est donc les extrêmes qui définissent le milieu. La seule raison de la mesure d'une intelligence est de définir son milieu... Par défaut... Et de contenir son équilibre tel une balance de Roberval en y suspendant des poids additionnels: Un peu ici la définition du rôle de la notion de "culture" actuelle lorsque nous parlons d'éducation. Promouvoir l'idée d'une mise en situation dans un segment comme seul critère de valeur existentielle, puis organiser le reste autour afin de justifier de la construction du segment par le cumule de ses points additionnés. (L'inversion désormais type qui situe ordinairement le point comme clairement défini en tant que composant du segment participe de la définition de la place de l'homme dans le modèle social... Mais nous ré-abordons ici le propos de la justification du social par l'analyse spéculative là ou il faudrait revoir presque en totalité la définition de ce que nous appelons notre "humanité" qui semble être justement le statut de notre "intelligence".) Pas de défausse (svp) stylistique petit singe! J'attends de vos nouvelles en écho à ces quelques réflexions du moment! Merci encore de votre attention! UAQVVDB.
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Réponse de R.E.D
Le 30/06/2017 é 09h58
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Un temps trop long dans les "effets spéciaux" fait qu'on détecte facilement l'emploi des fumigènes...
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Réponse de The_monkey
Le 01/07/2017 é 06h32
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La morale est simple lorsqu'elle est frappante non résultante d'une pensée formelle, certes, mais lorsque l'on saisi la pieuvre même dans un univers discrétisé, survient l'accès à la trappe à bétail, je devrais mieux qualifier celle-ci de post-morale qui se distingue dans son "utilisation" et sa conception en format d idéal hologie. La culture de contrainte est dominante dans ce qu'elle est par sa tumérification non synthétique, plutôt de réactions de chacun qui s'équilibre à grande échelle. Qui serait alors de l'individu s'arguant être bon d'une bonté choisie rationellement en réponse à l'alarme de menaces physiques à l' espèce ? Est-ce intelligent de se laisser briser la figure par un asteroide ? Ou laisser des pièces de théâtres répétitives pour la simple recherche de nos bases instinctives quitte à perdre de la matière grise pour nous sortir de "knocks in face" connus ? (combat contre danger communément visible = bien) Je vais vous donnez une règle : L'espèce temps vers un système le plus efficace à sa survie et son développement quand à l'univers expérimental, jusqu'à nos jour. (je distingue une rupture que j'ebaucherai a la fin, d'une paresse dans le sens opposé du poil au comique de situation) Pourquoi, tous ne sont pas "intelligent" par rapport à un. Milieu y étant exclu à l'origine ? Voilà un autre paradoxe.. Chaque individu du plus grand nombre dispose d'une arme adaptive d'une puissance surpassant très nettement n'importe quel "génie". Celle de considérer la réalité comme ce qu'elle est de ceux que les autres admettent. Les gens normalement constitués ne s'opposent pas d'eux même pour des raisons uniquement logiques (ou de décupler l'émotionnel comme d'un téléphone en 69 avec celui de tous les autres, renvoyant chaque bruit en divergence sonore du TRIDENT de poséidon), ne questionnent pas l'ultime argument d'autorité : "c'est normal" , ils n'ont qu'un curseur à déplacer sur le fragment le plus reconnu de valeurs d'une logique quasi-absolument commune conditionnées à l'utile pour une mutation et un changement en douceur du groupe auquel ils appartiennent. Ainsi la stabilité est POSSIBLE. Et être normal à cette part de grandeur respectablement "Eronnée" quand on regarde non l'individu mais leur ensemble. Alors que si vous prenez un surdoué, il y a cette tendance obsessive à se cadrer d'un rationalisme (ou son contraire) . Et plus le QI est élevé plus on remarque une spécialisation "délirante" dans un domaine possible à schématiser du langage formel ou d'émotionel "trop" (ou son contraire le bain de l'absurde) . Ainsi les surdoués sont plus fragiles d' avoir des comportements dangereux et à stratégie perdant /perdant au vu d'un manquement d'être humain . Donc sont toujours resté dans une proportion faible comme étant moins adaptés en moyenne. (ce qu'on appel à tord une pathologisation je vous réfère à l'argumentaire "haut potentiel de souffrance" pour en saisir des subtilités) Si on dépasse ce seuil on a de bonne chance d'arriver à un truc invivable dans un système primitif social type moral. Ils ont cependant un rôle crucial pour l'espèce depuis toujours jusqu'à nos jour, que d'une partie d'eux se font loups ou sirenes attractived avec plaisir quand, la fumée remarquée, on se dirige vers d'un volcan amoral. Donc il y a une "complémentarité darwinien" qui est indépendante du rapport de force, ce qui explique de la défiance. Parce que le plus grand nombre n'a pas conscience du talent à grande échelle d'en être un morceau du tissu flexible mais d'une élasticité rude mais efficace. Voilà pourquoi vous pouvez appréciez