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Recherche auteur de sketchs comique - Page 3

Question anonyme le 26/01/2012 à 09h35
Dernière réponse le 10/08/2017 à 10h17
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Recherche auteur de sketchs comiques .J'ai en projet de monter un spectacle. Si vous êtes intéresse merci de m' envoyer vos propositions par mail à...
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78 réponses pour « 
recherche auteur de sketchs comique
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Réponse anonyme
Le 26/06/2013 é 19h00
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Je suis auteur j'en ai assez des rigolos qui se la joue et me font perdre mon temps Richard
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Réponse de ledruge
Le 26/06/2013 é 22h57
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Tu peux, si tu le souhaites me contacter à l'adresse mail : orlamond@free.fr Je t'envoie un échantillon, sans engagement bien sûr. Si intéressé, on continue, ... A bientôt ! Gérard
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Réponse anonyme
Le 09/12/2013 é 23h15
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Finalement ça n’a pas été trop dur de passer. Quelques billets et nous voilà entré dans le port. Avec mon compagnon d’infortune nous essayons de choisir le bon bateau pour rejoindre l’Europe…notre reve. Notre rêve de tours, d’immeubles, de grisaille, de voitures brûlées. Nous n’avons pas tout ça ici. Ou du moins on n’a pas tout. Nous avons que des petites maisons individuelles sans ascenseurs cassés et sans eau courante. Mais nous avons tous le satellite et toutes les chaînes piratées qui vont avec. Nous n’avons pas de voiture brûlées mais on peut griller nos moutons dans la rue. Le syndic ne nous emmerde pas. Nous n’avons pas de zone de non droit, nous avons droit au policier. On n’a pas droit au graffiti car on ne peut pas acheter de bombes de peinture. On passe nos journées au café car il n’y a que là que l’on peut parler du travail que l’on n’a pas. On n’a pas besoin non plus du RMI on a le STLC (serre-toi la ceinture). Lors des contrôles de police sur la route nous avons des officiers assermentés à encaisser l’amende directement dans leur poche. Quelle économie par rapport à votre système ! Cette police nous laisse tranquille le reste du temps. Ca n’est pas comme chez vous. On n’est pas contrôlé car on a une tête un peu louche et bronzé. On se contrôle soi même…par la peur. La liberté est totalement contrôlée. On peut tout penser, tout dire, tout contredire en face de sa glace dans sa salle de bain. On obtient facilement des diplômes de commerce et gestion internationale qui nous ouvre les portes du marché du travail au noir. On n’a rien à envier mais l’on veut partir d’ici. Alors que l’on est bien dans nos maisons avec nos parents, nos frères et sœurs, nos grands-parents, nos oncles, nos cousins. On est tous solidaires. Ceux qui travaillent ramènent l’argent pour faire vivre la tribu. Nous avons aussi une sécurité sociale qui couvre les frais attenants à votre hospitalisation. En vous laissant libre choix de la qualité et de la rapidité des soins. Suivant vos capacités à remettre des enveloppes aux personnels soignants. Tout est à votre convenance, rien n’est imposé comme vous dites là bas. Les crédits sont gratuits…chez l’épicier. L’administration vous facilite des rencontres en vous permettant de discuter de grands moments avec vos collègues de la file d’attente. Soyez généreux l’administration vous le rendra. Nous avons aussi des cinémas avec des films récents avec de nombreux entractes que nous appelons ici coupures. Cela nous permet d’avoir des films plus courts et plus condensés. Certains ne sont d’ailleurs guère plus longs que la bande annonce. On aime bien les nouveaux films de kun fu car il n’y a pratiquement rien à couper. On n’a pas besoin de voiture. Une bonne mobylette nous suffit bien pour faire un trajet de 200 km en deux jours. Les plus chanceux ont des ânes car ils n’ont pas besoin de voyager. On a les plus belles banques du monde qui font facilement des crédits si vous amenez 90 % de la somme empruntée et que vous hypothéquiez votre maison. Je ne sais plus pourquoi on veut partir mais on a envie de voir la vie en trois dimensions. Cela fait un moment que l’on tourne entre les containers et les grues de chargement. On essaye d’échapper aux douaniers maritimes qui tournent sur la plate-forme portuaire à la recherche de clandestins. Le soir commence à tomber. Il fait froid en ce début de Février.Nous décidons d’attendre la nuit pour tenter de monter sur un bateau en partance pour l’europe. Le plus dur est de choisir le bon et de ne pas se retrouver le lendemain matin sur un bateau qui part pour un autre port de notre pays et de se retrouver accueilli par une brigade de gendarme qui nous mettra au frais pour quelques années. Ou que nos gentils gens de la mer nous jettent par-dessus bord pour appâter les requins une fois partis. Il faut que l’on évite aussi les bateaux de pêches qui peuvent naviguer un grand moment dans les eaux territoriales et nous ramener dans le même port après quelques semaines de pêche en haute mer. Nous aimerions aussi ne pas prendre un pétrolier pour se retrouver en Arabie Saoudite avec nos amis les nomades du désert pour creuser des puits le restant de nos jours. Nous continuons nos recherches alors que la nuit vient de tomber. Tout à coup une ombre passe entre deux containers. Puis une deuxième et nous entendons des chuchotements. Nous restons terrés derrière un gros tas de sac de jute dégoulinant d’humidité. Nous essayons de comprendre ce qu’ils racontent. Ce sont deux douaniers qui sont en train de piller le container ouvert. Eh ! Bien il y a du beau matériel dans celui-ci. Regarde ça doit être un européen qui vient s’installer ici. Et ça c’est quoi ? L’appareil à fondue. Pourquoi le ramène t- il alors ? Et ça ? Un magazine de cul regarde…. Alice Sapriche se dévoile enfin. Bon filons on reviendra demain matin tôt pour se servir avec le chef. Car tu sais il n’ait pas content lorsque l’on ne partage pas. A propos tu sais qu’il est en train d’ouvrir un commerce avec tout ce que l’on emprunte. A oui et comment il va l’appeler son magasin. Y a qu’a ce servir. Nous restions cachés en espérant qu’ils laissent le container ouvert pour que nous puissions prendre quelques victuailles avant de monter dans un navire. En effet ils partirent en claquant la porte sans remettre le canedas. Nous nous approchâmes prudemment de celui-ci pûmes prendre quelques boites de sardine et autres biscuits.. Du chocolat au lait de poulain. Du pain d’épice ça ne nous changera pas. Nous nous installons dans un hangar pour déguster notre butin. Mohamed ne sachant pas se retenir se retrouva dans un état lamentable. Lui qui ne buvait pratiquement jamais d’alcool Chez lui. L’alccol n’est pas interdit mais il est fortement conseillé de le boire en cachette chez soi. Vous savez d’ailleurs pourquoi on boit beaucoup de coca cola pendant le ramadan ? Car l’alcool est strictement interdit pendant cette période vous me direz. Et bien ça nous permet de dissimuler notre Gin ou whisky dedans. Il faut nous voir chaque fin de semaine revenir du centre ville avec nos sacs plastiques hermétiquement fermés. Nous ne rentrons pas chez nous. Nous allons dans des coins isolés