Qitusè, vous avez aussi cessé de payez vos cotisations retraite (base et complémentaire obligatoire) quand les règles ont changé, ces dernières années ? Si oui, vous êtes cohérent dans vos propos et je vous félicite. Si non... vous devinez ma pensée.
Tous les régimes de retraite sont en déficit. La sécurité sociale dans son ensemble est en déficit. Pourtant, on continue à cotiser et à bénéficier de leurs services (à moins que vous ayez découpé votre carte vitale en signe de contestation ?).
C'est curieux, je n'ai jamais vu de réponse précise quand je pose des questions précises. Par contre, pour les grandes envolées lyriques où la forme importe plus que le fond, on est servi.
Ce qui ne va pas, c'est l'économie de notre pays, le chômage, la démographie. Pas assez de cotisants pour trop d'ayants droit. Par voie de conséquence, il n'y a pas assez d'argent pour remplir les caisses. C'est mathématique.
Je reviens quand même, je suis ulcérée
Je n'ai pas envie de ressortir tout mon (épais!) dossier MRIFEN et autres... Je sais simplement que, quand j'ai pris ma retraite très jeune (3 enfants, 20 ans de service), je comptais beaucoup sur ma complémentaire (?) pour ne pas le regretter... J'ai cotisé malgré tout jusqu'à 55 ans (il y a 10 ans) et au lieu, des quelques 2000F prévus, je touche 150€ environ :(
Je ne vois pas pourquoi nous reprocher de nous défendre et d'essayer de limiter les dégâts, c'est lamentable...
Quelle est votre situation J. Go?
Quel rôle jouez-vous dans ce débat dont le sujet est tout de même "Récupération capital COREM" (et pas autre chose!)?
Ha, vous n'avez pas envie de ressortir votre dossier... Vous n'avez donc pas envie d'étayer vos propos par des faits.
La question "comment récupérer son capital COREM" a pour seule réponse : "(autrement que par la rente) c'est impossible". Essayez de récupérer vos cotisations d'assurance maladie parce que vous n'avez jamais été malade, ou vos cotisations retraite obligatoires car vous n'êtes pas satisfait de votre pension.
Le débat n'est donc pas concentré sur cette simple question dont tout le monde connait la réponse.
Mon but est de ramener de l'objectivité, du rationnel, du factuel, du réel, dans un "débat" basé sur la colère et l'incompréhension.
Votre capital, vous êtes en train de le récupérer, depuis 10 ans, via votre rente viagère. Je ne vois pas quel rôle, moi non plus, vous jouez dans cette discussion.
J'ai 35 ans et j'ai étudié Corem il y a 2 ans, par curiosité, après avoir vu des publicités à la télé. J'ai eu le contrat Corem en main, j'ai eu un conseiller Corem au téléphone. J'ai conclu tout seul que ce n'était pas une solution intéressante.
Alors j'essaie de comprendre comment vous, vous avez pu trouver cette solution intéressante, et pourquoi vous vous acharnez sur ce système, auquel vous avez souscris (volontairement !). Je me demande si vous ne déportez pas la colère que vous avez contre vous même (d'avoir signé un contrat pas intéressant), sur ceux qui vous ont vendu ce contrat, ou qui vous ont convaincu de le faire (votre corporation ?).
N'est-il pas évident qu'un système basé sur les cotisations de ses adhérents était amené à évoluer dans le temps ? Comment avez-vous pu ignorer cette évidence ? J'aimerai avoir une réponse honnête à ce sujet.
Quant à mes questions sur le montant de vos cotisations réelles (et non estimées à la louche), et votre rente réelle, c'est pour juger de manière factuelle du rendement réel, et donc de l'intérêt réel de ce placement.
Mais personne n'a encore répondu à cette (très) simple question. Même pas vous.
Et pour aller plus loin, j'adorerai que ces chiffres soient comparés aux cotisations de retraite de base et complémentaire obligatoire, et aux rentes associées. Mon petit doigt me dit que le "rendement" ne doit pas être guère plus impressionnant.
Ces chiffres sont nécessaires pour valider l'affirmation claironnée "c'est une arnaque", ou l'invalider. Crier à l'arnaque sans même connaitre ces chiffres est de la malhonnêteté intellectuelle.
D'une manière générale, je n'aime pas qu'on dévoie ce genre de site gratuit, qui ne sont pas fait pour colporter de la propagande stérile ou du prosélytisme.