de vous ennuyez au théâtre tant que nous avons pas atteind l'étape suivante de l'évolution sociale. On instrumente la notion d' intelligence. Et vous ne pouvez parler de problème d'éthique, il s'agit d'une solution logique quand à ceux là. Pourquoi pas une sélection positive pour une exeption dont on n'a remarqué l'efficacité dans certains lieux demeurant "inexploitée" ? Il y a des cerveaux avec des connections bien denses (dans des parties de ce que l' on ne comprend pas) qui traînent dans la nature, on peut en trouver un bon paquet qui rechigneront pas de ce contrat et s'épanouirait de laisser ces réseaux neuronnaux libre de chauffer. Dans la méta-societé il n'y a plus de rapport de force non plus, chacun suit et accepte ce qu'on lui dit car cela est mathématiquement prouvé. Il n'y a plus à discuter d'opinion, tout est formellement démontré jusqu'à une meta-religion. Où l'on chercherait non plus dans la science à s'émerveiller de l'univers mais dans les théories de réalité l'incluant. (cf Chris Langan ou "beyond the black hole" de John Wheeler où l'univers à circuit auto-stimulé, à mettre en lien rapidement avec le théorème d'incomplétude de Godel, dont tout ceci, est à developper si vous vous questionnez toujours de la réalité) Utopie ou perestroika en puissance ? Ou évolution sociale inévitable ? Je vous laisse vous en faire une idée. Et je vous rejoinds d'un théâtre absurde comme du moins générateur de diversité par la fantasie de surprendre, alors remarquant que l'être humain s'autodetruit sans rituel, nous pouvons créer des cirques en taille de ville en attendant que la Méta pillule passe ? Des jungle ou laisser l' absurde sauvage à ce qu'il est de son ultime course à théoriser un espoir théorisé ? N'y a t-il que la raison qui justifie la pensée, ou de mettre des 'a' devant tous les concepts. Tous serait alors "surdoué" probablement différant de la définition actuelle un grain et avec ce questionnement métaphysique car ce serait le plus adapté une fois que l'on s'ennuie ? Dans les circonstances présentes être maltraité cela est aussi être injustement libre d'être dans une opposition emotionelle à sa nature mesurée.
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Réponse de The_monkey
Le 01/07/2017 é 06h45
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-Quoi de neuf ? -La metamorphose qui se metamorphose. -quoi de 9 ? -troisième fois que j'y répond différemment à ce qui devrait ne pas l'être. -a bientôt ! -dans l'atemporalité, A vouloir être simplement courir après les papillons, vous finissez à chercher à comprendre comment il s'échapperait d'un bocal renversé, Jusqu'à l'asphyxie d'une fumisterie. N'oubliez pas de couper votre pantalon pour le stylisme de la saison.
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Réponse de R.E.D
Le 01/07/2017 é 09h42
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"vous finissez à chercher à comprendre comment il s'échapperait d'un bocal renversé..." Oui, oui... Mais peut être est ce la seule attitude à avoir pour démontrer justement l'existence du bocal? Peut être encore manifester le doute existant entre fantasme et réalité? Ambiguïté de rapport dés lors qu'on n'obtient pas la preuve d'une incohérence,non? Du moins partager le questionnement de son utilité nécessite de se heurter à ses parois en atmosphère confinée... "Rituels..." Il y a fort à parier (expression parfaitement idiote) que justement le décalage entre dogme et rituel soit à l'origine de l'ensemble de nos "dérives sociales" ... (Ici comme d'habitude j'utiliserais les guillemets pour ne pas avoir à développer l'ensemble de ces raccourcis d'usages courants qui auront fini par pervertir la communication actuelle d'un " nous sommes d'accord c'est juste une affaire de point de vue!")... Si nous prenions une grille parallèle d'analyse en comparant d'autres "périodes" de notre histoire "puisque l'histoire se répète tant qu'on l'ignore" (Affirmation stupide tant qu'elle ignore le choix de l'ignorance volontaire.) L'invention de l'imprimerie et le premier livre: (La bible version "vulgate") Avant celui ci, la majorité de chez nous se contentait des rituels puisque ceux ci étaient sensés représenter le dogme, voir même en forme de magie lui donner une incarnation. Dés lors que tout un chacun pour une somme modique put avoir accès au livre "certifié" authentique, il se mit en devoir de devenir théologien en examinant le rapport entre le texte, le dogme et le rituel... Période de "réforme" et de "contre-réforme" ou le sujet réel était doit on ou non accepter non pas le changement de dogme mais la conservation du rite? L'évidence d'une distorsion entre dogme et étude du texte suffisait à ses évidence pour revoir ce qui était devenu une superstition panacée... Et plus question d'interdire en autodafé la circulation d'un savoir sans l'avoir auparavant justifié d'un autre plus grand et parfaitement indiscutable de ses évidences. Peut être voyez vous le parallèle avec notre "période"? Les rituels continuent jusqu'à l'ensemble des faux semblants parce qu'il composent l'ordre moral même s'ils en deviennent absurdes pour la raison que la plupart d'entre