Le compte rendu c ta dire ? je pense qu il dise rien eu il vont rien donne sa n etonerai fort
oui tkt je te tient au courant je dirai comment ca c passe
mci bcp
je passerai le bjr a abdel de ta part bonne soiree a toi aussi et courage
Popo621 tkt pas tout va aller bien et dit toi que tu connais bien ton mari alor pas de souci repose toi change toi un peu les idees courage j ai pas eu de compte rendu de mon audition toute les mairies ne fontionne pas pareille seule chose que j ai pu savoir cest que l on ma dit que tout dois etre fini pour cette ete ... courage
Mci aminath c gentit de ta part oui j essaiye de ne change les idee mes dur dur lol malgres que je sais que j ai pas de souci a me faire mes bon je pense que c idem pour tt le monde
sinon je donnerai des nouvelle demain pour vous dire si ca c bien passe bonne soiree a ts
et j espere que demain il en a qui aurons de bonne nouvelle !!!
et courage a ts !
Si tu veux etre aidée dans tes demarches va sur ce site c super ils te dise tt ce kil y a a faire mm apres la venue en france de ton mari c un site special pour toutes celle ki vont se marier avec des algeriens
http://mariageenalgerie.xooit.fr/index.php
Merci Mimi!! Inchallah je n'attend que ça!!
Je vois qu'il y a des gens qui passent une audition c'est systématique ou pas?Pck j'ai un ami qui a reçu sa transcription en aout dernier et il n'a passé aucune audition ni lui ni sa femme.
Courage à tous!!
Moi je ne suis pas encore mariée mais bientot inch'allah je sais que sans ccam ça peut aller juska 9 mois pour ta transcription je sais que c'est tres long et parfois ils peuvent te convoquer pour te faire passer ton audition ainsi que ton mari
Sosso ceux qui passe des auditions sont la plus part du temp français de souche ou encore grande diference d ages ou pour doute de mariage blanc cela n est pas automatique
Oui c vrai moi je suis francaise de souche donc egale auditions
mes sur l age sava il a ke 3ans d ecart donc pa de souci sur ca mes bon je connai des francaise de souche qui n ont pa eu d auditions de toute maniere au peu pa comparer un dossier a l autre car rien mé pareille
La liberté du mariage et le droit de mener une vie familiale normale sont des droits fondamentaux, garantis par la Constitution française du 4 octobre 1958, les articles 2 et 4 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, le 10ème alinéa du Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946, les articles 8 et 12 de la Convention Européenne de sauvegarde des droits de l'Homme et des libertés fondamentales du 4 novembre 1950. Peu de libertés et de droits ont des fondements plus solides.
La loi du 14 novembre 2006 relative au contrôle de la validité des mariages qui a notamment introduit dans le code civil les articles 171-1 et suivants, lesquels prévoient les procédures actuelles de délivrance de certificat de capacité à mariage et de transcription, a été soumise au contrôle du Conseil Constitutionnel, par des députés et sénateurs s'inquiétant notamment que les mécanismes de contrôle de la validité des mariage ainsi prévus puissent "aboutir à une opposition aux effets du mariage pendant 6 mois, plus un mois plus un mois, soit un total de 8 mois pendant lesquels pèse une incertitude sur le mariage ainsi contracté". Ils ajoutaient que "le texte ne précise rien quant aux délais précis qui s'imposeraient à l'autorité consulaire pour saisir le ministère public".
Le Gouvernement s'est voulu rassurant et a indiqué que "la loi déférée se borne, en substance, s'agissant des formalités préalables à la célébration du mariage, à aligner les conditions que doivent remplir les Français qui désirent se marier à l'étranger sur celles exigées des personnes qui souhaitent se marier en France". Le rapporteur du projet de loi lui-même avait précisé que le procureur de la République devait être saisi "sans délai" en cas de difficultés, car le législateur a entendu "éviter des retards arbitraires et indus qui pourraient constituer des voies de fait" (Rapport n°3359 AN, de M. Patrick DELNATTE, Député).
