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Internement sans accord préalable, comment se défendre ?

Question de BALOOO le 12/04/2012 à 15h02
Dernière réponse le 12/04/2012 à 15h40
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Pendant l’intervalle, où j'achevais mon service militaire, je ne comprenais pas ce qui venait de se passer, je venais de tout subir sans pour cela opposer une once de résistance. J’étais convaincu que ma propre psychologie n’était pas la qualité d'un phénomène psychologique particulier ou persistant. Il me semblait avoir été utilisé dans un processus de conditionnement. Tout me semblait désigner un ensemble d’opérations permettant de provoquer une nouvelle. Conduite d'un sujet, conduite inscrite dans un Cadre dans lequel se déroule une action qu’on ne maîtrise pas. Les caractéristiques contextuelles (des personnes présentes, etc…) m’ont influencé directement, notamment à travers les comportement et les attitudes Des faits similaires (bagarres, plaisanteries par exemple), pourront faire l'objet d'une interprétation très différente selon le contexte dans lequel le contexte environnemental et temporel existe. Tout comportement a une motivation visant la satisfaction d'une tension. Le comportement peut s'orienter vers la recherche d'un objet ou la mise en place d'une certaine situation. Tous les comportements sont adaptatifs. La qualité de l'adaptation est fonction des croyances sur place et des capacités physiques, économiques et intellectuelles du sujet, ainsi que de son emprise. Le but peut être de supprimer ces réflexes si nous utilisons des stimulus désagréables ou bien de les renforcer en y ajoutant un stimulus agréable (renforcement positif). Il est aussi possible de créer de nouveaux réflexes ou de nouvelles habitudes. Les multiples possibilités offertes par la technique du conditionnement en font un outil utilisé fréquemment en psychiatrie, notamment dans le traitement des alcooliques (prises de médicaments déclenchant des crises de vomissements en cas d'absorption d'alcool par exemple conditionnement pour qualifier une réaction conditionnelle difficile à modifier même après plusieurs essais. Ce qui s’énonce sur le plan médical de façon très précise n’avait encore de ma part suscité aucunes interrogations. Mon occupation n’introduisait plus rien de neuf que de me prendre en charge physiquement, à partir du moment où tout ce qui a été noté de façon psychiatrique avait été fait de façon théorique, comme si j’ avais été dévisagé, ou qu’on s’était contenté de scruter une apparence, une physionomie, un air dont les diagnostics qui en ressortent relataient un ensemble subjectif très abstrait. Ceci à eu pour effet de me surprendre, notamment « cet air bizarre » qu’on m’a attribué faute de me connaître vraiment, faute de l’intérêt de vraiment cerner ma personnalité.. Depuis l’origine des afflictions jusqu’aux termes du procès, l’influence, pour entamer une cure de sommeil sur les bases concrètes d’un état le suscitant est restée ancrée en moi, un obstacle, c’est ce qui en ressort à travers ces syndromes qu’aucun psychiatre, n’a relevé depuis, ni avant ni après. Sans ses secrets d’alcôve et pourvu de quelques conseils juridiques, ni moi ni personne n’ont pu apporter d’éléments nouveaux au dossier, des séquelles et des afflictions dont il semble qu’elles induisent plus un modèle de société qui se sacrifie à la liberté. Au profit d'un objectif illusoire qui est le facteur temps. Quels besoins d’appliquer aux règles de droit ce qui se changent objectivement tout seul pour une évaluation égale à elle-même Taux faibles et sans rapport avec les afflictions, taux non imputables, marquant à la fois la non-recevabilité et l’inexistence. ! Les anciennes présomptions qui chargent en quelques sortes la preuve qu’en 1974, j’étais souffrant ont aussi choqué mes parents, il est une preuve qui consiste à rétablir la vérité à travers la présomption d’une incitation aux soins alors que comme d’autres médecins l’ont constaté je n’étais pas enclin à consommer des