J'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ? - Page 65

Va falloir en finir avec ce racket organisé . Radars et voitures banalisées en 2025 : ce que vous devez savoir La France renforce chaque année son arsenal de contrôle routier, combinant radars fixes, radars embarqués et désormais une flotte grandissante de voitures banalisées. Mais connaissez-vous réellement les marges d’erreur officielles des radars en 2025 ? Et savez-vous comment identifier ces véhicules discrets qui traquent les excès de vitesse sans éveiller les soupçons ? Radars : des marges d’erreur qui peuvent faire la différence Tous les radars ne sont pas aussi précis qu’on pourrait le croire. Afin de compenser leur manque de fiabilité absolue, des marges d’erreur sont appliquées, influençant directement les infractions relevées et les sanctions associées. Radars fixes : si votre vitesse est inférieure à 100 km/h, 5 km/h sont systématiquement déduits. Au-delà de cette limite, la marge passe à 5 % de la vitesse enregistrée. Exemple : flashé à 87 km/h sur une route limitée à 80 km/h, votre vitesse retenue sera de 82 km/h, évitant ainsi l’amende. Radars embarqués (voitures radars en mouvement) : ici, la tolérance est plus importante. Une soustraction de 10 km/h est appliquée en dessous de 100 km/h, et de 10 % au-delà. Exemple : un conducteur enregistré à 58 km/h en ville (où la limite est 50 km/h) sera considéré à 48 km/h, échappant ainsi à toute contravention. Radars de bruit : nouvelle génération, ces dispositifs ne bénéficient d’aucune marge d’erreur. Un excès constaté entraîne automatiquement une verbalisation. Les voitures radars privées sont de plus en plus nombreuses sur les routes françaises, et en 2025, trois nouvelles régions voient leur déploiement : Auvergne-Rhône-Alpes, Occitanie et Provence-Alpes-Côte d’Azur. Ces territoires rejoignent huit autres déjà concernés, alors que seules la Corse et l’Île-de-France restent épargnées. D’après L’Automobile Magazine et Auto-Plus, ce sont 126 nouveaux véhicules qui s’ajoutent au dispositif. Gérés par l’entreprise privée OTC, ces radars mobiles participent à une privatisation croissante des contrôles routiers, avec pour objectif final une gestion 100 % externalisée. L’enjeu est avant tout financier : selon la Ligue de défense des conducteurs, ces véhicules pourraient générer jusqu’à 118 millions d’euros de revenus annuels. Comment reconnaître une voiture radar banalisée ? Contrairement aux radars fixes bien visibles, les voitures radars sont conçues pour passer inaperçues. Toutefois, quelques indices permettent de les repérer : Des modèles de voitures courants : principalement des Peugeot 308, Renault Mégane ou Dacia Sandero. Des plaques d’immatriculation avant escamotables, dissimulant un boîtier infrarouge. Un module central sur le tableau de bord, visible à travers le pare-brise. Un rectangle noir épais sur la lunette arrière, servant à lire les panneaux de signalisation. Une légère lueur LED la nuit, permettant au dispositif infrarouge de fonctionner en toutes circonstances. Avec ces astuces, les conducteurs attentifs pourront limiter les risques de surprises désagréables sur la route. Entre l’extension des voitures radars et la généralisation de dispositifs plus précis, le risque d’être verbalisé en 2025 pour excès de vitesse est en nette augmentation. Si les marges d’erreur permettent encore de sauver quelques conducteurs de l’amende, la tendance est claire : les autorités visent une détection toujours plus fine et automatisée des infractions. Va falloir que nous nous révoltions