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Récuperation capital Corem - Page 29

Question anonyme le 12/02/2011 à 10h06
Dernière réponse le 14/05/2021 à 10h53
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Y a t-il un moyen (meme juridique) pour récuperer mon capital COREM. Merci de votre réponse. cordialement
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1267 réponses pour « 
récuperation capital Corem
 »
Réponse anonyme
Le 28/10/2014 é 21h33
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Alors, comme nous sommes ici entre gens bien élevés avec un problème en commun auquel nous cherchons en commun une solution, évitons les réactions épidermiques. Ca ne sert à rien et ça agace tout le monde. réponse de l'aide soignante et bien je vous laisse entre "gens bien élevés"vu que vous vous permettez de porter des jugements de valeur sur les autres et bravo pour votre pseudo!!pourquoi vous ne mettez pas votre vrai nom???entre gens "bien élevés????) cordialement
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Réponse anonyme
Le 28/10/2014 é 21h38
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Et l'aide soignante ajoute,avant de disparaitre,laissant les "gens bien élevés" entre eux :l'aide soignante est affiliée à "que choisir " et va faire valoir ses droits et vous???? et l'aide soignante à fait interrompre ses versements COREM en lettre recommandée,et vous????
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Réponse de gaston 60
Le 28/10/2014 é 21h40
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Pourquoi ces disputes? je n'y comprends plus rien
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Réponse de Qitusè
Le 28/10/2014 é 21h41
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A Mme l'aide-soigante En tant qu'enseignant, je vis depuis trente ans avec en face de moi des enfants qui ont les plus grandes difficultés sociales, donc avec leurs parents indirectement, comme tous mes collègues enseignants. et j'essaie de leur donner la chance que l'école m'a donnée de changer de condition sociale. Madame, je vous comprends d'autant mieux de ce fait, et vous respecte tout autant, soyez-en assurée. Et les enseignants, ni pauvres ni riches, ne sont pas les responsables de ces situations. J'ai bien compris votre message émouvant, rassurez-vous. Et notre but dans le groupe de la motion Leroy est de ne pas nous laisser faire par ceux qui n'ont pas su gérer les petites économies de retraite, les miennes comme les vôtres et celle de toutes les professions ciblées par le Corem. Certains propos peuvent simplement prêter à malentendu. Cela fait partie de l'écriture spécifique des forums. En revanche la grossièreté et la stupidité d'autres propos anonymes sont inacceptables et devraient faire honte à leurs auteurs. C'est triste pour eux. Ignorons-les. Ce forum est là pour agir contre les décisions de l'UMR. Pas pour se positionner sans fondement sur telle ou telle profession avec des propos éculés de piliers de comptoir. Merci d'avoir répondu à ceux-là, imbéciles, qui voulaient détourner le sens de vos propos. Avec vous et votre colère partagée, Bien cordialement. PB
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Réponse de Qitusè
Le 28/10/2014 é 21h46
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Dans la motion Leroy nous avons tous décidé de suspendre également nos cotisations. C'est fait pour ma part avec lettre A/R à l'appui. Cessons les disputes peu constructives.Votre démarche est juste Mme l'aide-soignante. Apaisons-nous. Nous faisons autrement le jeu des perturbateurs de ce forum qui essaient de nous diviser ou de bêtement exister. Rassemblons-nous et respectons-nous, sinon nous n'aurons rien de positif à espérer.C'est très puissant en face... PB
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Réponse de Kayock
Le 28/10/2014 é 21h46
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Madame l'aide-soignante, Dans l'ordre: - je ne vois pas quand et où j'ai personnellement porté un quelconque jugement de valeur sur qui que ce soit, à plus forte raison sur vous, - votre remarque sur le pseudo est très plaisante venant de quelqu'un qui poste sous "réponse anonyme", - un petit conseil: essayer une grande tasse de tilleur le soir, ça calme. Je ne suis pas sur ce forum pour débattre à perte de vue avec vous, dans l'éventualité où vous reviendriez du pays des trolls. PS: si vous avez un moment, lisez bien les règles de bonne conduite du forum (là, juste à droite).