ou à la campagne pour ingurgiter notre dose. Car on ne boit pas même un peu devant sa famille. Chacun boit avec les autres. Les autres c’est personne. C’est pas de jugement, pas d’hypocrisie. Ca me fait penser à ces princes d’Arabie qui à peine monter dans l’avion soulève leur turban et demande un whisky bien tasse à l’hotesse. Titubant j’essaye de le faire sortir de sa torpeur pour que nous puissions embarquer cette nuit. Il n’y a plus personne sur les quais. Il ne doit pas être loin de minuit. L’heure du passage. Les douaniers doivent être au chaud dans leur guérîtes en train de boire leur trentiéme café de la journée et de se partager le butin du jour. A savoir bakchich et autre dont forcé. Mohamed commence à revenir à lui et nous commençons à repérer des bateaux susceptibles de nous accueillir. Ou plutôt nous essayons de savoir lequel part en Europe et quand. Le seul moyen que nous avons et le nom du navire et le drapeau qui flotte sur les mats et autres radars. La mouette ou le récif ne nous tentent pas vraiment. Il y a une légère connotation de bateau de pêche. Certain ont des noms étrangers que nous ne comprenons pas mais qui nous intéresse. Nous sommes attirés tous les deux par un énorme navire qui se trouve à l’autre bout du quai et qui est illuminé de milles feux. Obstensiblement nous nous dirigons vers ces feux de l’espoir. Nous nous arrêtons à 100 m cachés derrière un pylône. J’essaye de déchiffrer le nom du bateau. Il me semble que le pavillon est celui d’un pays nordique et que son nom est master congress. Ca ne nous aide pas beaucoup mais il règne autours une grande agitation malgré l’heure tardive. Des dizaines de petits tracteurs tirant de petites remorques remplies de caisses et cartons n’arrêtent pas de sortir et de rentrer dans les soutes du navire. C’est fou ce qui peut bouffer ce navire. On dirait l’entrée d’un tunnel menant à notre eldorado. J’imagine qu’il y a tout ce que nous rêvons de l’autre cote. Mais comment faire pour rentrer. Nous refflichisssons un moment mais aucune idée possible nous vient à l’idée. Le seul moyen reste toujours le même ici. Quelques billets dans une bonne poche génèreuse et pas trop gourmande. Une poche qui est comme une bouche d’egout. Elle absorbe tout. Les bons et les mauvais billets. Elle ne ce souci pas de la morale, elle l’absorbe aussi en justifiant que les autres font pareils. Une bouche d’égout ouverte mais qui cette fois a le goût de la liberté. Un compatriote arrive avec son âne et sa remorque remplie d’orange. Nous lui faisons signe discrètement. Il arrête sa carriole et descend nonchalement pour se diriger vers nous. Il sait qui nous sommes et lui aussi a besoin d’un complément de revenu. Il faut dire que son patron l’emploi depuis longtemps gratuitement. Il lui doit tout. Il l’a élevé depuis sa petite enfance car ces parents ne pouvaient plus le nourrir. Il lui doit bien ça. Arrivé près de nous dans le noir le long du mur il fait mine de s’allumer une cigarette. Nous lui chuchotons notre idée. Nous lui monttrons quelques billets et il fait tout de suite mine de partir. Nous le rappelons en lui montrant 2 billets de plus et il s’en va. Il monte sur sa charrette et amène celle ci près de nous le long du mur. Il reste immobile sur son siège. Je m’approche de lui et lui remets notre droit de passage. Puis nous commençons à monter sur la remorque et aménageons notre cachette derrière les caisses d’oranges. Mohammed ne peut s’empêcher de renverser une caisse et quelques fruits tombent à terre. Le policier en faction devant la porte se retourne. Son tour de taille à l’air de nous indiquer qu’il préfère un régime à base de couscous à l’huile que de bananes fraiches. A moitié endormi il hésite à se déplacer pour connaître les raisons de cette chute. Mais l’appât du gain est plus fort. Il a compris. Il s’approche de notre charrette. Nous ne sentons pas de la frayeur, mais que nos économies vont y passer. Il adresse un bonjour sévère à notre chauffeur et contourne la charrette pour venir près du mur. Il s’approche, pose son dos le long de la charrette et commence à nous parler. Bonsoir Nous ne répondons pas. Bonsoir dit-il de nouveau d’un ton plus agressif. Alors les marins, il fait bon dans ces oranges. Vous voulez que j’appelle mes collegues. C’est très grave vous savez. Nous répondons : nous voulons partir en Europe. Oui je sais mais c’est interdit. Oui …mais Bon je vais aller prévenir les autres dit-il en commencant à faire un léger pas en avant. Stop, stop…. Nous ne sommes pas des voleurs nous voulons juste partir. Mais le règlement c’est le règlement dit-il en faisant un deuxième pas en avant. Lui-même commençait à douter de notre offre. D’un coup je lui dis : 500. Il se retourne d’un air songeur, et d’un discret geste nous montre deux doigts de sa main gauche. Le double me dis-je et bien il est gourmand. Je commence à en sortir pour 700.Quand il voit les billets il se retourne et fait mine de partir. La partie n’est pas gagnée. Je ressors deux nouveaux billets et je le vois un léger rictus sur son visage signifiant qu’il fermera désormais les yeux. On aurait cru qu’il était content de son devoir accomplit. Oui car il s’agit bien d’un devoir accomplit pour sa famille. Il va ramener un peu de sou ce soir pour améliorer l’ordinaire. Il fait signe d’un air hautain au paysan d’avancer sa charrette et de monter dans le bateau. J’aime cette odeur d’iode et de navel quand nous franchissons la cale du navire. Heureusement qu’il est à cheval car notre cache n’est pas des meilleurs et des plus confortables. On entend crier dans tout les coins.des ordres et contres ordres donnés dans tous les sens. Toujours avec l’impression que tout le monde s’engueule. Mais en fait c’est notre façon de parler. Il nous amène près d’une sorte de mini quai en fer. Il descend de sa charrette, reprend un clope et observe les alentours. Car lui il risque autant que nous. Le policier n’a rien vu. Mais lui est responsable de sa carriole comme s’il transportait une tonne de haschich dans un camion plombé par les douanes. Il nous fait signe qu’une porte sur notre droite est ouverte. Il commence en sifflotant à bouger quelques caisses pour nous laisser un passage. C’est alors que le receptioniste arrive en hurlant comme un putois. Il commence à l’engueuler et lui dire de débarasser de là avec son canasson. D’ailleurs celui-ci ne se sent pas très à l’aise sur cette terre qui bouge. Il ne sort rarement de son souk. On dirait qu’une certaine nausée est aussi en train de lui monter au bulbe. Ce n’est pas un hippocampe tout de meme. Il reçoit tout à coup un violent coup de fouet et son patron lui donne un violent coup sur les mors pour le faire reculer. Et ce n’est pas évident de faire reculer un cheval avec 5 tonnes d’orange sur sa charrette. Il se met alors à gueuler comme un ane. Il se met à se cabrer et à essayer de se détacher de ses sangles. Dans la violente ruade il donne un méchant coup de sabot qui fait tomber la moitié des caisses sur notre tête et par terre. Le réceptionniste se met à hurler comme un fou et se jette sur les rennes du cheval pour essayer de le calmer. Profitant de ce remue ménage je prends Mohammed par le bras et lui fait signe qu’il faut courir vers la porte pendant que le réceptionniste essaye temps bien que mal de maîtriser l’animal. Nous sautons de notre charrette et nous nous dirigeons