barbituriques. Dans le civil, il s’agit plutôt d’une présomption de non-besoins revus par le fait qu’on ne peut pas les arrêter brusquement. Par contre, un professeur de psychiatrie a essayé de dissuader mes parents de me les faire continuer, et de ne plus se fier aux idées militaires. De la part de mes activités habituelles, je suis resté plutôt subordonné à l’assujettissement des observations psychiatriques qui s’en sont suivi, tout s’est négocié au fur et à mesure de la reprise d’une activité normale. Un grand engagement est né de la part intime et familiale, m’aider parce que la présomption était née comme le terme d’handicap qui suscitait un sentiment d’obligation à se rétablir. Il y a eu beaucoup de stupeur de la part de mon généraliste comme des spécialistes qui ont l’habitude de traiter des cas apparents, concrets et non des cas bénins comme le mien avec des études de validité scabreuses qui ont permis d'établir avec une bonne certitude de non -validité dès l’armée… Néanmoins, dès qu’il a été anticipé, mon cas m’a fait régresser civilement, mes anciens contacts sont devenus moins fréquents, mes efforts moins réguliers, mon ambition a stoppé et mon dynamisme a finit par disparaître. Je me souvenais trop de cette étape, j’en avais fais une fixation, au-delà de la période légale, j’escomptais reprendre une activité normale, notamment me réadapter aussitôt de manière civile, tenir bien loin de moi l’avatar que je venais de vivre mais j’ai en fait perdu de ma confiance au contact du suivi régulier induit par la demande. La présomption d’une pathologie comme la psychose aurait du se traiter à tous les niveaux de l'appareil et du fonctionnement judiciaire et non pas simplement en fonction de ce qui a déjà été plaidé , c’est à dire l’abus voir l’outrance. … J’avais l’intuition qu'officiellement, je ne perdrais pas de temps, mais que j’en gagnais pas non plus en me soumettant à des prises de neuroleptiques. Les soins et les quelques hospitalisations civiles qui ont suivi parce que mes parents tentaient de réparer soit mes atteintes soit à la non – validité sur la base rapportée. Il y a bien eu une autorité parentale critiquée depuis par un expert, de plus le droit s’arroge l’autorité de la force jugée en sa force dernière Dans le cas d’une culture judéo-chrétienne qualifiée de trop forte de mon père, il y a à mon sens de la discrimination concernant mon père comme du concept envahissant de ma mère, au final un « délit de relation » Or un juge ne peut sanctionner le fait que ses propres parents soit plus que d’autres impliqué dans mon psychisme, évoquant une empreinte parentale trop forte. Le premier constat qui s’impose est celui de l’absence du concept d’autonomie au rang des concepts juridiques utilisés couramment. C’est ainsi que si on cherche “ autonomie ” ou “ autonome ” dans le Code, aucun article ne contient expressément ces termes. Il en va différemment bien sûr, si on se livre à la même expérience au sein du Code de l’action sociale et des familles. Encore convient-il de noter que l’introduction du terme « autonomie » a subi une si forte explosion par l’intermédiaire de l’autonomie, et surtout par l’effet de la loi du 11 février 2005 “pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes « handicapées ». La notion d’autonomie fait ici une entrée remarquée dans les droits spécialisés, mais ne pénètre pas encore les « monuments juridiques » . Pour autant, il faut admettre que les réalités couvertes par la notion d’autonomie ne sont pas ignorées par le droit. C’est ainsi que l’indépendance que suppose l’autonomie est prise en charge juridiquement par les principes de liberté individuelle et d’égalité civile. C’est ainsi que les facultés d’autonomie sont couvertes par la notion de capacité. Il y a quelques années, le constat d’une absence de prise en compte de l’autonomie aurait été rigoureusement identique en droit de la santé, mais une grande partie de l’effort législatif récent qui s’est précisément orienté vers la prise en compte de la décision du malade, replaçant l’autonomie du