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Réponse de Kayock
Le 28/10/2014 é 21h57
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@gaston60 Pas grand chose à comprendre. C'est fini. On peut continuer la route.
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Réponse de Qitusè
Le 28/10/2014 é 22h03
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D'accord Kayock, pas tout compris non plus sur toute cette agressivité vespérale. Dommage. Vous avez le sens de la formule en tout cas! J'ai eu le droit à tous les qualificatifs aujourd'hui. Quelle tristesse! PB
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Réponse anonyme
Le 28/10/2014 é 22h04
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Madame l'aide-soignante, Dans l'ordre: - je ne vois pas quand et où j'ai personnellement porté un quelconque jugement de valeur sur qui que ce soit, à plus forte raison sur vous, - votre remarque sur le pseudo est très plaisante venant de quelqu'un qui poste sous "réponse anonyme", - un petit conseil: essayer une grande tasse de tilleur le soir, ça calme. Je ne suis pas sur ce forum pour débattre à perte de vue avec vous, dans l'éventualité où vous reviendriez du pays des trolls. PS: si vous avez un moment, lisez bien les règles de bonne conduite du forum (là, juste à droite). REPONSE en effet,aucun jugement de valeur,(il suffit de vous relire)prenez vous meme du tilleul,ça calme et le pays des trolls aussi,là,juste à droite,le règlement signé :l'aide soignante
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Réponse de Kayock
Le 28/10/2014 é 22h07
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@PB Le tilleul, c'est pour calmer. Pour remonter le moral, c'est du chocolat. Moi, j'ai filé toutes mes ordonnances pour la journée, c'est bon...et chez moi, c'est l'heure de l'apéro: santé!
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Réponse de CLARACELIA
Le 28/10/2014 é 22h59
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Pour info on m'a forcé à proposer du corem à la mgen pour enrichir nos chèrs representants . En effet, on faisait souscrire le corem et nos supérieurs encaissés les primes. Bonne nuit aide soignante
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Réponse de SHZ971
Le 28/10/2014 é 23h33
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Suzie de Guadeloupe Bonjour, J'envoie mon courrier dès demain. Il arrivera hors délai. Je n'ai eu connaissance de l'AG que ce matin ...et j'écris des DOM. Pour info, je prends ma retraite dans un an. On parle de capital, qu'en est-il des agios ?
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Réponse de Edmerich
Le 29/10/2014 é 00h09
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En réponse aux derniers échanges peu amènes / Chèr(e) ami(e)s, rien ne sert de se déchirer, concentrons-nous sur ce qui doit nous rassembler : récupérer le fruit de notre épargne et dénoncer les abus (s'il y en a eu), et les incompétences (s'il est utile de chercher à les établir), syndiqués ou non syndiqués, instits ou pas, passionnés de Brassens, Le Forestier, Stromae, Reggiani, Ferré, Renaud et Coluche (liste non exhaustive), tous ensemble, bonne nuit dans l'hémisphère nord, et à demain pour plus d'infos.
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Réponse de Kayock
Le 29/10/2014 é 00h30
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Merci à vous, Edmerich d'être ici la voix de la sagesse. Bonne journée aux uns et bonne nuit aux autres. Demain est un autre jour..
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Réponse de Edmerich
Le 29/10/2014 é 05h55
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Bonjour à l'hémisphère nord, une petite revue de presse (très) récente et (plutôt) intéressante http://www.lemonde.fr/argent/article/2014/10/28/assurance-vie-l-action-de-groupe-contre-axa-agipi-pourrait-faire-tache-d-huile_4513968_1657007.html http://www.lefigaro.fr/placement/2014/10/28/05006-20141028ARTFIG00375-assurance-vie-une-action-de-groupe-contre-axa-et-agipi.php http://www.liberation.fr/economie/2014/10/28/action-de-groupe-contre-axa-et-l-agipi_1130898 (dépêche AFP) sujet aussi au 13h de F2 de mardi Pouvons-nous trouver dans ce cas des raisons d'espérer? cela m'inspire la citation du jour "Point n'est besoin d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer." (Guillaume d'Orange) Bonne journée à toutes et à tous, avec quelques infos sur le nombre de participants à l'initiative du 31 octobre?