J'ai toujours pensé que les retraités étaient les plus raisonnables (dans le sens doués de raison). Je constate avec déception que ce n'est pas forcément le cas.
(et je ne vois pas bien par quoi vous seriez ulcérée)
Intéressante la réponse de J Go (mais j'y suis pas allé). Nous avons vu que vous avez été plus fort que ceux qui sont COREM ou MRIFEN et qui râlent mais est ce utile d'être aussi intransigeant, voire méprisant?
Mais ne s'agit il en en fait (et c'est ce que l'on retrouve pour les retraites en général), du problème des "jeunes" cotisants (ou rentiers) voient leur choix de parfois plusieurs décennies s'altérer au fil du temps (sur le principe essentiel d'une durée de vie allongée qui, même si il trouve statistiquement une raison d'être, reste purement théorique dans les faits puisque basé sur la prédiction de ce que sera l'avenir, non?
En lisant ce forum (je précise que je n'ai pas de sommes importantes en jeu (que je considère également perdues face à l'aumône qui en résultera (et que ma vie même allongée ne me permettra pas de récupérer)), j'ai vraiment l'impression que ceux qui veulent défendre ce système sont ceux qui en tirent les fruits aujourd'hui et refusant aux "jeunes" désabusés le droit de se retirer (ou à tout le moins, contester le fait de cesser les cotisations).
Mais peut être me trompai-je (car contrairement à certains, je n'ai pas le temps de faire des calculs, relire les forums, ...).
Si je me trompe, on saura vite me le dire.
En tout cas, il est vrai que l'argumentaire est étayé et logique (mathématique) pour les défenseurs du système mais disons quand même que ce qui a été ne sera plus et qu'il faut respecter le choix de chacun y compris celui de se retirer même avec pertes et fracas.
Selon J. Go, tout est modifiable et donc le choix de sortir doit l'être tout autant. Il est quand même étrange que cela ne fonctionne que dans un sens... Ce que J. Go semble approuver.
"je n'ai pas le temps de faire des calculs"
En fait, je crois que c'est le centre de cette discussion, le nœud du problème.
Vous êtes dans la croyance plutôt que dans le factuel. Comme vous n'avez pas envie de faire des calculs précis, il est tentant de crier à l'arnaque. Vous vous contentez finalement de répéter ce qu'un autre affirme. C'est du téléphone arabe. Vous répétez celui qui crie le plus fort, le plus énervé, donc le moins objectif.
Mais,comment pouvez-vous crier à l'arnaque, affirmer que vous ne récupérerez jamais en rente ce que vous avez cotisé, sans même avoir pris la peine de faire le calcul ?
Vous avez raison, je trouve vos propos méprisables, donc je les méprise, puisqu'ils sont dénués d'arguments. C'est comme si vous n'aviez rien dit. Ce qui ne veut pas dire que je méprise votre personne.
C'est quand même dingue de parler pendant 58 pages d'un plan d'épargne, sans jamais qu'une seule ligne de calcul ne soit écrite. Suis-je le seul que cela choque ?
C'est comme si vous discutiez d'une recette de cuisine sans jamais écrire le nom des ingrédients, ni leur quantité. C'est parler d'une chose sans jamais oser la décrire, tout en brodant autour de cette chose. C'est un monde imaginaire construit autour d'une réalité qu'on ne veut ni étudier ni comprendre. C'est adhérer à une religion sans jamais avoir lu la bible qui la décrit, sans savoir ce que l'on croit.
C'est pourtant simple de calculer le rendement d'un placement : c'est le rapport entre le gain total et le coût total.
Vous adorez les calculs, c'est un fait. Je sais bien que vous répondez à l'ensemble des messages postés mais au nom de ce que je croyais être du pragmatisme mais qui se révèle suite à mes propos être du mépris, vous éludez à votre tour LA QUESTION :
A t on le droit, face à des changements non contractuels à la base de disposer librement de soi-même et de ses choix pour continuer au non?
Votre grandiloquente clarté d'esprit de ne pas avoir adhéré (et ce malgré toutes les associations d'idée, les métaphores que vous voudrez), ne changeront rien à cette simple question.
Vous avez eu la liberté de ne pas signer, personne ne vous le reproche. Ayez la tolérance d'accepter la liberté que veulent d'autres personnes signataires d'en sortir.
