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Agent comptable algerien - Page 18

Question de algerie le 13/08/2009 à 16h40
Dernière réponse le 21/05/2018 à 16h35
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Monsieur le ministre des finances algerien, pourquoi l'agent comptable de l'Etat n'est pas considéré au même titre que les controleurs financier qui r...
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627 réponses pour « 
agent comptable algerien
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Le 02/02/2011 é 21h48
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Nous ne somme pas tous de la génération des textes des années 90 mais on peut se rattraper il faut que quelqu’un d expérience pour nous orienter à faire quoi pour remédier à notre situation actuelle quand on parle de comptable dans d autres pays c est parmi les intellectuels comme les médecins ou avocats chez nous nous sommes des bouche trous des commis pour payer les fraudes des ordonnateurs et leurs semblables j en ai marre je vais me brûler vif
Référence(s) :
désespoir
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Réponse anonyme
Le 02/02/2011 é 21h57
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Tamarode cela veut dire ne pas finir la fin de gestion oui greve
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Le 02/02/2011 é 22h27
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On ne peut pas s’immoler si on n’est calciné, et si on garde l’anonymat c’est pour embêter les va-nu-pieds qui nous administrent et ne pas leur donner le plaisir de situer la source du vacarme que nous leur causant. Nous n’avons peur de personne puisque nous n’avons rien à perdre. Le marchand de sardines ambulant est mieux payé que nous, qui avons la responsabilité de protéger les deniers publics et la réputation d’etre des cadres du ministère des finances. جزار وعشاتو لفت
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Réponse anonyme
Le 03/02/2011 é 07h03
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L’Algérien est un valeureux guerrier. C’est avec notre glorieuse guerre d’Algérie de 1954 que nous avons restauré notre indépendance, malgré notre essai de revendications de 1945, chèrement payées. Gloire à nos martyres et vive l’Algérie. Une manifestation populaire est prévue prochainement à Alger
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Réponse anonyme
Le 03/02/2011 é 08h46
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Si on doit reprendre de force nos droits, on le fait. Ce que la cour des comptes et l’IGF qualifient de détournement de fond, nous considérons qu’il est de notre droit de restituer ce qui nous a été injustement pris. On est prêt pour aller en prison si cela peut sauver et libérer nos familles. Les trésoriers chargés de la vérification annuelle des agences comptables, sont des incompétents et des impurs qui volent avec le loup et pleurent avec le berger. Il faut que le DGC annule cette prérogative de vérification aux trésoriers et laisser les institution de contrôles, instituées par son excellence Monsieur le Président de la république ABDELAZIZ BOUTEFLIKA, et les DRT faire leur travail. un comptable public qui vérifie un autre comptable public ce n’est pas très catholique et c’est contraire à l’esprit du décret exécutif 90-311 portant nomination et à l’agrément des comptable public.
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Réponse anonyme
Le 03/02/2011 é 20h32
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Corruptions : LES CONTROLEURS FINANCIERS SE DEFENDENT Un corps qui n’échappe pas aux abus de pouvoir et autres malversations L’article intitulé «Dépenses publiques en Algérie/Qui contrôle le contrôleur financier», paru dans notre édition du 21 décembre 2009, a fait réagir un lecteur. Est-il lui-même contrôleur financier ? Peu importe, même s’il a tenu à garder l’anonymat, ce qui est dommage. Il se pose en défenseur de ce corps de la Fonction publique, corps très peu connu au demeurant. Dans une série en 4 parties du «Soir Corruption» sur les wilayas (les 9, 16, 30 mars et 13 avril 2009) que l’on peut consulter sur le site Internet du Soir d’Algérie <www.lesoirdalgerie.com>), nous avions déjà traité de la fonction du contrôleur financier, de ses pouvoirs et de ses dérives, et déjà un autre défenseur anonyme des contrôleurs financiers nous avait répondu (réponse parue dans l’édition du 30 mars 2009). Les contrôleurs financiers – fonctionnaires sous tutelle du ministère des Finances – sont placés dans l’ensemble des institutions et administrations publiques, centrales et locales. Ils