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Réponse anonyme
Le 29/10/2014 é 07h55
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Le site de la Déontologie Financière Relations clients Gestion financière Marchés financiers Emetteurs et sociétés cotées Institutions financières Supervision, contrôle, justice Réglementation législation L’UMR ampute les rentes des retraités du Corem ! Publié par Gilles Pouzin le 22 octobre 2014 Share Button inShare Nouveau désastre dans le naufrage des retraites complémentaires facultatives mal provisionnées des fonctionnaires. L’Union mutualiste retraite (UMR), s’apprête à imposer aux souscripteurs du Corem, complément de retraite de la fonction publique, une coupe de 30% des rentes viagères qu’ils espéraient toucher jusqu’à la fin de leurs jours. En attendant l’assemblée générale extraordinaire appelée à valider ce fiasco, le 18 novembre 2014, Deontofi.com fait le point sur cette nouvelle étape du naufrage de l’épargne retraite des fonctionnaires. (Tous les articles sur l’affaire Cref/Corem ici) Fausse alternative aux fonds de pension, le Corem, héritier du Cref (Complément de retraite enseignants fonctionnaires) s'avère désastreux (photo © GPouzin) Fausse alternative aux fonds de pension, le Corem, héritier du Cref (Complément de retraite enseignants fonctionnaires) s’avère désastreux (photo © GPouzin) «Avec votre cotisation vous cumulez des points et au moment de votre retraite une rente vous sera versée à vie», explique clairement et simplement l’UMR (Union mutualiste retraite) sur son site web en précisant que «à la différence de l’assurance-vie ou d’autres produits d’épargne, Corem n’est pas un produit financier mais un véritable système dédié à la retraite», avant de conclure «Avec Corem, l’adhérent n’a pas besoin de se soucier de la gestion ou de la préservation de son capital». Les 334 000 adhérents du Corem (à fin 2013 selon l’UMR) ont pourtant bien du souci à se faire, s’ils comptent sur cette fameuse rente à vie pour compléter leur retraite. En contrepartie de longs efforts d’épargne tout au long de leur carrière, les cotisants à ce régime de retraite complémentaire facultatif avaient soi-disant la garantie de percevoir, une fois en retraite, des rentes à vie préservant leur pouvoir d’achat. Que nenni ! Ces compléments de revenus tant espérés pour boucler leurs fins de mois, seront à l’avenir amputés de 30%, selon les estimations des associations de défense des épargnants concernés. "Les scandales de l'épargne retraite", révélés par Guillaume Prache dans son livre publié en 2008, ont été à l'origine de plusieurs procès contre des dirigeants malhonnêtes et en faveur des épargnants spoliés. « Les scandales de l’épargne retraite », révélés par Guillaume Prache dans son livre publié en 2008, ont été à l’origine de plusieurs procès contre des dirigeants malhonnêtes et en faveur des épargnants spoliés. Pire. Cette avarie n’est pas la première, et peut-être pas non plus la dernière, dans le naufrage de l’épargne retraite des fonctionnaires, décrit et annoncé de façon très documentée par Guillaume Prache, président-fondateur de l’Arcaf, dans son livre de 2008 sur « Les scandales de l’épargne retraite, des millions de fonctionnaires et de petits épargnants abusés ». Il s’était d’ailleurs régulièrement inquiété de la dérive financière du Corem, notamment dans un communiqué du 19 juin 2014, reproduit et commenté par Deontofi.com, sur le trou du Corem. La galère de l’épargne retraite des fonctionnaires prend l’eau depuis longtemps. Et ses victimes n’en sont pas à leur première déconvenue. Le Corem est en effet l’héritier du Complément de retraite des enseignants et fonctionnaires (Cref), dont le naufrage en 1998, il y a seize ans, s’était soldé par «la baisse uniforme pour tous les sociétaires de 25% de la valeur de service du point Cref en répartition», et la «transmission universelle de