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Agent comptable algerien - Page 21

Question de algerie le 13/08/2009 à 16h40
Dernière réponse le 21/05/2018 à 16h35
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Monsieur le ministre des finances algerien, pourquoi l'agent comptable de l'Etat n'est pas considéré au même titre que les controleurs financier qui r...
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627 réponses pour « 
agent comptable algerien
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Le 04/03/2011 é 05h09
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Faites passer le mot par tous moyens de communication, mais soyons au rendez vous incha Allah.
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CELUI QUI LUTTE PEUT GAGNER, CELUI QUI NE LUTTE PAS A DEJA TOUT PERDU !
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Le 04/03/2011 é 05h55
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Service fret de l’aéroport d’Alger Mouvement de protestation des douaniers hier le 02.03.11 | 01h00 Les douaniers du service fret de l’aéroport d’Alger Houari Boumediène ont enclenché, dans la matinée d’hier, un mouvement de protestation «spontané». La centaine d’agents qui ont suivi l’action entendaient ainsi dénoncer leurs conditions socioprofessionnelles de plus en plus précaires. Et ils en ont gros sur le cœur. «Je suis agent des Douanes depuis 20 ans, et je perçois un salaire de 20 000 DA. Comment voulez-vous que je fasse vivre mes trois enfants avec cette paie ?» s’indigne Nacer. Et il semblerait qu’il ne soit pas le plus à plaindre parmi cette corporation. Certains douaniers sont ainsi rémunérés, au bout de 13 ans de service à 18 000 DA, d’autres 15 000 DA après 4 ans de travail. «Nous demandons donc une revalorisation de la grille des salaires ainsi que la finalisation d’un statut pour les 14 000 douaniers, qu’ils nous rendent nos prérogatives et les mêmes droits que ceux des policiers. Nous ne comprenons pas qu’un inspecteur général puisse toucher le même salaire, soit 40 000 DA, qu’un agent de l’ordre public, qui est l’échelon le plus bas du corps policier», surenchérit Hamid. Et, en dépit de leurs années d’exercice, les promotions sont pour eux inespérées. «Je suis agent de contrôle depuis 16 ans. Mais je n’ai jamais été promu. Tout simplement à cause du favoritisme et du régionalisme qui a cours dans nos services», affirme, à bout de nerfs, Djamel. Il est interrompu par Ahmed qui lui lance : «Tu sais très bien que les grades ne sont pas accordés méritoirement. Ils sont donnés au plus offrant. Et c’est un douanier avec des années d’expérience qui vous le dit : les postes-clés se monnaient très cher.» Car, bien plus que leur «salaire de misère», les contestataires s’insurgent contre leurs conditions de travail et l’environnement dans lequel ils évoluent. «Abus de pouvoir, mutations abusives, injustice, sanctions disciplinaires et administratives injustifiées et non réglementaires, etc. La direction n’hésite d’ailleurs pas à suspendre ou à porter plainte contre ceux qui n’abondent pas dans le même sens qu’eux», s’échauffent les douaniers. Ce qui pourrait peut-être expliquer que le secrétariat du divisionnaire général de l’inspection générale des Douanes, joint hier, affirme qu’aucun arrêt de travail ou autre protestation n’a été enregistré. «Nous n’avons même pas le droit d’avoir des tenues neuves ou des conditions d’hébergement dignes. Aujourd’hui, exercer ce métier n’est plus une fonction. C’est une souffrance», s’apitoie, les yeux embués, une jeune douanière de 28 ans. Et elle sait de quoi elle parle : en liberté provisoire, elle a été condamnée à 9 ans de prison ferme dans «l’affaire des colis postaux». Et c’est d’ailleurs l’un des autres motifs de cette journée de protestation : apporter leur soutien indéfectible à leurs collègues, condamnés à de lourdes peines de prison ferme dans cette affaire. «Solidarité avec les condamnés dans l’affaire des colis postaux» C’est d’ailleurs la présence de leurs familles qui a mis le feu aux poudres dans le service fret. «Le divisionnaire et le syndicat s’en lavent les mains et n’ont rien fait pour les aider. Il n’y avait pourtant aucune preuve contre eux», accusent les épouses des douaniers condamnés. «Et tout le monde sait très bien, ici, qu’ils étaient tous des modèles de probité et d’honnêteté», jurent les autres douaniers aux femmes éplorées, l’un d’eux ajoutant : «C’était un procès pour l’exemple, un verdict politique.» «D’ailleurs, même la présidente de la cour a déclaré que notre dossier était vide. Pourtant nous avons été condamnés à 9 ans de prison ferme !» s’exclame Ahmed, lui aussi en liberté provisoire. Les condamnés ont fait appel du jugement, mais ils avouent ne plus nourrir grand espoir quant à un dénouement heureux. «Nous n’avons plus aucune confiance en la justice», souffle Ahmed, en haussant les épaules d’impuissance. Tentant de le réconforter, son collègue assure que la contestation paiera. «Nous poursuivrons notre action si la situation ne s’améliore pas. Nous n’avons plus peur des sanctions ou des représailles. Et nous ne voulons plus être des boucs émissaires», promet-il. Ghania Lassal Sources: http://www.elwatan.com/
