Bonjour a tout le monde voila je vous expose mon probleme au quel je n'est ni reponse ni connaissant de mes droit ... Voila le 24/11/2010 j'ai signer un bail pour une location ds une vielle maison ds laquelle des travaux devait etre emtrepris par le proprietaire. (travaux: reisoler les pieces a vivre car humidites apres 2 ans sans etre chauffer) le loyer etait attratif car 400euro pour environ 100m2 habitable et 200 m2 de grange c'est tres resonnable et de plus tant que les travaux etait en cour je ne payait pas le loyer se qui et logique car la maison etait inabitable mais bon aujourd'hui nous somme le 25/01/2011 et les travaux ne sont tjr pas fini. Donc je decide d'arreter le bail, car apres 2 mois je trouve sa abusif surtout qu'on avait di yen a pour 3 semaines maximun et depuis d'autre location ou j'aurai pu etre deja dedans me sont passer sous le nez car j'etait engager ds cette vielle maison.donc j'en reveint au fait je decide d'arreter le bail mais on me di (l'agence immobiliere car la proprietaire habitant trop loin donc passe par une agence)que je doit payer le preavis de 3 moi c'est a dir 3 mois de loyer alors que je n'est jamais encor habiter ds la maison je trouve sa incorrect et pas du tou logique. donc vous en panser quoi on t-il le droit de fair sa ou pas car la je suis completement deprimer je suis un peu ds la crotte sa me ronge le morale...
Bonjour, Melimelo.
Que dit votre bail, (que je suppose relever de la loi du 6 juillet 1989), relativement :
. à la date d'entrée (pour vous) en jouissance des biens loués?
. Dans les "charges et conditions", rubrique "travaux", existe-t-il une clause de type: "le locataire souffrira sans diminution de loyer, tous les travaux que le propriétaire fera effectuer, même si leur durée excédait 40 jours" ?
. Et au paragraphe "résiliation" ?
A priori, si la date fixée dans le bail pour votre prise de possession effective des lieux (entrée en jouissance) est dépassée; alors que les travaux rendent la maison encore inhabitable; le bail est nul (obligation de délivrance du bailleur non remplie); et donc... pas de congé de préavis à donner, et encore moins à payer.
Bien à vous.