précipitament vers cette ouverture. Nous rentrons. Nous tombons sur un grand couloir sombre parsemé de lumière verte. J’aperçois une porte en face ou est inscrit « porte de service. Je me demande bien ce que cela peut vouloir dire. Nous entrons et nous retrouvons entourés de linges et de caisses en verre. Nous devons être dans la buanderie du bateau. Nous regardons tous les deux et nous avons la même idee. Je m’approche de la penderie et inspecte tous les uniformes. « Essaye ce bleu » dis-je à Mohamed. Le voilà entrain d’essayer d’enfiler une tenue de marin. Mohamed en marin alors que la seul chose qu’il connaisse de la mer se sont ces plages ou l’on peut mater quelques filles en maillot deux pieces.Il n’y en a pas encore beaucoup qui osent se mettre en bikini. Elles ont encore plutôt les tenues des femmes des années cinquante. Quand vous allez sur une plage vous avez tous les hommes qui se baignent et quelques femmes en tenu de spationautes qui clapotent au bord de l’eau. Les autres restent sur la plage en rêvant de se rafraîchir quand elles pourront enlever leurs carapaces de coutumes. On n’est pas encore au maillot brésilien avec une ficelle dans les fesses. Ici on porte plutôt le maillot anti coup de soleil de la marque " afganistani "On fait aussi des économies de crèmes à bronzer car les pieds sont dans le sable. Ce qui est bien à la mer c’est la tranquillité. Chacun à sa radio casette à fond sur l’épaule ou à coté de soi pour écouter ces tubes préférés. Le bruit des vagues c’est bien mais nos radios nous servent d’appât à filles. Me re voilà avec Mohamed entrain de lui faire enfiler son pantalon de moussaillon. Il a même des grades sur ses épaules. Ca en jette mais il ne sait même pas ce que c’est une ancre sûrement. A part la plage il connaît aussi très bien les poissons. Soles, mostelles, sardines…en friture. En fait il connaît surtout les sardines car c’est le poisson le moins chère ici. Moi je me prends un costume tout blanc qui doit être celui d’un serveur. La taille va bien mais j’ai des difficultés à placer ce truc noir en forme de papillon. Je me demande un moment si je n’ai pas pris un costume de femme. Ca doit être un ustensile pour femme pour tenir les cheveux. J’essaye de me le mettre au bras mais ça me semble bizarre. Jacqueline se prépare à partir au boulot. Elle prend tranquillement son petit déjeuné pendant que son mari essaye de dégivrer la voiture. Elle est un peu gourmande mais essaye tout de même de faire attention à sa ligne. Un peu de beurre sur un croissant au beurre permet de bien étaler la confiture d’abricot de sa maman. C’est de la pure sucre. Elle se verse ensuite dans son bol ces quelques corns flasks qu’elle noie ensuite sous du bon lait non écrème. Elle adore ce lait bien gras. C’est bon pour la calcification des os. Même si ça ligne en prend un coup on ne peut pas avoir une belle ligne et des beaux os. Les os comme on dit c’est sa beauté intérieure. Et de se cote là elle est très belle. D’ailleurs Gisèle lui a bien dit que son ecxès pondéral venait du poids de ces os. Car un bon os c’est lourd. Y qu’a voir les squelettes des diplodocus. Elle la lu dans Voici de la semaine dernière dans la rubrique votre santé et vous. La semaine précédente l’article était intitulé comment perdre quelques kilo avant les vacances. Elle a le temps. De toute façon elle va d’abord faire cette croisière avec le comité d’entreprise de sa boite. Son rêve. Une croisière d’une semaine sur la Méditerranée en cabine double en demi-pension pour seulement 500 euros. Elle se lève, prend dans le frigo son jus de fruit concentré au extrait d’orange sans fruits rajoutés. Un pur delice. Elle se croit déjà au balcon de sa cabine en train de siroter devant un magnifique levé de soleil…. Quand son mari rentre ! Les doigts gelés il commence à hurler en demandant qui a oublié de rentrer la voiture au garage hier soir. Le problème c’est lui. Obligée de l’emmener avec elle dans cette excursion. Elle aurait tant aimé partir seule avec les copines du bureau et tomber sur un prince charmant qui lui aurait fait la cour, emmener faire le tour du paquebot le soir, fait danser des slows, invité dans sa chambre pour prendre un dernier verre, et … « Passe-moi une bouteille d’eau chaude pour dégivrer la glace « Le charme était rompu. Pas la glace apparemment. Sortant de son rêve elle lui rempli sa bouteille et va se rassoire pour finir son déjeuné. Ah il avait changé son bel hispanique. Elle l’avait connue comme un jeune et beau toréador. Maintenant il aurait plutôt le rôle du taureau avec les cornes. Il était devenu gras et adipeux. Ce n’était pas de la sueur qui sortait des ces porcs mais de l’huile d’olive. Il avait commencé au biberon et continué avec la paella. Faut dire qu’elle l’avait mis du sien car elle aimait bien aussi la cuisine à l’huile. Elle lui mijotait des petits plats dont elle avait la spécialité. Elle l ‘appelait l ‘icebergs. C’était comme une île flottante mais la crème à la vanille était remplacée par de l’huile et le blanc d’œuf par des morceaux de lard et des pois chiches. Ils s’en régalaient surtout le dimanche quand la famille venait manger. Jacqueline finie son bol de corn flask et se lève en décrétant que l’on pouvait partir. Ces quelques 4500 calories lui permettront facilement de tenir jusqu'à l’arrivée de ces copines qui sauf surprise amèneront quelques friandises pour le petit déjeuné du bureau. On ne peut pas commencer une journée sans avoir le ventre creux…à défaut d’être plat. Son mari la dépose au plus proche de l’entrée du magasin pour ne pas risquer de dépenser inutilement de l’énergie par un froid pareil. Elle est un peu comme les esquimaux qui ce gave de graisse l’hiver pour lutter contre le froid. Seulement Jacqueline applique ce principe aussi l’été car elle perd aussi beaucoup d’énergie en transpirant. La traversée du grand magasin commence pour retrouver ses bureaux administratifs. La pointeuse ayant démarrée à 8 heures nous ne sommes pas encore arrivés à destination. Comme pour sa croisière le parcours va comprendre de multiples escales ! Dans chaque rayon un nouveau port Pour celui du poisson c’est normal mais pour les autres. Toutes les occasions sont bonnes. C’est comme s’il elle arrivait sur une terre inconnue tous les matins. Il y a des arrêts : tu es au courant que X, on m’a dit, quelle salope, ça devait arriver, je l’avais prévenu, il y a des affaires au rayon, m’en parle pas…. La halte la plus connue étant quand même tu passe au bureau je te raconterais. Car la traversée du magasin est une mise en bouche des thèmes de discussion de la journée. Arrivée à destination elle enlève ces fourrures de phoques, pardon son manteau et se précipite vers la machine à café pour constater que personne n’en a fait. C’est vrai c’est elle qui arrive la première généralement. Mais pour faire du café il faut du café, de l’eau et des tasses. Deux graves problèmes se posent à elle à peine arriver. Il n’y a plus d’eau et les tasses sont sales. Commencant à paniquer à l’idée de retraverser le magasin pour le préparer elle entend soudain la porte du bureau s’ouvrir. Un chef de rayon. Sauvé. Le pauvre il c’est déjà ce qui l’attend. Il l’a connaît cette Jacqueline il va y avoir droit. D’un sourire ravageur elle lui demande : tu n’aurais pas 2 minutes pour aller chercher de l’eau et laver les tasses. Et ensuite tu auras droit à un bon