son patrimoine par voie de fusion» avec une nouvelle Union Mutualiste Retraite (UMR) créée pour l’occasion, comme Deontofi.com l’expliquait en amont du procès des dirigeants du Cref. A l’époque, les 450 000 cotisants du Cref avaient été confrontés à un ultimatum douloureux : soit accepter qu’on rabote leurs droits de retraite en les transférant au nouveau dispositif Corem de l’UMR, soit refuser ce chantage et récupérer des miettes de leur épargne. Echaudés par ce premier naufrage, 80 000 cotisants avaient perdu plus de la moitié de la valeur réelle de leur épargne confiée au Cref, en refusant le transfert. Maîtres Stéphane Bonifassi, Francis Terquem, Yann Le Bras et Nicolas Lecoq-Vallon, des victimes du complément de retraite des enseignants et fonctionnaires, Cref. (photo © GPouzin) Maîtres Stéphane Bonifassi, Francis Terquem, Yann Le Bras et Nicolas Lecoq-Vallon, avocats des victimes du Cref (complément de retraite enseignants fonctionnaires). ©GPouzin Plusieurs milliers d’entre eux, réunis au sein du Comité d’information et de défense des sociétaires (CIDS) du Cref, ont réclamé en justice un dédommagement de leur préjudice, qu’ils ont partiellement obtenu grâce à la détermination de leurs avocats, Maîtres Nicolas Lecoq Vallon, Stéphane Bonifassi, Yann Le Bras et Francis Terquem, par le biais de multiples procédures (civiles, pénales, administratives…). Lisez ici les compte rendus d’audiences exclusifs publiés par Deontofi.com lors du procès en appel des dirigeants du Cref pour abus de confiance. La légalisation des actions de groupes (procès collectifs, ou « class actions ») ouvre de nouvelles perspectives aux victimes d’arnaques financières. Autorisées en France par la Loi Hamon du 17 mars 2014 (Loi 2014-344 au J.O. du 18/3/2014), avec des années de retard sur bien des pays civilisés, les actions de groupes ne sont réellement possibles que depuis la publication, le 1er octobre 2014, de leur décret d’application du 24 septembre. Les adhérents lésés par les fausses promesses du Corem réfléchissent dès maintenant aux recours qu’ils devront engager à leur tour, pour obtenir réparation de ce nouveau préjudice. D’autant qu’il s’ajoute au sacrifice déjà subi après le naufrage du Cref, contre la promesse d’une retraite paisible sans nouvelle amputation de leurs droits jusqu’à la fin de leurs jours. Leur consentement de l’époque se trouve gravement remis en cause par cette nouvelle débâcle. Tous les systèmes d’épargne et de retraite ne sont heureusement pas dans une situation aussi inextricable que celle du Cref et du Corem. La plupart des produits de retraite facultatifs (assurance vie, perp, perco, retraite Madelin…) sont gérés par capitalisation, avec des règles de solvabilité très strictes et des contrôles réguliers de l’adéquation entre la gestion de l’épargne et les engagements envers les clients, même si cela n’empêche pas quelques mauvaises surprises (notamment en terme de revalorisation des rentes). De leur côté, les retraites complémentaires obligatoires par répartition (type Agirc-Arrco, Ircantec, Erafp…) fonctionnent comme des assurances mutualisant les cotisations payées par les actifs pour verser les pensions aux retraités. Mais à la différence des retraites facultatives comme le Cref et le Corem, les gérants des retraites obligatoires pilotent l’évolution de leur équilibre à long terme de façon à éviter des déboires semblables. Dans le débat actuel opposant les défenseurs de la répartition aux tenants de la capitalisation, les naufrages du Cref et du Corem sont un contre-exemple des vrais enjeux du financement des retraites. Ils illustrent au contraire la monstruosité financière d’une création hybride par des apprentis-sorciers. Un régime par répartition facultatif non provisionné est inéluctablement voué à l’échec, ce qui n’est pas le cas d’un régime par répartition obligatoire, ni d’un régime par capitalisation provisionné. Pour