ont de larges prérogatives et leur pouvoir, notamment en matière de visas pour le paiement des dépenses publiques (dans l’exécution des marchés publics par exemple), est énorme, et certains d’entre eux ont tendance à en abuser, voire à verser dans la corruption. Nous publions ci-dessous le point de vue que nous avons reçu le 9 janvier dernier. Le débat est lancé, aux lecteurs de l’alimenter. Djilali Hadjadj «Cette modeste contribution est destinée avant tout à apporter un éclairage émanant de l'un des acteurs auxquels a été consacré l'article publié dans cet espace le 21 décembre 2009. Vous comprenez sans aucun doute les motifs d'une telle démarche et cette intrusion dans un débat récurrent sur le contrôle des dépenses publiques et les effets induits en matière de gabegie de gestion et de corruption qui se propage à grande échelle vers tous les secteurs sans exclusive. L’auteur de l’article a braqué les projecteurs de l'actualité sur un texte, le décret exécutif n°09-374 du 16 novembre 2009, modifiant et complétant le décret n°92-414 du 14 novembre 1992 relatif au contrôle préalable des dépenses engagées dont l'apport m'a paru, toutefois, et à mon sens, très en deçà des attentes du corps de contrôle concerné, car il entame gravement l'efficience de celui-ci, déjà très affecté par son peu d'efficacité dans la forme et dans les modalités de son exécution d'antan. Néanmoins, le contenu de l'article rapporté par votre quotidien, s'il est accrocheur par le titre, «Qui contrôle le contrôleur financier», il ne semble pas apporter tous les éléments nécessaires au lecteur pour lui permettre d'appréhender la véritable mission des contrôleurs financiers et leur permettre d'émettre un jugement de valeur sur l'étendue des attributions et compétences de ce corps, ainsi que leur mise en œuvre, en énumérant également de manière exhaustive les contraintes de tous les jours. En effet, dès le départ, vous semblez donner à travers le titre de l'article une importance à ce corps qu'il n'a pas et qu'il n'aura jamais, car la transformation «d'un chat en tigre» demeure une vue de l'esprit, voire une utopie, pour la bonne raison que dès l'origine son sort était scellé pour être uniquement un «chat» et rien d'autre qu'un «chat», n'en déplaise à notre susceptibilité et à notre amour-propre, et une telle évidence sera corroborée par le contenu ci-dessous développé tout au long de cet article. Exclu d'avancement dans la fonction supérieure D'ailleurs, cette interrogation suggère au lecteur l'idée que ce responsable dispose d'une «autonomie de décision sans limite», ce qui est absolument faux. Aussi, une plus grande objectivité dans le traitement et l'analyse du dossier du contrôle préalable aurait été mieux comprise par le profane si l'approche avait porté sur un thème autrement plus judicieux et libellé ainsi qu'il suit : «Qui contrôle le contrôleur financier». Pour cerner la problématique de la mission de contrôle dans sa globalité, il convient de procéder à l'analyse du statut de ce corps, ses missions, et, le cas échéant, les sanctions et protections prévues par la loi. . Le statut. Il est une évidence incontestable que le mode de classification d'un poste de travail constitue le premier élément contributif pour la valorisation du poste et en cela, il faut rappeler que le poste de travail de contrôleur financier est classé comme poste supérieur et non fonction supérieure, même s'il bénéficie de la rémunération de base attachée à la fonction supérieure. Il est à ce jour exclu en matière d'avancement dans la fonction supérieure, ne bénéficie pas de congés spéciaux, ni d'affiliation au Fonds spécial des retraites (FSR). Enfin, il faut rappeler qu'il est nommé par simple arrêté du ministre de Finances. De ce fait, la précarité liée au mode de désignation, le déclassement ou décalage de son rang par rapport à l'ordonnateur souvent désigné par décret, le placent dans une position inconfortable pour ne pas dire d'infériorité. Une telle situation traduit la volonté de certaines sphères du pouvoir à perpétuer cette caricature de «l'épouvantail» de cet organe pour préserver leur autonomie pleine et entière en matière de gestion des deniers publics. Une telle démarche rappelle également l'adage «du pot de fer contre le pot de terre», et à ce titre, le contrôleur financier serait bien avisé de se préserver d'un éclatement programmé. Le deuxième aspect relatif aux missions et prérogatives du contrôleur financier ne semble pas perçu dans toute sa dimension par l’auteur de l’article, même si les points soulevés ne sont pas négligeables : il est difficile d'appréhender le