La question est celle-là. Ma question et la question qui est posée sur ce fil est LA LIBERTE.
Les calculs sont secondaires puisqu’on parle ici de LIBERTE. Le contrat s'arrête, on assume ses choix, on perd de l'argent (puisqu'on se doute que le calcul (basé sur l'espérance de vie, je le rappelle) est potentiellement rentable).
ON A COMPRIS! Inutile d'en remettre une couche.
Si vous ne comprenez pas cette demande, répondez seulement à ceux qui veulent un calcul ou qui crient à l'arnaque financière (et non contractuelle dans le sens "il m'est impossible d'arrêter ce contrat en lequel je n'ai plus envie ni confiance".
Ce sera moins méprisant et vous serez moins malheureux d'avoir cette mission (?) d'expliquer sans relâche vos explications.
Soit dit en passant, le parallèle avec les systèmes sociaux (sécu, retraite) ne tient pas quand il s'agit d'un dispositif qui s'y ajoute et donc NON OBLIGATOIRE comme vous vous plaisez à le déclamer sans relâche.
"A t on le droit, face à des changements non contractuels à la base de disposer librement de soi-même et de ses choix pour continuer au non?"
Vous avez le droit de continuer à cotiser, ou de cesser de cotiser. Vous le dites vous-même... Rien ne vous contraint à choisir l'une ou l'autre solution.
Il s'agit d'un produit tunnel : quand on y entre, il faut aller jusqu'au bout, sinon tout ce qui a été cotisé est perdu.
Je constate que depuis l'an passé, rien n'a changé ici. Quelques intervenants veulent encore nous faire croire que l'on ne s'est pas fait avoir.
Comment osez-vous écrire que l'argent nous sera redistribué ? Avec des versements de quelques euros par mois, je devrai sans doute vivre jusqu'à 200 ans pour récupérer cet argent !!!
Mais comme je n'ai pas de pilule miracle pour arriver à cet âge-là, je persiste à dire que mon argent est bel et bien perdu.
Je comprends mal comment les personnes qui sont à l'origine de cette escroquerie peuvent encore dormir sur leurs ceux oreille,s alors qu'ils ont escroqué de nombreux ex-collègues.
Sur ce, je me retire de cette discussion qui tourne en rond et reste polluée par quelques intervenants visant à nous faire "prendre des vessies pour des lanternes" !!!
"Essayez de récupérer vos cotisations d'assurance maladie parce que vous n'avez jamais été malade" (J.Go)
Alors là, franchement, c'est n'importe quoi!?!?!?
Vous n'avez pas adhéré, tant mieux pour vous, et laissez-nous débattre "entre nous", merci
"Vous n'avez pas adhéré, tant mieux pour vous, et laissez-nous débattre "entre nous", merci"
J'interviens où je veux, quand je le veux. Car moi, je respecte les règles.
Vous avez tellement peu d'arguments que vous n'avez pas d'autre choix que de cesser d'intervenir. Bravo !
Mme, M. J. de GO
J'opte pour un style plus direct donc :
1. Respectez vos interlocuteurs. Gros complexe de supériorité. Curable, mais difficile. Beaucoup vous le disent; faut écouter un peu.
2. Nous ne sommes pas tous retraités. Je travaille. Pas le temps en vaines polémiques déplacées et stériles. On a déjà donné l'an passé.
3 Raison vous avez. Rentable Corem a été mais n'est...plus! Il l'était quand il s"appelait CREF. Etudiez tout le dossier et l'historique avant de vous prononcer. Les conditions du produit ont été modifiées légalement par les AG Corem auxquelles les adhérents n'ont pas accès. C'est dans les statuts. Tout le monde n'est pas spécialiste en contrat d'assurance; Je n'aurai pas souscrit en 1988 si la MGEN et la MAIF ne m'y avait pas incité. A l'époque personne n'anticipait la déconfiture liée à la démographie et à la stagnation économique.
4. CREF et MRIFEN (avant) condamnés. On paie aujourd'hui ces pénalités versées aux adhérents passés. Ce n'était pas prévu au contrat ça!
5. Je dois vivre jusquà environ 95 ans pour amortir ce que j'ai versé dans les conditions actuelles (sauf durcissement prévisible mais impossible à calculer des conditions d'octroi de pension).. Sera-ce l'espérance de vie masculine pour ma génération? J'en doute.