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wall5
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Le 04/03/2011 é 06h09
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Marasme dans le secteur de la santé Les pouvoirs publics jouent la carte de l’apaisement le 01.03.11 | 01h00 La marche historique initiée, mercredi passé, par les syndicats autonomes du secteur de la santé a fait réagir les pouvoirs publics qui tentent de «calmer les esprits» en jouant la carte de l’apaisement. Au lendemain de cette manifestation pacifique qui avait vu déferler dans l’enceinte de l’hôpital Mustapha des milliers de blouses blanches, le ministre de la Santé a invité le Syndicat algérien des paramédicaux (SAP) à une réunion de travail. M. Ould Abbès s’est engagé, par écrit, à prendre en charge toutes les préoccupations des infirmiers. Toutefois, ne faisant pas confiance au ministre de tutelle, les paramédicaux donnent un ultimatum d’un mois au département de Ould Abbès pour la concrétisation de leur revendication. Dans le cas contraire, ils reprendront la voie de la contestation en radicalisant leurs actions. Autre initiative prise par les pouvoirs publics : celle émanant du chef de cabinet de la présidence. M. Guendil a reçu, avant-hier, les représentants de tous les syndicats de la santé pour une réunion de travail. Cette invitation fait suite à la lettre adressée par les organisations syndicales de la santé au président de la République expliquant les raisons du boycott de la conférence nationale sur la santé et leur position par rapport au système de santé qui prévaut en Algérie et l’ensemble des problèmes auxquels ils sont confrontés. Les syndicats de la santé ont demandé le retrait de l’avant-projet de loi, qui n’a rien à voir avec la refonte du système de santé. «Nous voulons un nouveau système de santé. Le ministre a fait cavalier seul, il n’a pas pris la peine de consulter le partenaire social. La réforme du système de santé devrait prendre en charge tous les paramètres allant des conditions de travail des praticiens aux préoccupations des citoyens», estiment les syndicats, qui ont également exposé au chef de cabinet les entraves rencontrées en matière d’exercice syndical et de droit à la grève. Le représentant du président a promis de les prendre en charge, en précisant que le Président porte «un intérêt particulier», vu son importance, au dossier de réforme du système de santé... La déception des spécialistes Sur un autre chapitre, le Syndicat national des praticiens spécialistes de santé publique (SNPSSP) ont tenu leur conseil national les 24 et 25 février dernier ; l’ordre du jour portait sur plusieurs points. Après évaluation de la situation, le syndicat s’est dit très déçu quant à la prise en charge des revendications et promet des actions au moment opportun. S’agissant de l’amendement du statut et du régime indemnitaire, les membres du conseil national prennent acte de l’installation de la commission mixte syndicat-ministère, le 25 janvier dernier, et par la suite la finalisation du projet d’amendement du statut particulier ; ils dénoncent par la même le retard important accusé dans le traitement de ce dossier qui porte préjudice à la santé publique et à la couverture sanitaire de la population, ce qui contribue à aggraver le malaise social. Le conseil national interpelle le ministre pour accélérer la promulgation du statut amendé et l’élaboration et la promulgation d’un régime indemnitaire qui réponde aux normes, en tenant compte de ce qui a été fait pour les autres secteurs. Les spécialistes dénoncent le rejet illégal par la Fonction publique de la demande de mise en conformité de la prime d’intéressement avec les trois grades et maintient sa revendication ferme pour le règlement définitif de ce contentieux. Pour ce qui est du concours de graduation, le SNPSSP exige la promulgation urgente des textes y afférents, en souffrance au niveau de la DGFP depuis 6 mois, pénalisant ainsi les centaines de praticiens spécialistes éligibles à ce concours depuis 2004. Les questions du logement, de la carte et de la loi sanitaire étaient également au menu. Nabila Amir Sources: http://www.elwatan.com/