Le Conseil Constitutionnel n'a pas jugé la loi contraire à la liberté du mariage et au droit de mener une vie familiale normale parce que des délais adaptés et des recours juridictionnels effectifs avaient été prévus par le législateur (Décision du Conseil Constitutionnel n°2006-542 DC du 9 novembre 2006).
Appliquée à la lettre, la loi devrait permettre :
une délivrance du certificat de capacité à mariage en quelques semaines en l'absence de difficulté (incluant le temps matériel nécessaire pour procéder à une audition et le délai de publication des bans)
une décision du Procureur de la République de Nantes en deux mois maximum, après sa saisine "sans délai" suite à une demande de certificat de capacité à mariage qui ferait apparaître des indices sérieux de nullité du mariage envisagé (article 171-4 du Code civil)
un jugement du Tribunal de Grande Instance de Nantes en 10 jours en cas d'opposition du Procureur (articles 171-4, 177 et 178 du code civil)
un arrêt de la Cour d'Appel de Rennes en 10 jours également (mêmes articles)
une transcription en quelques semaines pour un mariage avec certificat de capacité à mariage, le temps d'éditer le livret de famille et sauf éléments nouveaux
une transcription en quelques semaines pour un mariage sans certificat de capacité à mariage en l'absence de difficultés, le temps de procéder à l'audition et d'éditer le livret de famille.
une décision du Procureur de la République de Nantes en 6 mois maximum, après sa saisine "immédiate" suite à l'audition devant être réalisée à bref délai en cas de demande de transcription d'un mariage sans certificat de capacité à mariage
un jugement du Tribunal de Grande Instance de Nantes en un mois en cas d'opposition du Procureur (article 171-7 du code civil)
un arrêt de la Cour d'Appel de Rennes en un mois également (même article)
Tout praticien de ce type de procédures et toute personne ayant eu à se marier ou souhaitant se marier à l'étranger sait que la plupart de ces délais ne sont pas respectés et qu'il est beaucoup plus simple pour des Français de se marier en France que de se marier à l'étranger :
les auditions sont faites dans des délais inacceptables (souvent 6-8 mois parfois plus d'un an)
le Procureur n'est souvent saisi que dans un délai d'un ou deux mois
un jugement du Tribunal de Grande Instance de Nantes est rarement obtenu en moins de 6 mois
Alors qu'un arrêt de la Cour d'Appel devrait en théorie être obtenu 8 mois après le dépôt d'une demande de transcription sans certificat de capacité à mariage suivi d'une opposition, il faut souvent 18 à 24 mois en pratique pour obtenir seulement un jugement du Tribunal de Grande Instance de Nantes à compter du dépôt de dossier de transcription…
Dans les faits, il est patent que les délais prévus par la loi ne sont pas respectés et que la liberté du mariage, y compris à l'étranger, et le droit de mener une vie familiale normale sont donc violés alors qu'il s'agit de droits fondamentaux protégés par la Constitution et la Convention Européenne des Droits de l'Homme.
Les personnes victimes d'une violation aussi grave de leurs droits sont-elles privées de tout recours ?
NON !
Il faut exiger par écrit des dates d'auditions compatibles avec la liberté du mariage et le droit de mener une vie familiale normale. S'il n'est pas donné suite à cette demande, une procédure en référé peut être envisagée pour mettre fin au trouble manifestement illicite ou à la voie de fait ainsi causés.
Si un mariage sans certificat de capacité à mariage doit malgré tout être célébré après avoir pris ces précautions, il faut exiger une audition dans un bref délai, tout retard imposé à un citoyen français ou à son conjoint pour cette audition étant très certainement incompatible avec la liberté du mariage et le droit de mener une vie familiale normale. Une assignation en référé du Procureur de la République de Nantes pour qu'il lui soit fait injonction, sous astreinte, de statuer ou faire statuer les services consulaires sur la demande de transcription dans des délais compatibles avec la liberté du mariage et le droit de mener une vie familiale normale doit être envisagée.
Il faut systématiquement demander aux juridictions de statuer dans les délais prévus par le législateur et qui seuls ont été jugés compatibles avec la liberté du mariage et le droit de mener une vie familiale normale.