nous soit en possibilité de leur trouver une incohérence. La contestation d'analyse parce que pratiquée par les théologiens à la petite semaine fini par faire ressembler "l'étude" à une philosophie de comptoir (concepts à deux balles et bollocks sur la table en preuve final). S'en suit qu'on suppose (par confort) qu'une affirmation facile du genre le "21ième siècle patati patata" permet de justifier la mise en place de nouveaux rituels tous aussi invraisemblables que ce qu'on a pu constaté des rituels précédents... Mais ceux ci parfaitement justifiés comme absurdes et présentés même aux "nouveaux croyants" comme étant ce qu'ils sont: Un faux semblant d'une "réalité augmentée" (deux fois que je l'emploi en trop peu de temps. S'agit il ici d'un effet de mode?) "Parce qu'il faut bien une image du réel et qu'on sache que ça n'est qu'une image nous suffit" dira le croyant de ce qu'il veut pour paraitre convaincu contre le doute et son questionnement. Mieux vaut alors une mauvaise réponse en forme d'hypothèse qu'une autre qui pourrait remettre en question l'ordre établi. Car même si celui parait anachronique, pour la plupart, le livre à la main gauche, les solutions dans l'autre, la réalité se borne à celle d'une oscillation consensuelle sur la conservation du rite... C'est l'ordre qui se défend de lui même en admettant son obsolescence afin de renaitre indéfiniment par l'imposition d'un dogme du cyclique. L’éternel boucle se confondant avec la représentation de l'infini. "complémentarité darwinien"? Pas mal en soi mais insuffisant puisque ce justifiant de lui même dans l'idée d'une "sélection". Lorsque Darwin lui même fut le premier à se désinscrire du "mouvement" Darwinien insistant sur le fait qu'il avait simplement fait un rapport d'un "état" et non l'énoncé d'une "vérité" (comme tout bon scientifique!). Réponse de Kropotkine: ( Non à Darwin lui même, mais à l'usage probablement déjà mis en place d'une application par les renards plumant les pigeons n'attendant que ceci pour se justifier d'une éthique scientifiquement "validée"...) « Dans le monde animal nous avons vu que la grande majorité des espèces vivent en société et qu'elles trouvent dans l'association leurs meilleures armes dans la lutte pour la survie : bien entendu et dans un sens largement darwinien, il ne s'agit pas simplement d'une lutte pour s'assurer des moyens de subsistance, mais d'une lutte contre les conditions naturelles défavorables aux espèces. Les espèces animales au sein desquelles la lutte individuelle a été réduite au minimum et où la pratique de l'aide mutuelle a atteint son plus grand développement sont invariablement plus nombreuses, plus prospères et les plus ouvertes au progrès. La protection mutuelle obtenue dans ce cas, la possibilité d'atteindre un âge d'or et d'accumuler de l'expérience, le plus haut développement intellectuel et l'évolution positive des habitudes sociales, assurent le maintien des espèces, leur extension et leur évolution future. Les espèces asociales, au contraire, sont condamnées à s'éteindre. » à l'évidence, nous sommes en guerre par opposition entre deux conceptions qui hélas sont elles même issue d'un clivage artificiel "culture/nature", ordre naturellement naturel et ordre naturellement non naturelle, le tout blindé de défenses sous entendant qu'on ne peut déboulonné l'ensemble puisque l'intelligence nous affirme qu'elle est naturellement artificielle en se défaussant d'un artificiellement naturelle et ainsi de suite... à l'évidence la proposition de départ opposant le point A au point B est fausse pour la raison que l'opposition est le lien qui s'établit. Il s'agirait donc de ne considérer pas même l'idée d'un contraire (métaphysique?) pour envisager l'existence d'un espace... Une piste à suivre? Et maintenant "N'oubliez pas de couper votre pantalon pour le stylisme de la saison." Actuellement je suis en pagne d'étoffe fine chez moi, ou du moins entre mes murs, lorsqu'en hiver j'emploie une couverture! Bien plus pratique. Vous devriez essayer... Oh bien sûr me direz vous dois je ou non convaincre mon voisin d'abandonner son accoutrement extravagant de braies sociales en signe extérieur d'intégration? Dois je remettre une cravate pour aller m'incliner devant César lui remettant ce qui est à lui? Suis je obligé de me signer d'un latin de cuisine en mangeant mon pain quotidien? Que de référence théologiques aujourd'hui!!! Quand à la maltraitance: syndrome de Stockholm ou syndrome de Lima Toujours une interrogation situationniste, non? Si nous ajoutons dans le panier pouce en bas la perversion dans son sens "premier": « action de détourner quelque chose de sa vraie nature », il me semble que nous avons une piste pour aller voir ailleurs et un peu plus profondément les racines de la "maltraitance" en justification! Et en touche d'humour: "Il y a de moins en moins de prêtres en soutane depuis la gay pride, étonnant non?" Ps; J'aime nos dialogues pour ce qu'ils sont devenu constructifs! vous m'apportez beaucoup j'espère une réciprocité! Et pas de cordialement hypocrite et politiquement correct! UAQVVDB.
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