problème sur le plan pratique à l'occasion de l'exercice de ces prérogatives. . Les missions du contrôleur financier. D'abord, il faut s'imprégner de l'idée que les investigations du contrôleur financier portent généralement sur l'aspect formel. Leur degré d'amplitude peut parfois être qualifié de superficiel si des injonctions expresses ou verbales émanent de l'autorité centrale hiérarchique pour donner les directives de traitement de dossiers sensibles. Donc, cela peut être un contrôle effectué selon deux niveaux : ordinaire ou exceptionnel. Il porte sur des actes introduits par des secteurs implantés sur le territoire de la compétence du contrôleur financier. Ainsi, la compétence territoriale ou sectorielle connue, le contrôle exercé porte sur la qualité de l’ordonnateur, l'existence des crédits ou des postes, la conformité des pièces justificatives de la dépense avec le montant engagé, l'exacte imputation, etc. Le passer-outre de l'ordonnateur Nous ne rajoutons pas la conformité aux lois et règlements en vigueur, car celle-ci demeure à mon avis assez versatile du fait que l'interprétation des textes est susceptible d'un passer-outre de la part de l'ordonnateur. Il est également superflu de rappeler qu'en matière de gestion, l'opportunité de la dépense est prépondérante, et à ce titre, l'ordonnateur en est le seul dépositaire. La faculté de faire un bon ou un mauvais emploi des deniers publics appartient en exclusivité à l'ordonnateur. Donc, même si des cas d'évidence avérée de dilapidation de deniers publics dans des projets les plus saugrenus sont présentés, ils doivent être entérinés. Ce muselage de l'organe de contrôle est destiné parait-il à empêcher les blocages et les retards souvent constatés dans l'exécution des différents plans de développement, même si d'un autre côté, il est prescrit au contrôleur financier de traiter, d'examiner et de statuer sur un dossier dans le délai impératif de 10 jours. . Les limites prescrites au contrôle financier. Ces limites sont vulgarisées par la restriction du champ d'application ou des modalités d'exercice de ce contrôle : exemption du contrôle de certaines institutions publiques ; institution d'un contrôle approprié au moyen de la procédure des engagements provisionnels ; mise en place d'un contrôle a posteriori au niveau de certaines institutions, et instauration d'un visa global imposable au contrôleur financier en matière de marchés publics. Ces restrictions dans la mise en œuvre de la formalité du contrôle rétrécissent davantage le champ d'intervention de celui-ci et sont accompagnées par ailleurs des mesures suivantes qui vident de son sens cette formalité : réduction des délais d'examen et de vérification des dossiers qui passent de 30 jours dans le passé lointain, à 20 jours dans le passé récent, puis à 10 jours à la faveur du dernier décret, sans tenir compte des cas de complexité de certains dossiers ; recours au passer-outre par l'ordonnateur en cas de rejet définitif ; réforme ou révision par la tutelle du rejet définitif prononcé par le contrôleur financier si celui-ci s'avère infondé ; la prorogation fréquente des délais de clôture des visas officialisée par le nouveau texte va mettre à rude épreuve la durée de l'exercice budgétaire préconisée par la loi ; le retrait de la possibilité de transmission des dossiers qui ont fait l'objet de passer-outre aux institutions spécialisées — Cour des comptes ou justice —, par le contrôleur financier. Une telle décision dénote l'infantilisme observé à l'égard d'un organe de contrôle imbu soi-disant de responsabilité et de pouvoir exorbitants. Prendre comme bouclier la loi, la tutelle ou le wali ? Sanctions du contrôleur financier. Tenir compte de tous ces éléments renseigne clairement sur la volonté affichée par les pouvoirs publics de limiter outrancièrement les prérogatives de cet organe de contrôle et de l'empêcher ainsi d'exercer convenablement sa mission. En outre, il est utile de rappeler les sanctions préconisées à l'endroit du contrôleur financier par l'article 88 de l'ordonnance n° 95 - 20 du 17 juillet 1995 relative à la Cour des comptes, parmi lesquelles on peut citer entre autres : visas intervenus en infraction des lois et règlements en vigueur, et en même temps les rejets non fondés. Il est donc astreint à observer ce jeu d'équilibrisme tout au long de l'exercice budgétaire sans préjudice des autres contraintes liées à la gestion des ressources humaines dont il a la charge. De plus, il ne faut pas omettre d'insister sur la multiplicité et la diversité des secteurs dont il assure la couverture en matière de contrôle. La