6. Malgré votre esprit qui se veut cartésien, on ne peut rien calculer quand les conditions changent régulièrement et quand des frais supplémentaires s'ajoutent pour mauvaise gestion.
7. Concession: nous n'avons pas été assez méfiants et vous avez bien fait de ne pas souscrire à ce produit. En quoi êtes -vous concerné alors? Du temps à perdre? De la philanthropie? Vous n'avez que du mépris mais aucune info. C'est bien un produit tunnel; y rester c'est perdre davantage. On ne peut le quitter sans tout perdre. Donc seule solution: suspendre et obtenir le peu qui restera lorsque l'heure de la retraite sonnera.
8. Merci de votre complément sur mon lyrisme. L'humain a aussi besoin de sentiments. Vous en manquez. Ataraxique peut-être?
9. Nous avons le regret de nous être trompés et d'avoir été trompés. Cela ne nous ôte pas le droit de nous défendre.
10. Rien ne vous oblige à répondre à nos arguments ni nous aux vôtres.
11. Laissez aux gens l'espace pour se plaindre et s'informer sans les invectiver. Cela s'appelle la liberté d'expression.
12. Vos réponses ne m'intéressent pas vraiment. Je souhaite des précisions de gens informés sur le Corem et le devenir des procédures du CDIS.
Salut!
Hello
Faite comme moi
Ne discutez plus
Je viens d'avoir 55,ans
J'ai encore 13 ans à bosser
Mais j'ai demandé la mise en place du versement de ma rente
Je vais avoir peu mais je récupérerai un peu
Bien à vous tous et toutes
Enfin une réponse intéressante et sensée (message de 14h48).
Si les plans d'épargne retraite facultatifs, dans leur système tunnel, COREM y compris, ne sont pas des placements intéressants (c'est une évidence), j'attends encore de savoir précisément où se situe l'arnaque, si arnaque il y a.
Car un faible rendement n'est pas constitutif d'une escroquerie (dommage que je sois amené à enfoncer des portes ouvertes, mais vos réactions m'indiquent que ça parait nécessaire).
Concernant MRIFEN :
"René Teulade, 79 ans, était jugé pour avoir profité d'avantages indus au détriment de l'ex-MRFP, qu'il a présidée de 1974 à 1992, avant d'en être président d'honneur".
En d'autres termes : il a pris des sous dans la caisse. Ce n'est pas le MRIFEN qui a été condamné. Il n'y a aucun jugement qui indiquerait que MRIFEN était une escroquerie dans son fonctionnement.
Si un type détourne l'argent des caisses de la Corem comme l'a fait ce Monsieur, c'est sûr qu'il faut le faire condamner. Mais ça ne rendra pas le Corem illégal pour autant...
J'espère que vous voyez la nuance (mais je ne voudrais pas avoir le complexe de supériorité de penser que je suis seul à la voir, cette nuance).
Ok je ne parle pas d'illégalité dans les chiffres mais dans le changement à la va-vite des statuts pour faire face à l'imprévoyance ou à l'incompétence qu'on attribue trop facilenent à des décisions européennes qui n'ont pour but que de garantir les adhérents. Nous sommes d'accord là-dessus je crois. En revanche la non-information ou l'omission d'informations relève d'une stratégie volontaire qualifiable d'escroquerie de la part des dirigeants du COREM. ceux qui parlent d'arnaque peuvent être entendus sur ce point. C'est d'ailleurs ce qu'a dénoncé la Cour des comptes et ce qui est apparu en novembre 2014 dans la communication du COREM. il semble qu'on puisse attendre davantage de transparence de la part d'un organisme mutualiste sans but lucratif. Etes-vous d'accord J. De Go?
j'attends avec impatience le prochain communiqué de bilan du corem.
Ce qui est constitue le scandale c'est de faire payer à l'adhérent de tellesmalversations, un fortiori en le lui cachant.
autre scandale que de créer un régime particulier pour les administrateurs ou personnel du COREM dit R3 qui lui n'est pas touché ppar la nécessité l'effort collectif.
autre mensonge les publicités pour le Cref présenté comme un produit sûr car mutualiste dans les années 90 pour faire souscrire aux jeunes personnels afin de payer ces erremens de gestion.
je veux bien que l'on m'apporte la contradiction sur ces différents points, faute de quoi noys avons bien raison de noys rebeller et de demander réparation.