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Le 04/03/2011 é 06h47
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La protestation des étudiants est partie pour durer le 04.03.11 | 01h00 Les étudiants maintiennent la pression et le gouvernement ne sait plus quoi inventer pour calmer la contestation. Dernière trouvaille en date, la constitution de groupes de travail, composés de cadres du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, des chefs d’établissement des grandes écoles et des recteurs des universités, censés faire remonter les revendications estudiantines. «Lors de ses réunions, les doléances des étudiants sont étudiées et prises en considération. Le ministère est ouvert au débat», affirme une source proche du ministère. Cette disponibilité du gouvernement au dialogue est battue en brèche par les étudiants qui considèrent que le pouvoir cherche à gagner du temps pour affaiblir leur mouvement de revendication. «Cela fait un mois et demi qu’on est en grève. On commence à être épuisés, mais nous continuerons à nous battre. Si le ministère compte jouer la montre, il se trompe lourdement», déclare Yasmina, étudiante en géologie à l’USTHB. Hier, un nouveau mouvement de protestation a eu lieu devant le siège du ministère et qui a vu la participation des étudiants de l’université de Bouzaréah, ceux de la faculté des sciences politiques et de l’information, des étudiants de l’université de Dely Ibrahim, de la faculté de pharmacie, ainsi que des étudiants venus de Boumerdès, Tizi Ouzou et Bouira. Au cœur de ce rassemblement, une délégation composée essentiellement d’étudiants affiliés aux organisations étudiantes partisanes (UGEL, AREN, UNEA, etc.), a été reçu au ministère, alors que ceux du Comité autonome des étudiants était interdite d’accès. Les revendications des protestataires diffèrent d’une école et d’une université à une autre, mais les étudiants ont décidé de regrouper leur force pour faire entendre leur voix auprès de la tutelle. Cette protestation est motivée, selon des étudiants de la faculté des sciences politiques, par «la situation déplorable» dans laquelle se trouve cette faculté du fait notamment, ont-ils précisé, de «la faiblesse de l’encadrement et de l’absence du réseau Internet dans la bibliothèque». Ils revendiquent «le rétablissement de la véritable place de la licence» et «l’ouverture de postes supplémentaires au niveau du magistère conformément au nombre des étudiants de la faculté». De leur côté, les étudiants de l’Ecole supérieure de commerce ont exprimé leur «mécontentement et leur déception» du système LMD qui a contribué, selon eux, à «la dégradation du classement de l’école dans la fonction publique causant sa régression de l’échelle 13 à l’échelle 11». Quant à la faculté de Bouzaréah, ses étudiants réclament une sécurité renforcée dans l’enceinte de la fac suite à l’agression à l’arme blanche dont a été victime une étudiante. «Cette affaire d’agression, c’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, souligne Mounir, étudiant de la faculté de Bouzaréah. Nous réclamons aussi l’amélioration des conditions socio-pédagogiques, la facilité pour les étudiants en LMD d’accéder au master et la possibilité à ceux de l’ancien système de s’inscrire en magistère». Un comité autonome des étudiants de Bouzaréah a été installé et des contacts ont été établis avec les étudiants des autres universités pour fonder la coordination des étudiants du Centre. Cette nouvelle montée de fièvre dans les facultés algériennes, qui dure depuis plus d’un mois, est la conséquence d’une série de décisions prises par le ministère. Malgré l’abrogation du décret 10-315 et l’obligation faite aux différents établissements d’enseignement supérieur d’entamer les débats pour l’élaboration de nouveaux textes avec la participation des étudiants, la mobilisation ne faiblit pas et la grève des cours est partie pour durer. Salim Mesbah Sources: http://www.elwatan.com/
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Le 04/03/2011 é 07h23
