Surtout pas de censure. Laissez-le baver. Laissez-le s'enfoncer. Il n'a toujours pas compris (ou il fait semblant parce qu'il est du côté du manche) que le problème n'est pas de recevoir un récapitulatif ou non des décennies après mais la trahison de la parole de l'état. Comme si les politicards qui nous gouvernent étaient des vertueux qui ne font jamais de fausses promesses et qui ne mentent jamais.
C'est vous qui ne comprenez pas que je répondais à un intervenant qui affirmait que son problème était de ne pas avoir pu racheter ses trimestres car il ne savait pas que ces stages n'en rapportaient pas.
Quant à la parole de l'état, quelle était-elle à l'époque ? Mais surtout, en avez-vous la preuve ?
Mais qu'est-ce que tu viens foutre ici, espèce de malfaisant ? Ici c'est un forum de braves gens qui ont des difficultés et qui viennent exposer leur situation. Et toi, tu te radines et tu joue les procureurs en mettant les témoignages en cause ? Qu'est-ce que tu cherches en doutant de la bonne foi de ceux qui parlent de leurs problèmes ? Tu es en service commandé ou quoi ?
Bonjour à Tous
Je prends juste aujourd'hui connaissance de ce Forum:
15 pages: Novembre 2009 /Décembre 2020.
J'ai commencé à lire 4 ou 5 pages, puis trouvant des similitudes avec ma situation je vais à la 15 eme, puis tous s'écroule un peu lorsque la communication entre les uns et les autres "dérape un peu". C'est fort dommage mais je dois faire un "flash-back" sur chacune de vos motivations sans prendre parti, et avancer dans nos revendications qui sont communes et légitimes. Ma situation est identique: Mes rémunérations de 2 mois en novembre et décembre 1981 me permettraient de passer "carrière longue" sauf que Véto de l'assurance retraite qui me refuse cette opportunité et qui me donne des cacahuètes avec un montant forfaitaire global qui ne correspond pas à ce que j'espérait en terme de validation.
Je vais aller comme certains un peu plus loin et compte faire valoir le fait qu'a l'issue de ce stage dit "pratique" au bout de 7 mois, mon employeur m'a proposé un contrat de travail que j'ai accepté avec une période d'essaie d'une semaine ( entre le 24 et le 31 Mai 1982) et " qu"à l'issue de la période d'essaie jusqu'au 31 Mai sans autre avis de notre part, vous serez titularisé...) .... Chose qui c'est passé.
La faille est peut-être là dans la mesure ou pendant 7 Mois ( surtout dans la grande distribution) j'ai du faire mes preuves et la véritable période d'essaie a été celle-ci à mon sens d'ou 1 seule semaine d'essaie prévue par le contrat de travail. Je vais donc tenter de faire valoir cela et me faire accompagner.
Je prendrais avant tout connaissance de toutes les pages et chercher d'autre réponses, car c'est uniquement en tapant "CERFA N° 61-2165" que je suis tombé sur le Forum.
Ne souhaitant pas rentrer dans une polémique comme j'ai pu lire sur les dernières pages, je ne communiquerais sur les Forum que si j'ai des nouvelles " favorables" pour tous.
Bonjour et merci pour votre message sans polémique.
Pour ma part j'ai abandonné l'affaire. Je rattrape mes périodes de chômage (qui comptent en termes de trimestres mais affichent zéro en terme de droits) en travaillant d'arrache-pied bien au-delà de l'âge légal. Maintenant j'ai du boulot dans l'aide à la personne.
J'espère que tout le monde trouvera une solution pour une situation qui, à mon avis, est illégale du point de vue de l’État.
Bonne chance à toutes et tous.
Monica
Bonjour,
Je viens de prendre connaissance de vos échanges, je suis à la retraite depuis le 01 janvier 2022 et je n'ai pas pu faire valider 2 trimestres de 1981 pour les mêmes raisons que vous. Avez vous de nouvelles informations à ce sujet ? avez vous pu faire des démarches pour faire valoir nos droits ? je m'associe à vous si une action est possible
Corinne Eure et Loir
Rebonjour,
Merci pour votre réponse. Savez vous si une période de chômage suite au non renouvellement du contrat de stage est comptabilisée ?
Corinne Eure et Loir
Bonjour,
Je suis entrain de vérifier comme tout un chacun mon relevé de carrière, et, comme vous je me suis aperçue que le "stage-pratique en entreprise" Cerfa n° 61-2165 que j'ai effectué de Novembre 1980 à Avril 1981 (en travaillant 174 heures/mois pour 90 % du smig...) n'était pas pris en compte dans mon relevé. J'ai lu les différents échanges, et je souhaiterais savoir si un collectif avait été finalement créé. Merci.
Pas à ma connaissance. Pour ma part, je dois me contenter de mes 950 € de retraite. Merci aux politicards qui veulent porter à 65 ans l'âge du départ à la retraite alors qu'à partir de 55 ans les tôliers foutent les salariés au chômage.