café. Le bon garçon, levé depuis 4 heures du matin, s’exécute sans broncher. Il sait qu’elle détient un secteur clé de la société. Le service administratif et informatique. Rassurée elle se rapproche de son bureau. Ou plutôt des twins centers de papier éparpillées sur une sorte de plate-forme. Elle connaît chaque tour et chaque étage. Cela s’explique surtout par le fait que ces documents sont souvent des archives et qu’elle a la flemme de les ranger au fur et à mesure. Elle trouvera bien un stagiaire cet été pour les ranger. Ca sert à ça les stages non ? Un petit sourire là voilà assis sur son trône. Elle est désormais la reine du service. Arrivant difficilement à faire une petite place pour poser son sac sur le bureau elle profite de ce moment de solitude pour sortir sa glace et se refaire une petite beauté. Elle aime bien ce rouge à lèvre rouge vermeille. Ca lui fait bien ressortir sa bouche pulpeuse. Ces quelques minutes de silence commencent à l’angoisser. Enfin le garçon de café revient avec toutes les fournitures. Il ne lui reste plus qu’à attendre Marie qui va doit amener les croissants aujourd’hui. Elle se remet à rêver de cette croisière en entendant couler le café. Puis un éclair lui vient à l’esprit. Je vais commencer à ouvrir le courrier ça me fera passer le temps. Heureusement voilà Marie qu arrive avec ses croissants et autres gourmandises. Tiens encore une nouvelle robe ! Tous les jours une nouvelle tenue. Elle n’est pas jalouse mais elle se demande vraiment comment elle peut se payer une telle garde robe. C’est vrai qu’elle est quand même bien foutue. Un petit bonjour et un petit sourire ça suffit. Avec elle ça change tous les jours. Un jour c’est sa copine quand elle est de son avis et une conne quand elle la contrarie. De toute façon la brouille ne dure jamais tellement longtemps car avec qui parlerait-elle sinon. Elles sont deux moulins à paroles qui déversent des océans de banalités. Marie est plutôt revendicatrice et syndicaliste. Elle fait parti du CE et c’est grâce a elle qu’elle a pu obtenir ses deux places pour la croisière. Maurice est aux anges. Il vient d’avoir la confirmation pour la croisière. Lui qui n’est presque jamais sorti de son petit village. Les seuls voyages qu’il est fait c’était pendant son service militaire. Sous marinier sur une corvette à Brest. Il n’a que de bon souvenir. Calvados tous les soirs et petites bretonnes. Le seul moment qu’il redoutait le plus était de monter la garde sur le bateau quand il était au port. Car on s’était vite aperçu de son incapacité à naviguer plus d’un quart d’heure sans qu’il ne ressente de violente nausée. Il avait pourtant tout essayé. Mais rien n’y faisait. Alors il gardait le bateau sur la jetée. Faut dire que la guerre était finie. Il ne devait surveiller que les marins ivres revenant du bistrot pour qu’il ne pisse pas sur le bateau ou qu’il ne tombe pas à l’eau. C’est quelqu’un de bien Maurice.Il est agriculteur et viticulteur dans le midi. Il est bien dans son village. Il est respecté car c’est lui qui a les plus belles terres…et qui a le plus d’argent. Il aime les gens surtout ceux qui courbent l’échine devant lui. Car quand il dit quelque chose on l’écoute lui. Il est un peu le maire du village sans jamais s’être présenté. Il a déjà été élu par défaut. Il conseil souvent le maire d’ailleurs mais ne se risque pas à prendre position. . Il tourne là où va le vent. Là où va son intérêt. Il est craint aussi car il a de sacré coup de gueule Maurice. Surtout quand il dépasser les 8,0 grammes. On est toujours prêt à lui payer une tournée au bistrot de Raymonde. Il aime bien s’écouter parler et raconter ses histoires de chasses. D’ailleurs quand on lui parle il regarde son interlocuteur d’un air un peu ébahi et quand il a fini reprend son discours. Les étrangers de la ville ont d’ailleurs quelques fois un peu de mal à le comprendre. Entre son accent et son élocution parfois on se demande de quel pays il est. Mais mieux vaut faire semblant de comprendre car quelques fois il s’arrête dans son monologue pour vous demander votre abrobation. Et là il faut être capable de répondre par oui ou non. Ou par hochement de tête qui veut dire les deux. Le mieux c’est quand même de posséder quelques phrases toute prêtes. N’importe comment ! Les goûts et les couleurs ! A ça ! Il aime bien le maire aussi. Il l’invite souvent à manger. On peut aussi dire qu’il l’achète à manger. Car les discussions sont toujours rentables. Il parle par exemple du Plan d’Occupation des Sols. Les POSSSSSSS.Les S en trop correspondent aux posssstillons que vous recevez quand il parle. Et comme occupation il la bien trouvé. Chaque année il le fait changer au gré de ces parcelles qu’il a à acheter ou vendre. Il lui doit bien ça Monsieur le maire s’il veut être réélu. Sinon deux ou trois petits mots bien sentis au bistrot et le voilà remplacé aux prochaines élections par le nouveau favori de Maurice. Non pas vraiment le favori mais le plus docile et malléable. Il est généreux aussi. Il s’occupe de beaucoup d’association qu’il a créé lui-même. L’association de la défense de la grive musicienne des hauts plateaux. Ce qui ne l’empêche pas d’en massacrer un grand nombre chaque année à la chasse. Il ne connaît rien à l’écologie mais il sait qu’elle se tire avec du neuf et qu’elle se mange avec du genièvre. L’amical des anciens marins du destroyer le « valeureux. Dont il est le seul membre dans le village. Cela lui permet de faire quelques voyages à Brest au frais des sociétaires. Après ces notes de frais il ne reste pas grand chose pour défendre le pauvre volatile ou pour restaurer le pauvre navire. Mais il promet à la fin de chaque réunion ou banquet que l’année prochaine on va s’en occuper sérieusement. Il se rend aussi souvent à l’hoptital du village. Il fait le tour des chambres comme un grand ponte de la chirurgie. Ce qui l’interesse surtout ce sont les personnes agées. Il écoute bien les commentaires des infirmières et n’hésite pas à demander confirmation à ses amis docteurs. Car il a le sens des affaires aussi. Il aime beaucoup les veuves de 70 ans et plus. Surtout qu’il est bien aidé par Aimé le notaire. Il faut savoir rendre service et proposer à ces pauvres mourantes le service du viager. Il n’a pas de mal à savoir leur état après avoir fait ingurgiter moult alcool de prune et de poire au brave docteur Henry. Il fait tout ça bien sur pour rendre service. Il aime la chasse surtout la chasse au sanglier. Il emmène ses deux fils et quelques amis. Lever 6 heures du matin et petit casse croûte à 8 heurs avec les copains. Une petite riette avec un peu de cochonnaille n’a jamais fait de mal pour préparer une virée. Arrosé par un petit blanc madérisé de 1978 biens frais ça donne des forces pour patienter à l’affût pendant 6 heures. C’est sa passion à Maurice. Ils partent ensuite dans de gros 4x4 sur des routes de montagnes qui heureusement ne sont pas trop fréquenté par les gendarmes. Car déjà le degré d’octane dans le sang est bien élevé à 9 heures. La route lui appartient aussi. Pas a de stop, pas de respect de ligne blanche, Maurice part en guerre. Car il s’agit bien d’un conflit armé. Ils sont tous armés de carabine à répétition qui porte à plus d’un kilomètre. Pour se tenir au courant de l’évolution des hostilités ils tous munis de taki walki de dernier cri. Il ne leur manque plus qu’un petit hélicoptère. « Sanglier