Il faut réclamer des dommages-intérêts en réparation des préjudices causés du fait de la violation de ces droits : préjudice matériel causé par la séparation (frais de voyages, de téléphone, etc.) mais aussi préjudice moral lié à la séparation abusivement imposée.
Si le tribunal ne statue pas dans les délais légaux, faute de moyens, il faut envisager d'engager la responsabilité de l'Etat et de demander des dommages-intérêts du fait du fonctionnement défectueux du service de la justice pour faute lourde (article L. 781-1 du Code de l'Organisation Judiciaire), sachant que l'assemblée plénière de la Cour de Cassation a estimé dans un arrêt de principe que "constitue une faute lourde toute déficience caractérisée par un fait ou une série de faits traduisant l'inaptitude du service public de la justice à remplir la mission dont il est investi" (Assemblée plénière de la Cour de Cassation, 23 février 2001, n°99-16165). La loi imposant des délais précis aux juridictions pour statuer et celles-ci étant dans la plus complète et systématique impossibilité de les respecter, on peut raisonnablement penser que la condamnation de l'Etat est inévitable…
La liberté du mariage et le droit de mener une vie familiale normale sont des droits fondamentaux
Autre temps, autres moeurs. Lorsque, le 19 mars 1962, l'Algérie et la France ont signé les accords d'Évian reconnaissant l'indépendance de l'Algérie, les deux pays sont convenus que « les ressortissants algériens résidant en France et, notamment, les travailleurs, auront les mêmes droits que les nationaux français, à l'exception des droits politiques ». A ce principe d'égalité des droits, les accords d'Evian ont ajouté le respect de la libre circulation.
Par cet accord bilatéral, les deux pays ont manifesté leur volonté de poser les bases d'un régime « spécial » qui, à l'origine, privilégiait les ressortissants algériens en matière d'entrée et de séjour comme de protection sociale.
Mais avec l'évolution des textes et des pratiques administratives depuis 1962, le régime spécial, initialement plus favorable, est devenu au fil des ans d'une rigueur plus grande que celui du « droit commun », applicable aux autres étrangers. Et les principes d'égalité et de liberté de circulation qui fondaient les rapports franco-algériens ont été peu à peu remis en cause, jusqu'à disparaître quasi-totalement.
Trois étapes rythment le durcissement des conditions d'entrée et de séjour des Algériens en France :
L'accord du 27 décembre 1968 signé entre les deux pays, et relatif à « la circulation, l'emploi et le séjour des ressortissants algériens sur le territoire français » instaure un régime juridique à part auquel sont soumis les Algériens. Bien qu'il s'inscrive dans le cadre des accords d'Évian, l'accord de 1968 revient sur le principe de liberté de circulation, notamment en ce qu'il oblige les Algériens à présenter un passeport à la frontière pour entrer en France, et institue un contingentement des travailleurs algériens autorisés chaque année à s'installer en France. L'accord de 1968 crée également le « certificat de résidence », titre de séjour propre aux ressortissants algériens. C'est ce texte, amendé par deux avenants, qui régit aujourd'hui encore les conditions d'entrée et le séjour des Algériens en France.
Les avenants du 22 décembre 1985 et du 28 septembre 1994 modifiant l'accord du 27 décembre 1968 marquent un rapprochement entre le régime spécifique aux Algériens et le droit commun. En particulier, l'avenant du 22 décembre 1985 calque la durée de validité des titres de séjour (un an ou dix ans) sur celle des titres des autres étrangers. L'avenant du 28 septembre 1994 vise à aligner les conditions d'entrée et de séjour des Algériens sur celles issues des lois « Pasqua ». Toutefois, même après ces changements, l'alignement n'est pas complet. Dans certains domaines, des droits reconnus aux étrangers relevant du droit commun, en application de l'ordonnance du 2 novembre 1945 modifiée, ne concernent pas les Algériens car l'accord de 1968 est muet ou plus sévère sur ces questions.