plus de détails sur les mesures contestées de l’UMR Corem, en complément de notre mise en perspective, Deontofi.com vous invite à lire les communiqués de l’Arcaf et du CIDS reproduits ci-dessous. Communiqué de l’Association nationale des fonctionnaires épargnant pour la retraite (Arcaf) du 11/10/2014 : COREM (ex CREF) Les victimes de nouveau lourdement sacrifiées Les épargnants victimes de la stratégie irresponsable et trompeuse du régime de nouveau lourdement sacrifiés Le 11 octobre 2014 L’union de mutuelles UMR vient d’annoncer des mesures pour tenter de combler le trou abyssal [1] et caché des produits d’épargne retraite COREM et « R1 » (héritiers du CREF) qu’elle gère depuis 2002. Ces mesures consistent à sacrifier de nouveau les 400 000 adhérents victimes de la stratégie irresponsable et trompeuse du régime mise en place depuis 2002. Nouvelle baisse d’un tiers des rentes « R1 » En effet, ces mesures visent d’abord les adhérents les plus anciens et les plus âgés – et donc les moins susceptibles de se défendre – qui avaient été parqués en 2002 dans le Régime R1 fermé (non commercialisé), après une réduction déjà très lourde de leurs droits. L’épargne et les rentes versées par le R1 n’ont jamais été revalorisées depuis, engendrant une nouvelle perte de pouvoir d’achat pour les adhérents de plus de 16 % à fin 2013. L’UMR annonce aujourd’hui une nouvelle réduction d’un tiers environ des rentes à verser, plongeant ces personnes âgées dans une grande détresse. Rappelons que tous ces adhérents avaient confié leur épargne retraite au prédécesseur du COREM/R1 sur la base de l’engagement de ce dernier non seulement de ne jamais baisser les rentes mais de les revaloriser annuellement comme les traitements des fonctionnaires. Nouvelle amputation des droits pour les cotisants du COREM Ces mesures visent ensuite les adhérents du régime COREM toujours activement commercialisé lui. Eux aussi ont vu leurs droits déjà réduits en 2002, puis ont aussi déjà subi une absence quasi-totale de revalorisation de leurs droits avec aussi une perte de pouvoir d’achat de 16 % de leurs droits depuis cette date. L’UMR annonce aujourd’hui un report du droit à rente à taux plein de deux années (de 60 à 62 ans). En clair, ce tour de passepasse signifie une nouvelle amputation des droits des cotisants COREM auxquels on supprime deux années de rentes. Il s’agit donc bien là-aussi d’une diminution des rentes. Nouvelle diminution du rendement Enfin ces mesures diminuent à compter de 2015 le rendement minimum annuel de l’épargne jusqu’à la liquidation de 2,3% à 1,5%. Autrement dit, comme l’UMR ne revalorise pas par ailleurs cette épargne, si l’inflation dépasse 1,5% par an d’ici à l’âge de la retraite, les épargnants perdront de l’argent dès la phase d’épargne. Ces mesures seront adoptées sans le consentement des adhérents par l’assemblée générale de l’UMR du 18 novembre prochain Et pour cause puisque les adhérents R1 et COREM n’ont pas le droit de participer à cette assemblée, ni – a fortiori – celui d’y voter. Information des souscripteurs toujours trompeuse L’UMR n’informe pourtant toujours pas visiblement et clairement les souscripteurs : - que le régime est massivement sous-provisionné par rapport à ses engagements, - que le pouvoir d’achat des rentes versées s’est effondré de 16% depuis l’origine, - et que ces rentes ne seront probablement toujours par revalorisées dans un futur proche, engendrant de nouvelles pertes de pouvoir d’achat dans le futur. Pire, le site web continue comme si rien n’était à vanter le caractère « sûr et performant » du régime ! Ces agissements violent avec persistance les dispositions légales générales exigeant une information exacte, claire et non trompeuse, et aussi celles spécifiques au COREM exigeant que ses publicités fassent ressortir clairement que seule une fraction de la valeur des rentes à verser est provisionnée. Un régime