Au décès du père de famille, la maison a été mise en indivision entre la mère et ses 9 enfants (majeurs et mineurs à l'époque). Elle avait été estimée à 250 000 francs soit environ 40 000 euros.
La mère de famille a voulu vendre ce bien. Devant le refus de certains, elle a saisi la justice qui a procédé à une mise en ventes aux enchères.
Aucun acheteur ne s'est présenté, la vente a donc été caduc.
Aujourd'hui tous les enfants ont reçu un courrier du notaire, qui a apparemment trouvé un acheteur pour 30 000 euros, dans lequel il leur demande leur accord pour la vente dudit bien.
Le notaire a également fait toutes les démarches afin d'avoir la signature de tous les enfants, mêmes ceux qui refusaient jusqu'alors.
Désormais il s'agit d'une vente normale et non plus d'une vente aux enchères.
toutefois, une question se pose : quel risque est encouru par les vendeurs, du fait que le bien se vende en dessous de l'estimation faite lors du décès du père ?