En septembre 1986, la France impose unilatéralement l'obligation de visa aux ressortissants de ses anciennes colonies africaines et à l'Algérie, qui en étaient jusque là dispensés. Les Algériens doivent donc soudain présenter, en plus de leur passeport, un visa pour pouvoir entrer en France. A cela s'ajoute, depuis août 1994, date de la fermeture des consulats de France en Algérie, le fait que les demandes de visas des ressortissants algériens sont instruites à Nantes par le ministère des affaires étrangères et non plus en Algérie. Cette complication prend place dans un contexte de restriction drastique du nombre de visas accordés aux Algériens. La politique française de blocage des frontières a ainsi fait tomber à 80 000 le total des visas délivrés aux Algériens en 1998, contre 800 000 en 1990. Ce durcissement a des conséquences dramatiques pour tous les Algériens qui cherchent à fuir la guerre civile et dont les demandes de visa sont rejetées. Le gouvernement de Lionel Jospin promet, depuis 1998, un retour progressif à la normale (accroissement du nombre de visas délivrés, réouverture des consulats de France en Algérie — tout en maintenant le bureau des visas algériens de Nantes en fonction...). Ces promesses restent jusqu'à présent sans effets.
Les trois étapes de l'évolution du statut des Algériens — et, sous d'autres modalités, de celui des ex-colonisés — montrent la fragilité de tout statut dérogatoire. En l'espèce, il a permis sans difficultés de passer du temps des « privilèges » à celui des « handicaps », par le biais d'accords techniques d'État à État qui n'émeuvent personne. Les États ont leurs raisons que l'opinion ne connaît presque jamais.
Cette régression constante de la position des Algériens s'est évidemment confirmée à l'occasion de la modification de l'ordonnance du 2 novembre 1945 par la loi du 11 mai 1998 (la loi RÉSÉDA conçue par Jean-Pierre Chevènement). Celle-ci a accentué les différences de traitement entre Algériens (les Tunisiens et, dans une moindre mesure, les Marocains sont également pénalisés) et autres étrangers. Or, au nom du principe de la hiérarchie des normes, l'accord franco-algérien, qui régit les conditions d'entrée et de séjour des Algériens, prime sur la loi française : il est d'ailleurs appliqué aveuglément par l'administration française qui écarte systématiquement les dispositions de la loi plus favorables.
Ainsi, les nouveaux titres de séjour créés par cette loi (la carte de séjour portant la mention « retraité », valable dix ans, les cartes temporaires portant la mention « vie privée et familiale », « scientifique » et « profession culturelle ou artistique », valables un an) ne sont pas accordés aux ressortissants algériens [1]. Ces exclusions semblent d'autant plus absurdes — à moins qu'elles ne soient calculées — que certaines catégories d'Algériens (les retraités et les parents d'enfants français notamment) sont, pour des raisons historiques, particulièrement nombreuses en France. De surcroît, certaines dispositions de la loi du 11 mai 1998 — notamment celles relatives au droit de mener une vie privée et familiale normale — sont directement inspirées par la Convention européenne des droits de l'homme. Elles ont donc vocation à s'appliquer à tous les étrangers.
Les questions de protection sociale font, elles aussi, l'objet d'un accord spécifique entre les deux pays : la convention du 1er octobre 1980 est, globalement, plus favorable aux ressortissants algériens que ne l'est le droit commun pour les autres étrangers. La loi interne française devrait donc, selon le principe de hiérarchie des normes, s'effacer devant les dispositions de la convention bilatérale de sécurité sociale. Or, tel n'est pas le cas. L'administration applique en matière de protection sociale la loi interne, moins favorable — notamment sur la condition de régularité de séjour — que la convention franco-algérienne. Doit-on conclure que l'administration choisit les textes qui l'arrangent, c'est-à-dire ceux qui limitent le plus les droits des Algériens ?
Trente-sept ans après l'accession de l'Algérie à l'indépendance, le bilan des relations franco-algériennes fait apparaître une nette régression. On est passé d'un dispositif attaché à faciliter la liberté de circulation à un régime particulièrement rigoureux et pénalisant. Qu'attendent les gouvernements des deux pays pour faire en sorte que le droit commun (conventions internationales d'abord, droit national ensuite, surtout quand celui-ci s'efforcera de respecter à la lettre les règles internationales) s'applique à tous ?