à 2 heures », « chevreuil à bâbord » hurlent-ils tous pendant la chasse. Il faut dire qu’entre les qualités de transmission et leur accent ils sont vraiment les seuls à se comprendre. Les gendarmes ont essayé plusieurs fois d’intercepter leur conversation mais en vain. Il croyait capter des dialogues de la station Mir entre américains et russes. Car les taki walki sont bien sur interdit pendant la chasse. Mais Maurice n’en a cure. Il veut son cuissot ce soir. Car il faudrait partager les morceaux avec les amis. Et c’est lui bien sur qui le fera suivant son intérêt. Les bons cuissots pour le docteur et le notaire et les morceaux plein de gras pour le pauvre paysan. Son congélateur est déjà plein mais il lui en faut toujours plus. Il les mettra à cote des 30 kg de sole que sa femme à acheter en promo la semaine derniere. Il n’en mange pas mais elles étaient en promo. Alors des fois pour impressionner un invité…et lui faire croire qu’il les pêche lui-même dans la rivière du coin. Il y a partout des coulions. Le voilà ce beau male. Il est un peu loin mais mérite 3 coups de carabines pour relancer les chiens. Et pan, pan, pan ! La terre gicle dans tous les sens, les chiens se remettent à courir, le sanglier tourne completement et s’en va grimper la colline. Ou va-t-il cet abruti…il va nous échapper il n’y a pas de chasseur posté la haut. Pan, pan, pan il va finir par changer de route ce cochon. Mais rien n’y fait. On n’entend plus rien. Même pas les chiens. Ils sont passés de l’autre coté. Il n’y a plus qu’à attendre. Mais c’est qu’il fait froid dans ces montagnes. Alors Maurice ce fait un petit feu pour ce décongeler les doigts. Il appelle ces copains et discute sur cette partie de chasse. Il est un peu déçu car il s’en occupe de ces bestioles. Tout l’été il leur donne à manger du mais et des betteraves pour qu’ils ne partent pas trop loin dans le Nord. Ca ne lui coûte pas trop cher non plus l’agrainage du gros gibier. Car l’animal ce régal aussi d’abricots et de raisin. Alors quand il commence à faire du dégât dans les vergers il va se plaindre à la mairie et obtient des subventions pour réparer ses dommages. C’est qu’il est finaud le Maurice. Il demande en même temps une autorisation de chasse administrative pour abattre quelques bêtes pendant l’été. Car six mois sans la chasse c’est long. Le soir est venu. Ca fait de longue heure que l’on n’a pas entendu les chiens menés. Ils doivent être déjà à plusieurs kilometres. Il est temps de rentrer. Maurice appelle ces collègues en annoncent que la bataille est finie et perdue. Mais pas la guerre. Car heureusement le congélateur est là pour sauver notre équipe d’aventurier. Ils rentrent tous frigorifiés dans la maison de Maurice qu’il les a bien sur invité pour se réchauffer et raconter leur exploit. Ils se serrent tous prés du feu et Maurice leur sort son vin de fabrication artisanal. Il le tire directement d’un petit tonneau qu’il a dans sa cave. Une bonne piquette qui réchauffe. Plus proche de l’antigel que d’un nectar. Comme on dit il tient bien en bouche ! Ou plutôt tu dois avoir la bouche bien accroché. Car son taux d’acidité est en rapport avec la dose de souffre rajouté dedans pour qu’il ne tourne pas. Son PH doit être proche de l’acide tartrique. Mais il se boit bien frais ce petit blanc avec une petite crème de cassis. Le cassis adoucit les blancs comme ils aiment bien dire à Maurice pour ne pas le vexer. Chacun y va de son histoire de chasse. Déjà racontée plusieurs fois elle fait toujours le bonheur des convives. Ce sont toujours celle de Maurice que l’on préfère quand même. Il a le don pour enjoliver et capter l’attention. Ces sangliers à lui étaient plus proches de l’animal préhistorique. Par la grandeur et l’agressivité. C’est bien sur lui qui tirait le mieux et surtout à grande distance. Ce qui est d’ailleurs un véritable danger pour les ramasseurs de champignons et promeneurs. Généralement le pauvre sanglier recevait tellement de balles de toutes les cotes que l’on ne savait plus qui l’avait tué. D’ailleurs on ne savait plus très bien si c’était un sanglier, un chevreuil ou un lièvre tellement qu’il avait été plombé. Mais le coup mortel était le coup de Maurice. Voilà il est content. Il va pouvoir leur faire goûter la friture de sole que sa femme à préparée en guise d’entrée. Ce n’est pas sa spécialité mais tout ce qui est à l’huile elle aime le cuisiner. Les pauvres elles paraissaient presque dans leur milieu naturel dans cette mer d’huile d’olive. Puis vient le plat de résistance ou de la résistance. Une soupe de gras de sanglier. Des morceaux de couennes baignant dans un bouillon épicé. ………… Nous sommes enfin prêts. Lui déguisée en matelot et moi en maître d’hôtel. Nous parcourons les couloirs dans tous les sens. Personne ne nous remarque. Il y a apparemment des gens de toute nationalité qui porte les mêmes costumes que nous. Nous décidons de nous séparer et de nous fondre dans la masse. Je monte encore quelques niveaux et me voici sur le pont. Je regarde les lumières de mon pays. Mais les vrais lumières sont de l’autre cote. Celle de la grande vie, de la belle vie. De la vie. J’ai comme un sentiment de lâcheté de partir. Mais je n’ai pas le choix. Je ne peux pas faire sauter toutes les entraves qui gênent au développement de mon pays. Je veux vivre maintenant. Je ne peux pas attendre que mon pays face parti des grands de ce monde. J’espère seulement pouvoir revenir pour un jour créer quelque chose avec mon pécule que j’aurais amassé en occident. Car l’occident ne le lâche pas comme ça son argent. Il faut venir le chercher. Et parfois en mourir. Notre civilisation si avancé autrefois c’est comme arrêté d’évoluer. Nous devons rattraper ce retard rapidement. Mon papa, ma maman sont là bas dans la campagne. Ils sont pauvres mais ils sont heureux. Mais pour notre génération une chose à tout changé : le satellite. Il recouvre tous les toits des quartiers. Du plus huppé de la capitale jusqu’au bidonville. Il nous a fait évoluer et rêver. On ne désir que ce que l’on n’a pas. Chez nous on a presque tout mais on ne peut pas ce le payer. C’est cette frustration qui nous fait fuir. On veut toucher la réalité de ces images et les acheter. Quelqu’un passe rapidement près de moi et me tape sur l’épaule en me disant « viens vite c’est l’appel. Je m’aperçois qu’il est habillé comme moi. Sans vraiment comprendre ce qui ce passe je le suis. Je me retrouve au milieu de gens qui portent exactement le même uniforme. Personne ne dit mot. Nous sommes presque une centaine de personne. Nous attendons au milieu d’un grand hall au bas d’un majestueux escalier recouvert de moquette. Au bout d’un long moment un grand monsieur en costume noir s’approche de nous. « Bonjour, je m’appelle Alain et je suis votre responsable d’équipe ». « Chacun à son poste le premier service commence ce soir » Chacun part de son cote d’un air très déterminé. Moi je ne sais même pas ce que je dois faire et ou aller. J’hésite un moment et avant de me retrouver seul au pied de cet escalier je suis un petit bonhomme qui me paraît sympathique. Je lui demande son nom : il me répond Chang. Il me demande le mien et d’où je viens. Je ne peux pas mentir sur mes origines et lui donne ma véritable identité : Brahim. « Alors toi aussi tu travail en salle » Je lui demande pourquoi il me pose cette question en regardant mes vêtements. « Je