dissémination de toutes ces formalités tout au long de l'itinéraire emprunté par les dépenses publiques interpelle le contrôleur financier à résoudre cette énigme très proche de la quadrature du cercle. De telles intentions ne peuvent que contraindre celui-ci à l'immobilisme puisqu'il est maintenu en constante déstabilisation. Ce climat spécieux lui suggère l'adoption d'une attitude défensive pour ne pas engager sa responsabilité puisque la maîtrise d'un dossier n'est atteinte que par une démarche adéquate appropriée permettant d'éviter tous les écueils. L'exercice d'un contrôle serein et apaisé susceptible de permettre in fine l'obtention de résultats fiables n'est pas privilégié par le système en place aux antipodes de tels objectifs. Par ailleurs, l'instinct de survie dicte à ce dernier l'option vers le choix le plus judicieux pour assurer sa propre protection, et à ce titre, il se trouve devant un drame cornélien où il hésitera longtemps avant de s'aligner et prendre comme bouclier la loi, la tutelle ou le wali. La majeure partie de ce corps préfère, parait-il, faire allégeance au wali pour la bonne raison qu'il peut régler les problèmes du service et qu’il représente le ministre des Finances au niveau local. Cette allégeance réelle ou supposée ne manque pas de laisser planer le doute sur la crédibilité de ce corps à l'instar des autres responsables locaux d'ailleurs soumis aux contraintes propres à leurs secteurs respectifs. Déliquescence observée dans la quasi-totalité des services publics Quant à l'intégrité de ce corps en matière de corruption, il est nécessaire de rappeler que l'immunisation contre ce fléau ne parait pas à l'ordre du jour des responsables politiques, puisque les conditions propices pour sa prolifération sont véhiculées par une neutralisation généralisée des organes de contrôle. La déliquescence observée dans la quasi-totalité des services publics reste le vecteur le plus important pour répandre ce fléau dans les rouages de l'Etat jusqu'ici épargnés. S'agissant de l’incompétence, il est utile de rappeler qu'à ce niveau de nomination la compétence ne peut être considérée comme un critère déterminant dans le choix du responsable tous secteurs confondus. D'autres critères abstraits difficiles à appréhender, eu égard à leur origine intra et extra muros, participent à mon avis de façon essentielle à la fixation du profil idoine pour le choix des candidats à ces postes supérieurs. En conclusion, il est nécessaire de rappeler par honnêteté morale qu'une large majorité de ce corps est constituée par des cadres honnêtes intègres et compétents, et c'est cette majorité imbue de hautes valeurs morales qui résiste stoïquement au déclin programmé de cette institution pour toutes les raisons citées plus haut. L'adoption de cette attitude n'est qu'une tentative désespérée pour pouvoir échapper à l'image éculée de ce corps dont on dit «qu'il sert de paravent, sinon de bouc émissaire, à toutes les turpitudes humaines». A. B., un lecteur du Soir d’Algérie
Référence(s) :
Source de cet article :
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2010/02/15/article.php?sid=95746&cid=11
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Le 03/02/2011 é 21h03
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« Qui contrôle le contrôleur financier ?», c’est évident que c’est le comptable public (trésorier et l’agent comptable de l’Etat – loi 90-21 article 36-) et la DGFP. Si la DGFP contrôle à posteriori, les moutures des dossiers afférents à la carrière des fonctionnaires, le comptable public est dans l’obligation de vérifier, sous sa responsabilité personnelle et pécuniaire, les dossiers comptables et financiers visés par le contrôleur financier. Les affaires de falsification et les irrégularités entraînant un détournement ou une malversation des deniers publics relève du pénal. Le corps du contrôle financier n’a pas raison d’être, du moment que le comptable public est incriminé dans tous les cas.
Référence(s) :
portail agent comptable algerien
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Le 03/02/2011 é 21h22
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Pourquoi nous dire que ce corps n a pas raison d être du moment que si il n y a d engagement il n y a pas de payement et l ordonnateur lèche les bottes du contrôleur financier et pisse sur le comptable
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Le 03/02/2011 é 21h36
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Je traite la question de son côté administratif. Les poursuites judiciaires de l’association de malfaiteurs que vous avez cité m’échappent.