JE VOUS MET UN PEU DE LECTURE MDR
En attendant la reprise des négociations sur la révision de l’accord franco-algérien de 1968 sur la circulation, l’emploi et le séjour des Algériens en France en automne prochain, Paris continue d’affirmer sa décision d’appliquer «la politique d’immigration choisie» envers même les Algériens en dépassant les avantages offerts par l’accord sur l’immigration qui lie les deux pays. Mais Alger n’a pas l’air d’adhérer pleinement à cette démarche.
Dans une interview accordée au Figaro dans son édition de samedi dernier, le ministre français de l’Immigration, de l’Intégration et de l’Identité nationale, Eric Besson, a déclaré : «Nous pratiquons une politique d’immigration choisie qui est désormais celle de toute l’Union européenne». Avant de souligner «les accords migratoires que nous signons avec les pays africains comprennent des quotas par professions correspondant à nos besoins et à nos capacités d’intégration».
Ainsi, les négociations s’annoncent difficiles avec l’Algérie qui fait partie des pays africains liés avec un accord sur la circulation des personnes et M.Besson reconnaît «les difficultés des négociations avec l’Algérie» concernant la révision de l’accord portant sur l’immigration qui remonte à 1968. Sachant que Paris tient à adopter cet accord à la politique migratoire initiée par le président français Nicolas Sarkozy, une politique basée sur l’immigration choisie.
Il faut dire que Paris peine à convaincre Alger pour donner le coup d’envoi des négociations autour de la possibilité d’apporter des changements aux acquis de l’accord de 1968 relatifs à la circulation des personnes entre les deux pays.
Sachant que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika avait fait une promesse à Claude Guéant, secrétaire général de l’Elysée, et Jean-David Levitte, conseiller diplomatique du président Nicolas Sarkozy, qui étaient en visite à Alger.
A rappeler que cette information a été donnée par Jaques Toubon, président de la Cité nationale de l’histoire de l’immigration, lors d’une conférence au Centre culturel français (CCF) à Alger. Cependant, en réalité, le dossier de l’immigration entre Alger et Paris est loin d’être réglé comme le veut Sarkozy. D’ailleurs, «les deux pays restent au stade de consultations et rien n’a été encore décidé», comme nous l’explique une source proche de dossier.
Ainsi, l’Algérie n’est apparemment pas prête à céder sur des acquis et des droits des immigrés algériens conclus dans l’accord de 1968. Si on revient à la conférence tenue par Jaques Toubon à l’issue de sa visite en Algérie, cet ex-ministre expliquera qu’«il ne s’agit pas de supprimer l’accord de 1968 qui a été modifié trois fois. Il a fait l’objet de trois avenants.
Il s’agit de négocier un quatrième avenant. La négociation a déjà fait l’objet de trois rencontres. La quatrième aura lieu en automne». Selon lui, l’amendement de l’accord de 1968 a été évoqué en 2003, lors de la visite de l’ex-président français à Alger Jacques Chirac.
Il faut rappeler qu’à l’époque, Paris parlait de la signature d’un traité d’amitié avec l’Algérie mais la loi du 23 février votée par l’Assemblée nationale française qui glorifie la période coloniale française a tout arrêté.
Et voilà qu’après presque sept ans, Sarkozy parle d’une immigration choisie et se cache derrière l’Union européenne pour réviser l’accord de 1968. Il faut savoir que l’accord de 1968 offre à un ressortissant algérien, détenteur d’un visa de court séjour, d’acquérir d’autres règles de séjour y compris la résidence.
Ce qui est considéré comme un avantage exceptionnel mais Paris veut «discuter de cette disposition, la limiter ou la rendre moins fréquente», comme l’avait expliqué Jaques Toubon. Il y a lieu de souligner que le ministère français de l’Immigration présentera prochainement à l’Assemblée nationale française, un projet de loi sur l’immigration. Un projet qui aura des conséquences sur la loi d’acquisition de la nationalité française.