Le recul de l'âge de la retraite n'a qu'un seul but : prendre du fric aux retraités pour payer le "quoi qu'il en coûte".
Bonjour à tous
suite au message que j'ai déposé le 19/09/2021 sur ce Forum et vos réponses, pour votre information j'ai écrit en Novembre 2021 par deux courriers différenciés au Président et au Directeur de l'URSSAF à Montpellier en expliquant ma situation et surtout en leur précisant que je souhaitais à ma charge prendre en compte le paiement des arriérés de cotisations que l'employeur et l'Etat n'avaient pas payé . Aucun de ses messieurs n'à répondu à mes recommandés. J'ai doublé la mise en février et là , réponse mi-mars de l'URSSAF par son "Gestionnaire" (?),me précisant que " l'URSSAF ne peut pas donne une suite favorable à ma demande et que le rachat de cotisations antérieures s'effectue auprès de la caisse de retraite..... Les données individuelles sont transmises par les employeurs directement auprès de l'organisme compétent: la CARSAT..." On m'invite ainsi à contacter la CARSAT! Ils se renvoient la balle et n'apportent pas de solution concrètes. On travaille et on n'est pas "récompensé! ; C'est semble t'il comme cela que cela doit fonctionner en France notamment ? . Sauf que symboliquement je ne veut pas abdiquer, je crois que la prochaine étape pour moi c'est de contacter le Conseil d'Etat et formuler la requête. On trouve facilement les contacts sur le net. Je n'ai pas encore essayé mais qui ne tente rien, n'a rien, puis je me dis même si pour certains cela peut paraître utopique, je tente quelque chose! ne souhaitant surtout pas de réponses polémique mettant de l'huile sur le feu! cela ne sert à rien et puis ça brûle!
Bien à vous tous, la suite au prochain épisode.
Je vous souhaite bon courage parce qu'on ne peut pas aller comme ça devant le Conseil d'État. Le recours à un avocat est obligatoire et on ne peut pas prendre n'importe quel avocat. Tous les avocats ne peuvent pas plaider devant le Conseil d'État. Il faut faire appel à des avocats spécialisés et ça coûte assez cher.
S'adresser à son député, ou mieux, concentrer toutes les réclamations auprès d'un député "sensiblisé" et motivé par ce sujet (reste à le trouver), pourrait être une/la solution ...
J'avais déjà fait remonter à mon précédent député ce problème, question soumise au gouvernement le 16/10/2018.
Réponse du 11/12/2018 : Le « Plan Barre » (loi du 5 juillet 1977) qui facilitait l'accès à l'emploi des jeunes prévoyait, d'une part, une protection sociale contre tous les risques du régime légal (maladie, maternité, invalidité, décès, accidents du travail, prestations familiales, assurance vieillesse), et, d'autre part, à titre exceptionnel, une prise en charge par l'Etat des cotisations sociales qui incombaient aux employeurs et afférentes à la rémunération des salariés. Les cotisations, calculées sur une base forfaitaire, ne permettaient toutefois pas de valider la totalité des périodes de stage pour le calcul de la retraite. En effet, le nombre de trimestres d'assurance vieillesse validés au titre d'une année civile n'est pas établi en fonction de la durée de travail accomplie mais à raison du montant de la rémunération annuelle soumise à cotisations. Lors de la réalisation de ces périodes d'activité, le seuil de validation d'un trimestre était équivalant à 200 heures de travail rémunéré au salaire minimum interprofessionnel de croissance (SMIC). Depuis le 1er janvier 2014, afin de mieux prendre en compte la validation de trimestres pour des salariés à temps partiels courts et à faibles rémunérations ou cotisant sur une base forfaitaire, le décret du 19 mars 2014 relatif à la validation des périodes d'assurance vieillesse au titre du versement des cotisations a abaissé ce seuil et permet dorénavant de valider un trimestre en cotisant sur le taux d'une rémunération équivalente à 150 heures de travail rémunéré au SMIC. Par ailleurs, la loi du 21 août 2003 portant réforme des retraites a ouvert, au titre des années incomplètes comme des années d'études supérieures, une faculté de versement de cotisations pour la retraite. L'application de ces dispositions permet d'apporter, en matière d'acquisition de droits à pension, une solution équitable pour tous les assurés qui ont exercé, au début comme en cours de carrière, des activités faiblement rémunérées ou sont entrés tardivement dans la vie active. Ce versement pour la retraite effectué dans un régime est pris en compte dans les autres régimes dont a pu relever l'assuré dans le cadre de la durée d'assurance tous régimes. Le Gouvernement travaille actuellement à une refondation de l'architecture globale de notre système de retraites, en vue de le rendre plus juste et plus lisible pour les assurés. Les réflexions engagées permettront d'examiner les modalités les plus adaptées dans le futur système universel de retraites.