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Le 03/02/2011 é 21h49
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«Dépenses publiques en Algérie/Qui contrôle le contrôleur financier», paru dans notre édition du 21 décembre 2009 Source de cet article : http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2010/02/15/article.php?sid=95746&cid=11 Monsieur Djilali Hadjadj du Soir d’Algérie; « Qui contrôle le contrôleur financier ?», c’est évident que c’est le comptable public (trésorier et l’agent comptable de l’Etat – loi 90-21 du 15/08/1990 article 36 et décret exécutif n° 91-311) et la DGFP. Si la DGFP contrôle à posteriori, les moutures des dossiers afférents à la carrière des fonctionnaires, le comptable public est dans l’obligation de vérifier, sous sa responsabilité personnelle et pécuniaire, les dossiers comptables et financiers visés par le contrôleur financier. Les affaires de falsification et les irrégularités entraînant un détournement ou une malversation des deniers publics relève du pénal. Le corps du contrôle financier n’a pas raison d’être, du moment que le comptable public est incriminé dans tous les cas. Cordialement Le Solitaire http://experts-univers.com/agent-comptable-algerien.html?page=18#reponses Commentaire envoyé à : mailto:info@lesoirdalgerie.com
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Le 04/02/2011 é 05h05
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Corruptions : De quelques attributions de la CDC version ordonnance de juillet 1995 Dans l’exercice de ses attributions administratives, la Cour des comptes contrôle le bon emploi des ressources, fonds, valeurs et moyens matériels publics, par les organismes soumis à son contrôle. Elle apprécie la qualité de leur gestion au plan de l’efficacité, de l’efficience et de l’économie, par référence aux missions, aux objectifs et aux moyens mis en œuvre. Elle recommande, à l’issue de ses investigations et enquêtes, toute mesure d’amélioration qu’elle estime appropriée. Dans l’exercice de ses attributions juridictionnelles, elle s’assure, en matière de reddition des comptes, d’apurement des comptes des comptables publics et de discipline budgétaire et financière, du respect des dispositions législatives et réglementaires en vigueur. Elle sanctionne les irrégularités et infractions constatées. L’apurement des comptes des comptables publics : - La Cour des comptes apure et juge les comptes des comptables publics (art. 75 de l’ordonnance n°95-20 du 17 juillet 1995 relative à la Cour des comptes) ; - “la Cour des comptes apprécie l’étendue de la responsabilité personnelle et pécuniaire du comptable public (art. 82 de l’ordonnance n°95-20). - Elle apure les comptes des personnes qu’elle déclare comptables de fait ; - la Cour des comptes prononce des jugements à l’encontre de ces personnes dans les mêmes conditions que celles prévues pour les comptables publics (art.86 de l’ordonnance n°95-20). Le contrôle de la qualité de gestion : - A travers le contrôle de la qualité de la gestion des organismes et services publics qui relèvent de son champ de compétence, la Cour des comptes apprécie les conditions d’utilisation et de gestion des ressources, moyens matériels et fonds publics au plan de l’efficacité, de l’efficience et de l’économie (art. 69 de l’ordonnance n°95-20) ; - elle contrôle les conditions d’octroi et d’utilisation des subventions et concours financiers accordés par l’Etat, les collectivités territoriales, les établissements et organismes publics soumis à son contrôle (art. 70 de l’ordonnance n°95-20) ; - elle contrôle l’utilisation des ressources collectées par les organismes quel que soit leur statut, qui font appel à la générosité publique pour soutenir des causes humanitaires, sociales, scientifiques, éducatives ou culturelles. (art. 71 de l’ordonnance n°95-20) ; - elle “participe à l’évaluation, aux plans économique et financier, de l’efficacité des actions, plans, programmes et mesures initiées par les pouvoirs publics en vue de la réalisation d’objectifs d’intérêt national et engagés directement ou indirectement par les institutions de l’Etat ou des organismes publics soumis à son contrôle” (art. 72 de l’ordonnance n°95-20) ; Le contrôle de la discipline budgétaire et financière : Lorsqu’une irrégularité ou faute constitue une violation caractérisée des règles de discipline budgétaire et financière, et occasionne par là même un préjudice au Trésor public ou à un organisme public, la Cour des comptes a compétence pour engager la responsabilité de tout gestionnaire ou agent des institutions, établissements ou organismes soumis à son contrôle, responsable de cette infraction. Les autres attributions : La Cour est consultée sur les avant-projets de loi portant règlement budgétaire et sur les avant-projets de textes relatifs aux finances publiques. Le président de la République, le chef du gouvernement, le président de l’institution législative ou tout président de groupe parlementaire peut soumettre à la Cour des comptes l’étude de dossiers d’importance nationale relevant de sa compétence Cordialement Le Solitaire