En tout cas, la remise sur le tapis du dossier de l’immigration est intervenue suite à «une réconciliation» entre les deux pays après une crise qui s’est prolongée avec le cumul des dossiers qui fâchent entre l’Algérie et la France, dont le dernier est l’opération militaire qu’a réalisée la France avec le Mali au Sahel sans «aviser l’Algérie».
De nouvelles mesures sur l’attribution des visas aux commerçants algériens risquent de créer des tensions à la veille des négociations sur la révision des accords de 1968.
Tout a commencé sur le site de l’ambassade de France, où le consul général à Alger, Michel Dejaegher énumère, sous la forme d’un entretien, les nouvelles conditions d’entrée pour les commerçants «visant à simplifier les listes de pièces devant être fournies pour solliciter un visa de court séjour». Ce qui a provoqué la polémique : la nouvelle attestation sur l'honneur que doit déposer le demandeur et dans laquelle il s’engage à «ne pas déposer une demande de carte de séjour en préfecture ni de tenter d’obtenir indûment des prestations sociales.»
Comment ont réagi les Algériens ? D’après une source proche des Affaires étrangères, qui s’est exprimée à l’APS (l’agence de presse algérienne) les services du ministère n’auraient été «ni informés ni consultés» sur cette nouvelle mesure. «La question des visas de court séjour est cruciale pour les millions d'Algériens et de Maghrébins de bonne foi», a argumenté le secrétaire d'Etat algérien chargé de la Communauté algérienne à l'étranger, Halim Benatallah.
Moins diplomate, le parti islamiste Nahda a dénoncé dans un communiqué : «Les autorités françaises recourent encore une fois au non-respect des règles diplomatiques à travers les mesures abusives et provocatrices qu'elles imposent aux Algériens et notamment aux hommes d'affaires». Il appelle par ailleurs le gouvernement algérien et particulièrement le ministère des Affaires étrangères à appliquer la réciprocité vis-à-vis des investisseurs français.
Le président du Forum des chefs d’entreprises Réda Hamiani, sur le site d’information TSA, préfère calmer le jeu : «On n’a pas tous les détails sur cette nouvelle mesure et la signification du terme commerçant. On ne sait pas encore si cette mesure touche les chefs d’entreprises d’une manière générale ou seulement les commerçants. Nous allons rencontrer cette semaine le consul général de France à Alger pour en discuter».
Que répondent les Français ? Que cette nouvelle disposition a été prise le 29 décembre par le ministère de l'Immigration. «Elle contribue à réduire la liste des pièces demandées et est donc favorable aux commerçants, dont les représentants, désormais dispensés de fournir une attestation d'hébergement et une attestation de devises, ont indiqué qu'ils étaient satisfaits de la simplification». Le ministre français de l'Intérieur Brice Hortefeux doit réunir en février les consuls afin de leur demander plus de vigilance dans la délivrance des visas de cour séjour qui, selon lui, ne doivent pas être des «passeports pour la clandestinité».
Qu’en est-il vraiment ? Pour les onze premiers mois de l'année 2010, la France a déclaré avoir délivré 125 027 visas aux Algériens, contre 130 000 sur toute l’année 2009. Mais d’après le dernier rapport, publié pendant l’été 2009, de la Cimade, organisation non gouvernementale, les Algériens enregistreraient un taux de refus extrêmement élevé et très nettement supérieur à la moyenne, d’environ 35% alors que le taux de refus moyen était de 9,6% en 2008 pour l’ensemble des consulats de France à l’étranger.
Pourquoi ça tombe si mal ? Parce que Paris et Alger s’apprêtent à reprendre les négociations pour signer un nouvel avenant à l’accord bilatéral de 1968 sur la circulation entre les deux pays. «Si cette mesure venait à être confirmée, souligne un diplomate algérien à l’APS, elle laisserait planer le doute sur la bonne foi des milieux d'affaires nationaux et préjugerait du résultat des discussions consulaires devant commencer dans un proche avenir.» Pour rappel, une tentative de renégociation en 2009 avait échoué. La France souhaitait en effet aligner la situation des Algériens sur le droit commun et donc supprimer certains avantages. En contrepartie, elle proposait de faciliter… la délivrance des visas de circulation.