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Ahmed Benbitour : «Le pouvoir n’est pas capable de mener des réformes» le 21.02.11 | 01h00 Toutes les conditions pour un changement sont réunies en Algérie», les mêmes qu’en Tunisie et en Egypte, a dit Ahmed Benbitour, ancien chef de gouvernement, qui a animé hier une conférence-débat à l’hôtel El Djazaïr, ex-Saint Georges, à l’invitation du centre de recherches et d’études stratégiques Amel El Oumma. Initialement, la conférence devait se tenir au siège du journal gouvernemental Echaâb qui avait donné son accord la veille, mais les responsables de ce dernier se sont rétractés à la dernière minute en apprenant que l’animateur était Ahmed Benbitour. En voilà des pratiques qui renseignent largement sur l’état d’esprit des tenants du pouvoir qui ne cèdent aucun espace à l’expression libre. L’ancien chef de gouvernement appelle d’ailleurs à un changement total et pacifique, mais à un changement qui viendrait de l’extérieur, pas de l’intérieur. D’ailleurs, M. Benbitour dit «ne pas voir dans toute la hiérarchie du pouvoir des gens capables de mener des réformes ou d’effectuer un changement». «Ils sont incompétents», tranche-t-il. «2011 est une année de travail en commun pour un changement pacifique de tout le système de gouvernance», dira le conférencier, qui ajoutera que «la marche du 12 février est la première page d’un processus de changement et que le 19 en est la deuxième». Répondant à une question concernant la rente qui pourrait permettre au régime de se maintenir plus longtemps, Ahmed Benbitour craint que cela entraîne sa propre destruction et celle de la société. Convaincu que le changement est inéluctable, l’ancien chef de gouvernement, qui demande la levée de l’état d’urgence, la libération du champ politique et l’ouverture médiatique avec la création de nouvelles chaînes de télévision privées, préconise plusieurs étapes pour aboutir à la démocratie. Il s’agit, selon lui, d’«une période d’endiguement qui portera sur 2 ans, d’une transition de 5 ans et de la consolidation de la démocratie qui s’étalera sur 10 ans». 17 ans, pas moins, qui seront, dit-il, consacrés à la construction d’un véritable Etat de droit, des institutions qui survivront aux hommes. La proposition de M. Benbitour n’a d’ailleurs pas manqué de provoquer un quiproquo dans la salle. Abdelhamid Mehri, qui était présent, interviendra en effet pour demander au conférencier si par «changement calme et pacifique», il voulait dire «long». «J’espère que vous parlez d’un véritable changement radical, total et rapide», indiquera l’ancien secrétaire général du FLN. Ahmed Benbitour rétorquera en expliquant sa proposition et en soutenant que le changement n’attendra pas 17 ans. Il précise que c’est la construction d’un vrai Etat qui s’étalera sur toute cette période. Pour ce faire, l’ancien chef de gouvernement insiste sur la nécessité de «réunir les forces du changement en rassemblant des gens de tout bord sans considération idéologique ou de programme». A la question relative aux déclarations des Américains et des Européens sur ce qui se passe en Algérie, M. Benbitour répondra que le changement est l’affaire des Algériens et rien que les Algériens. Sur ses intentions en cas d’élection présidentielle, il a répondu que ce n’est pas le moment d’évoquer cette question, il s’agit pour l’instant, selon lui, d’émettre une somme de messages. Mais si la situation imposait un tel cas de figure, il s’emploierait «à mettre rapidement le pouvoir entre les mains de la jeunesse». Said Rabia
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Le 04/03/2011 é 07h51
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Nous faisons parti de cette Algérie en ébullition. Le changement est l’affaire de nous tous. Soyons au rendez-vous à la place des martyrs d’Alger le 30/03/2011 à partir de 10 heures si Allah le veut. Celui qui lutte peut gagner, celui qui lutte pas a déjà tout perdu !
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Le 04/03/2011 é 11h54
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L’agent comptable de l’Etat est le garde-fou des deniers publics. Il est peut être réellement fou de continuer de gérer honnêtement des milliards contre un salaire dérisoire et un statut de cadre scandalisant, dans un ministère des finances clochardisé par des incompétents et des corrompus qui ne savent pas faire la différence entre le trésor public et la trésorerie. L’agent comptable de l’Etat et le trésorier, sont des comptables publics et qui sont des fonctionnaires du trésor public qui par définition est l’ensemble des moyens financiers de l’Etat.
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Le 04/03/2011 é 14h28
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Algerie mon amour Algerie pour toujours VIVE L ALGERIE
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Le 04/03/2011 é 21h07
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« Aimer ce n’est pas aimer, si on aime pas jusqu’au défaut de l’être aimé » André Gide. C’est vrai que nous aimons notre fonction d’agent comptable de l’Etat avec tous ses défauts, manque de considération, salaire dérisoire…mais il faut qu’on soit présent le 31/03/2011 à la place des martyrs d’Alger, une preuve d’amour pour notre fonction et par conséquent pour notre chère Algérie.