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Source de cet article :
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2005/05/02/article.php?sid=22529&cid=11
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Le 04/02/2011 é 09h58
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Http://www.cisa-solidaritesyndicats-algerie.org/ Qu’est ce que le CISA ? mardi 26 janvier 2010 Les premiers syndicats autonomes algériens, tel le Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (SNAPAP), sont nés au début des années 90, lors de la brève ouverture constitutionnelle au pluralisme politique et syndical. Les premiers syndicats autonomes algériens, tel le Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (SNAPAP), sont nés au début des années 90, lors de la brève ouverture constitutionnelle au pluralisme politique et syndical. Ces syndicats font de leur premier principe une autonomie complète par rapport au pouvoir et aux organisations politiques. Ils existent aujourd’hui dans les secteurs de l’éducation, de la santé, de l’administration publique etc. Il sont souvent majoritaires dans ces secteurs et représentent une alternative par rapport à l’Union générale des Travailleurs algériens (UGTA). Les autonomes défendent un syndicalisme de base, démocratique et revendicatif. De plus, de nombreuses femmes se sont engagées dans ces syndicats qui, aujourd’hui, constituent de véritables outils de lutte pour la défense des droits des femmes. La guerre civile des années 90 voit la mise en place de l’état d’urgence... qui n’a toujours pas été levé et qui donne un prétexte au pouvoir pour systématiquement harceler les autonomes jugés trop gênants : interdiction de réunion publique, droit de grève dénié, suspensions arbitraires des militants, mutations tout aussi arbitraires, surveillance permanente et pressions multiples font que les syndicalistes ont plus que jamais besoin de solidarité au niveau international. C’est dans cette perspective que s’est créé le Comité international de soutien au Syndicalisme Autonome Algérien (CISA). Regroupant des syndicalistes algériens et français, mais aussi, entre autres, des militants d’associations de défense des droits de l’Homme, le comité se donne pour objectif de développer un réseau de solidarité internationale. Il s’agit en premier lieu d’informer sur la situation en Algérie. Il s’agit également de multiplier les rencontres entre les autonomes et les syndicats, associations et ONG internationale. Le comité soutient les campagnes menées par les syndicats et les fait connaître. Dans cette perspective, la collecte d’une aide financière est primordiale : elle permettra aux syndicats de louer des locaux, de s’équiper, de développer leurs outils militants, de se déplacer pour les rencontres à l’étranger, etc. Le CISA est une association de droit français (loi 1901) ouverte à toutes et à tous, individus, associations et syndicats. Vous pouvez dès à présent adhérer au CISA.
Référence(s) :
http://www.cisa-solidaritesyndicats-algerie.org/spip.php?article8
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Le 04/02/2011 é 11h07
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Avec la levée prochaine de l’état d’urgence, commençons par contacter la SNAPAP. Cordialement Le Solitaire
Référence(s) :
portail agent comptable algerien
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Le 04/02/2011 é 21h50
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Les erreurs et fautes professionnelles commises par le contrôleur financier, dans l’exercice de ses fonctions prévues décret exécutif 92-414 modifié et complété, sont supportées et imputées au comptable public qui ne doit en aucun cas faillir à ses obligations. Contrairement au contrôleur financier qui est seulement tenu pour responsable (ordonnance n°95-20 du 17 juillet 1995 relative à la Cour des comptes modifiée et complétée) pour les erreurs et fautes de gestion sans désignation légale ou réglementaire de la sanction à encourir, des sanctions par arrêt et arrêté de débet, sont expressément prévues pour toute erreur ou faute professionnelle commise par le comptable public. Les dossiers rejetés par le comptable public même visés par le CF, ne sont pas contrôlés par la cour des comptes et l’IGF pour responsabiliser le CF. Si par erreur l’agent comptable de l’Etat ou le trésorier admet en dépense une dépense visée par le CF, la sanction est encourue par le comptable public. Le contrôleur financier n’est compromis que lorsque la faute relève du droit commun (détournement ou malversation des deniers publics).