Relations Algérie-France | Désormais, notre pays appliquera de manière automatique -le principe de réciprocité- dans la délivrance de visas pour les ressortissants français.
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Cette décision d’Alger vient en réaction aux dernières dispositions prises par la France, notamment celle d’inscrire l’Algérie sur une liste noire des pays à risques, au même titre que l’Afghanistan. L’Algérie rejette en bloc les mesures prises par la France, elles sont jugées discriminatoires. Par cette initiative, l’Algérie vient confirmer le froid qui prévaut dans les relations entre les deux pays depuis un certain temps. Ainsi, selon le site d’information TSA, une note du ministère des Affaires étrangères a été envoyée il y a quelques jours aux représentations diplomatiques et consulaires algériennes en France -leur demandant d’appliquer de nouvelles dispositions- concernant la délivrance de visas aux Français.
Désormais, ces derniers seront tenus aux mêmes démarches que leurs homologues algériens lorsqu’ils s’embourberont dans l’aventure d’une demande de visa pour la France. Ainsi, les frais de visas pour les demandeurs français passeront à 80 euros, a indiqué le site d’information. 60 euros pour la demande auxquels s’ajoutent 20 euros de frais de dossier. Les demandeurs doivent s’acquitter de cette somme au moment du dépôt de la demande. Ils ne peuvent pas être remboursés en cas de refus. Idem pour les documents exigés dans la constitution du dossier de demande ainsi que les délais de délivrance des visas qui devraient être alignés sur ceux observés par les Consulats français. Depuis l’inscription de l’Algérie sur la liste noire des pays à risques par l’Hexagone, les relations entre les deux pays ne cessent de se détériorer.
Le vœu de la France de renégocier certaines conditions régissant l’installation des Algériens sur le sol français, la réouverture du dossier des essais nucléaires dans le Sahara algérien, les récents dérapages de personnalités françaises quant à nos ressortissants de l’autre côté de la Méditerranée, ainsi que les derniers propos de ministres français -hostiles à la génération de novembre 54- ne font rien pour arranger les choses. Le malaise est tel qu’un ministre algérien avait déclaré récemment devant un parterre de journalistes que «la France aimait l’argent des Algériens… mais pas les Algériens eux-mêmes».
Du coup, c’est le malaise et ses conséquences. En attendant, ce sont les ressortissants qui sont pris en otage. Jusque-là, les Algériens avaient toutes les peines du monde à circuler librement entre les deux pays. Désormais, Français et Algériens trinqueront ensemble.
AVEC TOUT CE QUE JE VOUS AIS MIS LA ON PEUX COMPRENDRE LAMOUR ENTRE LALGERIE ET LA FRANCE MDRRRRRRR
Mimi7513 si les lois etait respecter a la lettre ca ne durerait pas aussi lgtp donc voila cest simplement pour nous embeter nous dissuader et aussi controler limmigration par le biais des mariage!
Mimi7513 hey oui mais il faut dire merci aussi a tous ceux qui font des mariage blanc(de comme un accord ensemble entre les deux personne :) et aussi a notre gouvernement qui a tendance a tout melanger surtout quand il sagit de lalgerie :) moi je suis francaise mais je tassure que lalgerie je pleure pour elle quand je pense a son histoire et en meme temps je suis fier de ce si beau pays et du courage de son peuple lors des evenement, jai honte detre francaise quand je pense a tout ce quils ont fait la bas et meme quand mon mari me demande de prendre sa nationalité,je tassure je peux pas ,je veux pas tellement jai trop de respect pour ce pays, et pour moi etre algerien(ne) sa se merite!! tout ca pour dire que la verité je tfouuuuuuuuuu sur mon pays la france, mais rien que pour les enmmerder jamais je lacherai laffaire et mon mari inshallah viendra ici de GRé OU DE FORCEEEEEEEEEE
Bsr
soso l'égalisation de la signature c'est quand la signature que tu a fait pour la transcription n'est pas la meme que sur la carte d'identité française et vue que moi ce n'était pas la meme donc je suis parti a la mairie avec le livret tradui en françai pour prouvé que c'est bien moi et la fair signé par ladjointe au maire