patient au cœur de la décision médicale. Par ailleurs, on ne retrouve pas ici une problématique existentielle, donc on est en droit de contester ce genre de commentaires et de justifications. On retrouve ici exactement les mêmes ambiguïtés que dans le droit commun. Appliqué au droit de la santé, ces arguments ne tiennent pas et peuvent même inciter à ne pas prendre en compte les volontés exprimées par ses parents. La seconde interrogation ramène à la force de la présomption d’autonomie. Ne va t-on pas parfois trop loin en postulant une autonomie générale différente sans prendre en compte suffisamment que la réalité du vécu en famille est plutôt bonne. N’est-ce donc pas cette autonomie qui en l’occurrence sous couvert d’autorité casse la relation, en s’individualisant de trop. Pour le monde médical, le questionnement éthique sur ce point est constant : à partir de quand dépasse-t-on l’apparente autonomie de l’autre ? Doit-on continuer à soigner sous prétexte de bienfaisance en opposition avec une autonomie exprimée si largement à l’encontre de la personnalité ? Est-on en capacité d’apprécier l’autonomie de l’autre et quel critère peut-on utiliser ? Autant d’interrogations qui ne font que poser les termes du débat qui me semble confondre et supposer de trop. Or, le principe même de ces droits suppose non pas une présomption d'existence comme celle qui s'étend durant la période antérieure au jugement . C’est paraît –t-il l’état de psychose d’une famille un peu trop possessive, comme ces familles juives pendant la guerre. Peut-on parler de valeur psychiatrique ou de valeur militaire plus juste selon l’ attitude de ma famille. Dans les faits, c’est au mois de juillet 1974, qu’on m’intima sur ma seconde caserne, l’ordre fallacieux, d’aller voir les médecins, quel rapport cela pouvait avoir avec tout ce qui s’est traité depuis.. Chez tout un chacun, cela provoque une grande interrogation. L’ordre se transforma « rejoindre une infirmerie » « consulter » C’est ainsi que sans grande confiance durant le trajet sanitaire et sans compréhension, j’étais en attente de voir. On jugea l’enfermement de mes idées à travers le temps actif, chose facile. J’avais pratiquement passé la fin de mon armée à faire des temps de garde et de corvée, j’exécutais ces tâches parfois de la veille jusqu’à l’aube du lendemain. Je n’ai jamais participé à ces excès de boissons, où l’on entendait quolibets et plaisanteries de corps de garde, où l’on côtoyait des fortes têtes. Lorsque j’ai eu cette période de convalescence et après une cure de sommeil sous piqûres, j’avais quitté le service actif, j’avais pratiquement oublié ma caserne de saint florentin, j’avais ôté de ma mémoire, un maximum de choses J’avais finalement été dirigé un peu sans raison de SAINT FLORENTIN à JOIGNY, puis de cette infirmerie près de l’institut géographique des armées, vers l’Hôpital de Dijon. Depuis, pour les psychiatres que j’ai vu, rien n’était grave mais tout était compliqué, ils étaient conscients que je ne les avais pas alarmé directement, on m’avait amené devant eux et je me sentais inférioriser, tellement habituer à un emploi du temps plus rigoureux. Je me souviens n’avoir rien reçu durant ces années durant, qu’un grand silence, il n’y eu aucun dialogue juridique ni médical d’envergure mais l’aspect théorique qu’on retrouve partout était déjà comble. Hors, de ces périodes, je fus maintenu sous anxiolytiques, conduit à d’autres spécialistes, mon père pensait que l’œil exercé des uns et des autres, me tranquilliserait. , Je ne pensais à rien de bien discernable que ce soit sur le plan mental ou sur le plan des idées. Pour être plus précis, l’autobiographie qui a investit le juge et le docteur GUERIN depuis la plainte augurée en justice par le psychiatre NAHON, proche de Percy, relève aussi d’une investigation critique, on voit qu’elle se base sur une autobiographie qui bloque toute ambition personnelle, pour laquelle il suffit de vérifier un lien avec moi sur les affections même qui s’en dégagent Le premier psychiatre se base sur la période