qui devrait être fermé depuis 2002 L’ARCAF a rappelé de nouveau en juin dernier à l’Autorité de contrôle que l’Etat et la mutuelle du CREF ont déjà été condamnés pour défaut du contrôle et pour l’illégalité de la gestion du régime, et a demandé à nouveau la fermeture de son successeur, le COREM à tous nouveaux versements, comme cela aurait dû être fait dès 2002, et, comme l’a fait l’Autorité de contrôle en 2008 pour la Complémentaire Retraite des Hospitaliers, en invitant les parties responsables (en l’occurrence l’organisme assureur et l’Etat) à assumer ce faisant le coût de leurs manquements passés. Le président de l’Autorité de contrôle n’a pas souhaité nous informer des suites qu’il comptait donner à notre plainte, opposant une fois de plus aux représentants des victimes le « secret professionnel ». En tout état de cause, les violations des dispositions légales en matière d’information des épargnants continuent à prospérer, de même que le recrutement actif de nouveaux adhérents. Notes [1] Estimé en juin dernier à au moins 2,5 milliards d’euros par l’ARCAF, estimation qui n’a pas été démentie depuis à notre connaissance, voir communiqué du 29 juin 2014. Retrouvez le communiqué de l’Arcaf du 11 octobre 2014 sur son site EpargneRetraite.org. Communiqué CIDS Paris, le 15 octobre 2014 Comité d’Information et de Défense des Sociétaires du CREF COMMUNIQUE Epargne retraite – Fonction Publique – Mutualité – MRFP- UMR – CREF – COREM MESURES DRASTIQUES ANNONCEES PAR L’UMR : Les ADHERENTS DU CREF/COREM n’avalent pas la couleuvre et se mobilisent contre une nouvelle faillite de leur produit de retraite. L’U.M.R, héritière de la défunte M.R.F.P, qui a repris en 2002 la gestion de l’ex-CREF, produit de retraite complémentaire de fonctionnaires, rebaptisé COREM inflige des mesures drastiques à ses adhérents : 1) Pour les allocataires du R1 (ex-CREF), baisse de leur rente d’environ 30%, déjà amputée de 17% en 2002 et jamais revalorisé de 2002 à 2014. 2) Pour les cotisants du COREM, baisse de de 2.3 à 1.5% du taux de rendement de leur épargne en cours de constitution. 3) Report de 60 à 62 ans de l’entrée en jouissance de leur retraite complémentaire à taux plein. Soit un scénario identique à celui de 2002, en plus sévère. Une nouvelle fois, des centaines de milliers d’adhérents sont trompés et trahis dans les engagements pris dans la commercialisation du CREF/COREM. Et leur préjudice de s’alourdir, une nouvelle fois. Rappelons qu’à l’initiative du CIDS (Comité de défense et d’information des sociétaires) défendu par Maître Nicolas Lecoq-Vallon, la M.R.F.P qui gérait le CREF a déjà été condamnée dans un arrêt rendu par la Cour d’Appel de Paris le 29 avril 2011. Les anciens dirigeants de la M.R.F.P ont été définitivement condamnés pour abus de confiance par la Cour d’Appel de Paris le 11 avril 2014. Ces nouveaux événements viennent derechef confirmer la responsabilité de l’UMR qui invoque, pour s’exonérer, comme il y a 13 ans la M.R.F.P, les normes européennes… La condamnation de l’U.M.R est aujourd’hui demandée dans une procédure d’extension de passif, pendante devant le T.G.I de Paris à l’initiative de Maître Leloup-Thomas, mandataire liquidateur de la M.R.F.P. Les adhérents du CIDS fondent leurs espoirs dans la décision de 1ère instance qui interviendra dans les prochaines semaines, et sont bien déterminés, forts du retour d’expérience de la catastrophe du CREF, à soulever tous les moyens de droit pour obtenir le rendement du produit COREM que l’on n’a cessé de leur vendre comme « sûr et sécurisé ». 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Réponse de gilval
Le 29/10/2014 é 08h24
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Je participe, le courrier part ce jour, j'espère que ce n'est pas trop tard. :( Autre pb de ce contrat, si l'on décède avant le terme de celui ci notre argent est perdu, sauf s'il reste un enfant étudiant....