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Réponse de errahel
Le 06/03/2011 é 11h14
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Pourquoi les agent comptables agrées par le trésorier territorial auprès des établissements de la formation professionnelle n'ont pas droit a la prime de responsabilité (20%) ?
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Le 06/03/2011 é 13h49
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Tout simplement parcelle' ils ne sont pas reconus............
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Le 06/03/2011 é 19h05
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Comment pas reconnus et on gère un budget et responsable devant la cours des compte et toute les instances de contrôle du pays au mémé titre que tout les comptables
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Le 07/03/2011 é 14h44
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Appel à touts les agents comptables publics agréés D’après la loi de la comptabilité publique, les agents comptables agréés sont aussi responsables personnellement et pécuniairement que les agents comptables nommés, ont les mêmes charges, les mêmes risques et prérogatives, donc on ne voit pas de raisons qu’ils soient exclus de la dernière bonification au profit Des agent comptables nommés ( voir Décret exécutif n° 10-298 du 29 novembre 2010 portant statut particulier des fonctionnaires appartenant aux corps spécifiques du Trésor, de la comptabilité et des assurances.) Alors on appel touts les comptable publiques à soulever cette revendications à la tutelle de rattachement en même temps au ministère des finance, il faut impérativement agir en conséquence le plus vite possible sera le mieux, pour donner suite positive( soit on ‘ ai des comptable de l’état soit on l’ai pas ) à vous de voir , réagissez vite s’il vous plait USTHB BAB EZZOUAR
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Réponse anonyme
Le 07/03/2011 é 14h57
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Au nom de la loi on est des comptables publics pécuniairement et personnellement responsable, on a une indemnité de responsabilité de 20 %, il faut qu'elle sera harmonisée comme tout les régimes indemnitaires, alors on doit réagir,,
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Réponse de Pozologie
Le 07/03/2011 é 22h41
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Slt, je suis agent comptable, mon subordonné indirect voir le directeur de wilaya, me demande ma démission, pourtant je n'est fait aucune faute professionnelle, c'est une guerre de clan ....bref, il me harcèle tout le temps, en contactant les services du trésor publics , il me lance s'il a un remplacent cette bande de mercenaire, sans connaitre les raison, je me sens pas en securité, je suis debutant ma faute peut-être du faite que je suis tout le temps comme un chien derrière les administration pour les règlement des factures(charges annexes) ou pour demander conseil aux collègues donc des fois je suis absent, un syndicaliste derrière tous ça, et dont le poste a été gelé grâce adieu, suite a une lettre ecrite par les travailleurs dont j'ai remis en personne au directeur(ordonnateur) .......bref, je demande conseils aidez-moi svp.
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Réponse anonyme
Le 08/03/2011 é 12h57
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OK soyons tous présents (agents comptables l'Etat) à la rencontre du 30/03/2010 à partir de 10h à la place des martyrs. Une plateforme des revendications sera remise au representant du Ministre des finances. Techniquement vous êtes sous la responsabilité directe des DRT. Il faut que ces derniers fassent leur travail correctement et que les trésoriers cessent de vous escroquer avec des agréments, comme les arrétés de nomination, qui ne sont pas de leurs prérogatives.
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Le 09/03/2011 é 16h43
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Contrairement aux comptables assignataires, pour qui les délais sont connus, je ne trouve pas de textes qui fixent pour les ordonnateurs, les delais d’introduction au paiement des factures. Il se trouve que celles-ci sont établies plusieurs mois avant et gardées par l’ordonnateur, avec l’intention de faire pression sur les fournisseurs et pestataires de services et pour que la dépense devienne une urgence une fois déposée à l’agence comptable. La corruption est partout et sous plusieurs formes !?