médicale parentale où l’autorité est forte, car inquiète : ceci signifie aux yeux de mes parents une relation, trouver une solution, admettre qu’il s’agit d’un préjugé qui n’intéresse qu’un verbiage de haute échelle sous influence au point qu’on se sent désunis, où les attributions particulières ne s’ impliquent pas vraiment. Illogisme en terme de contribution, où je ne réussi pas à asseoir une piste qui répondrait de toute façon à des objectifs moindres, à travers mon activité réelle. Une activité qui ne m’a encore rien jamais confronté avec des conditions semblables face à des situations analogues. Près des affections, l’aspect spécifique d’une maladie a tourné vers l’aspect documentaire, globalement tout a été écarté juridiquement au sens des afflictions. Toutefois, force est de constater les abus en nombre que la représentation a exécuté dans des proportions démesurées, plus criantes et sans doute moins apparentes, en déplaçant la psychiatrie ou la neurologie vers un temps forts qui apparaît plutôt en un temps faible, il y a outre une personnalité sensitive décrite selon l’attitude qu’on reconnaît à l’individu, qui semble décrire comme des troubles sérieux propre à trop personnaliser l’individu d’un côté et à le dépersonnaliser de l’autre au contact de certaines situations. Ceci s’effectue le plus normalement dans des circonstances des plus douteuses, l’offre et la désignation, pour ce genre d’épreuves parallèles et qu’on m’impute sans une vraie différence personnelle, ce me semble être une attitude de ma part et aussi un moyen que s’offre l’armée pour qu’on ne lui résiste, les provocations passent par la mauvaise autorité, c’est l’influence de tout manque à son principe de neutralité, puis d’autorité de mon père, que s’attribue le désengagement militaire. Ceci reste une part dite scientifique, où l’on a tendance à véhiculer des conditions particulières ou familiales, serviles et crédules, où l’activité sensorielle est nuancée par des comportements étatistes. C’est le moment d’inviter ce vocabulaire à sortir de sa condition, de sécuriser plutôt que mal juger autrement dit sans maintenir une pression sur moi en m’enfermant dans des applications qui ne peuvent me correspondre. Pourtant la plus par des études scientifiques n’ont pas vocations à nuire, elles sont même conseillères à apprendre seul, à l’écart des livres de spécialistes comme à l’écart de tout discours scolaire parallèle et paradoxal d’aujourd’hui ou d’hier, mais ces études ne feront jamais reculer l’autre existence plus compliquée ou pas assez connue, l’armée qui est une existence parallèle, de la même façon, notre vie pré période plutôt que de ressentir avec amertume sur la force par sur influence, des bons ou des faux sentiments, Il est lassant de se voir annoncer aux différents protagonistes de cette affaire, que jamais ils n’ont ressentit que tout le monde a intériorisé, la même chose ; ceux qui fuit toujours devant leurs difficultés sont en proie à d’énormes oublis, les investigations avec la réalité ne collent pas, les impressions ou les nuances qui leur impose sur culture, ce sont quand même une justice. On croit confirmer leurs conditions de vie outre des douleurs particulièrement discutables qui ne sont ni plus inventifs ni plus complets au fur et à mesure que leurs intelligences en fait foi. Certains publics ont souvent sauter le pas de la psychiatrie comme un mensonge, il gît en la psychiatrie un vie péjorative L’ordre se transforma de « rejoindre une infirmerie », sans compréhension aucune, j’étais en attente de voir et j’ai pu constater que l’enfermement à travers l’abus pratiqué a aussi relégué mes idées en dernier.
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1 réponse pour « 
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Réponse de frantzdijoux
Le 12/04/2012 é 15h40
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Wouah! j'ai essayé de tout lire mais je n'y suis pas arrivé, j'ai eu mal à la tête ... au fait c'était quoi la question ????
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