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Réponse anonyme
Le 29/10/2014 é 08h25
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L'Arcaf dénonce la «stratégie irresponsable et trompeuse» de l'UMR Par NICOLAS THOUET - Publié le 13 octobre 2014, à 18h 17 Union mutualiste retraite (UMR), ARCAF, Corem Sérénité, rentes, Alain Hernandez A lire également Solvabilité 2 : l'UMR tire la sonnette d'alarme sur l'épargne retraite UMR : Solvabilité 2 fait trembler la retraite des fonctionnaires Cref : l'UMR blanchie L’Association nationale des fonctionnaires épargnant pour la retraite n’a pas tardé à réagir, suite aux annonces de l’Union mutualiste retraite (UMR) de vouloir, d’une part, baisser les rentes versées aux bénéficiaires du régime fermé R1, et, d’autre part, allonger l’âge de référence des adhérents du régime Corem pour obtenir une retraite à taux plein. «Ces mesures consistent à sacrifier de nouveau les 400 000 adhérents victimes de la stratégie irresponsable et trompeuse du régime mis en place depuis 2002», estime ainsi l’Arcaf dans un communiqué. promesses non tenues Concernant la baisse d’environ 30% du complément retraite que touchent quelque 110 000 fonctionnaires retraités, l’association rappelle que «tous ces adhérents avaient confié leur épargne retraite au prédécesseur du Corem/R1 sur la base de l’engagement de ce dernier non seulement de ne jamais baisser les rentes mais aussi de les revaloriser annuellement comme les traitements des fonctionnaires». Or, depuis le sauvetage du Cref au début des années 2000, «l’épargne et les rentes versées par le R1 n’ont jamais été revalorisées, engendrant une nouvelle perte de pouvoir d’achat pour les adhérents de plus de 16% à fin 2013». Débat autour de la baisse des rentes Corem Sur le report du droit à rente à taux plein de deux années (de 60 à 62 ans), l’Arcaf compare cette mesure à «une nouvelle amputation des droits des cotisants Corem auxquels on supprime deux années de rente». Et alors qu'Alain Hernandez, président de l’UMR, précisait, le 10 octobre, sur le site de l’Argus de l’assurance qu’il n’avait jamais été envisagé «de baisser de la valeur du point de Corem, donc de baisser les rentes des sociétaires», l’Arcaf considère qu’à travers cette mesure, «il s’agit bien, là aussi, d’une diminution des rentes».