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Le 10/03/2011 é 08h46
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MONSIEUR LE MINISTRE DES FINANCES PLATE FORME DE REVENDICATIONS. Les agents comptables de l’Etat des établissements publics à caractère administratif L’AGENT COMPTABLE DE L’ETAT, EST UN COMPTABLE PUBLIC ! Décret exécutif n° 91-311 du 7 septembre 1991 Décret exécutif n° 03-41 du 19 janvier 2003 • l’agent comptable central du Trésor ; • le trésorier central ; • le trésorier principal ; • les trésoriers de wilayas ; • les trésoriers communaux ; • les trésoriers des secteurs sanitaires et des centres hospitalo-universitaires ; • l’agent comptable centralisateur des budgets annexes ; • les receveurs des impôts ; • les receveurs des domaines ; • les receveurs des douanes ; • les conservateurs des hypothèques. • agent comptable du conseil constitutionnel ; • agent comptable de l’assemblée populaire nationale ; • agent comptable de la cour des comptes ; • les agents comptables des établissements publics à caractère administratif ; • les receveurs des postes et télécommunications ; • les chefs de centres des postes et télécommunications ; • les agents comptables des postes diplomatiques et consulaires à l’étranger. L’Agent comptable de l’Etat a été et demeure le garde-fou des deniers publics, avec engagement de sa responsabilité personnelle et pécuniaire s’il faille sciemment à ses obligations, ou par méconnaissance des textes régissant les opérations de contrôle et de vérification qu’il est tenu d’effectuer. INQUIETUDES ! Si l’agent comptable de l’Etat est responsabilisé au même titre que les autres comptables publics ses droits restent très mal appréciés. Le décret exécutif n° 10-298 du 29 novembre 2010 portant statut particulier des fonctionnaires appartenant aux corps spécifiques à l’administration du Trésor, de la comptabilité et des assurances, laisse plusieurs questions posées et engendre des inquiétudes. Ce statut est promulgué que pour seulement trois postes supérieurs du ministère des finances. Les agents comptables de l’Etat qualifiés de comptable public avec une responsabilité personnelle et pécuniaire, et les chefs de brigades et les caissiers qui sont sous la responsabilité conjointe des trésoriers. Avec ce statut élaboré pour être un texte de référence, l’agent comptable de l’Etat est isolé des autres comptables publics (décret exécutif n° 91-311 du 7/09/1991 complété par le décret exécutif n° 03-41 du 19/01/2003). !!!? REVENDICATIONS PRINCIPALES DES AGENTS COMPTABLES DE L’ETAT ! Contrairement aux autres comptables publics, l’agent comptable de l’Etat n’est assisté par aucun fondé de pouvoir, bureau ou service. Il est donc chargé seul, de la gestion des budgets des EPA auprès desquels est nommé, de la vérification et du contrôle des dépenses et des recettes et de leurs comptabilité, et enfin de l’établissement des comptes de gestion séparés. • Détermination de la base de calcul des 255 points accordés pour la bonification du poste d’agent comptable de l’Etat ? • Le sort des agents comptables agrées ? • Rémunération des agents comptable de l’Etat au même titre que les trésoriers, puisque au même titre de désignations et de responsabilité avec des moyens humains et matériels différents ; • Révision des conditions d’accès à la fonction d’agent comptables de l’Etat. • Soumission des agences comptables de l’Etat aux seuls contrôles de la cour des comptes, de l’IGF et du ministère des finances (DGC/DRT). UN DROIT NON REVENDIQUE EST UN DROIT PERDU ! La disparité entre les comptables publics avait été instaurée à partir des années 90, lorsqu’on avait écarté les agents comptables de l’Etat et accordé aux trésoriers la rémunération par référence au barème des fonctions supérieures alors qu’on percevait, à quelques dinars prés, un même salaire (catégorie 18 pour les trésoriers et catégories 15 et 17 pour les agents comptables de l’Etat) et une même indemnité de responsabilité (700 DA) pour tous les comptables publics. IL N’EST JAMAIS TROP TARD POUR BIEN FAIRE. ! Depuis, les trésoriers sont rémunérés par référence aux barémes des fonctions supérieures avec une indemnité de responsabilité de 50 % du salaire de base, et une indemnité de véhicule de 8000 DA attribuée sur la base de leur nouvelle classification. Les agents comptables sont restés aux catégories 15 et 17 avec une indemnité de responsabilité de 20 % du salaire de base, sans les autres avantages (logements de fonction et prêt véhicule…). Cette disparité et cette différence entre ces postes comptables, soumis à la même loi 90-21 du 15/08/1990 relative à la comptabilité publique et la loi 84-17 du 