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Le 05/02/2011 é 07h14
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Quand on voit certains trésoriers comment qu’ils sont arrivés , avec des pantalons mal cousus et des souliers de bon marché mal cirés, et qu’ils sont devenus propriétaires de villas somptueuses et de voitures de luxes, et pour qu’ils aient l’audace de nous réunir au nom des DRT, et nous prêcher des leçons de morale et nous promettre des fonctions supérieures. C’est quoi ce cinéma et ce manque d’éducation. Les DRT nous prennent pour des crédules. Que les trésoriers comprennent que si nous assistons à ces réunions carnavals que par respect à notre administration des finances, et qu’ils gardent ces fonctions supérieures pour eux qui sont tout comme nous en postes supérieurs. C’est du n’importe quoi. Il faut que la cour des comptes, relancée par son excellence le président de la république, programme ces trésoreries pour des inspections de fond afin de récupérer l’argent du peuple Algérien.
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Le 05/02/2011 é 15h37
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Pourquoi parler de trésorier uniquement quand on voit que la plupart des DRT qui était tresorier avant leur création et qu ils sont assoiffés de pouvoir et que leurs autorités se résument a embetter les agents comptables dans leur poste avec la complicité des minables d ordonnateurs juste pour avoir quelques présents que ses derniers demandes au fournisseurs pour services rendu menaces de mettre fin a leur fonction et il trouve toujours un prétexte valable comme refus de travail,ect..... je condamne tout les traîtres de notre ministère sans exclure certain agents comptable qui se sont mis a table pour quelques miettes et parfois juste pour un dîner pour remplir leurs ventres je suis dégoûte de voir cela tout les jours
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Le 05/02/2011 é 21h57
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Je cite les trésoriers parcequ’ils sont comptables publics comme nous. Ils nous font de la mauvaise publicité et usurpent des pouvoirs et compétences qu’ils n’ont pas, tout cela bien sur avec la complicité de certains DRT corrompus. Je fais références aux textes légaux et réglementaires, pour dire que les trésoriers sont nommés dans le cadre du décret exécutif 91-311 et leur fonctions est soumises aux dispositions de la loi 90-21 et les condition de gestions des budget l’Etat est géré de la même façon que les autres budgets, article 43 de la loi 84-17. j’accepte cette impolitesse et de ce manque de respect de la part des DRT que s’ils soumettent les autres comptables publics cités par l’article 4 du décret exécutif 91-311 à la hiérarchie usurpée des trésoriers cité par l’article 3 du même décret modifié et complété en 2003. ils nous prennent pour des têtes de turcs. Cela ne serai pas arrivé si nous avons une direction centrale correcte !!!!
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Le 06/02/2011 é 09h41
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Nous ne demandons que d’être traités en comptables publics. C’est une revendication légitime et conforme aux lois et règlements de l’Algérie souveraine. Les DRT veulent nous gouverner avec leurs propres lois, autres que celles légiférées par le pouvoir législatif de notre pays. Nous n’acceptons pas l’aumône ni les compromis. Si nous nous sommes manifestés maintenant, c’est parceque nous avons repris confiance aux dirigeants de l’Algérie et à la politique de justice instaurée par le président de la république. Dites moi comment demander une audience avec le Président de la république et les jours de réceptions. Je suis prêt à parler au nom de tous les agents comptables de l’Etat.
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Réponse anonyme
Le 06/02/2011 é 15h05
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On n’écrit pas au Président de la république comme on écrit à un président d’APC. Il existe des règles protocolaires à observer, comme partout dans le monde. Votre initiative est audacieuse, elle mérite tout notre soutien et notre assistance. Les conseillés du président sont au courant de notre discussion et de notre situation. Ils consultent toutes les pages internet relatives à l’Algérie.
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Réponse anonyme
Le 06/02/2011 é 16h08
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Je pense qu’il faut attendre la publication du décret portant statut particulier du ministère des finances. Je crois que les 255 points de la bonification n’est qu’une mauvaise blague pour les nommés et une condamnation par contumace des agrées.
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