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Réponse de Qitusè
Le 29/10/2014 é 09h35
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Grand merci à l'anonyme qui a publié l'article de deontofi. Il sera difficile maintenant à certains de nier l'évidence ou à vouloir trouver des pis-aller irréalistes.Comment pour l'UMR combler en deux ans 2 milliards d'insuffisance prévisionnelle? On comprend la panique générale qui a conduit aux décisions "tranchantes" de l'AG du 18/11/2014. On comprend aussi le défaut d'information des adhérents. Il est temps maintenant de nous unir plutôt que pour certains de se livrer à des invectives stériles. Peut-on encore adhérer au CDIS? quelle action envisage-t-il après le 18/11/14? PB
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Réponse de Allbrights
Le 29/10/2014 é 09h53
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Bonjour, L'umr n'a pas deux ans pour provionner comme vous l'affirmez, mais 25 ans à partir de 2002, soit j'usqu'en 2027,ce qui change complètement la donne, il est donc inutile de paniquer, la peur n'évite pas le danger! Veuillez trouver ci dessous un communiqué de l'UMR qui l'explique et qui donne un aperçu de la situation des régimes, bonne lecture. Les aménagements proposés sur votre régime R1 Les aménagements proposés sur votre régime Corem Le contexte "L’Union Mutualiste Retraite dispose d’un délai, prévu par la loi par le décret du 11 mars 2002, pour couvrir intégralement les engagements de ses régimes, c’est-à-dire garantir le versement des rentes à vie, sur la base des paramètres réglementaires en vigueur. Ce délai fait l’objet d’un plan appelé Plan de Convergence. Plus précisément, le décret du 11 mars 2002 instaure des règles spécifiques visant à assurer la transition d’un régime facultatif géré en répartition vers des régimes gérés en capitalisation, sur une période de 25 ans. Ce décret prévoit des points de passage obligatoires en 2017 (90% de taux de couverture), 2022 (95%) et 2027 (100%), ainsi que des dérogations au titre des taux d’actualisation pour le calcul des engagements. Ces points de passage constituent le plan de convergence. Mais notre pays subit aujourd’hui les effets d’une conjoncture dégradée qui bouleverse le modèle économique de tous les assureurs de long terme. Par ailleurs, comme pour tous les régimes de retraite, les années à venir sont celles de profondes restructurations du fait de l’allongement de l’espérance de vie. En effet, sur la période 2002-2014, l’espérance de vie résiduelle à 60 ans a augmenté de 2 ans environ, pour les hommes et pour les femmes. Cela signifie que les régimes R1 et Corem doivent payer des rentes viagères sur des durées plus longues de 2 ans en moyenne et donc constituer des réserves plus importantes, de l’ordre de 5 à 8%. Nous faisons également face, à l’accélération de la baisse des taux d’intérêt. Ils ont atteint des niveaux historiquement bas cet été et ne devraient pas remonter à court terme. Or, l’engagement pris par l’UMR, c’est le paiement d’une rente (d’une retraite) versée à vie. Pour tenir cet engagement, l’épargne qui nous est confiée par chaque cotisant, est investie de manière très prudente sur les marchés financiers sur des produits réputés sûrs et notamment les emprunts d’état. Entre 2002 et 2014, les taux d’emprunt d’état sont passés de 5% à 1,3% avec une accélération de cette baisse cet été. Cette baisse des taux a pour conséquence que l’argent investi avec les cotisations rapporte moins. Pour pouvoir maintenir le versement à vie des rentes, il faudrait que l’UMR prenne des risques inconsidérés sur les marchés financiers en investissant sur des produits financiers moins sûrs, ce que l’UMR refuse. Enfin, jusqu’à présent, les régimes de l’UMR étaient soumis aux règles prudentielles Solvabilité 1. A compter du 1er janvier 2016, une nouvelle réglementation européenne, dite Solvabilité 2, entrera en vigueur. Elle a 2 objectifs majeurs : - l’harmonisation des règles appliquées aux assureurs au sein de l’Union européenne ; - le renforcement de la sécurité au profit des assurés. Ces règles sont communes à toutes les activités d’assurance (assurance-vie, incendie, multirisque habitation…) et ne prennent pas en compte les caractéristiques propres aux activités de retraite. Notamment, elles n’intègrent pas la durée très longue et régulière des paiements de rentes. De ce fait, cette nouvelle réglementation est très contraignante pour les opérateurs retraite comme l’UMR et en particulier elle oblige à constituer des réserves financières importantes qu’il est impossible de satisfaire dans la conjoncture actuelle."
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