te demande si tu travail pour le service en salle des clients » Je ne comprends toujours pas mais je lui réponds d’un petit oui. Apparemment je dois être à la buanderie ou autre service de nettoyage. Mais bon peu importe il faut que je fasse discret et que le bateau parte avant que l’on m’ai repéré. Ca sent bon. On doit approcher des cuisines. Nous entrons dans une immense pièce avec pleins d’hommes en blanc et des képis sur la tête. Soudain une flamme immense jaillit d’une casserole. Le cuisiner qui se trouve juste devant ne semble pas réagir. Ni Chang. Comprenant que la situation est grave je me retourne vers l’évier derrière moi rempli une cuvette d’eau et jette le tout sur le cuistot et la casserole. Il se met à crier et à injurier tout en regardant le résultat de mon action. Il a l’air complètement décontenancé. Il regarde son plat et relève sa tête dans ma direction. Il s’approche de moi et me dit d’un ton agressif. « Tu veux mes bananes flambées dans la tronche. Chang me tire par la manche et m’incite à le suivre dans une pièce à coté ou de nombreux autres serveurs s’affairent. « Entrées pour la douze » « ok pour la 26 » Je ne comprends rien mais j’essaye de suivre mon ami. Je prends quelques assiettes qui traînent sur le comptoir. Du moins j’essaye. Car je vois Chang qui tel un magicien prendre 3 assiettes dans chaque main. La je commence à paniquer. Je me mets pratiquement a genou devant le comptoir, étend mon bras sur celui-ci et pose une première assiette sure mon bicep droit. Puis j’en prends une seconde et la pose sur mon coude et la troisième je la mets dans la paume de ma main. Les gens se sont arrêtes nets de travailler. Ils ont été comme saisis par ce que je faisais. Je ne me suis pas dégonflé et j’ai étendu mon autre bras sur la table et demandé à un autre collègue de placer les autres assiettes sur mon deuxième bras. Je tremblais. Les assiettes aussi. Il fallait voir la tête du flanc d’aubergine. Les assiettes commençaient aussi à se toucher et à s’entrechoquer en emmetant un léger tintillement. On se serait cru un peu au cirque avant le numéro final. Il ne manquait plus que les roulements de tambour. Mais maintenant il fallait que je me relève. Certains commençaient à battre des mains pour pour m’encourager. Je commençais à transpirer. J’avais l’odeur dans le nez de caviar d’aubergine. Certains plats étant chaud je commençais à ressentir des brûlures sur mes bras. Je regardais Chang et ses 6 assiettes en me demandant comment je pourrais me relever et surtout plier les bras comme lui. La foule grossissait. Ghang commença à entonner « allez Brahim, allez Brahim. Les autres amplifièrent cet encouragement en tapant des mains de plus en plus fort. C’est alors dans un effort désespéré je me suis relevé avec les bras tendus et mes assiettes tremblantes. J’avais réussi. Je me suis retourné, et la foule m’a acclamé. Je commencais à avoir des crampes. Chang m’a alors fait signe et je l’ai suivi sous des olé général. Il a poussé violemment la porte devant lui et est entré dans une immense salle remplie de tables et de convives. Je me retrouvais dans cette foule comme un somnambule réveillé. Les gens se retournaient sur mon passage moitié étonné moitié sutpefait. D’autres souriaient je ne savais pas pourquoi. Je marchais comme un automate en essayant de ne pas tomber. Chang me guidait parmi les tables. Je n’en pouvais plus. Mes bras me faisaient mal. Chang stoppa et moi aussi. Il me regarde et annonce « un caviar d’aubergine" Jacqueline est là assise à coté de ces collègues du comité d’entreprise. Elle est toute belle là Jacqueline comme on dirait à une vache venue faire la belle au salon de l’agriculture de Paris. Elle s’est bichonnée, brossée le cuir et enduit de fond de tain. Il ne lui manque que la cloche. Mais heureusement son mari est là. Il est là à coté d’elle le regard langoureux en se demandant combien elle avait du dépenser en produit de beauté pour être aussi séduisante ce soir. Il était amoureux. Il serait même prêt à lui payer un lifting des mamelles et du train arrière. Pour la croupe il pensait qu’une bonne liposuccion ne serait pas de trop. Mais il avait toujours eu peur de cette pratique médicale. Il avait peur que l’on lipo suce un peu trop et qu’un morceau du bulbe rachidien ne soit aspiré dans la pompe. Car là ça compliquerait les choses. Il faudrait réinjecter le cerveau dans la tête de Jacqueline. Si l’on fait une erreur de manipulation on va lui réinjecté de la graisse dans la tête et le cerveau dans les fesses. Remarque que des fesses intelligentes ça peut être agréable. Des fesses avec un Q I de 80 ça doit valoir le coup si j’ose dire. Des fesses chercheuses, des fesses calculeuses… Seule Jacqueline pourrait répondre : « votre science je m’assoie dessus ». Ou Elle a une science énorme. Il a un peu la tête qui lui tourne car le séjour sur ce paquebot est open-bar. C’est à dire que l’alcool est gratuit et à volonté pendant la croisière. Et comme il a un léger penchant pour la boisson il a déjà siroté quelques verres de kir. Il est à cote de Marie la responsable du comité d’entreprise de la boite. Il l’a toujours aimé et ce soir il est prêt à tenter sa chance. Il lorgne sur son décollée qui mettent en valeur ses petits seins. Ca lui change de la taille pie de sa femme. Il essaye d’avoir une discussion soutenue et l’écoute déblatérer ses revendications comme si elle était en réunion de CE. Il n’en a rien à faire, fait semblant d’écouter en pensant à la prochaine question qu’il va lui poser pour essayer de la séduire. On a le droit, il doit, il faut que, elle n’arrêtait pas de lui hurler les droits des salariés. Lui commençait surtout à rêver de l’emporter dans sa cabine et de lui montrer ce que c’était un homme un vrai. Ou plutôt de part ses origines espagnoles il voulait lui proposer une corrida avec une mise à mort par plaisir. Il en serait le taureau et elle la vachette. Il se voyait en taureau vêtu de l’habit de toréador surtout au niveau du bas ventre qui ferait ressortir ses superbes attributs. Il l’a poursuivrai dans toute la chambre en grognant et suant. Il mettra une musique de flamenco pour ce mettre dans l’ambiance de l’arène. Son sabre dans la main il effectuera des prouesses jamais vues. Il la plaquera à même le sol sous les hurlements de la foule. Transpirant de sueur il la retournera et dans un. « C’est pour vous les gambas grillées » Brahim à cote de lui lui proposait son plat. Il s’éveilla en le remerciant. Deux gambas grillées avec un demi-citron. Il était un peu déçu. Il commença à dépiauter ces crevettes tout en écoutant sa voisine. A la table d’à coté il y avait de l’ambiance. Maurice avait amené avec lui la moitié du village. Il n’avait pu s’empêcher de tous commander des assiettes de charcuterie. Un serveur s’approcha de Maurice ; « St Estephe 1981 » Maurice répondit : « c’est du rouge ? » Le serveur acquiesça et versa un fond de vin dans son verre. Interloqué il regarda le serveur. Il lui arracha la bouteille des mains et hurla « tournée pour tout le monde » Toute la table s’esclaffa. Apres avoir vidé la bouteille il se retourna vers le serveur ébahi et lui dit : « Un autre petit. Le serveur s’en retourna tout penaud. Les histoires de chasse reprenaient de plus belle. Il vint à l’idée de Maurice d’organiser dés demain un bal trap sur le bateau Les vapeurs d’alcool commençaient à faire leur