07/07/1984 modifiées et complétées,et nommés dans les mêmes conditions (décret exécutif 91-311 du 07/09/1991 modifié et complété) avec les mêmes critères de désignation, ne fait que s’élargir et se confirmer avec les nouvelles bonifications de ces postes comptables publics. . DESARMEMENT DES AGENTS COMPTABLES DE L’ETAT ! Le contenu du décret exécutif n° 10-298 du 29 novembre 2010 portant statut particulier des fonctionnaires appartenant aux corps spécifiques à l’administration du Trésor, de la comptabilité et des assurances, est contraire dans son fond et sa forme, aux directives de Monsieur le président de la république prises par instruction présidentielle n° 03 du mois de décembre 2009 relative à la lutte contre la corruption, la malversation et la mauvaise gestion des deniers publics. L’agent comptable de l’Etat est soumis à toutes les pressions morales et matérielles, alors qu’il est sensé en sa qualité de comptable public être légalement et réglementairement protégé
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Le 11/03/2011 é 08h52
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Statistiques non actualisées ! http://www.mf-dgc.gov.dz/fichiers/epa.htm
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Le 15/03/2011 é 07h11
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Ils protestent contre le nouveau code communal Plus de 600 maires menacent de démissionner Le projet du nouveau code communal, présenté hier devant les députés à l’Assemblée populaire nationale (APN), a provoqué l’ire des maires et des élus locaux. Le texte ne répond pas à leurs attentes. Ils entendent bien crier leur ras-le-bol. Au moins 600 présidents d’Assemblée populaire communale (APC), toutes tendances politiques confondues, vont déposer, jeudi prochain, leur démission en guise de protestation contre le contenu de ce projet, mais aussi contre la stigmatisation dont ils font l’objet. «La décision est prise. Les maires ne peuvent plus assumer leur mission dans les conditions actuelles. Et ce projet vient nous enfoncer davantage», déclare Mouhib Khatir, P/APC de la commune de Zéralda et président du Forum des maires qui est à l’origine de ce mouvement de protestation. Selon lui, les élus locaux sont déjà asphyxiés et ce projet de nouveau code communal n’est que la goutte qui a fait déborder le vase. «Nous avons déjà attiré l’attention du ministère de l’Intérieur sur nos problèmes. En 2008, lors de la formation des maires sur la gestion des collectivités locales organisée par la tutelle, nous avons élaboré une liste de recommandations. Le ministre de l’Intérieur a promis de les prendre en considération. Il n’en fut rien», déplore-t-il. Dans ce sens, Mouhib Khatir affirme que le projet, qui est actuellement entre les mains des députés, a été élaboré sans consultation des premiers concernés, en l’occurrence les maires et les élus locaux. «Aucun maire n’a été associé à l’élaboration de ce projet de nouveau code communal. Il n’a aucune âme et aucun projet ne lui ressemble dans le monde. Je me demande d’ailleurs d’où (les responsables du ministère de l’Intérieur, ndlr) sont-ils allés le chercher», lance-t-il. Quelles sont les exigences des maires ? En plus des prérogatives nécessaires pour une meilleure gestion de la commune, le Forum des maires a déjà formulé trois revendications essentielles. Il y a d’abord l’immunité des maires. «Aujourd’hui, les P/APC passent plus de temps dans les tribunaux qu’à gérer les affaires de leurs communes. Les affaires en justice pleuvent sur nous. Par une simple lettre anonyme, le maire est traîné devant les tribunaux. Du coup, il perd sa crédibilité aux yeux des citoyens qui l’ont élu», s’indigne-t-il. Dans ce sens, Mouhib Khatir critique le système de gestion des communes mis en place depuis des années. «Il n’y a jamais eu de passation de consignes entre l’ancien et le nouveau maire. Il n’y a jamais eu d’audit annuel pour juger le travail fait par l’Assemblée communale afin d’éviter les erreurs commises par le passé», souligne-t-il. Notre interlocuteur relève également l’absence de statut particulier des élus locaux. «Il y a des maires rémunérés à 15 000 DA. Ce n’est pas normal», ajoute-t-il. Poursuivant, notre interlocuteur dénonce l’absence d’un encadrement de qualité au niveau des APC. «Ces problèmes existent à travers le territoire national. Et les maires des 48 wilayas en ont assez de cette situation», précise-t-il. En tout cas, les protestataires devront se réunir demain ou après-demain pour décider des actions à mener à l’avenir. Madjid Makedhi Sources : http://www.elwatan.com/ le 14/03/2011
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