effet à toutes les tables. Il commençait à être dangereux d’allumer une cigarette sans avoir d’extincteur à proximité. C’est alors qu’à peine le dessert fini un orchestre se mis à jouer un air de valse. Maurice tenta de se lever d’un coup pour danser mais il du si reprendre à deux fois pour ne pas chavirer. C’est le tangage des décilitres d’alcool dans son estomac qui l’incommodait légèrement. Une fois debout il scruta la salle à la recherche de sa proie. Il détailla chaque femme présente au repas. Trop grosse, trop vielle, trop jeune, fatalement son regard rencontra celui de Jacqueline. Un regard qui en disait long. Du cote de Jacqueline des yeux couverts de rimmel coulant et une bouche prête à embrasser toutes les occasions. Maurice s’avance doucement dans la salle en se rapprochant de la table de Jacqueline. Il y avait du monde. Il transpirait et s’essuyait de temps en temps avec la veste de son costume. Il se retourna subitement car il avait oublié quelques choses sur la table. Son verre. Il le remplit et se retourna. Il sursauta et vit devant lui un être avec une grande barre rose qui lui barrait le visage. C’était Jacqueline en chair et en chair avec son rouge à lèvre aguicheur. Elle tenait aussi un verre à la main. Mais c’était du champagne pour madame. Lui préférait rester au rouge. Elle lui tendit son verre pour fêter ce premier jour à bord. N’en croyant pas ces yeux il avança son verre un peu brusquement et renversa la moitie de celui-ci sur le corsage de Jacqueline. Il devint plus rouge que du st emilion vieillie en fut de chêne. Il s’excusa et alla prendre sa serviette pour essuyer toute cette lie qui recouvrait la poitrine de Jacqueline. Elle ne dit pas grand chose lorsqu’il commença à la nettoyer. En fait la tache s’agrandie encore plus sous les multiples passages. Elle se mit à rire aux éclats en disant que c’était le baptême du feu. Toujours confus Maurice essayait encore de s’excuser mais Jacqueline ne comprenait rien. Les effets du st espehe et la gêne faisait sortir de la bouche de Maurice une sorte de dialecte neo-subo-canarien. .Elle tenait son chevalier servant. Un homme mur qui dégageait à part l’odeur une grande assurance. Car pour l’odeur buccale elle était servie. Il n’avait mangé que de la cochonnaille en entrée, et un cuissot de flageolet comme plat. Comme dans la salle il y avait beaucoup de bruit il s’approchait d ‘elle pour lui parler. Elle avait de la chance. Elle avait les effluves portuaires et en plus le crachin des postillons de Maurice. Elle se serait crue dans un port ou avec un porc. Elle s’en fichait ce soir elle voulait s’éclater. Elle l’était déjà bien d’ailleurs. Son corsage à moitié déboutonné par les dégraissages de Maurice et sa crème de soin anti-age qui commençait sérieusement à dégouliner avec la chaleur. Elle se passa une main dans les cheveux pour voir si son chignon tenait bien. Ce qui permit à Maurice de voir ces dessous de bras velus et transpirant. Elle aimait bien cette coiffure. Ca lui dégageait bien le visage. C’est vrai que ça dégageait vraiment. Maurice n’y tenant plus lui proposa un petit slown pour ce faire pardonner. Il prit sa main gluante et l’amena au centre de la piste. Il se colla contre elle et essaya de faire le tour de sa taille avec ses bras. Il ne voulait pas attaquer trop fort le Maurice. Il avait de l’éducation lui. N’arrivant pas à emprisonner sa victime il se résolût à ne faire qu’un demi-tour. Il se mit à rigoler dans son fort intérieur. Tour de Balel ! Pourquoi riez-vous ? Maurice gêner ne répondis pas et lui demanda son nom. « Moi c’est Jacqueline » dit-elle en se collant un peu plus à lui. « Moi c’est Maurice » dit-il en essayant de ne pas étouffer sous la pression pneumatique du ventre de Jacqueline. Heureusement ils avaient tous les deux des ventres de chambres à air de tracteur. Dansons ventre contre ventre comme disait Charles Aznavour. Il décida de changer de position et mit ses bras autour de l’encolure de Jacqueline. Il rapprocha son visage du sien. Il sentait bien à présent son parfum : Wizard fraîcheur sous bois. Elle se blottie encore plus et pausa sa tête sur son épaule. Il ressentit son souffle directement dans ces oreilles. Elle pouvait admirer ses oreilles velues. « Vous etes venue seule ? » lui demanda Jacqueline. « Oui et vous ? « lui répondit –il « Non mon mari est à coté de la petite brune là bas » dit-elle Jacqueline sentie le désir monté en elle. Elle aimait bien ce type d’homme. Un bon paysan avec les mains calleuses. Elle pencha un peu plus la tête prés du cou de Maurice et lui envoya un violent coup de dent au lobe de l’oreille. Il a mal mais ne dit rien. Il a compris c’est dans la poche. Elle ne tiendra plus longtemps. Il descend légèrement ça main et lui caresse légèrement la croupe. Elle se met à gémir. Patatras l’orchestre se met à jouer du disco. Il ne sait pas le danser et en plus il ne sait pas si sans l’appui de Jacqueline il ne va pas tomber. Elle se recule un peu et lui dit : « Claude François » j’adore. Il titube un peu et commence à voir trouble avec touts ces spots qui se mettent à clignoter dans tous les sens. Il voit la Jacqueline complètement hystérique qui se met à lever les bras et à taper dans les mains. Du moins il distingue que c’est elle car on voit apparaître une sorte de mousse qui arrive de tout coté. Il commence à paniquer. Il essaye de retrouver ses repères et notamment sa table avec tous ces amis de la campagne. Heureusement il n’a pas de mal à les retrouver il lui suffit d’écouter leur chanson paillarde qu’ils sont en train de chanter et de se rapprocher de cette délicate mélodie. Il fait chaud dans ces cabines. Maurice ouvre dificilement les yeux. Il est avachi sur son lit en slip kangourou, son ventre poilu prêt à exploser. C’est plutôt sa tete qui est prete à exploser. Meme s’il est reste au rouge toute la soirée ; la dose ingurgité joue aussi son role. Et ce leger tangage n’arrange rien. Il se léve et tente de regarder par le hublot, mais comme il a pris la classe econoamique il ne voit que le bateau de sauvetage. Il decide de se rapprocher de la salle de bain. Mais son tour de taille l’empeche de rentrer. Il se presente de travers et reussi à se voir dans la glace. Il est encore plein de mousse et de rimelle de jacqueline. Il decide de s’nefermer dans la douche dans l’espoir de se reveiller . Apres quleques minutes il ressort avec un magnifique peignoir blanc qui lui fait ressemebler à un empereur romain. Mais il voit quelque chose bouger sous les couvertures de son lit. D’abord un chevelure apparait vers l’oreiller, puis un front, un nez et un sourire digne de x dans batman. Oui c’est bien elle avec se sourire aguichant. Jacqueline. Il recule d’un pas. Le drap continue et une superbe nuisette de la redoute à 3.55 euro apparait de taille 49. Enfin in découvre une superbe paire de jambon. Jacqueline a encore envie. Elle sourie de nouveau comme un appel .Il aimerait bien ne pas repondre mais elle insiste.il essaye de mettre le repondeur pour lui dire qu’il n’est pas là mais ca ne marche pas. Làa voila debout sur le lit de marque ikea (bonne qualité) et se tremousse en esquissant un strip tease endiablé. N’en pouvant plus in se jette sur elle et se couche ventre contre ventre…..qu’elle adresse. Les hurlements durent reveiller le pont entier. Les passagers heureusement crurent que c’était les sirenes du bateau.
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Réponse de ciccio
Le 10/12/2013 é 13h35
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Je suis effectivement auteur de sketch comique, je cherche un mec sérieux pur interpréter mes textes. Si le feeling passe, je suis prêt à mettre en scène également. Faut voir. File-moi ton mail qu'on se contact.
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Réponse anonyme
Le 11/12/2013 é 23h24
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Auteur déprréssif au bout du rouleau !!!! !!! contactez moi....viite romeo727@hotmail.fr
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Réponse de dave50
Le 28/01/2014 é 17h39
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Bonjour a tous et a toutes! Je suis en train de crée une association afin d'aider et de faire produire des humoristes!! Puisque les maisons de productions sont froides envers les nouveaux talents! Faites vous connaître! reseauuniversautodiffusion@yahoo.fr a bientôt!
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Réponse anonyme
Le 28/02/2014 é 21h35
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Bonsoir en effet nous avons des textes à vous proposer nous sommes toulousains et vous?
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Réponse anonyme
Le 02/03/2014 é 06h24
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Bonjour nous sommes auteurs toulousains et avons quelques textes à vous proposer en revanche pourriez vous nous poster une petite vidéo de vos talents si il y a compatibilité avec nos écritures nous serions heureux de collaborer ave vou
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Réponse anonyme
Le 02/03/2014 é 06h29
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Oui pourquoi pas envoyer mail à jjdom-31@hotmail.fr
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Réponse anonyme
Le 18/03/2014 é 13h53
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Bonjour à vous. Vous écrivez donc des sketchs? quel genre de comique vous inspire? Je suis humoriste, je serai ravi de pouvoir échanger avec vous, afin de savoir si nous pouvions collaborer ensemble, si bien entendu nos univers se croisent. Cordialement, Hamadi
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Réponse anonyme
Le 18/03/2014 é 14h04
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Yes ! Bonjour à toi, je serais très heureux de pouvoir échanger avec toi, et de dsicuter sketch, et pourquoi collaborer ensemble pour entreprendre un vrai et solide projet. Pour te donner une petite idée, tu trouveras ci dessous des sketchs que je jouais il y a un p'tit moment déjà. Aller sur Youtube et taper : Hamadi m' a dit. Cordialement, Hamadi
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Réponse de brandy46
Le 15/04/2014 é 10h28
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Bjr..re recherche un auteur..ou co-auteur pour develloper des sketchs..de 3 a 5 mn pour de la scene ouverte..et ou on ne demande qu a en rire..sur le theme du mariage,des boites de nuits etc..merci
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Réponse anonyme
Le 15/04/2014 é 12h37
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Assez cliché tout ça..:-) ne dépose pas ça ne craint rien :-)
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Réponse de orlamond
Le 15/04/2014 é 13h36
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Si, si, il vaut mieux déposer (sacem ou sacd) Ici, les messages volent ...et ne débouchent pas souvent sur grand-chose. Dommage ! Gérard
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Réponse de jjamess
Le 22/04/2014 é 14h12
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A brandy46. Bonjour aurais tu un mail où l'on peut te joindre. Bonne journée
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Réponse anonyme
Le 03/05/2014 é 02h10
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Salut al1tour, Enfin quelqu'un d'exigeant qui ne se contente pas d'un "je suis un auteur, contacte-moi, je vais t'écrire un sketch". Combien veulent devenir des auteurs ou des comédiens de stand up sans s'en donner les moyens. La personne qui écrit juste 1 ou 2 phrases c'est un peux léger pour motiver un auteur ou un comédien. Je comprend très bien tes doutes de trouver quelqu'un de motivé qui soit prêt à s'engager dans une démarche sérieuse où la seule chose qui vaille après le talent est de vraiment bucher ses textes. Écriture, réécriture, réécriture... Je ne cherche pas à dénigrer les très jeunes qui veulent monter sur les planches (de surf ^^), mais il faut une certaine maturité d'esprit si on veut en faire son métier. Comme pour tout métier artistique il y a 0,1 % de gens qui ont le talent et un autre gros pourcentage qui pensent l'avoir. Malgré tout, je ne désespère pas de trouver un co-auteur multi-cartes en terme d'humour et un comédien pour représenter les sketchs. Je suis également partant pour le projet d'Amine. As-tu un mail pour que je te contacte ? Bonne soirée
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Réponse anonyme
Le 20/11/2014 é 17h02
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Bonjour j'ai écrit pour différents des contenus humoristiques pour différents types de supports : radio (Service de Traitement des Requètes Désespérées sur Radio Campus PAris), websérie (www.la-kolok.com), chroniques papiers... N'hésitez pas à me contacter ! Alexandre.
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Réponse anonyme
Le 21/11/2014 é 10h44
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@Alexandre contactez moi via mon mail : adastarlyne@yahoo.com svp
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Réponse anonyme
Le 18/12/2014 é 20h12
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Bonsoir! J'ai 18 ans, et j'ai toujours aimé la scène. J'aimerais aujourd'hui, commencer à me produire dans des petites scènes ouvertes, et pourquoi pas pour la suite, écrire un one man entier! Mais malheureusement je sais qu'improviser et pas écrire.. Quelqu'un serait partant pour m'épauler dans cette aventure ? En attente de vos réponses sur mon mail: gregorybrunet@live.fr Cordialement, Grégory.
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Réponse anonyme
Le 23/09/2015 é 13h29
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Bonjour jp alors je sait que ça fait quelque année mais moi j'ai toujours rêvé de devenir humoriste il me faudrait juste un coup de main pour Ecrire des sketch et pourquoi pas avec vous si vous n'avez personne pour l'instant si vous est intéresser par notre collaboration envoyer moi un mail a: kevinverdier89@hotmail.com merci
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